Récits de la Bataille pour Stromgarde
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Solona Naggalenta
Blé
Vakio / Thorïas
Darnat Sombrecoeur
8 participants
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Récits de la Bataille pour Stromgarde
(Je vous invite à poster les visions rp de vos personnages par rapport au grand évent rp pvp du vendredi 27 Août)
Carte de Bataille de l'Alliance avant les combats:
Légende:
Lignes rouges: Débuts de l'avancée de la horde.
Lignes bleu: Lieux de défenses de l'alliance.
Flèches pleines rouges: Ligne d'assaut de la Horde.
Flèches bleus en pointillées: Direction de replis pour les soldats de Lordaeron.
Flèches pleines blanches: Direction de départ des soldats de la IVe Brigade de Theramore.
Flèches blanches en pointillées: Direction possibles des renforts de Theramore.
Flèches jaunes: Direction des soldats du Major Lohiro Cromlech afin de tuer l'officier profanateur à l'origine de l'assaut.
Dans la soirée du 27e jour du 8e mois de l'an 30, à 21h30, un assaut coordonné de la Horde sur Stromgarde a été lancé, en deux temps. Deux assauts simultanées puis un assaut conjoint. L'une, composée d'elfes de sangs, venant de Quel'thalas et attaquant par le nord ouest, l'autre composée de réprouvés et des autres membres de la Horde, attaquant depuis l'un de leur camp fortifié, situé dans le nord est des Hautes-terres.
En face, la défense de l'Alliance était composé des forces de l'Enclave et de la Brigade Courtetaille de Forgefer, ces deux ordres ayant prit position au mur de Thoradin, avec ordre de se replier sur Stromgarde si besoin. A l'opposé se trouvait les soldats du Clan Sombrecoeur, ayant prit position en soutien d'un groupe de soldats de la Ligue d'Arathor, dans l'un de leur campement situé dans le giron de l'assaut ennemi. Le tout accompagné de la IVe Brigade de Theramore, stationné avec les soldats de Stromgarde dans cette dernière, son dirigeant, le Maréchal Chemincour, étant prêt à envoyer des renforts à l'un des fronts si les forces en présences en faisaient la requête, mais aussi accompagnés des hommes du Major Lohiro Cromlech, habitant et ardent défenseur de ce royaume et de sa capitale, et d'autres personnes n'ayant rien à voir avec ses ordres, ayant proposé voir vendu leurs services.
Première phase du combat.
Les Combats de l'Ouest, surnommés "Le combat au pied du Mur", celle-ci étant une résistance admirable de la part de la Brigade Courtetaille et de l'Enclave, puis de la IVe Brigade de Theramore.
Là bas, l'armée elfique attaqua en force contre les nains et leurs alliés situés sur place, ceux-ci tenant autant que possible avant de demander du renfort à la IVe Brigade de Theramore, qui arriva aussi vite que possible, pour prêter assistance aux nains, dirigé par Aronh Tannetir, et aux hommes de mains de l'Enclave, dirigé par l'abbé Toredin. après d'âpres combats, tout ce petit monde se dirigea en bon ordre pour Stromgarde, tenant tête à l'avant-garde des elfes, qui détacha une partie de ses forces vers le campement de la Ligue d'Arathor, à l'est, pour porter assistance à leurs confrères de la Horde.
Les Combats de l'Est, surnommés "La pente sanglante", car toute la bataille s'est déroulé sur l'une des pentes du campement, celui-ci étant en situé dans une faille, et la terre en a fini gorgée de sang.
Ce petit campement a fait couler beaucoup de sang pour son contrôle. En effet, quand l'un des cor de guerre sombrecoeur a sonné l'arrivé ennemi, les sombrecoeurs, menés par leur Seigneur Gabriel Sombrecoeur, et leurs "mercenaires", étant tous venu de plein gré sans demander d'argent, se sont mit en position. Et ont tenu tête aux forces de la horde pendant une demi-douzaine d'assaut, reformant les rangs de moins en moins nombreux à chaque fois... Puis finirent par se replier en bon ordre, les renforts de Theramore ne pouvant intervenir, vers Stromgarde.
Le village fortifié orc, épisode de la bataille surnommé "Lame d'Arathor".
Quelques soldats du Major Cromlech, jusqu'alors infiltré derrière l'armée ennemi, réussirent sans trop de difficultés à assassiner un officier des Profanateurs des hautes-terres d'Arathi ainsi que sa garde personnelle.
Deuxième phase du combat.
La charge de la horde, surnommé "La Débâcle".
Les forces de l'Alliance se placèrent derrière la barricade placée sous le pont de Stromgarde. Les ordres furent donnés. Les magiciens et les archers en hauteurs, les fantassins derrière le mur. En attendant, les deux groupes de la Horde se rejoignirent et se mirent à attaquer la barricade de leur sorts, interrompus une fois par une charge de soldats voulant faire gagner du temps aux autres... Sous les encouragements et les paroles emplies de courage du Capitaine Darnat Sombrecoeur et du Capitaine Radoss Eleth de Theramore. Puis la barricade tomba, laissant la horde libre de charger... La fureur de l'assaut fit reculer les forces de l'alliance de façon titanesque, et ces dernières finirent en deux assauts repoussés sur le pont sous lequel ils étaient dix minutes auparavant. C'est à ce moment là que tous les hommes du Major Lohiro Cromlech, à part un dénommé "Jettero Heller", et la IVe Brigade de Theramore prirent la poudre d'escampette, abandonnant Stromgarde à son sort.
La contre-attaque, surnommé "Grâce de la Lumière" par ses participants.
La poignée de soldats restants, dirigée par les chefs et les officiers, ceux encore en vie, des ordres étant restés, ainsi que quelques soldats dont la vaillance restera dans les
mémoires de Stromgarde pendant plusieurs siècles. Ils chargèrent. Lames au poing, hurlant leur rage leur courroux, libérant leur haine et leur courage pour cette dernière charge... Qui porta, contre toute attente, ses fruits. En effet, pendant la débâcle des forces de l'Alliance, les ogres profitèrent de la confusion pour prendre la Horde de flanc, les troupes elfes de sang allèrent donc les débusquer dans le quartier sud-ouest de la ville, laissant une partie de la Horde en sous-effectif. Les restes de l'Alliance repoussèrent d'abord la Horde du quartier de Stromgarde, puis furent rejoint dans un premier temps par les archers de Stromgarde, puis dans un deuxième temps par le vaillant Consul Bleryn Prod et certains de ses chevaliers, qui aidèrent l'alliance à faire tourner la balance en leur faveur, faisant fuir la Horde et tuant les résistants un par un.
Et c'est ainsi que les courageux héros de l'Alliance prouvèrent une nouvelle fois la force et l'unification de cette dernière, en repoussant les envahisseurs orcs et leurs alliés du berceau de l'humanité, le Royaume de Stromgarde.
Extrait des récits du scribe Adurn Ralnys, relatant les guerres actuelles pour le Nord des Royaumes de l'est.
Carte de Bataille de l'Alliance avant les combats:
Légende:
Lignes rouges: Débuts de l'avancée de la horde.
Lignes bleu: Lieux de défenses de l'alliance.
Flèches pleines rouges: Ligne d'assaut de la Horde.
Flèches bleus en pointillées: Direction de replis pour les soldats de Lordaeron.
Flèches pleines blanches: Direction de départ des soldats de la IVe Brigade de Theramore.
Flèches blanches en pointillées: Direction possibles des renforts de Theramore.
Flèches jaunes: Direction des soldats du Major Lohiro Cromlech afin de tuer l'officier profanateur à l'origine de l'assaut.
Dans la soirée du 27e jour du 8e mois de l'an 30, à 21h30, un assaut coordonné de la Horde sur Stromgarde a été lancé, en deux temps. Deux assauts simultanées puis un assaut conjoint. L'une, composée d'elfes de sangs, venant de Quel'thalas et attaquant par le nord ouest, l'autre composée de réprouvés et des autres membres de la Horde, attaquant depuis l'un de leur camp fortifié, situé dans le nord est des Hautes-terres.
En face, la défense de l'Alliance était composé des forces de l'Enclave et de la Brigade Courtetaille de Forgefer, ces deux ordres ayant prit position au mur de Thoradin, avec ordre de se replier sur Stromgarde si besoin. A l'opposé se trouvait les soldats du Clan Sombrecoeur, ayant prit position en soutien d'un groupe de soldats de la Ligue d'Arathor, dans l'un de leur campement situé dans le giron de l'assaut ennemi. Le tout accompagné de la IVe Brigade de Theramore, stationné avec les soldats de Stromgarde dans cette dernière, son dirigeant, le Maréchal Chemincour, étant prêt à envoyer des renforts à l'un des fronts si les forces en présences en faisaient la requête, mais aussi accompagnés des hommes du Major Lohiro Cromlech, habitant et ardent défenseur de ce royaume et de sa capitale, et d'autres personnes n'ayant rien à voir avec ses ordres, ayant proposé voir vendu leurs services.
Première phase du combat.
Les Combats de l'Ouest, surnommés "Le combat au pied du Mur", celle-ci étant une résistance admirable de la part de la Brigade Courtetaille et de l'Enclave, puis de la IVe Brigade de Theramore.
Là bas, l'armée elfique attaqua en force contre les nains et leurs alliés situés sur place, ceux-ci tenant autant que possible avant de demander du renfort à la IVe Brigade de Theramore, qui arriva aussi vite que possible, pour prêter assistance aux nains, dirigé par Aronh Tannetir, et aux hommes de mains de l'Enclave, dirigé par l'abbé Toredin. après d'âpres combats, tout ce petit monde se dirigea en bon ordre pour Stromgarde, tenant tête à l'avant-garde des elfes, qui détacha une partie de ses forces vers le campement de la Ligue d'Arathor, à l'est, pour porter assistance à leurs confrères de la Horde.
Les Combats de l'Est, surnommés "La pente sanglante", car toute la bataille s'est déroulé sur l'une des pentes du campement, celui-ci étant en situé dans une faille, et la terre en a fini gorgée de sang.
Ce petit campement a fait couler beaucoup de sang pour son contrôle. En effet, quand l'un des cor de guerre sombrecoeur a sonné l'arrivé ennemi, les sombrecoeurs, menés par leur Seigneur Gabriel Sombrecoeur, et leurs "mercenaires", étant tous venu de plein gré sans demander d'argent, se sont mit en position. Et ont tenu tête aux forces de la horde pendant une demi-douzaine d'assaut, reformant les rangs de moins en moins nombreux à chaque fois... Puis finirent par se replier en bon ordre, les renforts de Theramore ne pouvant intervenir, vers Stromgarde.
Le village fortifié orc, épisode de la bataille surnommé "Lame d'Arathor".
Quelques soldats du Major Cromlech, jusqu'alors infiltré derrière l'armée ennemi, réussirent sans trop de difficultés à assassiner un officier des Profanateurs des hautes-terres d'Arathi ainsi que sa garde personnelle.
Deuxième phase du combat.
La charge de la horde, surnommé "La Débâcle".
Les forces de l'Alliance se placèrent derrière la barricade placée sous le pont de Stromgarde. Les ordres furent donnés. Les magiciens et les archers en hauteurs, les fantassins derrière le mur. En attendant, les deux groupes de la Horde se rejoignirent et se mirent à attaquer la barricade de leur sorts, interrompus une fois par une charge de soldats voulant faire gagner du temps aux autres... Sous les encouragements et les paroles emplies de courage du Capitaine Darnat Sombrecoeur et du Capitaine Radoss Eleth de Theramore. Puis la barricade tomba, laissant la horde libre de charger... La fureur de l'assaut fit reculer les forces de l'alliance de façon titanesque, et ces dernières finirent en deux assauts repoussés sur le pont sous lequel ils étaient dix minutes auparavant. C'est à ce moment là que tous les hommes du Major Lohiro Cromlech, à part un dénommé "Jettero Heller", et la IVe Brigade de Theramore prirent la poudre d'escampette, abandonnant Stromgarde à son sort.
La contre-attaque, surnommé "Grâce de la Lumière" par ses participants.
La poignée de soldats restants, dirigée par les chefs et les officiers, ceux encore en vie, des ordres étant restés, ainsi que quelques soldats dont la vaillance restera dans les
mémoires de Stromgarde pendant plusieurs siècles. Ils chargèrent. Lames au poing, hurlant leur rage leur courroux, libérant leur haine et leur courage pour cette dernière charge... Qui porta, contre toute attente, ses fruits. En effet, pendant la débâcle des forces de l'Alliance, les ogres profitèrent de la confusion pour prendre la Horde de flanc, les troupes elfes de sang allèrent donc les débusquer dans le quartier sud-ouest de la ville, laissant une partie de la Horde en sous-effectif. Les restes de l'Alliance repoussèrent d'abord la Horde du quartier de Stromgarde, puis furent rejoint dans un premier temps par les archers de Stromgarde, puis dans un deuxième temps par le vaillant Consul Bleryn Prod et certains de ses chevaliers, qui aidèrent l'alliance à faire tourner la balance en leur faveur, faisant fuir la Horde et tuant les résistants un par un.
Et c'est ainsi que les courageux héros de l'Alliance prouvèrent une nouvelle fois la force et l'unification de cette dernière, en repoussant les envahisseurs orcs et leurs alliés du berceau de l'humanité, le Royaume de Stromgarde.
Extrait des récits du scribe Adurn Ralnys, relatant les guerres actuelles pour le Nord des Royaumes de l'est.
Dernière édition par Darnat/Aldan le Lun 30 Aoû 2010, 14:10, édité 1 fois
Darnat Sombrecoeur
Re: Récits de la Bataille pour Stromgarde
Première véritable bataille, premières preuves devant le Seigneur et les soldats Sombrecoeurs, il faut l'avouer Pelindar allait au combat la gorge nouée. Bien que fier et sûr de lui, ayant reçu pour cadeau de Darnat de porter l'armure de son défunt père, l'inquiétude habitait le cœur du jeune aspirant. Il était l'un des premiers Sombrecoeurs à rejoindre la crevasse où l'on leur avait ordonné de stationner. Peu bavard, il restait en retrait dans le dos de son oncle, limitant ses interventions que pour des choix qu'il jugeait utile ou bénéfiques. En soit, il tentait de montrer une fière image de lui et de son Clan. Peu à peu les rangs se remplissaient, Sombrecoeurs et volontaires, quelques personnes passagères pour encourager, bénir ou juste échanger un bref sourire. Sourire oui, ça lui arrachait toujours un sourire lorsque Gabriel ou Darnat lui demandaient de veiller sur Palidia, il le faisait depuis enfant et ces deux "grands" semblaient oublier qu'il a passé toute sa vie à ses côtés.
Le temps passait, la tension montait, le silence, le calme, l'attente... Le jeune Sombrecoeur se rendait compte que c'est bien cette chose qui lui manquait, la patience. Il passait d'un pied à l'autre, moulinait discretement, mais toujours et encore ne disait rien montrant l'image fière et calme qui devait garder.
Enfin, le cor d'Elridas avait tonné, resonnant dans le silence de la crevasse... A peine quelques instants plus tard, celui-ci était brisé, le bourdonnement d'armures frottantes, d'épées tappant sur les boucliers, des cris de guerre et d'encouragements, l'Alliance et la Horde s'étaient lancées à la rencontre entre leurs guerriers.
Le premier choc, terrible, des boucliers volant en éclats, des premiers morts, des empalés, des cris, des sorts volant dans tous les sens et se perdant dans un allié ou un ennemi, rien à faire, rien à comprendre, le jeune Guerrier surveillait chacun de ses entourants d'un oeil vif et clair, un coup par ici, une parade par là, une aide à un camarade, il était rentré rapidement en plein feu de la bataille. Reculer, écouter, repartir à la charge, regarder derrière lui vers sa soeur. Jeune et redoutable, telle était sa position dans la bataille, vif d'esprit, vif de la lame, il distribuait ses coups avec presqu'une satisfaction malsaine.
Mais aussi doué, aussi forts que les guerriers de l'Alliance étaient, la Horde menait la partie, obligeant les Sombrecoeurs et leurs alliés de reculer petit à petit, reculer vers Stromgarde, les ordres de Gabriel étaient clairs... Rejoindre les montures... Et quelles montures ? Il voyait Edwörn Chante-Givre et son aimée batailler en reculant, "On ne laisse pas ses hommes derrière soi" que lui disait son défunt père. Sans hésiter le jeune homme avait foncé à leur aide, son oncle aussi, une saleté d'assassin ne voulait pas les lâcher Pelindar et lui. Finalement, le petit groupuscule avait réussi à se demener de la Horde et rejoindre Stromgarde.
Là tous étaient confondus, Nains, Elfes, Humains, tous supporters de l'Alliance et alliés de la Ligne d'Arathor. La Horde ne trainait pas et s'était déjà placée devant la barricade, sous le joug des attaques magiques des défenseurs de la cité en ruines. Et comme toute barricade, celle-ci avait aussi plié, une nouvelle charge, à encaisser cette fois... Les bras devenaient lourds, l'armure d'autant plus et ce n'était pas seulement le cas de Pelindar, ils étaient forcés à reculer, aucun autre choix. Nartrach et Pelindar couvrant le Seigneur qui criait et ordonnait.
Un cri, une déception, une colère, une frustration, les hommes du Major Lohiro et Theramore quittait le champs de bataille, laissant l'Enclave, les Courtetailles et les Sombrecoeurs contunuer le combat. Ils se repliaient vers la crypte... Et là encore, c'est la campagne de Chante-Givre, Solona Naggalenta avait quitté le rang, s'aventurant dans les ruelles serrées en remplies de vermine assaillante et une fois encore Pelindar avait suivi, courant après la jeune femme. Bien entendu c'est Edworn qu'ils avaient trouvé, à moitié au sol, combattant contre une grande partie de la Horde. Furieux, courroucé et toujours aussi implacable, le jeune Guerrier s'était jetté sur le tas d'orcs, réprouvés et Elfes, laissant le jeune couple se replier... Sa joie n'avait que fait s'agrandit quand il vit son vieil oncle, Darnat Sombrecoeur lui préter main forte. Les troupes se rassemblaient pour une dernière charge, pour faire fuir l'ennemi, le dernier courage, les derniers combats.
Un cri, une joie, un soulagement, un espoir, Bleryn Prod et quelques Chevaliers s'étaient lancés dans Stomgarde sur leurs montures rayonnantes. L'Alliance n'avait pas trainé et avait lancé la contre-attaque à son tour... La Horde reculait, partait, fuyait... Victoire... Pour L'Alliance.
Le temps passait, la tension montait, le silence, le calme, l'attente... Le jeune Sombrecoeur se rendait compte que c'est bien cette chose qui lui manquait, la patience. Il passait d'un pied à l'autre, moulinait discretement, mais toujours et encore ne disait rien montrant l'image fière et calme qui devait garder.
Enfin, le cor d'Elridas avait tonné, resonnant dans le silence de la crevasse... A peine quelques instants plus tard, celui-ci était brisé, le bourdonnement d'armures frottantes, d'épées tappant sur les boucliers, des cris de guerre et d'encouragements, l'Alliance et la Horde s'étaient lancées à la rencontre entre leurs guerriers.
Le premier choc, terrible, des boucliers volant en éclats, des premiers morts, des empalés, des cris, des sorts volant dans tous les sens et se perdant dans un allié ou un ennemi, rien à faire, rien à comprendre, le jeune Guerrier surveillait chacun de ses entourants d'un oeil vif et clair, un coup par ici, une parade par là, une aide à un camarade, il était rentré rapidement en plein feu de la bataille. Reculer, écouter, repartir à la charge, regarder derrière lui vers sa soeur. Jeune et redoutable, telle était sa position dans la bataille, vif d'esprit, vif de la lame, il distribuait ses coups avec presqu'une satisfaction malsaine.
Mais aussi doué, aussi forts que les guerriers de l'Alliance étaient, la Horde menait la partie, obligeant les Sombrecoeurs et leurs alliés de reculer petit à petit, reculer vers Stromgarde, les ordres de Gabriel étaient clairs... Rejoindre les montures... Et quelles montures ? Il voyait Edwörn Chante-Givre et son aimée batailler en reculant, "On ne laisse pas ses hommes derrière soi" que lui disait son défunt père. Sans hésiter le jeune homme avait foncé à leur aide, son oncle aussi, une saleté d'assassin ne voulait pas les lâcher Pelindar et lui. Finalement, le petit groupuscule avait réussi à se demener de la Horde et rejoindre Stromgarde.
Là tous étaient confondus, Nains, Elfes, Humains, tous supporters de l'Alliance et alliés de la Ligne d'Arathor. La Horde ne trainait pas et s'était déjà placée devant la barricade, sous le joug des attaques magiques des défenseurs de la cité en ruines. Et comme toute barricade, celle-ci avait aussi plié, une nouvelle charge, à encaisser cette fois... Les bras devenaient lourds, l'armure d'autant plus et ce n'était pas seulement le cas de Pelindar, ils étaient forcés à reculer, aucun autre choix. Nartrach et Pelindar couvrant le Seigneur qui criait et ordonnait.
Un cri, une déception, une colère, une frustration, les hommes du Major Lohiro et Theramore quittait le champs de bataille, laissant l'Enclave, les Courtetailles et les Sombrecoeurs contunuer le combat. Ils se repliaient vers la crypte... Et là encore, c'est la campagne de Chante-Givre, Solona Naggalenta avait quitté le rang, s'aventurant dans les ruelles serrées en remplies de vermine assaillante et une fois encore Pelindar avait suivi, courant après la jeune femme. Bien entendu c'est Edworn qu'ils avaient trouvé, à moitié au sol, combattant contre une grande partie de la Horde. Furieux, courroucé et toujours aussi implacable, le jeune Guerrier s'était jetté sur le tas d'orcs, réprouvés et Elfes, laissant le jeune couple se replier... Sa joie n'avait que fait s'agrandit quand il vit son vieil oncle, Darnat Sombrecoeur lui préter main forte. Les troupes se rassemblaient pour une dernière charge, pour faire fuir l'ennemi, le dernier courage, les derniers combats.
Un cri, une joie, un soulagement, un espoir, Bleryn Prod et quelques Chevaliers s'étaient lancés dans Stomgarde sur leurs montures rayonnantes. L'Alliance n'avait pas trainé et avait lancé la contre-attaque à son tour... La Horde reculait, partait, fuyait... Victoire... Pour L'Alliance.
Blé- Personnages Joués : Bêtes et méchants
Re: Récits de la Bataille pour Stromgarde
(Désolé pour ceux qui me liront, mon écriture est (très) modeste / Désolé encore, le texte ne parle que d'une partie du combat, la fin, pour Solona en tout cas. Un peu transformé pour coller a une vision plus personnelle.)
"Le combat sera ma religion, le champs de justice sera mon église."
La Horde avait porter la bataille jusqu'au dernier pont dans les ruines de Stromgarde, dernier retranchement de l'Alliance, dernière site stratégique avant que la Horde n'attaque le prince de Stromgarde. La soirée avait été ponctuée par l'avancée de cette horde téméraire mais répondant aux appels de l'Alliance tel un jeune taureau fort et fougueux était appelé par le rouge de la cape du matador. A cet endroit, la cape était redressée, dévoilant le matador, dans toute sa splendeur, qui ne s'était jusqu'a présent, que compter d'esquiver, qu'adapter aux manoeuvres du taureau, mais a cet instant, l'arène réclamait un mort, il fallait rassasier en sang ces spectateurs voyeurs. En cela, l'Alliance allait offrir son compte a ces voyeurs.
- Soldats de l'Alliance ! Voici venir le moment de vérité ! La Horde a opéré comme nous le souhaitions, ils nous ont suivis tels des chiens enragés ! Maintenant ! Nous allons leur offrir ce qu'ils demandent ! Le ciel est pourpre mes braves ! Nos coeurs, a vif. Mais nous allons montrer a la Horde ce qu'il en coute de s'attaquer a nous ! Nous allons leur montrer que l'on ne défait pas l'Alliance ainsi ! Haut les coeurs soldats !
Solona observait le capitaine Darnat Sombrecoeur encourager des troupes fatiguées, usées par la trahison de plusieurs corps de bataille ainsi que par le harcelement des maraudeurs de la Horde. Tout allait se jouer ici. Edworn restait près de Solona, craignant logiquement pour sa vie, elle qui avait déja été lourdement prise a partie par la Horde , mais elle ne devait pas montrer pareil signe de faiblesse, son esprit se devait d'être focalisé sur l'ultime combat, celui qui définirai le vainqueur. Ce dernier round qui nommera qui entre ces deux boxeurs méritait de l'emporter. Les deux poids lourds se regardaient dans les yeux.
- Reste a mes cotés, tout ira bien.
Cette phrase de la jeune femme a certainement dû faire sourire ce grand homme, elle qui faisait preuve d'autant de confiance en elle, elle qui voulait inspirer l'exemple parmis les soldats a proximité. Malgré son visage taché par le sang et les hématomes, malgré son bras de guerre qui était partiellement blessé, tant qu'elle pouvait faire manoeuvré sa masse, rien ne l'arrêterait, Edworn le savait, têtue comme elle était, elle n'aurait jamais accepté de faire partis de la seconde ligne d'assaut. Finalement, la première ligne charge sous le commandement des officiers, Solona et Edworn chargèreent avec la fureur et la fougue du taureau qu'ils combattaient peu avant. Surprendre le taureau, fatigué lui aussi de courir et de chasser une cape qui le nargue depuis le début de soirée, et le frapper dans les flancs. Son fleuret était prêt a piquer. La bataille venait de commencer, la première ligne de la Horde était surprise, le taureau était déja au sol.
- Pour la Lumière ! Pour le roi !
L'entrechoquement de métal, le couinement des armures, la clameur de la bataille. Au milieu de tout cela, la jeune femme luttait aux cotés des Sombrecoeurs, épéistes de renoms. Il aurait pu être drole de voir qu'elle seule sur cette première ligne magniait une arme contendante, seulement la guerre est autours d'elle, la mort, proche de serrer les braves dans une ultime étreinte. L'humour n'a rien a faire ici. Edworn bloquait et repoussait là ou Solona frappait et persécutait, harranguait et galvanisait.
- Je suis le bras armé de la Justice ! Je porte la volonté du roi !
Les lignes de la Horde se confondaient, Darnat vennait de briser le meneur. La bataille n'etait pas finie. Un troll vicieux se jette sur Edworn, déjà occupé par un orc et son gigantesque hachoire. Solona se jette sur le canibale, lui infligeant un coup de pommeau brisant d'un coup sec le nez de l'infâme, c'est le coup armé de la masse qui acheva les souffrance du mangeur-d'homme suivis de près par une Sin'dorei, lui infligeant un coup de pommeau dans le ventre, la faisant plier en deux, à genoux devant son bourreau.
- Nul ne contreviendra à ma sentence ! Mourrez sous les coups des Justes !
La masse s'abattit froidement sur la tête de l'elfe, lui épargnant plus avant les horreurs de la guerre. Le paladin lèva haut dans le ciel sa masse et s'exclama.
- Je serai l'avatar de votre perte, Horde !
Edworn, d'un coup d'épaule bien dosé, évita à un chasseur de tête troll de mettre un terme a la vie du bel avatar. Il lui sourit et l'aida a se rétablir. La Horde commençait a battre en retraite ! Ca ne se passerait pas ainsi ! Alors que les Sombrecoeurs, les Courtentailles et quelques autres alliés formant la première ligne se mettaient a courir derrière leurs ennemis, Solona se retourna vers la deuxième et dernière ligne, disposant des blessés de cette triste soirée ou encore des magiciens faisant gronder les éléments contre la Horde et protégeant l'Alliance des malédictions vaudoo.
- Au nom du roi levez-vous ! Sus a la Horde mes Frères ! Harcelez les !
La deuxieme ligne ne se fit pas d'avantage prier et se jeta a la suite de Solona et Edworn a la poursuite des laches ! Seulement sur le chemin, Solona remarqua un nain agonisant, femme de foi avant d'être femme de guerre, elle se rua a la rescousse de ce pauvre nain, Courtentaille vu les armoiries qu'il portait. Il avait prit un coup de dague dans le dos... Ces lâches n'étaient donc capable que d'attaques vicieuses pour venir a bout de l'Alliance ?! Le paladin lacha sa massue, a bout de souffle et de force. Elle rassembla les quelques forces qu'il lui reste pour soigner ce soldat qui n'a pas abandonné, pas comme ces lâches de Théramore ou encore les hommes du Major.
- Lumière, entends mon appel ! Un des braves combattant en ton honneur est tombé ! Lumière ! Offre lui une seconde chance de combattre en ton nom !
Le nain gromella en se relevant, ignorant qu'il venait d'épuiser les maigres forces qu'il restait à la jeune femme face a lui. Il l'a remercia et retourna a l'arrière base pour recevoir des soins. Un elfe bouscula Solona, lui faisant prendre conscience qu'Edworn n'était plus avec elle. La jeune femme regarda autour , il n'était plus la. Elle ramassa sa masse et se lanca la recherche du sergent, sa respiration folle, laissant aux sombrecoeurs la joie de brisé d'avantage le taureau déja blessé.
Galvanisée par la victoire de l'Alliance, la jeune femme courrut a travers les ruelles en ruines et son souffle se coupe, Edworn était au sol, allongé dans son propre sang. Un tauren se tenait au dessus de son homme, victorieux. Ca ne se passerait pas comme ca, cet élan de colère qui s'emparait d'elle la revigorait telle une fine pluie appaiserait la fatigue des soldats après une journée de marche forcée. Elle serra fermement la masse bénie et souillée par le sang de la Horde entre ses mains et chargea en poussant un râle qui appelait à la vengeance d'Edworn. Le tauren se redressa rapidement et prit lui aussi sa masse avec laquelle il frappa avec une telle force le paladin dans les cotes. Comme un golfeur aurait tapé dans une balle, Solona heurta le mur adjacent en grognant, elle avait déja rencontré ce tauren plus tôt, c'était lui qui lui avait infligé un coup puissant, heureusement pour la guerrière sainte, le casque qu'elle portait lui avait été salvateur. La douleur intense dans ses cotes la fit prendre conscience de cet égarement qu'elle ne pouvait se permettre d'avoir. Tachée par son sang et celui de ses ennemis, l'armure avait plutot bien supporté le combat, si les quelques lacérations des lames, les trous mettant a découvert quelques blessures légères provenant de flèches n'étaient pas a notés, l'armure était comme neuve ! Malheureusement, chacune de ces marques sur l'armures n'étaient rien face aux blessures du jeune paladin qui se relevait en grognant. Le tauren n'avait pas du avoir la vie rose non plus, cruellement blessé par Pelindar Sombrecoeur lorsque le tauren avait réussis a ôter par la force le casque de Solona. Aucun des deux adversaires ne comptaient mourir en cette nuit. Le taureau face au matador, un ultime combat.
- Tu plieras sous mon autorité !
Elle chargea malgré les douleurs dont son corps se plaignait, malgré la fatigue de la guerre. Elle porterait la guerre, elle survivrait, elle l'avait promis et ce n'était pas un tauren qui la ferait mentir ! Le taureau tenta maladroitement un coup de corne, représenté par la lourde massue du tauren, mais la ruelle ne lui offrait pas l'avantage et le paladin pu aisément esquivé, glissant sur ses genoux blessés. Elle arma son coup et frappa dans un genou du colosse. La bête hurla, mais ce n'était rien par rapport au deuxieme cri, survenu lorsque l'autre genou explosa sous le fracas de la masse contre l'os, ce dernier cri était une mélodie aux oreilles de Solona, qui se relevait difficilement pour faire face au tauren. A bout de souffle, les deux combattants se regardaient, l'arêne scandait au matador d'abattre le taureau. Elle empoigna une dernière fois sa masse.
- On fait moins la folle maintenant qu'on fait ma taille !
Puis, sans avoir la politesse d'attendre une réponse du vaincu, elle écrasa la tête du tauren sous sa masse. La dernière victoire... Solona lacha sa masse en se tordant de douleur, elle tituba avec l'équilibre propre a une jouvencelle qui avait abusée de trop d'alcool, ici l'alcool était le combat, le flou qui masquait sa vision n'était pas du l'alcool mais a la mort qui l'enserrait. Elle tomba a genou devant Edworn, inerte. Elle le secoua autant qu'elle le pouvait.
- Edworn ! Tu n'as pas le droit ! Tu m'as promis !
Sa respiration était faible mais il vivait ! Elle regarda le ciel, désemparée, se tenant le corps de peur qu'il ne parte en morceau, implorant a la Lumière de lui donné assez de force pour soigner son bien-aimé. Elle ne pouvait pas échouer, Solona l'aiderait si il faut a respecter sa parole, quoi qu'il en coute : il avait promis ! Elle porta au cadavre en devenir un regard intense et apposa ses mains sur le torse de son homme, transferant ainsi ses dernières forces en Edworn, lui offrant peut être cette unique chance de survie, peut être celle qu'elle n'aurait plus après cela. Elle s'écroula sur l'homme, ne trouvant plus les forces pour porter cette armure si lourde, pour supporter ces blessures si nombreuses... Pour offrir un refus a ce sommeil qui l'appelait depuis un moment maintenant. Son conscience se perd au loin, dans les cris de victoire de l'Alliance.
"Le combat sera ma religion, le champs de justice sera mon église."
La Horde avait porter la bataille jusqu'au dernier pont dans les ruines de Stromgarde, dernier retranchement de l'Alliance, dernière site stratégique avant que la Horde n'attaque le prince de Stromgarde. La soirée avait été ponctuée par l'avancée de cette horde téméraire mais répondant aux appels de l'Alliance tel un jeune taureau fort et fougueux était appelé par le rouge de la cape du matador. A cet endroit, la cape était redressée, dévoilant le matador, dans toute sa splendeur, qui ne s'était jusqu'a présent, que compter d'esquiver, qu'adapter aux manoeuvres du taureau, mais a cet instant, l'arène réclamait un mort, il fallait rassasier en sang ces spectateurs voyeurs. En cela, l'Alliance allait offrir son compte a ces voyeurs.
- Soldats de l'Alliance ! Voici venir le moment de vérité ! La Horde a opéré comme nous le souhaitions, ils nous ont suivis tels des chiens enragés ! Maintenant ! Nous allons leur offrir ce qu'ils demandent ! Le ciel est pourpre mes braves ! Nos coeurs, a vif. Mais nous allons montrer a la Horde ce qu'il en coute de s'attaquer a nous ! Nous allons leur montrer que l'on ne défait pas l'Alliance ainsi ! Haut les coeurs soldats !
Solona observait le capitaine Darnat Sombrecoeur encourager des troupes fatiguées, usées par la trahison de plusieurs corps de bataille ainsi que par le harcelement des maraudeurs de la Horde. Tout allait se jouer ici. Edworn restait près de Solona, craignant logiquement pour sa vie, elle qui avait déja été lourdement prise a partie par la Horde , mais elle ne devait pas montrer pareil signe de faiblesse, son esprit se devait d'être focalisé sur l'ultime combat, celui qui définirai le vainqueur. Ce dernier round qui nommera qui entre ces deux boxeurs méritait de l'emporter. Les deux poids lourds se regardaient dans les yeux.
- Reste a mes cotés, tout ira bien.
Cette phrase de la jeune femme a certainement dû faire sourire ce grand homme, elle qui faisait preuve d'autant de confiance en elle, elle qui voulait inspirer l'exemple parmis les soldats a proximité. Malgré son visage taché par le sang et les hématomes, malgré son bras de guerre qui était partiellement blessé, tant qu'elle pouvait faire manoeuvré sa masse, rien ne l'arrêterait, Edworn le savait, têtue comme elle était, elle n'aurait jamais accepté de faire partis de la seconde ligne d'assaut. Finalement, la première ligne charge sous le commandement des officiers, Solona et Edworn chargèreent avec la fureur et la fougue du taureau qu'ils combattaient peu avant. Surprendre le taureau, fatigué lui aussi de courir et de chasser une cape qui le nargue depuis le début de soirée, et le frapper dans les flancs. Son fleuret était prêt a piquer. La bataille venait de commencer, la première ligne de la Horde était surprise, le taureau était déja au sol.
- Pour la Lumière ! Pour le roi !
L'entrechoquement de métal, le couinement des armures, la clameur de la bataille. Au milieu de tout cela, la jeune femme luttait aux cotés des Sombrecoeurs, épéistes de renoms. Il aurait pu être drole de voir qu'elle seule sur cette première ligne magniait une arme contendante, seulement la guerre est autours d'elle, la mort, proche de serrer les braves dans une ultime étreinte. L'humour n'a rien a faire ici. Edworn bloquait et repoussait là ou Solona frappait et persécutait, harranguait et galvanisait.
- Je suis le bras armé de la Justice ! Je porte la volonté du roi !
Les lignes de la Horde se confondaient, Darnat vennait de briser le meneur. La bataille n'etait pas finie. Un troll vicieux se jette sur Edworn, déjà occupé par un orc et son gigantesque hachoire. Solona se jette sur le canibale, lui infligeant un coup de pommeau brisant d'un coup sec le nez de l'infâme, c'est le coup armé de la masse qui acheva les souffrance du mangeur-d'homme suivis de près par une Sin'dorei, lui infligeant un coup de pommeau dans le ventre, la faisant plier en deux, à genoux devant son bourreau.
- Nul ne contreviendra à ma sentence ! Mourrez sous les coups des Justes !
La masse s'abattit froidement sur la tête de l'elfe, lui épargnant plus avant les horreurs de la guerre. Le paladin lèva haut dans le ciel sa masse et s'exclama.
- Je serai l'avatar de votre perte, Horde !
Edworn, d'un coup d'épaule bien dosé, évita à un chasseur de tête troll de mettre un terme a la vie du bel avatar. Il lui sourit et l'aida a se rétablir. La Horde commençait a battre en retraite ! Ca ne se passerait pas ainsi ! Alors que les Sombrecoeurs, les Courtentailles et quelques autres alliés formant la première ligne se mettaient a courir derrière leurs ennemis, Solona se retourna vers la deuxième et dernière ligne, disposant des blessés de cette triste soirée ou encore des magiciens faisant gronder les éléments contre la Horde et protégeant l'Alliance des malédictions vaudoo.
- Au nom du roi levez-vous ! Sus a la Horde mes Frères ! Harcelez les !
La deuxieme ligne ne se fit pas d'avantage prier et se jeta a la suite de Solona et Edworn a la poursuite des laches ! Seulement sur le chemin, Solona remarqua un nain agonisant, femme de foi avant d'être femme de guerre, elle se rua a la rescousse de ce pauvre nain, Courtentaille vu les armoiries qu'il portait. Il avait prit un coup de dague dans le dos... Ces lâches n'étaient donc capable que d'attaques vicieuses pour venir a bout de l'Alliance ?! Le paladin lacha sa massue, a bout de souffle et de force. Elle rassembla les quelques forces qu'il lui reste pour soigner ce soldat qui n'a pas abandonné, pas comme ces lâches de Théramore ou encore les hommes du Major.
- Lumière, entends mon appel ! Un des braves combattant en ton honneur est tombé ! Lumière ! Offre lui une seconde chance de combattre en ton nom !
Le nain gromella en se relevant, ignorant qu'il venait d'épuiser les maigres forces qu'il restait à la jeune femme face a lui. Il l'a remercia et retourna a l'arrière base pour recevoir des soins. Un elfe bouscula Solona, lui faisant prendre conscience qu'Edworn n'était plus avec elle. La jeune femme regarda autour , il n'était plus la. Elle ramassa sa masse et se lanca la recherche du sergent, sa respiration folle, laissant aux sombrecoeurs la joie de brisé d'avantage le taureau déja blessé.
Galvanisée par la victoire de l'Alliance, la jeune femme courrut a travers les ruelles en ruines et son souffle se coupe, Edworn était au sol, allongé dans son propre sang. Un tauren se tenait au dessus de son homme, victorieux. Ca ne se passerait pas comme ca, cet élan de colère qui s'emparait d'elle la revigorait telle une fine pluie appaiserait la fatigue des soldats après une journée de marche forcée. Elle serra fermement la masse bénie et souillée par le sang de la Horde entre ses mains et chargea en poussant un râle qui appelait à la vengeance d'Edworn. Le tauren se redressa rapidement et prit lui aussi sa masse avec laquelle il frappa avec une telle force le paladin dans les cotes. Comme un golfeur aurait tapé dans une balle, Solona heurta le mur adjacent en grognant, elle avait déja rencontré ce tauren plus tôt, c'était lui qui lui avait infligé un coup puissant, heureusement pour la guerrière sainte, le casque qu'elle portait lui avait été salvateur. La douleur intense dans ses cotes la fit prendre conscience de cet égarement qu'elle ne pouvait se permettre d'avoir. Tachée par son sang et celui de ses ennemis, l'armure avait plutot bien supporté le combat, si les quelques lacérations des lames, les trous mettant a découvert quelques blessures légères provenant de flèches n'étaient pas a notés, l'armure était comme neuve ! Malheureusement, chacune de ces marques sur l'armures n'étaient rien face aux blessures du jeune paladin qui se relevait en grognant. Le tauren n'avait pas du avoir la vie rose non plus, cruellement blessé par Pelindar Sombrecoeur lorsque le tauren avait réussis a ôter par la force le casque de Solona. Aucun des deux adversaires ne comptaient mourir en cette nuit. Le taureau face au matador, un ultime combat.
- Tu plieras sous mon autorité !
Elle chargea malgré les douleurs dont son corps se plaignait, malgré la fatigue de la guerre. Elle porterait la guerre, elle survivrait, elle l'avait promis et ce n'était pas un tauren qui la ferait mentir ! Le taureau tenta maladroitement un coup de corne, représenté par la lourde massue du tauren, mais la ruelle ne lui offrait pas l'avantage et le paladin pu aisément esquivé, glissant sur ses genoux blessés. Elle arma son coup et frappa dans un genou du colosse. La bête hurla, mais ce n'était rien par rapport au deuxieme cri, survenu lorsque l'autre genou explosa sous le fracas de la masse contre l'os, ce dernier cri était une mélodie aux oreilles de Solona, qui se relevait difficilement pour faire face au tauren. A bout de souffle, les deux combattants se regardaient, l'arêne scandait au matador d'abattre le taureau. Elle empoigna une dernière fois sa masse.
- On fait moins la folle maintenant qu'on fait ma taille !
Puis, sans avoir la politesse d'attendre une réponse du vaincu, elle écrasa la tête du tauren sous sa masse. La dernière victoire... Solona lacha sa masse en se tordant de douleur, elle tituba avec l'équilibre propre a une jouvencelle qui avait abusée de trop d'alcool, ici l'alcool était le combat, le flou qui masquait sa vision n'était pas du l'alcool mais a la mort qui l'enserrait. Elle tomba a genou devant Edworn, inerte. Elle le secoua autant qu'elle le pouvait.
- Edworn ! Tu n'as pas le droit ! Tu m'as promis !
Sa respiration était faible mais il vivait ! Elle regarda le ciel, désemparée, se tenant le corps de peur qu'il ne parte en morceau, implorant a la Lumière de lui donné assez de force pour soigner son bien-aimé. Elle ne pouvait pas échouer, Solona l'aiderait si il faut a respecter sa parole, quoi qu'il en coute : il avait promis ! Elle porta au cadavre en devenir un regard intense et apposa ses mains sur le torse de son homme, transferant ainsi ses dernières forces en Edworn, lui offrant peut être cette unique chance de survie, peut être celle qu'elle n'aurait plus après cela. Elle s'écroula sur l'homme, ne trouvant plus les forces pour porter cette armure si lourde, pour supporter ces blessures si nombreuses... Pour offrir un refus a ce sommeil qui l'appelait depuis un moment maintenant. Son conscience se perd au loin, dans les cris de victoire de l'Alliance.
Solona Naggalenta
Re: Récits de la Bataille pour Stromgarde
J'utais unkure à l'hutul dus vuntes kan j'u untundu l'uppel pur la butaille ! Il fullait uller à Uruthi mus "Huar ! u ûtre mu fumulle cul ruse burdel avuar busuin d'elle pur me suagner en cas de pupin". Umpussuble de la truver ulle à unkure du se purdre dans Urgrummar. Tunt pis, mwa y uller tu seul har har.
Une fua urrivé au Trupas d'Urgrum y uvuar dujà du munde, les Urcs Nuarsang qui unt peur dus dumuns (Uls suvent pas ke mua ussi mus ju prufère pas leur dure) et dus Rupruvus qui su muqunt des Urcs. "KWA ? Si uls cuntunuer à nus KRUTUKER mwa leur brulur lu chur muasie du leur cul !". Mus uls unt urrété u temps har har.
Uprès un a fut un kunvua pur uller au putut cump humun, ûtre tut putut putut cump mus humuns ûtre HURGNEUX pus se lusser fure. Duvuar s'y prundre à TRWA FUAS pur les chusser du cump et tout cusser uvec l'ude dus culs ruses. (Pus y uvuar grand chuse à cusser ûtre que dus tuntes).
Uprès ûtre lu GRUNDE BUTAILLE HAR HAR juste duvent lus purtes du Krumgurde. Uvuar plun de humuns mus ussi dus putut nains. Utres murrant uvec leurs fusuls. SULOPURIE du fusils fure mal u cul u pas y uvuar mu fumulle cul ruse pur me suagner. Mwa buater unkure plus uprès. Butaille ûtre dure mus nus untrer dudans leur cump (Ruan avuar à cusser, tut être dujà cassé dudans). Mus humuns unkure plus HURGNEUX ut mua ruçuvuar un cup sur lu tête kun pusser sous le punt. Etre surmunt suloperue du putut nun. Kun me ruvuiller ûtre la nuit et tut lu munde purtit.
*Crache au sol, et retourne s'assoir laissant un autre guerrier faire son récit*
Une fua urrivé au Trupas d'Urgrum y uvuar dujà du munde, les Urcs Nuarsang qui unt peur dus dumuns (Uls suvent pas ke mua ussi mus ju prufère pas leur dure) et dus Rupruvus qui su muqunt des Urcs. "KWA ? Si uls cuntunuer à nus KRUTUKER mwa leur brulur lu chur muasie du leur cul !". Mus uls unt urrété u temps har har.
Uprès un a fut un kunvua pur uller au putut cump humun, ûtre tut putut putut cump mus humuns ûtre HURGNEUX pus se lusser fure. Duvuar s'y prundre à TRWA FUAS pur les chusser du cump et tout cusser uvec l'ude dus culs ruses. (Pus y uvuar grand chuse à cusser ûtre que dus tuntes).
Uprès ûtre lu GRUNDE BUTAILLE HAR HAR juste duvent lus purtes du Krumgurde. Uvuar plun de humuns mus ussi dus putut nains. Utres murrant uvec leurs fusuls. SULOPURIE du fusils fure mal u cul u pas y uvuar mu fumulle cul ruse pur me suagner. Mwa buater unkure plus uprès. Butaille ûtre dure mus nus untrer dudans leur cump (Ruan avuar à cusser, tut être dujà cassé dudans). Mus humuns unkure plus HURGNEUX ut mua ruçuvuar un cup sur lu tête kun pusser sous le punt. Etre surmunt suloperue du putut nun. Kun me ruvuiller ûtre la nuit et tut lu munde purtit.
*Crache au sol, et retourne s'assoir laissant un autre guerrier faire son récit*
Tebryn
Re: Récits de la Bataille pour Stromgarde
Récits glorieux d'un Courtetaille, par Ingär Imlerne.
La Bataille pour Stromgarde
Le mur de Thoradin, véritable monument à la gloire de l'antique empire d'Arathor. Il y a plusieurs centaines d'années, peut-être même un millénaire, cette nation était la plus puissante, la plus grande, la plus évoluée... et désormais, nous sommes là, à défendre les ruines des ruines de cet empire.
Nous n'étions que trois, à monter la garde dans la grande faille. Je commandais deux fusiliers abrutis qui n'en faisaient qu'a leur tête ! Heureusement, notre groupe n'était là qu'en éclaireur. Oui, parce que Aronh m'a lâchement abandonné à cette tâche ingrate, alors que LUI, il était sur le front, en première ligne ! Au niveau de la grande porte, où la plupart de la Brigade était stationnée, ça allait chauffer, et les Courtetailles en prendraient pour leur grade.
L'attente était... interminable. Puis, Verinus, un des deux fusiliers que je commandais, aperçut une silhouette.
-Là bas ! Un elfe de sang !
-...
-Mais oui, r'gardez, Cap'tain ! Derrière la colline ! Y'en a un !
Alors, au loin, nous ne voyions pas un elfe de sang, mais un armée entière. Ils faisaient un bruit comme on en entend qu'a la guerre ; un énorme cliquetis de métal et de roulement. Ce roulement, c'était...
-DES BALISTES ! cria Verinus.
Je redressai la tête et tentais de repérer ces balistes. Puis j'en vis une. Ah, non, deux. Trois. Quatre et cinq au total. La panique me prenait, si ces longues-oreilles se servaient de ces balistes, nous ne pourrions pas gagner cette bataille !
-Jakup, Verinus ! Suivez moi, tous au canon !
Nous courûmes comme si le diable était à nos trousses et escaladâmes les murs jusqu'a atteindre le canon que j'avais apporté. Oh, Dun Garok en était fier, de cette pièce d'artillerie. Un cinquante-quatres livres ! Un seul boulet expédiait une vingtaine d'adversaires en l'air.
Mais lorsque nous arrivions au canon, il était en morceaux. Six traits de balistes venaient de le détruire.
-Noooon ! Retraite, les mecs ! Allons voir comment les autres s'en sortent !
Au moment où nous étions à la porte, nous vîmes notre troupe en débandade, le Cap'tain Barbebière soufflant dans son cor la retraite, les soldats de l'Enclave hurlant de se retirer et surtout, une dizaine de morts de notre côté.
Encore pire, les elfes de sang ne semblaient pas vouloir nous laisser partir, ils nous poursuivaient, tout semblait perdu, nous allions tous mourir.
Puis, un cri. Je n'ai pas compris qui parlait ni ce qu'il disait. Tiens, un deuxième. Mais là, j'ai tout de suite compris.
-Pour l'Alliance ! CHAAAAAAAAARGEZ ! ,hurlait un homme dans la cinquantaine, à une trentaine de cavaliers, tout de blanc vêtus.
Théramore était venue à notre secours. La charge réussit à briser les rangs ennemis, et nous pûmes évacuer les blessés et courir jusqu'a Stromgarde ! Je ne remercierai jamais assez le maréchal des Théramoriens !
La retraite se fit et nous nous sommes barricadés à Stromgarde, attendant la charge adverse. Sauf qu'elle ne vint pas. Ils attendaient, ils voulaient nous empêcher de sortir et de rallier les Sombrecoeurs à nous ! Il fallait agir, mais personne ne se décidait. De longues minutes passèrent, presque sans un bruit. La ligne de défense était formée, les archers et fusiliers se tenaient prêts.
Alors qu'aucun ne parlait ni ne bougeait, Aronh s'avança. Il marchait, et il marcha jusqu'a être à seulement une dizaine de mètres de l'ennemi.
A ce moment là, il fit une chose que aucun humain ou elfe n'aurait assez de burnes pour faire !
Il se mit à hurler, mais pas sur l'ennemi, sur nous...
-N'y a-t-il aucun Courtetaille assez courageux pour me suivre ? cria-t-il à toute voix.
Le silence se faisait encore plus profond.
Un nain très grand et en armure lourde s'avança à son tour :
-Si ! UN !
-NON ! DEUX ! dis-je en m'avançant vers Aronh et Gurrdil.
Tour à tour, tous les Courtetailles survivants allèrent rejoindre les deux, moi avec. Nous étions une dizaine tout au plus.
-POUR KHAZ MODAN ! THERAMORE, AVEC NOUS ! CHAAAAARGEZ !
Toute l'armée chargea, les nains en première ligne, suivis des Théramoriens, des défenseurs de Stromgarde et de bien d'autres.
Mais à ce moment là... SBAAAF ! Une masse d'orc dans la tête ! La douleur m'envahissait.. Ah, je saignais de partout, j'étais sonné... Le monde environnant disparaîssait lentement, et je m'écrasai à terre.
Le lendemain, je me réveillai dans mon lit de la caserne. Je regardai partout autour de moi, jusqu'a trouver Gurrdil, endormi.
Puis, comme tous les matins, j'ai hurlé.
-HEY ! REVEILLE TOI ESPECE DE FLEMMARD DE MES DEUX ! Chou marin ! Poil de carotte ! ROUX ! Tronche de cake ! Lapin unijambiste ! Sanglier transgenique à deux têtes ! GURRDIIIIIIL !
[HRP] (Désolé de ne pas avoir raconté toute la bataille, j'ai déco après la charge héroïque des courtetailles ) [/HRP]
La Bataille pour Stromgarde
Le mur de Thoradin, véritable monument à la gloire de l'antique empire d'Arathor. Il y a plusieurs centaines d'années, peut-être même un millénaire, cette nation était la plus puissante, la plus grande, la plus évoluée... et désormais, nous sommes là, à défendre les ruines des ruines de cet empire.
Nous n'étions que trois, à monter la garde dans la grande faille. Je commandais deux fusiliers abrutis qui n'en faisaient qu'a leur tête ! Heureusement, notre groupe n'était là qu'en éclaireur. Oui, parce que Aronh m'a lâchement abandonné à cette tâche ingrate, alors que LUI, il était sur le front, en première ligne ! Au niveau de la grande porte, où la plupart de la Brigade était stationnée, ça allait chauffer, et les Courtetailles en prendraient pour leur grade.
L'attente était... interminable. Puis, Verinus, un des deux fusiliers que je commandais, aperçut une silhouette.
-Là bas ! Un elfe de sang !
-...
-Mais oui, r'gardez, Cap'tain ! Derrière la colline ! Y'en a un !
Alors, au loin, nous ne voyions pas un elfe de sang, mais un armée entière. Ils faisaient un bruit comme on en entend qu'a la guerre ; un énorme cliquetis de métal et de roulement. Ce roulement, c'était...
-DES BALISTES ! cria Verinus.
Je redressai la tête et tentais de repérer ces balistes. Puis j'en vis une. Ah, non, deux. Trois. Quatre et cinq au total. La panique me prenait, si ces longues-oreilles se servaient de ces balistes, nous ne pourrions pas gagner cette bataille !
-Jakup, Verinus ! Suivez moi, tous au canon !
Nous courûmes comme si le diable était à nos trousses et escaladâmes les murs jusqu'a atteindre le canon que j'avais apporté. Oh, Dun Garok en était fier, de cette pièce d'artillerie. Un cinquante-quatres livres ! Un seul boulet expédiait une vingtaine d'adversaires en l'air.
Mais lorsque nous arrivions au canon, il était en morceaux. Six traits de balistes venaient de le détruire.
-Noooon ! Retraite, les mecs ! Allons voir comment les autres s'en sortent !
Au moment où nous étions à la porte, nous vîmes notre troupe en débandade, le Cap'tain Barbebière soufflant dans son cor la retraite, les soldats de l'Enclave hurlant de se retirer et surtout, une dizaine de morts de notre côté.
Encore pire, les elfes de sang ne semblaient pas vouloir nous laisser partir, ils nous poursuivaient, tout semblait perdu, nous allions tous mourir.
Puis, un cri. Je n'ai pas compris qui parlait ni ce qu'il disait. Tiens, un deuxième. Mais là, j'ai tout de suite compris.
-Pour l'Alliance ! CHAAAAAAAAARGEZ ! ,hurlait un homme dans la cinquantaine, à une trentaine de cavaliers, tout de blanc vêtus.
Théramore était venue à notre secours. La charge réussit à briser les rangs ennemis, et nous pûmes évacuer les blessés et courir jusqu'a Stromgarde ! Je ne remercierai jamais assez le maréchal des Théramoriens !
La retraite se fit et nous nous sommes barricadés à Stromgarde, attendant la charge adverse. Sauf qu'elle ne vint pas. Ils attendaient, ils voulaient nous empêcher de sortir et de rallier les Sombrecoeurs à nous ! Il fallait agir, mais personne ne se décidait. De longues minutes passèrent, presque sans un bruit. La ligne de défense était formée, les archers et fusiliers se tenaient prêts.
Alors qu'aucun ne parlait ni ne bougeait, Aronh s'avança. Il marchait, et il marcha jusqu'a être à seulement une dizaine de mètres de l'ennemi.
A ce moment là, il fit une chose que aucun humain ou elfe n'aurait assez de burnes pour faire !
Il se mit à hurler, mais pas sur l'ennemi, sur nous...
-N'y a-t-il aucun Courtetaille assez courageux pour me suivre ? cria-t-il à toute voix.
Le silence se faisait encore plus profond.
Un nain très grand et en armure lourde s'avança à son tour :
-Si ! UN !
-NON ! DEUX ! dis-je en m'avançant vers Aronh et Gurrdil.
Tour à tour, tous les Courtetailles survivants allèrent rejoindre les deux, moi avec. Nous étions une dizaine tout au plus.
-POUR KHAZ MODAN ! THERAMORE, AVEC NOUS ! CHAAAAARGEZ !
Toute l'armée chargea, les nains en première ligne, suivis des Théramoriens, des défenseurs de Stromgarde et de bien d'autres.
Mais à ce moment là... SBAAAF ! Une masse d'orc dans la tête ! La douleur m'envahissait.. Ah, je saignais de partout, j'étais sonné... Le monde environnant disparaîssait lentement, et je m'écrasai à terre.
Le lendemain, je me réveillai dans mon lit de la caserne. Je regardai partout autour de moi, jusqu'a trouver Gurrdil, endormi.
Puis, comme tous les matins, j'ai hurlé.
-HEY ! REVEILLE TOI ESPECE DE FLEMMARD DE MES DEUX ! Chou marin ! Poil de carotte ! ROUX ! Tronche de cake ! Lapin unijambiste ! Sanglier transgenique à deux têtes ! GURRDIIIIIIL !
[HRP] (Désolé de ne pas avoir raconté toute la bataille, j'ai déco après la charge héroïque des courtetailles ) [/HRP]
Cap'tain Ingär Imlerne
Re: Récits de la Bataille pour Stromgarde
Une page toute récente du journal du Chef Tannetir.
30 / 08 / 30
Dun Garok, mon bureau.
Ce fut une de mes seules vraies batailles. Oui, par ma barbe, je n'ai pas eu un passé glorieux comme tous les nains de mon clan ! Ils avaient, pour les vétérans, tous vécu la Guerre des Trois Marteaux, La Bataille de ma fière race. Je n'ai pas connu ce cher Roi Courbenclume non plus... Enfin, ceci est un péché qui se doit rester secret. Jamais Forgefer accepterait un chef sorti des fermes de notre belle région enneigée de Dun Morogh !
Bref, j'ai vécu cet évènement avec beaucoup de crainte. La crainte d'y rester, d'abandonner mes amis que j'ai tant recherché depuis maintenant un bon mois, ou pire, d'être entre les mains de ces chiens de blondinets ! Enfin, ils étaient trop barbares pour me laisser en vie.
Fusil en main et ma nouvelle armure sortie, je m'échauffais avec les autres fusillers, menés par Imlerne. Ce nain là, je ne l'oublierai pas de si tôt, voir jamais. Il a beaucoup donné pour la Brigade, et, bien qu'il soit blond, c'est un très bon ami et un excellent bras-droit, même s'il pète souvent plus haut que son cul !
Ouh, je m'égare encore. Je m'échauffais donc avec les autres, mais moins. J'étais sur l'Outreterre, pensant déjà à la rencontre des deux armées, à Kanhya, mon ourse, qui avait peu de chance de s'en sortir, et puis j'essayais de réfléchir à un éventuel acte héroïque en plus pour prouver la vaillance et la force de mon peuple.
Je répartis ma petite escouade de façon stratégique,les faibles en haut, les for. Moi, Barbebière, de Brassetout et Brisenclume nous sommes postés en bas, à l'ancienne porte de la Muraille. Imlerne et je ne sais plus qui d'autres sont allés se poster à une brèche apparemment restée secrète pour la Horde. Et pour ces humains aussi d'ailleurs ! Heureusement que nous étions là pour l'occuper, au cas où !
L'attente fut longue.
Très longue.
Trop longue.
Mes bras s'engourdissaient de plus en plus, ma barbe se hérissait de plus en plus à m'empêcher de voir ! Et sans parler de ces tambours de guerre, résonnant dans ma tête à m'en faire vibrer les yeux.
Puis je les voyais, à travers ma lentille de fusil. Ils étaient ameutés tels de loups, inorganisés et féroces. Je manquai de lâcher mon fusil, mais je me rattrapai à temps. J'ordonnai à Kanhya de charger, ce qu'elle fit seule, livrée à ces loups tel un agneau. Je ne sais pas ce qu'elle est devenue par la suite. Ce n'était plus ce qui comptait, maintenant, mais c'était plutôt ma survie et celle de mes alliés. Nous étions sans hésiter en infériorité numérique, mais du courage, il n'y en avait pas moins. Les plus robustes chargèrent, les plus futés attaquèrent dans le dos assez difficilement et les plus précis appuyèrent sur la détente ou lancèrent des sortilèges menaçants ou apaisants.
Nous fûmes vite repoussés du côté d'Arathi. Même si les 3 du haut redescendirent rapidement, dynamites à la main et fusils braqués, ils ne prirent pas longtemps pour se faufiler à travers l'effectif ennemi et nous rejoindre pour un grand moment de peur. Les plus courageux reculèrent toujours face à l'ennemi, mais les plus vulnérables prirent leurs jambes à leur cou. Moi, j'étais entre les deux. Je courais, me retournais, tirais, et ainsi de suite. D'accord, j'ai tiré sur la jambe d'un homme, mais il me semble l'avoir revu entier par la suite.
Notre armée restante fit bien cent mètres en arrière. Sachant que je n'allais pas retourner la situation de la bataille seul, je remontai mon pantalon et mes chaussettes et piquai une accélération impressionnante pour un nain jusqu'à la citadelle, où devaient se trouver les marins de la bonne dame Portvaillant. Je les ai bien trouvé, en bon nombre. Après les avoir avertis, je cherchai une monture : Coup de chance ! Je fis un blanc me rapporter un bouc. Formidable ! Moi et les chevaux, ça fait 3.
Moi et lesTheramorois Theramoriens chargeâmes vaillamment, apportant un soutien considérable à mes amis du début. Leur nombre avait grandement diminué, mais les nains de ma Brigade étaient tous là, apparemment. Je fus à peine arrivé au corps-à-corps avec mes haches que la tête de mon bélier fut transpercée d'une flèche. Du sang giclant sur mon visage et sur mon tabard qui était encore assez propre, je m'écrasai au sol, mordant la poussière. Je me relevai, coupant les jambes d'un noreï qui allait m'infliger le même sort que mon destrier provisoire.
Nos forces ne suffirent pas pour remettre l'ennemi à sa place, et nous pliâmes retraite à la citadelle. Je ne sais plus trop qui était là ou pas, mais j'étais assez soulagé. Nombreux étaient mes nains en mauvais état, mais ils rentrèrent tous dans l'enceinte barricadée.
Nous étions tous rentrés dans Stromgarde. La Horde était entièrement réunie devant les portes : Sindoreï, orcs, taurens, trolls et réprouvés. Je ne les voyais pas, caché derrière tous ces hommes, mais je les entendait. Surtout les cris des orcs et des taurens, les plus virils. Je m'avançai de manière à être au coeur de la bataille. Tout le monde était silencieux derrière cette barricade, à part quelques crédules récitant leurs prières et quelques braves chevaliers annonçant leur dernière prose.
Lassé de cette attente, je sortis, m'exposant librement à la Horde. Aucun n'était assez froussard pour me planter une flèche dans le corps. J'étais mille fois plus effrayé qu'il y a 20 secondes, mais il fallait le faire. J'appelai mes nains, qui vinrent au fur et à mesure, mis à part les invalides. Tous suivirent, ou presque, et je sentais l'espoir derrière moi, prêt à me suivre dans toute circonstance. J'eus à peine le temps d'ouvrir ma bouche qu'un homme cria à la charge. J'encourageai mes nains et les vaillants membres de l'Alliance, avançant de quelques mètres, de façon à être à portée de ces monstres. J'enchainai les tirs, tirant presque en mitraille, mais je voyais bien que ça ne suffisait toujours pas.
Encore une fois, nous fîmes marche-arrière, et tout le monde rentra dans la cité. J'étais en première ligne, à l'extrémité gauche, opposé à mon frère Barbebière. D'un coup, je me pliai en deux, comme lorsque qu'un bouc vous botte l'entrejambe. Puis je me tins la tête, essayant d'y extraire un terrible maux. Mes jambes n'ayant plus l'aide de mes bras pour tenir, je m'écrasai au sol. J'étais paralysé. Ce n'était en aucun cas une flèche, en tout cas je ne l'ai pas sentie. Non, je pense plutôt que ça venait de moi même. Peut-être ne suis-je pas à la hauteur un de ces grands nains qui ont marqué l'histoire... Dommage !
Je ne voyais plus rien pendant une éternité on aurait dit. Puis je rouvris les yeux, en plein milieu de la bataille. Les armes s'entrechoquaient, les hommes tombaient. Je rampais comme je pouvais pour avancer efficacement mais discrètement jusqu'au pont d'en dessus. Tous furent postés au milieu du pont, sauf moi. Les commandants ordonnaient à leurs soldats de plier retraite dans la crypte.
Le reste... Je ne m'en rappelle plus !
30 / 08 / 30
Dun Garok, mon bureau.
Ce fut une de mes seules vraies batailles. Oui, par ma barbe, je n'ai pas eu un passé glorieux comme tous les nains de mon clan ! Ils avaient, pour les vétérans, tous vécu la Guerre des Trois Marteaux, La Bataille de ma fière race. Je n'ai pas connu ce cher Roi Courbenclume non plus... Enfin, ceci est un péché qui se doit rester secret. Jamais Forgefer accepterait un chef sorti des fermes de notre belle région enneigée de Dun Morogh !
Bref, j'ai vécu cet évènement avec beaucoup de crainte. La crainte d'y rester, d'abandonner mes amis que j'ai tant recherché depuis maintenant un bon mois, ou pire, d'être entre les mains de ces chiens de blondinets ! Enfin, ils étaient trop barbares pour me laisser en vie.
Fusil en main et ma nouvelle armure sortie, je m'échauffais avec les autres fusillers, menés par Imlerne. Ce nain là, je ne l'oublierai pas de si tôt, voir jamais. Il a beaucoup donné pour la Brigade, et, bien qu'il soit blond, c'est un très bon ami et un excellent bras-droit, même s'il pète souvent plus haut que son cul !
Ouh, je m'égare encore. Je m'échauffais donc avec les autres, mais moins. J'étais sur l'Outreterre, pensant déjà à la rencontre des deux armées, à Kanhya, mon ourse, qui avait peu de chance de s'en sortir, et puis j'essayais de réfléchir à un éventuel acte héroïque en plus pour prouver la vaillance et la force de mon peuple.
Je répartis ma petite escouade de façon stratégique,
L'attente fut longue.
Très longue.
Trop longue.
Mes bras s'engourdissaient de plus en plus, ma barbe se hérissait de plus en plus à m'empêcher de voir ! Et sans parler de ces tambours de guerre, résonnant dans ma tête à m'en faire vibrer les yeux.
Puis je les voyais, à travers ma lentille de fusil. Ils étaient ameutés tels de loups, inorganisés et féroces. Je manquai de lâcher mon fusil, mais je me rattrapai à temps. J'ordonnai à Kanhya de charger, ce qu'elle fit seule, livrée à ces loups tel un agneau. Je ne sais pas ce qu'elle est devenue par la suite. Ce n'était plus ce qui comptait, maintenant, mais c'était plutôt ma survie et celle de mes alliés. Nous étions sans hésiter en infériorité numérique, mais du courage, il n'y en avait pas moins. Les plus robustes chargèrent, les plus futés attaquèrent dans le dos assez difficilement et les plus précis appuyèrent sur la détente ou lancèrent des sortilèges menaçants ou apaisants.
Nous fûmes vite repoussés du côté d'Arathi. Même si les 3 du haut redescendirent rapidement, dynamites à la main et fusils braqués, ils ne prirent pas longtemps pour se faufiler à travers l'effectif ennemi et nous rejoindre pour un grand moment de peur. Les plus courageux reculèrent toujours face à l'ennemi, mais les plus vulnérables prirent leurs jambes à leur cou. Moi, j'étais entre les deux. Je courais, me retournais, tirais, et ainsi de suite. D'accord, j'ai tiré sur la jambe d'un homme, mais il me semble l'avoir revu entier par la suite.
Notre armée restante fit bien cent mètres en arrière. Sachant que je n'allais pas retourner la situation de la bataille seul, je remontai mon pantalon et mes chaussettes et piquai une accélération impressionnante pour un nain jusqu'à la citadelle, où devaient se trouver les marins de la bonne dame Portvaillant. Je les ai bien trouvé, en bon nombre. Après les avoir avertis, je cherchai une monture : Coup de chance ! Je fis un blanc me rapporter un bouc. Formidable ! Moi et les chevaux, ça fait 3.
Moi et les
Nos forces ne suffirent pas pour remettre l'ennemi à sa place, et nous pliâmes retraite à la citadelle. Je ne sais plus trop qui était là ou pas, mais j'étais assez soulagé. Nombreux étaient mes nains en mauvais état, mais ils rentrèrent tous dans l'enceinte barricadée.
Nous étions tous rentrés dans Stromgarde. La Horde était entièrement réunie devant les portes : Sindoreï, orcs, taurens, trolls et réprouvés. Je ne les voyais pas, caché derrière tous ces hommes, mais je les entendait. Surtout les cris des orcs et des taurens, les plus virils. Je m'avançai de manière à être au coeur de la bataille. Tout le monde était silencieux derrière cette barricade, à part quelques crédules récitant leurs prières et quelques braves chevaliers annonçant leur dernière prose.
Lassé de cette attente, je sortis, m'exposant librement à la Horde. Aucun n'était assez froussard pour me planter une flèche dans le corps. J'étais mille fois plus effrayé qu'il y a 20 secondes, mais il fallait le faire. J'appelai mes nains, qui vinrent au fur et à mesure, mis à part les invalides. Tous suivirent, ou presque, et je sentais l'espoir derrière moi, prêt à me suivre dans toute circonstance. J'eus à peine le temps d'ouvrir ma bouche qu'un homme cria à la charge. J'encourageai mes nains et les vaillants membres de l'Alliance, avançant de quelques mètres, de façon à être à portée de ces monstres. J'enchainai les tirs, tirant presque en mitraille, mais je voyais bien que ça ne suffisait toujours pas.
Encore une fois, nous fîmes marche-arrière, et tout le monde rentra dans la cité. J'étais en première ligne, à l'extrémité gauche, opposé à mon frère Barbebière. D'un coup, je me pliai en deux, comme lorsque qu'un bouc vous botte l'entrejambe. Puis je me tins la tête, essayant d'y extraire un terrible maux. Mes jambes n'ayant plus l'aide de mes bras pour tenir, je m'écrasai au sol. J'étais paralysé. Ce n'était en aucun cas une flèche, en tout cas je ne l'ai pas sentie. Non, je pense plutôt que ça venait de moi même. Peut-être ne suis-je pas à la hauteur un de ces grands nains qui ont marqué l'histoire... Dommage !
Je ne voyais plus rien pendant une éternité on aurait dit. Puis je rouvris les yeux, en plein milieu de la bataille. Les armes s'entrechoquaient, les hommes tombaient. Je rampais comme je pouvais pour avancer efficacement mais discrètement jusqu'au pont d'en dessus. Tous furent postés au milieu du pont, sauf moi. Les commandants ordonnaient à leurs soldats de plier retraite dans la crypte.
Le reste... Je ne m'en rappelle plus !
Aronh- Personnages Joués : Rigolarde
Re: Récits de la Bataille pour Stromgarde
*Au camp orc , Dath’anar dans son coin en hauteur regarda en direction de Stromgarde , puis sorti un livre , une fiole d’encre ainsi qu’une plume d’un Faucon-phénix.Il ouvra son livre et commença à écrire.*
Nous sommes le premier jour du neuvième mois de l’an 30.En ce jour sur ce journal j’écris mon récit de la bataille de Stromgarde.
La bataille fut le vingt-septième jour du huitième mois de l’an 30.
Le retour du Chevalier-Seigneur.
Le 27 , je fus enfermé dans une salle , dans un manoir à Stromgarde.C’était ce jour-ci c’était le jour où le Berceau de l’Humanité comprendra que les Sin’dorei ne pardonnent pas.
Depuis le salle où j’étais , j’entendais déjà les hommes qui se préparèrent à la bataille,certains prier,d’autre songeur.Bizarrement je savais que je n’allais pas rester ici très longtemps , la bataille m’appellait.
J'ai eu une visite d’une Elfe de la nuit , elle semblait toute contente d’aller au combat.Elle me libéra de mes chaines au mur , mais elle m’enroula avec une corde et me tenait en laisse puis elle décida de me tirer .Il semblait que je devais être déplacé de ce lieu pour un autre.Et il semble surtout que les humains n’ont pas trop aimé qu’on vienne vers le Sanctuaire.Leur méfiance m’aida grandement , car ces idiots , de Theramore il semblerait ainsi qu’un soi-disant officier de Stromgarde , ont refusé de nous laisser passer.
Ils nous ont même menacé et nous dûmes partir de Stromgarde , je dois dire que je dois remercier la méfiance idiote de ces crétins.Quelques marches plus tard , nous étions à une ferme abandonnée mais je savais que ça n’aller pas s'arrêter ici , oh que non.Car mon fidèle ami , mon frère , Dred’quel mon fidèle destrier tomba à point nommé , il chargea à une vitesse que l’Elfe de la nuit n'eut guère le temps.Elle tomba à terre , inconsciente .Dred’quel me libéra de mes liens et nous partîmes vers le camp orc.Nous arrivâmes au camp , et là je tomba raide de mon destrier , la fatigue et la douleur causé par les nombreuses tortures sans doute.
Mais je me releva et partis prendre une Wyverne pour le Moulin de tarren.
Au Moulin de tarren , j’ai vu le bataillon Sin’dorei en train de se préparer.Je suis directement allé voir le chef des opérations , le Lieutenant Thorias.
Nous avons parlé quelques minutes puis je partis voir un armurier.Pas de chance , pas d’armure , juste une épée mais je la pris quand même , comme on dit ce n’est pas l’armure qui fait le combattant mais la force en soit et je n’en doutais pas.Je pris l’épée et je me mis une robe , élégante d’ailleur ayant les mêmes couleurs des Sin’dorei.Après mettre guérie grâce aux sorts de soin et quelques potions d’apothicaire , j’étais fin prêt.Le Lieutenant Thorias commença à expliquer le plan de bataille pendant quelques minutes puis nous montâmes sur nos montures et partîmes en direction du Mur de Thoradin.
J’étais de retour et prêt à me battre !
La Charge Sin’dorei.
Au Mur de Thoradin , nous avons du nous battre contre une brigade naine et l’Enclave.Un combat facilement remporté.Nous avions fais deux lignes , la première dirigé par le Lieutenant Thorias et la deuxième par la Légat Atia.Nous étions en position et nos ennemis aussi , c’est là que nous criâmes : « Pour Quel’thalas ! » et nous chargeâmes face aux nains.Ils n’ont guère tenu longtemps , beaucoup de nain tomba sous nos coups tandis que les autres se replièrent demandant des renforts.
Alors que nous pourchassions les nains qui s'enfuyaient, un bataillon de soldat arriva à la rescousse , les autres crétins de Theramore.Ils ont commencé à nous attaquer de front , mais ces idiots n’ont pas compris qu’ils n’avaient pas à faire à des taurens noir , ou des murlocs ,mais à des Sin’dorei !Nous les avons repoussé avec force , et nous avons chargé ; les humains et les nains n’ont pas tenu longtemps face à nous.Ils se sont replié vers Stromgarde et nous les suivîmes.
Ils rentrèrent dans Stromgarde , alors que nous nous étions arrêtés à la croisé des chemins.Le groupe du Légat Atia parti prêter mains fortes à nos alliés orcs et réprouvés.
Courroux de la Horde.
Après quelques minutes d’attente , nos alliés arriva enfin , mais un groupe d’humain c’était replié dans Stromgarde entre temps.Mais peux d’importance , car ils allaient gouter au Courroux de la Horde !
Enfin nous chargeâmes vers Stromgarde , jusqu’à la porte.Nous vîmes une barricade et un bataillon d’humain juste au dessus, sur le pont.Ils semblaient bien organiser mais le Courroux de la Horde allait tout de même s’abattre sur eux.Nous commençâmes à envoyer des explosifs , des sorts destructeur pour détruire cette barricade.
Quelques minutes après plusieurs lancés explosifs sur la Barricade , elle tomba enfin et là nous vîmes une ligne humaine , mais nous chargeâmes quand même.L’Alliance ne n'a tenu pas longtemps face à nous,elle dut se replier dans le quartier contrôlé par les Soldats de Stromgarde.Nous avons continué à les faire se replier jusqu’au Sanctuaire.
Mais notre groupe , le bataillon Sin’dorei nous dûmes attaquer les ogres qui commencèrent à être un problème , un problème vite réglé.
La Volonté Sin’dorei peut vaincre même les ennemis les plus grands et forts.
Nous partîmes vers le Quartier Ogre.Les ogres n’ont pas vu arrivé notre attaque,nous leur avons montré que même si ils sont nombreux , grands et forts que notre agilité , notre force , notre ruse , notre magie , notre Volonté ! Peuvent vaincre n’importe quels ennemis même les plus grands et forts.Le quartier semblait être entre nos mains , beaucoup d’ogres furent massacrés c’est alors que nous repartîmes vers nos alliés.
Nous retournâmes vers nos alliés, on étant prudent , car cette ville est un lieu dangereux.
Le regain d’espoir de l’Alliance et le replie de la Horde.
Alors que nous retrouvâmes nos alliés , nous avons vu qu’ils ont été repousser par l’Alliance pourtant les effectifs de l’Alliance était moindre.D’après ce que j’avais compris pendant la bataille est après , il y aurait eu la Brigade de Theramore et l’Officier de Stromgarde ainsi que ces hommes qui ont fuit comme des lâches le champ de Bataille , les soldats de Theramore ça m’étonne pas , c’est un ramassis d’humains de plusieurs royaumes et d’en beaucoup sont que des lâches.Mais l’officier de Stromgarde , alors là il est une honte pour le peuple d’Arathi.Enfin bref ça regarde l’Alliance.
Nous étions repoussés par l’Alliance et des archers de Stromgarde qui nous ont eu par surprise.Nous avons du fuir mais ce fut difficile car des Chevaliers de la Rédemption sont arrivés mais nous avons tout de même réussi à sortir de Stromgarde et nous en aller vers nos camps.
Conclusion :Cette bataille était belle , car même si nous avons perdus , nous avons fais beaucoup de dégâts , beaucoup de leurs hommes sont morts et au moins l’Alliance n’est pas prête d’oublier ce qui s’est passé aujourd’hui , ils ont eu de la chance cette fois ci mais la prochaine fois ils mourront sous les vengeurs des Sin’dorei.
Nous sommes le premier jour du neuvième mois de l’an 30.En ce jour sur ce journal j’écris mon récit de la bataille de Stromgarde.
La bataille fut le vingt-septième jour du huitième mois de l’an 30.
Le retour du Chevalier-Seigneur.
Le 27 , je fus enfermé dans une salle , dans un manoir à Stromgarde.C’était ce jour-ci c’était le jour où le Berceau de l’Humanité comprendra que les Sin’dorei ne pardonnent pas.
Depuis le salle où j’étais , j’entendais déjà les hommes qui se préparèrent à la bataille,certains prier,d’autre songeur.Bizarrement je savais que je n’allais pas rester ici très longtemps , la bataille m’appellait.
J'ai eu une visite d’une Elfe de la nuit , elle semblait toute contente d’aller au combat.Elle me libéra de mes chaines au mur , mais elle m’enroula avec une corde et me tenait en laisse puis elle décida de me tirer .Il semblait que je devais être déplacé de ce lieu pour un autre.Et il semble surtout que les humains n’ont pas trop aimé qu’on vienne vers le Sanctuaire.Leur méfiance m’aida grandement , car ces idiots , de Theramore il semblerait ainsi qu’un soi-disant officier de Stromgarde , ont refusé de nous laisser passer.
Ils nous ont même menacé et nous dûmes partir de Stromgarde , je dois dire que je dois remercier la méfiance idiote de ces crétins.Quelques marches plus tard , nous étions à une ferme abandonnée mais je savais que ça n’aller pas s'arrêter ici , oh que non.Car mon fidèle ami , mon frère , Dred’quel mon fidèle destrier tomba à point nommé , il chargea à une vitesse que l’Elfe de la nuit n'eut guère le temps.Elle tomba à terre , inconsciente .Dred’quel me libéra de mes liens et nous partîmes vers le camp orc.Nous arrivâmes au camp , et là je tomba raide de mon destrier , la fatigue et la douleur causé par les nombreuses tortures sans doute.
Mais je me releva et partis prendre une Wyverne pour le Moulin de tarren.
Au Moulin de tarren , j’ai vu le bataillon Sin’dorei en train de se préparer.Je suis directement allé voir le chef des opérations , le Lieutenant Thorias.
Nous avons parlé quelques minutes puis je partis voir un armurier.Pas de chance , pas d’armure , juste une épée mais je la pris quand même , comme on dit ce n’est pas l’armure qui fait le combattant mais la force en soit et je n’en doutais pas.Je pris l’épée et je me mis une robe , élégante d’ailleur ayant les mêmes couleurs des Sin’dorei.Après mettre guérie grâce aux sorts de soin et quelques potions d’apothicaire , j’étais fin prêt.Le Lieutenant Thorias commença à expliquer le plan de bataille pendant quelques minutes puis nous montâmes sur nos montures et partîmes en direction du Mur de Thoradin.
J’étais de retour et prêt à me battre !
La Charge Sin’dorei.
Au Mur de Thoradin , nous avons du nous battre contre une brigade naine et l’Enclave.Un combat facilement remporté.Nous avions fais deux lignes , la première dirigé par le Lieutenant Thorias et la deuxième par la Légat Atia.Nous étions en position et nos ennemis aussi , c’est là que nous criâmes : « Pour Quel’thalas ! » et nous chargeâmes face aux nains.Ils n’ont guère tenu longtemps , beaucoup de nain tomba sous nos coups tandis que les autres se replièrent demandant des renforts.
Alors que nous pourchassions les nains qui s'enfuyaient, un bataillon de soldat arriva à la rescousse , les autres crétins de Theramore.Ils ont commencé à nous attaquer de front , mais ces idiots n’ont pas compris qu’ils n’avaient pas à faire à des taurens noir , ou des murlocs ,mais à des Sin’dorei !Nous les avons repoussé avec force , et nous avons chargé ; les humains et les nains n’ont pas tenu longtemps face à nous.Ils se sont replié vers Stromgarde et nous les suivîmes.
Ils rentrèrent dans Stromgarde , alors que nous nous étions arrêtés à la croisé des chemins.Le groupe du Légat Atia parti prêter mains fortes à nos alliés orcs et réprouvés.
Courroux de la Horde.
Après quelques minutes d’attente , nos alliés arriva enfin , mais un groupe d’humain c’était replié dans Stromgarde entre temps.Mais peux d’importance , car ils allaient gouter au Courroux de la Horde !
Enfin nous chargeâmes vers Stromgarde , jusqu’à la porte.Nous vîmes une barricade et un bataillon d’humain juste au dessus, sur le pont.Ils semblaient bien organiser mais le Courroux de la Horde allait tout de même s’abattre sur eux.Nous commençâmes à envoyer des explosifs , des sorts destructeur pour détruire cette barricade.
Quelques minutes après plusieurs lancés explosifs sur la Barricade , elle tomba enfin et là nous vîmes une ligne humaine , mais nous chargeâmes quand même.L’Alliance ne n'a tenu pas longtemps face à nous,elle dut se replier dans le quartier contrôlé par les Soldats de Stromgarde.Nous avons continué à les faire se replier jusqu’au Sanctuaire.
Mais notre groupe , le bataillon Sin’dorei nous dûmes attaquer les ogres qui commencèrent à être un problème , un problème vite réglé.
La Volonté Sin’dorei peut vaincre même les ennemis les plus grands et forts.
Nous partîmes vers le Quartier Ogre.Les ogres n’ont pas vu arrivé notre attaque,nous leur avons montré que même si ils sont nombreux , grands et forts que notre agilité , notre force , notre ruse , notre magie , notre Volonté ! Peuvent vaincre n’importe quels ennemis même les plus grands et forts.Le quartier semblait être entre nos mains , beaucoup d’ogres furent massacrés c’est alors que nous repartîmes vers nos alliés.
Nous retournâmes vers nos alliés, on étant prudent , car cette ville est un lieu dangereux.
Le regain d’espoir de l’Alliance et le replie de la Horde.
Alors que nous retrouvâmes nos alliés , nous avons vu qu’ils ont été repousser par l’Alliance pourtant les effectifs de l’Alliance était moindre.D’après ce que j’avais compris pendant la bataille est après , il y aurait eu la Brigade de Theramore et l’Officier de Stromgarde ainsi que ces hommes qui ont fuit comme des lâches le champ de Bataille , les soldats de Theramore ça m’étonne pas , c’est un ramassis d’humains de plusieurs royaumes et d’en beaucoup sont que des lâches.Mais l’officier de Stromgarde , alors là il est une honte pour le peuple d’Arathi.Enfin bref ça regarde l’Alliance.
Nous étions repoussés par l’Alliance et des archers de Stromgarde qui nous ont eu par surprise.Nous avons du fuir mais ce fut difficile car des Chevaliers de la Rédemption sont arrivés mais nous avons tout de même réussi à sortir de Stromgarde et nous en aller vers nos camps.
Conclusion :Cette bataille était belle , car même si nous avons perdus , nous avons fais beaucoup de dégâts , beaucoup de leurs hommes sont morts et au moins l’Alliance n’est pas prête d’oublier ce qui s’est passé aujourd’hui , ils ont eu de la chance cette fois ci mais la prochaine fois ils mourront sous les vengeurs des Sin’dorei.
Major Einar
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