La Lumière
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La Lumière
« Le monde est bien plus large qu’une âme solitaire ; et bien que le monde puisse changer une âme en une journée, il faut beaucoup plus de temps pour changer le monde. »
La Lumière n’est pas une religion. Ses pratiquants ne vont pas à l’église et ne vénèrent aucun dieu. Au contraire, c'est une philosophie qui pousse ses adeptes à rechercher la perfection en eux-même. Il s’agit bien plus d’une hygiène de vie active que d’une pratique religieuse passive. Ceux qui la suive à la lettre acquièrent une ligne de conduite et une perception spirituelle acrue : cela leur permet de diriger les autres. La Lumière enseigne l’existence d’un lien entre les personnes et l’univers, une connection qui se manifeste dans ce que l'on ressent grace à nos sens ou à travers nos émotions. Lorsqu’une personne est émue, que ce soit par la vision d’un évènement touchant ou par amour pour un enfant ou un amant, cette émotion la relie à l’univers. Le fait de ressentir une émotion particulière prouve à cette personne qu’elle existe, puisque quelque chose en elle lui a permit de la reconnaitre et de s'eveiller à la sensualité. Puisqu'elle a le sentiment d'exister, il doit en être de même de l'univers qui lui a procuré ce sentiment. En se basant sur cette constatation, la personne peut agir sur l’univers, provoquer des changements pour faire naitre des sentiments chez les autres. Ainsi, les adeptes de La Lumière cherchent à rendre le monde meilleur en étant fidèles à leurs propres émotions.
L’étape suivante de ce processus de reconnaissance d'une connexion entre la personne et l’univers est le devellopement du "bien" à l'interieur comme à l'exterieur de soi. Percevoir la gloire et la beauté du monde, revelera la beauté interieure et glorifiera les ames de chacun, tour à tour. Si une personne est à la recherche du bonheur, elle doit faire en sorte d’améliorer l’univers pour rendre les autres heureux. Cependant, se laisser aller à la cupidité, au désespoir et au mécontentement ne pourra conduire qu'à l’assombrissement de l’univers. La Lumière est la gloire de l’univers se refletant sur les âmes, qui la renvoie à leur tour.
La plupart des adeptes de La Lumière sont des humains. Il fut un temps où un grand nombre de haut-elfes et de nains partagaient cette philosophie, mais leur nombre s’est reduit recemment. Tandis que les Haut-Elfes voyagaient sur le chemin de plus en plus sombre de leur dependance aux arcanes de la magie,leurs pas les ont coupé de La Lumière. Les Nains d' Ironforge, ont, pour leur part, remplacé La Lumière par l’étude de leurs géniteurs, les Titans. Quant aux elfes de la nuit, leur adhésion à l’Alliance est encore trop récente et ils sont encore trop attachés aux enseignements d’Elune et des autres Ancients pour faire leur la philosophie de la Lumière, et il est impensable que des membres de la Horde l'adopte (à l'exception des Réprouvés qui, bien que mort-vivants, ont pour beaucoup gardé leur pratique de La Lumière héritée du temps où ils étaient humains).
Les Trois vertus:
La philosophie de La Lumière peut se résumer à trois enseignements, appelés les Trois Vertus. Ces vertus – respect, ténacité et compassion - sont chacune définie par un principe fondamental et une leçon.
Respect
La première vertu enseignée est le respect. Bien que La Lumière promouvoie l’éveil de soi et de l’univers en tant que buts, il est aussi demandé aux pratiquants de voir la connexion entre son prochain et l’univers. Détruire le bonheur d’une autre personne et endommager sa connexion avec l’univers ne sert pas le bien-être du monde, et donc le vôtre non plus. Les pratiquants de la Lumière ne sont, cependant, pas naïfs et savent que les jugements, conflits, guerres et souffrances sont inévitables ; mais ils font de leur mieux pour rendre l’univers meilleur en dépit de ces gênes.
Ténacité
La seconde vertu est la ténacité. L’adhésion a cette vertu est, de fait, une part importante de l’entraînement de la Lumière pour exclure les non-croyants, car la réelle dévotion à la philosophie requiert des années pour être acquise. Les jeunes acolytes perdent souvent de vue la signification réelle de la Lumière, et perdent espoir lorsqu’ils réalisent que la compréhension totale de la philosophie requiert une vie entière de sacrifice pour la servir. Le monde est bien plus large qu’une âme solitaire ; et bien que le monde puisse changer une âme en une journée, il faut beaucoup plus de temps pour changer le monde. C’est seulement au travers de la ténacité qu’un serviteur de la Ténacité peut espérer changer le monde. Si certains jeunes étudiants considèrent ceci comme une tâche impossible, d’autres sont galvanisés lorsqu’ils réalisent que, si l’on croit de tout son cœur l’existence d’une connexion entre sa personne et l’univers, l’un ne peut qu’affecter l’autre, peu importe sa taille. Influer sur le monde peut signifier enseigner et instiller l’espoir dans son prochain, ou encore rejoindre d’autres personnes ayant la même vision et travailler avec eux pour créer un changement encore plus grand.
Compassion
Lorsque les deux premières vertus sont maîtrisées, l’étudiant peut commencer l’apprentissage de la dernière : la compassion. Le lien entre sa propre personne et l’univers est fort, mais cela n’est qu’un lien isolé. Si un suivant de la Lumière en aide un autre, améliorant son bonheur, son lien avec l’univers se renforce. La joie que lui procure l’aide à son prochain le renforce, et renforce donc l’univers ; il peut donc agir sur l’univers de façon encore plus forte.
La compassion est certainement la vertu la plus puissante – et la plus dangereuse aussi. Si quelqu’un s’adonne à la compassion avec trop de ferveur, il risque d’aider alors que son aide n’est pas requise – ou même ‘’voulue’’. Ce zèle peut aisément avoir pour effet de bloquer l’évolution ou le bonheur de beaucoup de gens. D’autres peuvent être désagréables dans leur aide et faire plus de mal que de bien par le biais de leurs actions, augmentant la souffrance et le mécontentement dans le monde. C’est la raison même pour laquelle la compassion est enseignée en dernier ; seuls les sages emplis de compassion sont à même de déterminer qui est réellement en besoin et qui peut évoluer par ses propres moyens.
Culte de la Lumière:
Lordaeron était de tout temps le refuge de l’Eglise de la Lumière, influençant à la fois Lordaeron et Quel’Thalas. De l’Eglise naquit l’ordre des Chevaliers de la Main d’Argent ; Ces derniers faillirent cependant à vaincre le Fléau, qui n’eut par la suite aucun mal à triompher de Lordaeron. L’Eglise a maintenant établi ses quartiers principaux à Stormwind, et très peu de ses représentants sont présents en Kalimdor. Cependant, un grand nombre des Paladins resté en Kalimdor et ayant servit la Main d’Argent se font fixé pour but de créer une nouvelle Eglise, mais leurs progrès sont lents. Puisque dans sa conception même La Lumière était bien plus une philosophie qu’un réel culte, l’Eglise de Lordaeron était constituée sous la forme d’une bibliothèque plutôt qu’une chapelle. Les textes qu’elle refermait furent pour beaucoup brûlés, pour la plupart enfouit sous des tonnes de gravas. De plus, du fait des conflits incessants, de la formation de l’Alliance et de la nécessité de reconstruire une forteresse humaine, les prêtres et moines ayant survécu à la destruction de Lordaeron n’ont pas réellement eu le temps nécessaire à la transcription des nombreux ouvrages perdus ou ensevelis. Les jeunes apprentis sont donc contraints d’apprendre les voies de la Lumière par l’expérience, ou en collant les sabots d’aînés plus versés dans ces enseignements, plutôt que d’étudier dans des salles de classe. Certains « sages » autoproclamés ont prit sur eux la tâche de réécrire les pontificats de La Lumière, sans régulation ou supervision. Certains textes sont des regards nouveaux sur de vieux principes, tandis que d’autre, sont des transcriptions rigoureuses d’anciens textes écrits par des vieux prêtre à la mémoire étonnante. Comme l’on peut s’y attendre, les relations sont parfois tendues entre ces érudits, particulièrement lorsqu’ils réalisent que certains textes se contredisent. Telle est la tension au cœur de l’Eglise ; les jeunes prêtres estiment que la Troisième guerre a donné l’opportunité à l’Eglise de se renouveler, tandis que d’autres souhaitent garder les vieilles traditions. Pour le commun des mortels, cependant, ces débats importent peu, même si la préférence se porte sur la conservation des rituels. Ce comportement est compréhensible. Le monde ayant beaucoup changé et évolué au cours des dernières années, les populations se tournent vers la foi – philosophique ou divine.
La Lumière n’est pas une religion. Ses pratiquants ne vont pas à l’église et ne vénèrent aucun dieu. Au contraire, c'est une philosophie qui pousse ses adeptes à rechercher la perfection en eux-même. Il s’agit bien plus d’une hygiène de vie active que d’une pratique religieuse passive. Ceux qui la suive à la lettre acquièrent une ligne de conduite et une perception spirituelle acrue : cela leur permet de diriger les autres. La Lumière enseigne l’existence d’un lien entre les personnes et l’univers, une connection qui se manifeste dans ce que l'on ressent grace à nos sens ou à travers nos émotions. Lorsqu’une personne est émue, que ce soit par la vision d’un évènement touchant ou par amour pour un enfant ou un amant, cette émotion la relie à l’univers. Le fait de ressentir une émotion particulière prouve à cette personne qu’elle existe, puisque quelque chose en elle lui a permit de la reconnaitre et de s'eveiller à la sensualité. Puisqu'elle a le sentiment d'exister, il doit en être de même de l'univers qui lui a procuré ce sentiment. En se basant sur cette constatation, la personne peut agir sur l’univers, provoquer des changements pour faire naitre des sentiments chez les autres. Ainsi, les adeptes de La Lumière cherchent à rendre le monde meilleur en étant fidèles à leurs propres émotions.
L’étape suivante de ce processus de reconnaissance d'une connexion entre la personne et l’univers est le devellopement du "bien" à l'interieur comme à l'exterieur de soi. Percevoir la gloire et la beauté du monde, revelera la beauté interieure et glorifiera les ames de chacun, tour à tour. Si une personne est à la recherche du bonheur, elle doit faire en sorte d’améliorer l’univers pour rendre les autres heureux. Cependant, se laisser aller à la cupidité, au désespoir et au mécontentement ne pourra conduire qu'à l’assombrissement de l’univers. La Lumière est la gloire de l’univers se refletant sur les âmes, qui la renvoie à leur tour.
La plupart des adeptes de La Lumière sont des humains. Il fut un temps où un grand nombre de haut-elfes et de nains partagaient cette philosophie, mais leur nombre s’est reduit recemment. Tandis que les Haut-Elfes voyagaient sur le chemin de plus en plus sombre de leur dependance aux arcanes de la magie,leurs pas les ont coupé de La Lumière. Les Nains d' Ironforge, ont, pour leur part, remplacé La Lumière par l’étude de leurs géniteurs, les Titans. Quant aux elfes de la nuit, leur adhésion à l’Alliance est encore trop récente et ils sont encore trop attachés aux enseignements d’Elune et des autres Ancients pour faire leur la philosophie de la Lumière, et il est impensable que des membres de la Horde l'adopte (à l'exception des Réprouvés qui, bien que mort-vivants, ont pour beaucoup gardé leur pratique de La Lumière héritée du temps où ils étaient humains).
Les Trois vertus:
La philosophie de La Lumière peut se résumer à trois enseignements, appelés les Trois Vertus. Ces vertus – respect, ténacité et compassion - sont chacune définie par un principe fondamental et une leçon.
Respect
La première vertu enseignée est le respect. Bien que La Lumière promouvoie l’éveil de soi et de l’univers en tant que buts, il est aussi demandé aux pratiquants de voir la connexion entre son prochain et l’univers. Détruire le bonheur d’une autre personne et endommager sa connexion avec l’univers ne sert pas le bien-être du monde, et donc le vôtre non plus. Les pratiquants de la Lumière ne sont, cependant, pas naïfs et savent que les jugements, conflits, guerres et souffrances sont inévitables ; mais ils font de leur mieux pour rendre l’univers meilleur en dépit de ces gênes.
Ténacité
La seconde vertu est la ténacité. L’adhésion a cette vertu est, de fait, une part importante de l’entraînement de la Lumière pour exclure les non-croyants, car la réelle dévotion à la philosophie requiert des années pour être acquise. Les jeunes acolytes perdent souvent de vue la signification réelle de la Lumière, et perdent espoir lorsqu’ils réalisent que la compréhension totale de la philosophie requiert une vie entière de sacrifice pour la servir. Le monde est bien plus large qu’une âme solitaire ; et bien que le monde puisse changer une âme en une journée, il faut beaucoup plus de temps pour changer le monde. C’est seulement au travers de la ténacité qu’un serviteur de la Ténacité peut espérer changer le monde. Si certains jeunes étudiants considèrent ceci comme une tâche impossible, d’autres sont galvanisés lorsqu’ils réalisent que, si l’on croit de tout son cœur l’existence d’une connexion entre sa personne et l’univers, l’un ne peut qu’affecter l’autre, peu importe sa taille. Influer sur le monde peut signifier enseigner et instiller l’espoir dans son prochain, ou encore rejoindre d’autres personnes ayant la même vision et travailler avec eux pour créer un changement encore plus grand.
Compassion
Lorsque les deux premières vertus sont maîtrisées, l’étudiant peut commencer l’apprentissage de la dernière : la compassion. Le lien entre sa propre personne et l’univers est fort, mais cela n’est qu’un lien isolé. Si un suivant de la Lumière en aide un autre, améliorant son bonheur, son lien avec l’univers se renforce. La joie que lui procure l’aide à son prochain le renforce, et renforce donc l’univers ; il peut donc agir sur l’univers de façon encore plus forte.
La compassion est certainement la vertu la plus puissante – et la plus dangereuse aussi. Si quelqu’un s’adonne à la compassion avec trop de ferveur, il risque d’aider alors que son aide n’est pas requise – ou même ‘’voulue’’. Ce zèle peut aisément avoir pour effet de bloquer l’évolution ou le bonheur de beaucoup de gens. D’autres peuvent être désagréables dans leur aide et faire plus de mal que de bien par le biais de leurs actions, augmentant la souffrance et le mécontentement dans le monde. C’est la raison même pour laquelle la compassion est enseignée en dernier ; seuls les sages emplis de compassion sont à même de déterminer qui est réellement en besoin et qui peut évoluer par ses propres moyens.
Culte de la Lumière:
Lordaeron était de tout temps le refuge de l’Eglise de la Lumière, influençant à la fois Lordaeron et Quel’Thalas. De l’Eglise naquit l’ordre des Chevaliers de la Main d’Argent ; Ces derniers faillirent cependant à vaincre le Fléau, qui n’eut par la suite aucun mal à triompher de Lordaeron. L’Eglise a maintenant établi ses quartiers principaux à Stormwind, et très peu de ses représentants sont présents en Kalimdor. Cependant, un grand nombre des Paladins resté en Kalimdor et ayant servit la Main d’Argent se font fixé pour but de créer une nouvelle Eglise, mais leurs progrès sont lents. Puisque dans sa conception même La Lumière était bien plus une philosophie qu’un réel culte, l’Eglise de Lordaeron était constituée sous la forme d’une bibliothèque plutôt qu’une chapelle. Les textes qu’elle refermait furent pour beaucoup brûlés, pour la plupart enfouit sous des tonnes de gravas. De plus, du fait des conflits incessants, de la formation de l’Alliance et de la nécessité de reconstruire une forteresse humaine, les prêtres et moines ayant survécu à la destruction de Lordaeron n’ont pas réellement eu le temps nécessaire à la transcription des nombreux ouvrages perdus ou ensevelis. Les jeunes apprentis sont donc contraints d’apprendre les voies de la Lumière par l’expérience, ou en collant les sabots d’aînés plus versés dans ces enseignements, plutôt que d’étudier dans des salles de classe. Certains « sages » autoproclamés ont prit sur eux la tâche de réécrire les pontificats de La Lumière, sans régulation ou supervision. Certains textes sont des regards nouveaux sur de vieux principes, tandis que d’autre, sont des transcriptions rigoureuses d’anciens textes écrits par des vieux prêtre à la mémoire étonnante. Comme l’on peut s’y attendre, les relations sont parfois tendues entre ces érudits, particulièrement lorsqu’ils réalisent que certains textes se contredisent. Telle est la tension au cœur de l’Eglise ; les jeunes prêtres estiment que la Troisième guerre a donné l’opportunité à l’Eglise de se renouveler, tandis que d’autres souhaitent garder les vieilles traditions. Pour le commun des mortels, cependant, ces débats importent peu, même si la préférence se porte sur la conservation des rituels. Ce comportement est compréhensible. Le monde ayant beaucoup changé et évolué au cours des dernières années, les populations se tournent vers la foi – philosophique ou divine.
psychee- Personnages Joués : Nhaami, Naeausicaa
Re: La Lumière
Les Naarus
Les Naarus sont une race d'êtres de lumière, descendus aider les Erédars il y a vingt-cinq mille ans lorsqu'en proie au doute Velen, l'un des membres du triumvirat d'Argus eut une vision des êtres abominables et démoniaques de cruauté que deviendraient les membres de son peuple s'ils suivaient les deux autres leaders des Erédars, Kil'Jaeden et Archimonde, appâtés par le pouvoir sans limite que leur offrait Sargeras. Les Erédars, de culture arcanique jusque-là, se scindèrent en deux groupes inégaux, l'un devenant le premier contingent de la Légion Ardente et se transformant en guerriers et démonistes sans pitié, l'autre, un tiers de la population, suivant Velen et, bien que conservant leur magie d'origine, la cachèrent pour se protéger de la vengeance des Erédars corrompus et pour se consacrer à la lumière. Les Naaru furent à l'origine des premiers prêtres et paladins connus parmi les Draeneï. Les Naaru sont victimes chaque jour des attaques incessantes des Elfe de sang. Ceux-ci, toujours en quete de sources magiques, s'approprient la lumière des Naaru pour devenir des paladins.
Les Naarus sont une race d'êtres de lumière, descendus aider les Erédars il y a vingt-cinq mille ans lorsqu'en proie au doute Velen, l'un des membres du triumvirat d'Argus eut une vision des êtres abominables et démoniaques de cruauté que deviendraient les membres de son peuple s'ils suivaient les deux autres leaders des Erédars, Kil'Jaeden et Archimonde, appâtés par le pouvoir sans limite que leur offrait Sargeras. Les Erédars, de culture arcanique jusque-là, se scindèrent en deux groupes inégaux, l'un devenant le premier contingent de la Légion Ardente et se transformant en guerriers et démonistes sans pitié, l'autre, un tiers de la population, suivant Velen et, bien que conservant leur magie d'origine, la cachèrent pour se protéger de la vengeance des Erédars corrompus et pour se consacrer à la lumière. Les Naaru furent à l'origine des premiers prêtres et paladins connus parmi les Draeneï. Les Naaru sont victimes chaque jour des attaques incessantes des Elfe de sang. Ceux-ci, toujours en quete de sources magiques, s'approprient la lumière des Naaru pour devenir des paladins.
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Re: La Lumière
La Main d'Argent
L’Ordre de la Main d’Argent fut fondé par Alonsus Faol. Il forme des Guerriers et des Paladins sacrés dans le but de faire régner la paix dans les royaumes Humains.
La Main d'Argent est un ordre de paladins créé au début de la Seconde Guerre (ans 6 à 7) par Alonsus Faol, Abbé de Northshire. Tirant l'enseignement de la tragédie qui s'abattit sur les Chevaliers d'Azeroth pendant la Première Guerre (ans 1 à 4) et comprenant que la foi seule ne sauverait pas les humains des orcs impies, Alonsus décida de bénir les plus nobles et preux chevaliers de Lordaeron pour en faire des paladins révérant la Lumière, et qui seraient à même de soulager les souffrances des petites gens accablées par la guerre. Ainsi l’Abbé, assisté dans sa tâche par les prêtres qui avaient survécu au terrible conflit et par des membres du sacerdoce ayant décidé de prendre un chemin plus physique que spirituel, prit-il la décision d'aller quérir les plus vertueux des Chevaliers de Lordaeron pour leur enseigner l'art de la magie.
Le premier chevalier à être béni par l'abbé dans la Chapelle de Stratholme fut Uther Lightbringer, jeune gentilhomme qui plus tard prendra la tête de l'ordre de la Main d'Argent. Leur tâche principale fut d'assurer la défense et la sauvegarde des habitants de Lordaeron déchirés par la guerre, de soulager les victimes de guerre et de leur montrer que la foi peut les libérer du joug de la Horde. Les membres de l’Ordre ont juré de venger leurs compagnons et de libérer leurs patries de la menace de la Horde sauvage des Orcs.
Dès la fin des guerres contre les orques, les paladins de l’Ordre furent célébrés comme des héros et jouirent d'un prestige important. Parmi les plus célèbres de ces saints guerriers, on peut citer le sévère mais juste Turalyon.
Mais l'introduction de la peste en Lodaeron marqua le commencement du déclin des chevaliers de l’Ordre. Un des leurs, le prince Arthas, paladin au destin tragique, leur tourna le dos. Embrassant bientôt complètement le mal, il devint un chevalier de la mort au service du roi Liche. Gagnant Lordaeron, Arthas tuera Uther Lightbringer et décimera la plus grande partie de l'Ordre. Les plus pieux des Chevaliers se sentirent responsables de la transformation du jeune prince, incapables qu’ils furent d’appliquer l’enseignement de la sainte Lumière qui explique que tout individu peut influencer en bien ses congénères. Certains prêtres nomment d’ailleurs Arthas comme exemple de l’usage de la puissance de la Lumière sainte : Arthas serait la preuve de la puissance de l’individu dans sa plus simple expression d'affecter l'univers de bonne ou de mauvaise manière.
Nombre de Chevaliers survivants de l’Ordre formèrent la Croisade Écarlate pour continuer la lutte et reconquérir leur patrie. Cet ordre souvent excessif chasse les domestiques d'Arthas avec une cruauté effrayante qui démontre leur détermination, leur folie disent certains.
Certains anciens Chevaliers, tel que Tirion Fordring, essayent de reconstituer l'ancien ordre. Tandis que d'autres, tel que Grayson Shadowbreaker, sont davantage concernés par l’éradication des fidèles d’Arthas.
L’Ordre de la Main d’Argent fut fondé par Alonsus Faol. Il forme des Guerriers et des Paladins sacrés dans le but de faire régner la paix dans les royaumes Humains.
La Main d'Argent est un ordre de paladins créé au début de la Seconde Guerre (ans 6 à 7) par Alonsus Faol, Abbé de Northshire. Tirant l'enseignement de la tragédie qui s'abattit sur les Chevaliers d'Azeroth pendant la Première Guerre (ans 1 à 4) et comprenant que la foi seule ne sauverait pas les humains des orcs impies, Alonsus décida de bénir les plus nobles et preux chevaliers de Lordaeron pour en faire des paladins révérant la Lumière, et qui seraient à même de soulager les souffrances des petites gens accablées par la guerre. Ainsi l’Abbé, assisté dans sa tâche par les prêtres qui avaient survécu au terrible conflit et par des membres du sacerdoce ayant décidé de prendre un chemin plus physique que spirituel, prit-il la décision d'aller quérir les plus vertueux des Chevaliers de Lordaeron pour leur enseigner l'art de la magie.
Le premier chevalier à être béni par l'abbé dans la Chapelle de Stratholme fut Uther Lightbringer, jeune gentilhomme qui plus tard prendra la tête de l'ordre de la Main d'Argent. Leur tâche principale fut d'assurer la défense et la sauvegarde des habitants de Lordaeron déchirés par la guerre, de soulager les victimes de guerre et de leur montrer que la foi peut les libérer du joug de la Horde. Les membres de l’Ordre ont juré de venger leurs compagnons et de libérer leurs patries de la menace de la Horde sauvage des Orcs.
Dès la fin des guerres contre les orques, les paladins de l’Ordre furent célébrés comme des héros et jouirent d'un prestige important. Parmi les plus célèbres de ces saints guerriers, on peut citer le sévère mais juste Turalyon.
Mais l'introduction de la peste en Lodaeron marqua le commencement du déclin des chevaliers de l’Ordre. Un des leurs, le prince Arthas, paladin au destin tragique, leur tourna le dos. Embrassant bientôt complètement le mal, il devint un chevalier de la mort au service du roi Liche. Gagnant Lordaeron, Arthas tuera Uther Lightbringer et décimera la plus grande partie de l'Ordre. Les plus pieux des Chevaliers se sentirent responsables de la transformation du jeune prince, incapables qu’ils furent d’appliquer l’enseignement de la sainte Lumière qui explique que tout individu peut influencer en bien ses congénères. Certains prêtres nomment d’ailleurs Arthas comme exemple de l’usage de la puissance de la Lumière sainte : Arthas serait la preuve de la puissance de l’individu dans sa plus simple expression d'affecter l'univers de bonne ou de mauvaise manière.
Nombre de Chevaliers survivants de l’Ordre formèrent la Croisade Écarlate pour continuer la lutte et reconquérir leur patrie. Cet ordre souvent excessif chasse les domestiques d'Arthas avec une cruauté effrayante qui démontre leur détermination, leur folie disent certains.
Certains anciens Chevaliers, tel que Tirion Fordring, essayent de reconstituer l'ancien ordre. Tandis que d'autres, tel que Grayson Shadowbreaker, sont davantage concernés par l’éradication des fidèles d’Arthas.
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