"Le Dispensaire d'Hurlevent est ouvert !"

"Pour tous, tout."
La souffrance, la douleur, la misère et la maladie ont un nouvel ennemi.
Un ennemi implacable, dont la mission est gigantesque et simple. Aider. Vous aider. Vous n'êtes plus seuls.
Le Dispensaire d'Hurlevent est de retour, l'obscurité de la Misère sera foudroyée par la si petite et grandiose bougie de l'altruisme.
Elle brille désormais, là où il y a besoin de feu, cette bougie faite de science et d'amour, elle est offerte aux cœurs et corps meurtris, aux âmes en peine, aux enfants abandonnés de la richesse et de l'opulence.

Le Dispensaire d'Hurlevent est un hôpital public et universel, gratuit, où chacun pourra trouver des soins, de la nourriture, de l'écoute, cette si petite chose qu'est l'écoute, qui fait si souvent défaut, et qui est déjà beaucoup.
Le Dispensaire est votre lieu, rien de plus et rien de moins que votre lieu, et je suis là pour vous. Je me nomme Léaticha, simplement, Pandarène panseuse, et je viens affronter la détresse. Ce sera un combat rude. La détresse est une pieuvre terrible, enfouie dans les profondeurs du ciel même le plus lumineux. Elle attend, elle tombe, elle écrase. Elle ne laisse que de la poussière. J'aurais besoin d'aide pour noyer cette pieuvre. De toute votre aide.

Faisons simple. Près de la Cathédrale sont à nouveau ouvertes les portes du Dispensaire. Quiconque peut entrer, s'asseoir, parler. Tous égaux devant la grande mère Science, tous fragiles devant sa douce fille Médecine.
Venez chercher un peu de la chaleur de cette bougie, certains feux ne s'éteignent jamais.
Grâce aux efforts de Valhamor et de Samildanache, grandes sont ouvertes les portes de l'aide universelle. Vous ne me connaissez peut être pas, mais faites moi confiance, ce sera la seule chose que vous aurez à faire.
Je suis là pour vous. Je le promets. Je me battrais corps et âme pour le bien-être des mondes.
J'en appelle aux miséreux, venez chercher de l'aide ! J'en appelle aux riches, aux bons, aux justes, aux professeurs et aux docteurs, venez donner de l'aide ! Nous ne serons jamais trop. Venez ravivez la flamme et venez chercher du feu !

Il n'y a pas de piège. Il n'y a pas de clefs. Il n'y a plus que de l'aide, pure. Venez, vous êtes attendu. Parlez-moi dans les rues, parlez-vous.
Je vous attends. De vos maux je ferais tout pour vous guérir.
C'est une promesse.