Contemplation celeste
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Contemplation celeste
[( musique d'ambiance de ce premier chapitre http://www.deezer.com/#music/album/53501 , j'espère que vous aimez la musique celtique ^^)]
Chapitre un : Mon nom est Terial Martelumiere
Le vent soufflait d'une légère brise dans les cimes des arbres, arrachant les feuilles cramoisies de l'automne.
La mer délivrait calmement son chant, inlassable flux et reflux sur une cote brûlé.
Ici, ni guerre ni haine ni autre horreur, l'homme faisait une pause.
Il adorait ces moment de paix a l'état brut.
Lui, seul face a la mer, en tailleur dans un simple tartans primitif, sa lance d'acier planté a coté de lui.
Même si ses yeux étaient fermés et que l'on put le croire endormis.
Il était dans un état de concentration totale, discernant le moindre son, la moindre odeur, rien ne lui échappé.
Le soleil couchant le réchauffé de ces derniers rayons, disparaissant dans un horizon de feu, laissant des traces de sang dans le ciel.
Puis le dernier rayon s'éteignit lentement, en silence, sur son visage et il ouvrit les yeux.
L'océan était noir comme les abysses , et le ciel prenait une teinte d'encre , le cavalier brandissait sa lame , achevant le jour , invoquant la nuit , le soleil faisant lentement place a la lune et a ses vassaux d'étoiles , apparaissant lentement les une après le autres
Chapitre un : Mon nom est Terial Martelumiere
Le vent soufflait d'une légère brise dans les cimes des arbres, arrachant les feuilles cramoisies de l'automne.
La mer délivrait calmement son chant, inlassable flux et reflux sur une cote brûlé.
Ici, ni guerre ni haine ni autre horreur, l'homme faisait une pause.
Il adorait ces moment de paix a l'état brut.
Lui, seul face a la mer, en tailleur dans un simple tartans primitif, sa lance d'acier planté a coté de lui.
Même si ses yeux étaient fermés et que l'on put le croire endormis.
Il était dans un état de concentration totale, discernant le moindre son, la moindre odeur, rien ne lui échappé.
Le soleil couchant le réchauffé de ces derniers rayons, disparaissant dans un horizon de feu, laissant des traces de sang dans le ciel.
Puis le dernier rayon s'éteignit lentement, en silence, sur son visage et il ouvrit les yeux.
L'océan était noir comme les abysses , et le ciel prenait une teinte d'encre , le cavalier brandissait sa lame , achevant le jour , invoquant la nuit , le soleil faisant lentement place a la lune et a ses vassaux d'étoiles , apparaissant lentement les une après le autres
Aka"Courroux-Terrestre
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