Terial et Gurtz , mais que deviennent t'ils?

(étant actuellement en train de broyer les ennemis de l'empereur sous la pince de mon dreadnought , je ne peux pas me connecter pour venir pourrir vos histoire avec mes jeu de mots foireux , mais cela ne signifie pas que mes perso ont disparue de la circulation (quoique) , voici un bref récapitulatif de ce qu'ils deviennent actuellement et qui introduiras mon nouveau BG dès mon retour.)


L'homme en cape marron continué de marcher sur la route détrempé par les intempérie , Lordaeron était désormais plus sûre depuis le retrait de naxxramas vers le Norfendre , du moins en apparence , certaine ville et village était toujours entre les main de l'armé des deux-fois née , et ceux ci restait toujours agressif malgré le départ de leur maitre.
En réalité , c'était surtout les troupes de maraudeurs qui avait cessé de hanter les malterres , mais ce n'était pas vraiment ce qui semblait gêner le voyageurs.

De loin , cet homme aurait pus passer pour un vieillard , s'appuyant sur ce qui ressemblait a un grand bout de métal comme si il s'agissait d'un vulgaire bâton de marche , on ne pouvait distinguer son visage a cause de son immense cape a capuche qui masquait totalement son corps.
De près , cet homme était en fait une personne jeune de par l'allure de son pas et de la droiture de son dos.
La tige de métal était en réalité une lance qui , chose étrange , portait une grande gaine de cuir qui voilait la partie pointue de l'arme.

Le voyageurs ne semblait guère gêner par le pluie battante, qui détrempait sa cape et la collait a son corps , le glaçant jusqu'à l'os , npn ce n'était pas le temps qui le gêner , si sa capuche n'avait pas dissimulait son visage dans l'ombre , on aurait pus voir son air triste et résignait , rongé par le remord , le doute , la culpabilité , le remord , la colère.
Les mots aurait du mal a décrire son expression de tristesse et de souffrance.

Enfin il arriva a l'entrée d'une cave de pierre , envahie par les ronces , il les dégagea avec une main et fit abstraction de la douleur que lui infligeait les épines acéré des ronces.
Une fois l'entrée nettoyer de ses mauvaises herbes , on pouvait lire en ancienne lettre Lordaeronaise "Ci-Git la famille Martelumiere".

Pénétrant dans la crypte , Terial retira sa capuche , et sortit une torche qu'il alluma a l'aide d'un briquet , puis il entama la descente vers le monde souterrain.
De par sa localisation et les plantes sauvages qui repoussait et camouflait l'entrée , même un œil avertit aurait eu du mal a trouver le tombeau.
Seul quelqun le qui connaissait son emplacement pouvait ( a grand'peine) en découvrir l'accès .
Là , une protection magique d'origine non connue avait empêcher les nécromancien d'utiliser les corps du tombeau comme expérimentation pour leur affreuse expérience sur la non-vie.

Or donc Terial descendait les marches du fief souterrain de ses ancêtres.
La famille Martelumiere descendait des premiers habitant de stromgard , et dont une partie allât plus tard a Lordaeron.
Cette famille fût aussi une des premières à prétendre au titre de paladin , autrefois celle ci était composé soit de prêtre , soit de guerrier.
Quelque soit leurs époques ,tout membre de la famille devait passer son service militaire , et a la fin de celui ci , le doyens céder les trésors de la famille a l'ainée des fils de la nouvelle génération , et ainsi dessuite , jusqu'à la destruction de Lordaeron et la mort de 99% des membres de la famille.

Terial était l'avant derniers survivant de la famille , ce fut le seul a ne pas obtenir le marteau a deux mains , trésors de la famille , par voie normale , lors de la destruction de sa maison par des mort-vivant , Terial prit le marteau du corps de son père mort et s'enfuit dans les bois , il ne revînt que le jours suivant , pour transportait les cadavres des siens jusqu'au tombeau familiale , là , les siens rejoindrait leurs ancêtre et ne risquait pas d'être relevé.

Et aujourd'hui , la douleur de sa vie le transportait vers le repos des siens , lui même ne sût pourquoi il avait été appelé par ce lieu de mémoire et de paix.
Arrivant enfin au fond de la chapelle , ou reposait ses parents , il déposa la lance et s'agenouilla devant le gisant et commença a alterner prière et balbutiement , bribe de parole , comme si il essayait de parler avec les morts , mais qu'il ne trouvait les mots pour s'exprimer.