La reine des hyppogriffes

Voici un conte du nord revu en version warcraft. L'œuvre est de Tortequesne à qui je remercie de m'avoir autorisé l'utilisation de son conte afin de vous le faire partager. Bonne lecture à tous:

1ère partie:
Il ne reste plus guère des forêts qui couvraient ici autre fois.
Il fût un temps où toute la région des marches de l'ouest était couverte de forêts. C'était un océan d'arbre de branches et de feuilles qui couvraient tous, et dans les quelles les terres des hommes n'étaient que des clairières de simples tâches de lumières où les villages se blottissaient.
Hô, comme elle est crainte, comme elle était redouté cette forêt d'autre fois. Car elle sert de refuge aux brigands, elle sert de refuge aux loups, et aussi... à la lisière si toute fois vous avez échapper aux brigands et aux loups, vous pouvez en enfoncez en des lieux où l'on rencontrait des choses que l'on ne parle pas... à moins que votre curiosité vous fasse lire la suite d'une légende de nos jours oublié de tous.

En ce temps là la vie était rude, la terre était pas toujours généreuse, et les paysans devaient travaillaient durement pour gagner leur pain. Il y avait un paysan qui avait hérité la terre la plus ingrate qui soit. Il devait tout le jour et pour cela une récolte de grain si maigre et si cassé que cela ne valait même pas de son poids en cuivre.
Un jour, écœuré il fini par jeter son outil à terre et crier: « Je ne suerai plus sang et eau pour cette terre là. Il me faut un meilleur endroit pour travailler. »
Et il a prit une hache, ce l'est mit sur l'épaule et il a prit la direction des grands bois. Il s'est enfoncé bien au delà de la lisière. Et chance ou malchance, il a échappé aux loups et aux brigands. Il a marché longtemps dans l'ombre des branches, jusqu'à qu'il vit une lumière devant lui dans là il y avait une autre clairière. Quand il déboucha dans sur cette clairière, vit que l'herbe croissait, verte et drue à la lumière du soleil. Elle était si verte et si drue que notre paysan eu le cœur gonflait de joie. Il plongea sa main, il prit un peu de la terre, la tata entre ses doigts et il vit quelle était grasse et riche.
« Hoooo ho ho ho, une terre comme cela j'en pourrai tirer deux récoltes par an. N'importe quelle graine pousserait dans une telle terre. Fini la misère, et pour m'emparer de cette vaste terre il me suffit de couper le grand arbre qui est au milieu. »
C'est vrai qu'il y avait un arbre, un de ces arbres qu'on en trouvé encore dans cette région. Un de ces grands-père des arbres, si large que des dix hommes se tenant par la main n'aurait pas fait le tour. Si haut que l'on avait l'impression que certaines branches voulait caresser la voute du ciel.
« Mais si gros qu'il soit, aucun arbre n'a tenu face un bras vigoureux et à une solide hache. »
Alors notre homme s'est craché dans les mains, prit sa hache à deux mains, l'a levé. Mais à ce moment là, le vent s'est mis a souffler, soufflé si fort qu'il a été soulevé de terre et jeter sur le sol. Il était balloté à droite, à gauche tant et tant que notre homme ne savait plus où il en était. Et quand enfin le vent s'est calmé, il vit juste au dessus de son visage un bec long comme une tête de cheval. Derrière ce bec un long cou couverte de plume et au dessus de ce bec deux yeux immenses, deux yeux perçants comme le vent du nord. Deux yeux glacés comme la nuit la plus froide du plus froid des hivers. Et l'énorme bête à qui appartient cette bec et ces yeux abat une griffe de lion sur le malheureux.
« Eeeeeet bien, qu'avons nous ici? Tu es bien imprudent pour te risquer ainsi dans les grands bois. Dis moi quel est ton nom... oh non, plutôt non, ne me le dis pas. Je vais t'appeler: Déjeuner »
Et le bec énorme s'ouvre et s'approche de la tête de notre paysan le quel se mit à crier:
« Aaaa... mais... heu voyez comme je suis maigre. Vous n'allez tout de même pas me manger, vous ferez un si mauvais repas... alors que je pourrai vous servir à tant d'autre chose. »
« Me servir? » dit le monstre. « Et à quoi donc me servirai tu? »
« Heu... hé ben je sais... heu... labourer, semer, m'occuper des bêtes »
« Hummm, dans ma terre les plantes poussent où elle veulent et les bêtes vont sans que nul ne menne. Non je n'ai pas besoin d'un paysan. Je préfère te garder comme déjeuner. »
Et le monstre approche encore son bec énorme.
« Mais c'est que... je pourrai... je pourrai... je pourrai être votre serviteur laver le sol m'occuper de votre linge, m'occuper de toute chose à la maison. »
« Je n'ai nul toit si ce n'est la frondaison des arbres, nul sol si ce n'est les fougères de la forêt. Non je n'ai pas besoin d'un serviteur. »
« Mais... mais... je pourrai vous servir à n'importe quoi... n'importe quoi... n'importe quoi » dit le paysan dans ultime désespoir.
« Serai tu peigner? » dit la bête.
« Peigner? » d'un air surpris.
Notre homme ne comprend pas vraiment ce que le monstre lui demande. Mais à ce moment on se découvre des talents brusquement. Alors notre s'est crié: « Je sais peigner, je suis même le meilleur peigneur du pays, vous ne trouverai pas meilleur peigneur que moi. »
« alors c'est dit. Je te prends à mon service. »
Et le monstre referme ses griffes sur le torse du malheureux, prends son élan et deux ailes immenses se déploient au dessus de son dos, et sur un claquement emmene notre paysan par dessus les frondaisons des arbres.
Imaginez, notre malheureux homme emporté par les griffes du monstre dans le ciel. Il pleurait, il suppliait, il criait: « Oh je vous en supplie, relâchez moi... relâchez moi » puis en regardant en dessous de lui: « Noon, ne me lâchez pas, ne me lâchez pas ». Le voyage semblait durer un temps infini, mais le monstre fini par ce poser dans une autre clairière et l'envoi le paysan rouler sur le sol. Celui ci se redresse, essoufflé, épouvanté, mais quand il suit un regard vers le monstre celui ci avait disparut.