Festivités et décadences. [Libre]
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Festivités et décadences. [Libre]
[HRP] Si des gens veulent intervenirs, libre à eux Bonne lecture [/HRP]
[Moulin de Tarren : 19 heure.]
In noctem-musique
Le Réprouvé ayant vérifié qu’il était seul, toqua à la porte. Une voix se fit entendre de l’autre coté, une voix froide et tranchante et pourtant mélodieuse :
- Entre .
Le Non-Mort ne se fit pas attendre, il ouvrit et referma brusquement la porte derrière lui. Cette immondice scruta la salle éclairée d’une seule torche, la saisit et monta à l’étage, grattant au passage le bois vieux, crasseux et humide de la mansarde. Quelques rats regardèrent le cadavre déambuler dans le couloir sombre, sombre comme le reste de la vieille bâtisse.
- Vermines ! Laissaient moi passez… le Maître m’attend.
Le serviteur passa une arche et se retrouva dans une salle éclairée de deux torches, une table en son centre, écrasée sous le poids des grimoires et du matériel de chimie, autour une cage où gisait un cadavre d’un… d’un gnome, il semblerait. Des armoires remplies de livre à reliure de cuir, de parchemins et de fioles, enfin une autre armoire avec des vêtements.
Quelque chose dans la pièce bougea… Un Sindorei s’avança dans la salle, se révélant à la lumière.
- Tu as ce pourquoi je t’ai fais envoyé ?
Le Réprouvé se courba, imitant une révérence.
- Oui, M..Maîîître, tenez la voici .
Le serviteur chercha, dans un sac qui pendait à sa ceinture, un paquet enveloppé de tissu blanc sale. L’elfe, le saisit avec force et arracha rapidement le tissu, visiblement empressé. Dans la main de l’Alchimiste se trouvait alors, un cœur d’humain, avec une fleur de gangrelette posée dessus. L’Elfe eut un rictus.
- Parfait.
Il alla prendre un bout de viande moisit de puma dans son armoire qu’il jeta au Réprouvé.
- Mange, et pars.
***************************
[Forêt des pins argentés : 20 heures 30.]
Double Trouble-musique
Le vent sifflait.
La lune était belle et bien ronde cette nuit.
Le calme régnait dans la forêt des pins argentés.
Un calme qui fut rapidement brisé par le bruit de sabot au galop et de roue de bois sur une route boueuse et mal entretenue.
Le fiacre avançait à vive allure dans la sombre forêt. Le cocher, un Réprouvé très abîmé par la mort, fouettait à tous-vas les chevaux squelettes qui tiraient le carrosse.
Shindaar passa la tête par la fenêtre du fiacre. Il beugla pour couvrir le bruit des sabots.
- On est bientôt arrivé ?
Le Cochet ne se retourna pas, et claqua une fois de plus son fouet sur les chevaux morts, ce qui accéléra la cadence.
L’Elfe, re-rentra la tête dans l’habitacle du véhicule. Il se tenait la tête dans le creux de sa main, appuyé sur un cousin de la banquette. Il pensait…
- Qu’allons-nous faire ce soir, en ville ?
Shindaar sortit sa torpeur, sourit à la jolie rousse et lui dit :
- Tu aimes danser et boire ?
La femme toisa du regard Shindaar et pouffa de rire, elle approcha sa tête de celle de l’Elfe et y déposa un baiser.
- Bien sûr…
************************
[Lune d’Argent : 22 heures ]
Les deux Elfes marchaient silencieusement dans les rues de la capitale Sindorei. A cette heure-ci, la ville était encore bondée, badauds, patrouilles, marchands de stupéfiants, habitants insomniaques et autres touristes voulant s’amuser un peu, alors il n ‘était pas difficile de se fondre dans la masse, et passait discrètement sans se faire interpeller pour telle ou telle raison.
Essindoria empoigna doucement la main de Shindaar, celui ne réagit pas, indifférent.
- Il ne faudrait pas que je te perde ! Et elle gloussa.
Ils coupèrent par une artère et arrivèrent devant une grande bâtisse richement décorée.
Waltz-musique
- La fête est ici, je crois… Ecoutes on entend la musique..
Ils pressèrent le pas et entrèrent dans le vestibule, sans même saluer les gardes et la dame de maison, il se précipitèrent dans le salon où était donné la fête. Une petite estrade au fond de la pièce, où jouer quelques musiciens, des banquettes disposées autour où les invités riaient, mangeaient, buvaient, chantaient… Et sinon des danseurs de métiers et des invités faisaient une valse très sensuelle à la manière des elfes devant l’estrade. Essindoria se mêla à la foule et commença à gambiller, quant à Shindaar ne se sentant pas d’humeur pour danser, il alla s’installait sur une banquette et commanda un porto, tout en regardant son amie sautillait.
[Moulin de Tarren : 19 heure.]
In noctem-musique
Le Réprouvé ayant vérifié qu’il était seul, toqua à la porte. Une voix se fit entendre de l’autre coté, une voix froide et tranchante et pourtant mélodieuse :
- Entre .
Le Non-Mort ne se fit pas attendre, il ouvrit et referma brusquement la porte derrière lui. Cette immondice scruta la salle éclairée d’une seule torche, la saisit et monta à l’étage, grattant au passage le bois vieux, crasseux et humide de la mansarde. Quelques rats regardèrent le cadavre déambuler dans le couloir sombre, sombre comme le reste de la vieille bâtisse.
- Vermines ! Laissaient moi passez… le Maître m’attend.
Le serviteur passa une arche et se retrouva dans une salle éclairée de deux torches, une table en son centre, écrasée sous le poids des grimoires et du matériel de chimie, autour une cage où gisait un cadavre d’un… d’un gnome, il semblerait. Des armoires remplies de livre à reliure de cuir, de parchemins et de fioles, enfin une autre armoire avec des vêtements.
Quelque chose dans la pièce bougea… Un Sindorei s’avança dans la salle, se révélant à la lumière.
- Tu as ce pourquoi je t’ai fais envoyé ?
Le Réprouvé se courba, imitant une révérence.
- Oui, M..Maîîître, tenez la voici .
Le serviteur chercha, dans un sac qui pendait à sa ceinture, un paquet enveloppé de tissu blanc sale. L’elfe, le saisit avec force et arracha rapidement le tissu, visiblement empressé. Dans la main de l’Alchimiste se trouvait alors, un cœur d’humain, avec une fleur de gangrelette posée dessus. L’Elfe eut un rictus.
- Parfait.
Il alla prendre un bout de viande moisit de puma dans son armoire qu’il jeta au Réprouvé.
- Mange, et pars.
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[Forêt des pins argentés : 20 heures 30.]
Double Trouble-musique
Le vent sifflait.
La lune était belle et bien ronde cette nuit.
Le calme régnait dans la forêt des pins argentés.
Un calme qui fut rapidement brisé par le bruit de sabot au galop et de roue de bois sur une route boueuse et mal entretenue.
Le fiacre avançait à vive allure dans la sombre forêt. Le cocher, un Réprouvé très abîmé par la mort, fouettait à tous-vas les chevaux squelettes qui tiraient le carrosse.
Shindaar passa la tête par la fenêtre du fiacre. Il beugla pour couvrir le bruit des sabots.
- On est bientôt arrivé ?
Le Cochet ne se retourna pas, et claqua une fois de plus son fouet sur les chevaux morts, ce qui accéléra la cadence.
L’Elfe, re-rentra la tête dans l’habitacle du véhicule. Il se tenait la tête dans le creux de sa main, appuyé sur un cousin de la banquette. Il pensait…
- Qu’allons-nous faire ce soir, en ville ?
Shindaar sortit sa torpeur, sourit à la jolie rousse et lui dit :
- Tu aimes danser et boire ?
La femme toisa du regard Shindaar et pouffa de rire, elle approcha sa tête de celle de l’Elfe et y déposa un baiser.
- Bien sûr…
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[Lune d’Argent : 22 heures ]
Les deux Elfes marchaient silencieusement dans les rues de la capitale Sindorei. A cette heure-ci, la ville était encore bondée, badauds, patrouilles, marchands de stupéfiants, habitants insomniaques et autres touristes voulant s’amuser un peu, alors il n ‘était pas difficile de se fondre dans la masse, et passait discrètement sans se faire interpeller pour telle ou telle raison.
Essindoria empoigna doucement la main de Shindaar, celui ne réagit pas, indifférent.
- Il ne faudrait pas que je te perde ! Et elle gloussa.
Ils coupèrent par une artère et arrivèrent devant une grande bâtisse richement décorée.
Waltz-musique
- La fête est ici, je crois… Ecoutes on entend la musique..
Ils pressèrent le pas et entrèrent dans le vestibule, sans même saluer les gardes et la dame de maison, il se précipitèrent dans le salon où était donné la fête. Une petite estrade au fond de la pièce, où jouer quelques musiciens, des banquettes disposées autour où les invités riaient, mangeaient, buvaient, chantaient… Et sinon des danseurs de métiers et des invités faisaient une valse très sensuelle à la manière des elfes devant l’estrade. Essindoria se mêla à la foule et commença à gambiller, quant à Shindaar ne se sentant pas d’humeur pour danser, il alla s’installait sur une banquette et commanda un porto, tout en regardant son amie sautillait.
Shindaar Essaïrial
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