L'éveil du Phoenix (du jeu au rp)
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L'éveil du Phoenix (du jeu au rp)
1iere Partie : Le réveil, la nouvelle vie
Certain vous dirons que nous ne choisissons rien, que ce soit avant ou après notre naissance, que les évènements de notre vie sont tracés, comme déjà écrit par un narrateur aux idées malsaines d'une extrême perversité qui tant à nous faire vivre toutes les bizarreries ou malheurs dont il a été témoins en cent ans de vie. Oserais je dire que ce genre de personnes sont fatalistes, et ne prennent pas la vie comme elle leur vient belle et pur, qui se pliera à vos envies comme un roseau face au vent, aussi malléable, mais sans aucun retour possible. Non, je le dit, je le hurle, nous ne somme pas les pantins, les jouets de la causalité, il n'y a pas d'excuse à commettre une atrocité, comme votre réussite n'est dû qu'à vous même et pas à une intelligence supérieur. Dans ma perception, le destin est une excuse, le monde n'attend plus que nous choisissions, car comme me l'a dit un sage par le passé : « Si tu domine tes choix, alors le monde s'ouvrira et sera tien ». Signifiant aussi simplement que prendre conscience de ses dessins, et de leurs conséquences offrent la maitrise des évènements.
Du moins c'est ce que je croyais.. avant que mon esprit ne s'éveilla. Couché dans l'herbe douce et fraiche, les rayons du soleil me réchauffaient tandis que le vent caressait ma peau, j'entendais le chant des arbres, comme un court d'eau le bruit des feuilles, j'ouvrais mes yeux, éblouit par la lumière et surement pour la première fois de mon existence je me sentit vivre. Où étais je? Quelle était cette sensation, comme transcendance de mon esprit, mes sens éveillés me faisaient souffrir le martyre, mon crane me faisaient atrocement souffrir, quelque chose n'allait pas. Dans ma tête défilaient les images de mon passé, non de son passé, comme si le moi d'avant et le moi d'après n'était plus que deux êtres distinct. Je voyais ma progression, je ressentait la douleur de mes morts, les blessures innombrables, physiques ou mentales, je revoyais des hommes et des femmes mourir d'atroces maladies, de la soif ou la faim, d'incendies ou d'horreur perpétué par monstres et démons, là ou j'avais agit dans indifférence je ressentait enfin la peine, la joie, la peur, tout les sentiment qui font de moi un être vivant, tous en même temps me pénétré comme des clou qu'en enfoncerait dans ma chaire. Je prenais conscience de la vie, de mon existence ressassant mon passé qui me mena à m'allonger et m'en dormir. Toutes ses années à guerroyer, à combattre le mal, des simples bandits qui assaillait mon pays aux puissances démoniaques et à la mort elle même. Je revoyais l'histoire de mon pays, de mon peuple, pourtant à travers ses images, je ne voyais rien de moi avant que je ne prennent les armes. Toujours soufrant j'essayais d'apercevoir une ombre de mon passé, c'est alors que je vis une abbaye. Aussi loin que remonte mes souvenirs et mon voyage cette abbaye semblait en être le départ, je voyais d'autres comme moi de ce lieu prenant les armes, mais qui était ils, javais l'impression que même sans les connaître j'avais put par le passé savoir leur nom, le rang social ou même que corps armés ils avaient rejoint alors que tout cela me semblait à ce jour impossible sans avoir même échanger ne serai ce qu'un mot avec eux.
C'est alors qu'entre l'incompréhension, la douleur, les sentiments refoulés, je mit en doute mon passé et mon existence, qu'avais je été par le passé? Certes j'étais le héros de mon peuple, j'avais terrasser nombres démons pourtant je ne m'en senti pas plus fier qu'un autre, comme si ces exploit n'était que machinale, quelque chose que n'importe quel aventurier pouvait faire. Pourtant j'en tremblait de peur rien qu'a l'idée de me retrouver à nouveau fasse à ces monstres, sentir leur griffes déchirer ma chaire en lambeau, me retrouvé une nouvelle fois face à la morts, parcourir les limbes gelées pour retrouver mon corps en tant qu'esprit fantomatique. Ou même voir mes compagnon tomber au combats sans ne pouvoir rien y faire, mon corps se laissa tombé dans l'herbe, mon souffle se coupait, comment pourrais je encaissé autant en une seule fois, étais je le seul à me sentir ainsi, ou alors était ce une étape à passé, qu'à un certain age, ou niveau de puissances, comme un examen finale que les dieux avaient décidé ne nous imposer pour gagner le droit de vivre? Il fallait que je sache, pourquoi moi? Pourquoi maintenant? Était ce une punition? Qu'avais je fait? Pourtant dans mes souvenir j'avais toujours fait de mon mieux je me souvenais des gens qui autour dde moi m'encourageaient, m'aidaient, j'étais à leur yeux important.
Alors que je fléchissait, sous le poids de mon existence, ma main vint à se poser sur quelque chose de froid et de dur, intrigué je posait mon regard sur ce nouvel élément, il s'agissait d'un énorme boulier de métal runifié et gravé dont le blason sombre et enchanté me fit sursauté, pourtant plus je le regardait plus mes souvenirs sur ma progression militaire se clarifiait. Je me voyais armé d'un énorme bout de métal, quelque chose de tranchant et de pointue, surement par sa forme et son utilité il s'agissait d'une arme et plus particulièrement d'une épée, je regardait à droite à gauche, quand aperçue planté dans le sol justement cette même arme luisant d'une lueur malsaine tout aussi runifié, en la voyant je prononçait ces mots « Quel'dalar » était ce le nom de cette arme? Une arme qui se pourrait être le dû d'un exploit épique, avec peine je me levait et attrapant l'arme je la brandit droit pointant l'horizon, j'avais le sentiment certes d'être puissant pourtant même dans cette épée je ressentais comme une peine, une sourde peine, comme si même cette arme au nom épique avait été, elle aussi à la portée de n importe quel gus. Mais où me trouvais je? Est ce que être un héros était une chose commune? A quoi bon faire un exploit de bravoure si tout le monde l'a fait avant toi? Tandis que je repensait à mon expérience une larme coula de mon œil droit, ma vie passé semblait pleine d'aventures, mais sans aucun mérite ni gloire. Je pris le bouclier et frappant le vent, pour me dégourdir, essayer de penser à autre chose, mon corps avait du mal à suivre mes mouvement pourtant j'exécutais moult techniques qui me semblaient d'un compliqué, j'avais passé tout ma vie à les exécuter sans me poser de questions, elle m'étaient gravées dans mon corps/ Alors que je m'exerçais je revoyais les visages terrifiants de mes adversaires, et au loin une sorte de général me dicter la stratégie de notre combats, tout devait être nickel à ses yeux sans quoi il se mettait en rogne, je voyais mes compagnons se disposer à l'arrière pendant que moi je me jetais sur la bêtes sans crier gare parant ses énormes coups avec mon bouclier, tout ceci me semblait invraisemblable voir risible, comment juste un homme armé d'un bouclier pouvait à lui seul retenir un géant, un dragon, un démon ou même une armé, pourtant dans mes souvenirs je l'avais fait et refait, j'étais un pilier pour ceux avec qui je me battait, ma mort signifiait leur mort, mon boulot avait été de retenir la créature fixer sur moi, la raillant, le provoquant, je me souviens même m'être amuser à raconter des blagues à mon ennemie, ou à lui faire des grimaces. Je souriait masquant qu'à l'intérieur j'étais terrifié à l'idée que je puisse faire face à nouveau à ce genre de créatures.
C'est alors que coupant le silence de mon agonie, j'entendis une voix sourde résonner dans ma tête, m'appelant à lui répondre : « Alors Phoen? Comment ça va? » Je regardait à droite à gauche, mise à part quelques lapins et moutons trainant de-ci de-là, il n'y avait personne, la voix se remit à m'interpeler, elle me semblait familière je pouvais vaguement y mettre un nom : « Phoen? Tu es là? » ne sachant que faire je me mit à penser fort dans ma tête tentant de lui répondre : oui. Apparemment cela fit son effet, il s'agissait surement d'une personne aux dons télépathiques. Cette voix me connaissait bien, bien que son patois était parfois incompréhensible je réussit à comprendre ceci:
Phoen on a besoin de toi sur Gargamouelle, tu viens en tank?
Un tank? J'avoue je ne voyais pas, j'ai présumé qu'il devait s'agir de ma fonction, j'agissais sûrement comme une machine de guerre, au blindage plus ou moins avancé, pourtant tout ça me paraissait plutôt étrange, comme si je débarquais d'on ne sait où dans le corps d'un autre et que je remplir sa tâche. C'est vrais que je venais à peine de me réveillé d'un sommeil sans fin, que j'avais vécu un bon quart d'heure traumatisant, j'avais du mal à concevoir ma vie et ce qu'on me demandais, je ne sais pas ce qui m'a pris d'accepter, de répondre oui tout simplement, qui était ce Gargamouelle? Surement ma réponse fut comme incité par la curiosité. Je sentis comme une présence m'entourer, le voit après quelque minute de silence m'interpela une seconde fois pour me dire :
On te tp
Tp? euh oui mais encore, là j'étais plus que perdu, tépé? Une épée? Non je voyais pas, c'est alors que mon crane me fit à nouveau subitement souffrir, une fous le voix de toute part m'interpelaient, ou se recomptait des choses, tout en même temps la douleur était atroce. La plus part me disait simplement bonjour ou salut, les trois quarts des gens me connaissaient, certain hurlait pour avoir ceci cela, un objet, un bonbon vert, un festin de poisson, de la bouffe magique,de l'eau, un bœuf Andu, sûrement une espèce propre à la régions, j'avais l'impression d'assisté mentalement à la foire aux marchants; Tout à coup je sentis comme une présence autour de moi, comme une étreinte je me sentit lourd et fatigué, j'avais la nausée et la tête qui tournais, je ferma les yeux espérant trouver un remède à cette subite fatigue dans l'obscurité, c'est alors qu'un frémissement parcourue le long de mon échine, une vent froid vint me glacer le sang, quand j'ouvris les yeux le décors avait changé. Où était les arbres, le soleil, le ciel bleu, la pairie, les animaux? J'étais dans un étrange édifice fait de métal sombre, le sol était un amas d'os gris, j'étais terrifié je croisait les bras me tenant les épaules, essayant de me réconforté, en face de moi une foule de personne vaquaient à leurs occupations, comme si de rien était. Mais comment faisait ils? Comment pouvait être t il aussi confiant, je vit le commandant qui dirigeait les armé de mes souvenir passé pointé quelque chose derrière moi, je sentais quelque chose de gros, de sombre, de cruelle poser son regard sur moi. Je me retournais avec peine, quand je vit, non je suis incapable de le décrire, mon souffle fut coupé le temps d'un instant, l'horreur et la terreur avait pris part sur ma conscience. Et au fond de moi je savais ce que j'allais devoir faire et endurer.
Le général lança un appel des troupes, chacun leur tour les soldats à l'annonce de leur nom répondaient présent et prêt au combats, bien sûr ce fut mon tour, je restait un moment silencieux mais au rappelle sévère de mon commandant je répondit machinalement : « prêt au combat », les hommes se positionnèrent, à droite et à gauche, le général vint se joindre à mes coté, équipé d'une Quel'dalar à deux mains il me sourit l'air confiant et sur de moi, en me disant : « heureusement que t'es là parce qu'on l'aurait jamais tomber. ». Je suppose qu'il voulait dire que sans moi le commando n'aurais surement pas réussit à vaincre ce monstre surnommé Gargamouelle. Pourtant je présentait qu'il n'allait pas rester enthousiaste bien longtemps. On Annonça le départ, ne sachant que faire j'entamai une charge forcé contre l'ennemi. Alors que je m'approchais de lui à grand pas, je vit son énorme bras, comme pour m'aplatir, descendre vers moi , je brandit mon bouclier espérant arrêter le coup, quand je sentis mes jambes céder sous la terreur qu'inspirait sa présence, que lieu de ça j'esquivai coups mais je fini ma course sur le sol froid j'avais lâché mon arme et me retrouvais sur le dos face à mon adversaire désarmé, la créatures me regarda l'air méprisant et alla décimer mes compagnons, me laissant être témoin d'un massacre, mon corps terrifié ne bougeait plus, je versait des flots de larmes, la bouche ouvert pour leur crier de fuir, mais ma voix était coupé, il n'y avait que les bruis de corps déchiqueté, le commandant tenta, raillant la créature de sauver le plus de monde possible tant dis que les dernier prêtres essayait de soigner ses blessures, il se faisait broyé par les coups acharnés de Gargamouelle qui semblait s'amuser de la situation, derrière un magicien, un fusiller et son animal de compagnie, ainsi que deux assassins tentait d'infliger des blessures conséquente, mais le général ne tenu pas bien longtemps, Gargamouelle exécuta une attaque circulaire déciment tout ce qui se trouvait autour de lui, puis se jeta sur les prêtres, les cris d'agonie des pauvres soigneurs peu protéger de leur habits de tissu, certes enchanté mais pas suffisamment solide face au griffe aiguisé du mort-vivant, puis le sourire à ce qui lui restait de lèvre, il découpa le magicien et avala le fusiller. Le carnage était fini, non il restait une personne, oui j'étais là terrifié sur le sol imbibé du sang de mes camarades, la salle ressemblait à un abattoir, des bras, des têtes gisait entre les viscères et le sang, le monstre se retourna vers moi, alors que dans ma tête hurlait déjà les cris des fantômes de mes compagnons, me hurlant à la mort, mon général s'indignait de ma déchéance, certain mire cette échec sur le coup de la fatigue commune. Gargamouelle approcha de moi son visage glacé et me dit « Chacun son tour mortel, depuis le temps que j'attendais ce moment » il m'attrapa avec ses mains squelettiques et me pressa lentement, la douleur insupportable de mes membres se faisant broyé, je hurlais tant que je pouvais, peu a peu ma peau se fendit laissant choir les organes, une mort horrible qui dura plusieurs heures sous les rires du mort vivant.
Je me réveillais alors dans un cimetiere j'avais l'apparence d'un fantôme, me laissant guider par mon instinct re retropuvit vite l'entrée de la citadelle passant un étrange vortex je repris mon corps, entendant au loin les rires de mon assassin j'attrapais machinalement une sorte de pierre runique d'où se dégagea une puissante magie qui me transporta aussi tôt sans que je ne puisse l'expliqué dans une auberge entouré d'une foule racontant leurs aventures autour de repas conséquent mon commandant était là devant là porte il me jeta un regard froid, puis sortie et disparue, je décidais alors d'aller me reposer et essayer de comprendre les évènements qui venait de s'enchainer.
Certain vous dirons que nous ne choisissons rien, que ce soit avant ou après notre naissance, que les évènements de notre vie sont tracés, comme déjà écrit par un narrateur aux idées malsaines d'une extrême perversité qui tant à nous faire vivre toutes les bizarreries ou malheurs dont il a été témoins en cent ans de vie. Oserais je dire que ce genre de personnes sont fatalistes, et ne prennent pas la vie comme elle leur vient belle et pur, qui se pliera à vos envies comme un roseau face au vent, aussi malléable, mais sans aucun retour possible. Non, je le dit, je le hurle, nous ne somme pas les pantins, les jouets de la causalité, il n'y a pas d'excuse à commettre une atrocité, comme votre réussite n'est dû qu'à vous même et pas à une intelligence supérieur. Dans ma perception, le destin est une excuse, le monde n'attend plus que nous choisissions, car comme me l'a dit un sage par le passé : « Si tu domine tes choix, alors le monde s'ouvrira et sera tien ». Signifiant aussi simplement que prendre conscience de ses dessins, et de leurs conséquences offrent la maitrise des évènements.
Du moins c'est ce que je croyais.. avant que mon esprit ne s'éveilla. Couché dans l'herbe douce et fraiche, les rayons du soleil me réchauffaient tandis que le vent caressait ma peau, j'entendais le chant des arbres, comme un court d'eau le bruit des feuilles, j'ouvrais mes yeux, éblouit par la lumière et surement pour la première fois de mon existence je me sentit vivre. Où étais je? Quelle était cette sensation, comme transcendance de mon esprit, mes sens éveillés me faisaient souffrir le martyre, mon crane me faisaient atrocement souffrir, quelque chose n'allait pas. Dans ma tête défilaient les images de mon passé, non de son passé, comme si le moi d'avant et le moi d'après n'était plus que deux êtres distinct. Je voyais ma progression, je ressentait la douleur de mes morts, les blessures innombrables, physiques ou mentales, je revoyais des hommes et des femmes mourir d'atroces maladies, de la soif ou la faim, d'incendies ou d'horreur perpétué par monstres et démons, là ou j'avais agit dans indifférence je ressentait enfin la peine, la joie, la peur, tout les sentiment qui font de moi un être vivant, tous en même temps me pénétré comme des clou qu'en enfoncerait dans ma chaire. Je prenais conscience de la vie, de mon existence ressassant mon passé qui me mena à m'allonger et m'en dormir. Toutes ses années à guerroyer, à combattre le mal, des simples bandits qui assaillait mon pays aux puissances démoniaques et à la mort elle même. Je revoyais l'histoire de mon pays, de mon peuple, pourtant à travers ses images, je ne voyais rien de moi avant que je ne prennent les armes. Toujours soufrant j'essayais d'apercevoir une ombre de mon passé, c'est alors que je vis une abbaye. Aussi loin que remonte mes souvenirs et mon voyage cette abbaye semblait en être le départ, je voyais d'autres comme moi de ce lieu prenant les armes, mais qui était ils, javais l'impression que même sans les connaître j'avais put par le passé savoir leur nom, le rang social ou même que corps armés ils avaient rejoint alors que tout cela me semblait à ce jour impossible sans avoir même échanger ne serai ce qu'un mot avec eux.
C'est alors qu'entre l'incompréhension, la douleur, les sentiments refoulés, je mit en doute mon passé et mon existence, qu'avais je été par le passé? Certes j'étais le héros de mon peuple, j'avais terrasser nombres démons pourtant je ne m'en senti pas plus fier qu'un autre, comme si ces exploit n'était que machinale, quelque chose que n'importe quel aventurier pouvait faire. Pourtant j'en tremblait de peur rien qu'a l'idée de me retrouver à nouveau fasse à ces monstres, sentir leur griffes déchirer ma chaire en lambeau, me retrouvé une nouvelle fois face à la morts, parcourir les limbes gelées pour retrouver mon corps en tant qu'esprit fantomatique. Ou même voir mes compagnon tomber au combats sans ne pouvoir rien y faire, mon corps se laissa tombé dans l'herbe, mon souffle se coupait, comment pourrais je encaissé autant en une seule fois, étais je le seul à me sentir ainsi, ou alors était ce une étape à passé, qu'à un certain age, ou niveau de puissances, comme un examen finale que les dieux avaient décidé ne nous imposer pour gagner le droit de vivre? Il fallait que je sache, pourquoi moi? Pourquoi maintenant? Était ce une punition? Qu'avais je fait? Pourtant dans mes souvenir j'avais toujours fait de mon mieux je me souvenais des gens qui autour dde moi m'encourageaient, m'aidaient, j'étais à leur yeux important.
Alors que je fléchissait, sous le poids de mon existence, ma main vint à se poser sur quelque chose de froid et de dur, intrigué je posait mon regard sur ce nouvel élément, il s'agissait d'un énorme boulier de métal runifié et gravé dont le blason sombre et enchanté me fit sursauté, pourtant plus je le regardait plus mes souvenirs sur ma progression militaire se clarifiait. Je me voyais armé d'un énorme bout de métal, quelque chose de tranchant et de pointue, surement par sa forme et son utilité il s'agissait d'une arme et plus particulièrement d'une épée, je regardait à droite à gauche, quand aperçue planté dans le sol justement cette même arme luisant d'une lueur malsaine tout aussi runifié, en la voyant je prononçait ces mots « Quel'dalar » était ce le nom de cette arme? Une arme qui se pourrait être le dû d'un exploit épique, avec peine je me levait et attrapant l'arme je la brandit droit pointant l'horizon, j'avais le sentiment certes d'être puissant pourtant même dans cette épée je ressentais comme une peine, une sourde peine, comme si même cette arme au nom épique avait été, elle aussi à la portée de n importe quel gus. Mais où me trouvais je? Est ce que être un héros était une chose commune? A quoi bon faire un exploit de bravoure si tout le monde l'a fait avant toi? Tandis que je repensait à mon expérience une larme coula de mon œil droit, ma vie passé semblait pleine d'aventures, mais sans aucun mérite ni gloire. Je pris le bouclier et frappant le vent, pour me dégourdir, essayer de penser à autre chose, mon corps avait du mal à suivre mes mouvement pourtant j'exécutais moult techniques qui me semblaient d'un compliqué, j'avais passé tout ma vie à les exécuter sans me poser de questions, elle m'étaient gravées dans mon corps/ Alors que je m'exerçais je revoyais les visages terrifiants de mes adversaires, et au loin une sorte de général me dicter la stratégie de notre combats, tout devait être nickel à ses yeux sans quoi il se mettait en rogne, je voyais mes compagnons se disposer à l'arrière pendant que moi je me jetais sur la bêtes sans crier gare parant ses énormes coups avec mon bouclier, tout ceci me semblait invraisemblable voir risible, comment juste un homme armé d'un bouclier pouvait à lui seul retenir un géant, un dragon, un démon ou même une armé, pourtant dans mes souvenirs je l'avais fait et refait, j'étais un pilier pour ceux avec qui je me battait, ma mort signifiait leur mort, mon boulot avait été de retenir la créature fixer sur moi, la raillant, le provoquant, je me souviens même m'être amuser à raconter des blagues à mon ennemie, ou à lui faire des grimaces. Je souriait masquant qu'à l'intérieur j'étais terrifié à l'idée que je puisse faire face à nouveau à ce genre de créatures.
C'est alors que coupant le silence de mon agonie, j'entendis une voix sourde résonner dans ma tête, m'appelant à lui répondre : « Alors Phoen? Comment ça va? » Je regardait à droite à gauche, mise à part quelques lapins et moutons trainant de-ci de-là, il n'y avait personne, la voix se remit à m'interpeler, elle me semblait familière je pouvais vaguement y mettre un nom : « Phoen? Tu es là? » ne sachant que faire je me mit à penser fort dans ma tête tentant de lui répondre : oui. Apparemment cela fit son effet, il s'agissait surement d'une personne aux dons télépathiques. Cette voix me connaissait bien, bien que son patois était parfois incompréhensible je réussit à comprendre ceci:
Phoen on a besoin de toi sur Gargamouelle, tu viens en tank?
Un tank? J'avoue je ne voyais pas, j'ai présumé qu'il devait s'agir de ma fonction, j'agissais sûrement comme une machine de guerre, au blindage plus ou moins avancé, pourtant tout ça me paraissait plutôt étrange, comme si je débarquais d'on ne sait où dans le corps d'un autre et que je remplir sa tâche. C'est vrais que je venais à peine de me réveillé d'un sommeil sans fin, que j'avais vécu un bon quart d'heure traumatisant, j'avais du mal à concevoir ma vie et ce qu'on me demandais, je ne sais pas ce qui m'a pris d'accepter, de répondre oui tout simplement, qui était ce Gargamouelle? Surement ma réponse fut comme incité par la curiosité. Je sentis comme une présence m'entourer, le voit après quelque minute de silence m'interpela une seconde fois pour me dire :
On te tp
Tp? euh oui mais encore, là j'étais plus que perdu, tépé? Une épée? Non je voyais pas, c'est alors que mon crane me fit à nouveau subitement souffrir, une fous le voix de toute part m'interpelaient, ou se recomptait des choses, tout en même temps la douleur était atroce. La plus part me disait simplement bonjour ou salut, les trois quarts des gens me connaissaient, certain hurlait pour avoir ceci cela, un objet, un bonbon vert, un festin de poisson, de la bouffe magique,de l'eau, un bœuf Andu, sûrement une espèce propre à la régions, j'avais l'impression d'assisté mentalement à la foire aux marchants; Tout à coup je sentis comme une présence autour de moi, comme une étreinte je me sentit lourd et fatigué, j'avais la nausée et la tête qui tournais, je ferma les yeux espérant trouver un remède à cette subite fatigue dans l'obscurité, c'est alors qu'un frémissement parcourue le long de mon échine, une vent froid vint me glacer le sang, quand j'ouvris les yeux le décors avait changé. Où était les arbres, le soleil, le ciel bleu, la pairie, les animaux? J'étais dans un étrange édifice fait de métal sombre, le sol était un amas d'os gris, j'étais terrifié je croisait les bras me tenant les épaules, essayant de me réconforté, en face de moi une foule de personne vaquaient à leurs occupations, comme si de rien était. Mais comment faisait ils? Comment pouvait être t il aussi confiant, je vit le commandant qui dirigeait les armé de mes souvenir passé pointé quelque chose derrière moi, je sentais quelque chose de gros, de sombre, de cruelle poser son regard sur moi. Je me retournais avec peine, quand je vit, non je suis incapable de le décrire, mon souffle fut coupé le temps d'un instant, l'horreur et la terreur avait pris part sur ma conscience. Et au fond de moi je savais ce que j'allais devoir faire et endurer.
Le général lança un appel des troupes, chacun leur tour les soldats à l'annonce de leur nom répondaient présent et prêt au combats, bien sûr ce fut mon tour, je restait un moment silencieux mais au rappelle sévère de mon commandant je répondit machinalement : « prêt au combat », les hommes se positionnèrent, à droite et à gauche, le général vint se joindre à mes coté, équipé d'une Quel'dalar à deux mains il me sourit l'air confiant et sur de moi, en me disant : « heureusement que t'es là parce qu'on l'aurait jamais tomber. ». Je suppose qu'il voulait dire que sans moi le commando n'aurais surement pas réussit à vaincre ce monstre surnommé Gargamouelle. Pourtant je présentait qu'il n'allait pas rester enthousiaste bien longtemps. On Annonça le départ, ne sachant que faire j'entamai une charge forcé contre l'ennemi. Alors que je m'approchais de lui à grand pas, je vit son énorme bras, comme pour m'aplatir, descendre vers moi , je brandit mon bouclier espérant arrêter le coup, quand je sentis mes jambes céder sous la terreur qu'inspirait sa présence, que lieu de ça j'esquivai coups mais je fini ma course sur le sol froid j'avais lâché mon arme et me retrouvais sur le dos face à mon adversaire désarmé, la créatures me regarda l'air méprisant et alla décimer mes compagnons, me laissant être témoin d'un massacre, mon corps terrifié ne bougeait plus, je versait des flots de larmes, la bouche ouvert pour leur crier de fuir, mais ma voix était coupé, il n'y avait que les bruis de corps déchiqueté, le commandant tenta, raillant la créature de sauver le plus de monde possible tant dis que les dernier prêtres essayait de soigner ses blessures, il se faisait broyé par les coups acharnés de Gargamouelle qui semblait s'amuser de la situation, derrière un magicien, un fusiller et son animal de compagnie, ainsi que deux assassins tentait d'infliger des blessures conséquente, mais le général ne tenu pas bien longtemps, Gargamouelle exécuta une attaque circulaire déciment tout ce qui se trouvait autour de lui, puis se jeta sur les prêtres, les cris d'agonie des pauvres soigneurs peu protéger de leur habits de tissu, certes enchanté mais pas suffisamment solide face au griffe aiguisé du mort-vivant, puis le sourire à ce qui lui restait de lèvre, il découpa le magicien et avala le fusiller. Le carnage était fini, non il restait une personne, oui j'étais là terrifié sur le sol imbibé du sang de mes camarades, la salle ressemblait à un abattoir, des bras, des têtes gisait entre les viscères et le sang, le monstre se retourna vers moi, alors que dans ma tête hurlait déjà les cris des fantômes de mes compagnons, me hurlant à la mort, mon général s'indignait de ma déchéance, certain mire cette échec sur le coup de la fatigue commune. Gargamouelle approcha de moi son visage glacé et me dit « Chacun son tour mortel, depuis le temps que j'attendais ce moment » il m'attrapa avec ses mains squelettiques et me pressa lentement, la douleur insupportable de mes membres se faisant broyé, je hurlais tant que je pouvais, peu a peu ma peau se fendit laissant choir les organes, une mort horrible qui dura plusieurs heures sous les rires du mort vivant.
Je me réveillais alors dans un cimetiere j'avais l'apparence d'un fantôme, me laissant guider par mon instinct re retropuvit vite l'entrée de la citadelle passant un étrange vortex je repris mon corps, entendant au loin les rires de mon assassin j'attrapais machinalement une sorte de pierre runique d'où se dégagea une puissante magie qui me transporta aussi tôt sans que je ne puisse l'expliqué dans une auberge entouré d'une foule racontant leurs aventures autour de repas conséquent mon commandant était là devant là porte il me jeta un regard froid, puis sortie et disparue, je décidais alors d'aller me reposer et essayer de comprendre les évènements qui venait de s'enchainer.
le Chafoin- Personnages Joués : ensoleillé, douce brise, température estivale
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