Un homme, une histoire, une vie. . .
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Un homme, une histoire, une vie. . .
Alors que la pluie tombait à flot sur Theramore, beaucoup de gens entourais un bâtiment qui était l'hôpital, et ou moins d'une heure avant une femme accompagné de son mari étaient entré pour un accouchement. Peut être la curiosité des gens, ou plus certainement que la femme est une officier de la garde de la ville.
La maison est entouré de garde au cas où des gens essaieraient d'entrer.
Quelques heures plus tard, l'homme qui l'accompagnait sortit seul, de long cheveux bruns, yeux vert foncé, il regarda vers le ciel alors que la pluie lui coulait sur le visage.Il rabaissa la tête, s'encapuchonna, puis partit en écartant les habitants de la ville sans répondre à leur questions concernant l'évènement.
Tandis que la foudre et l'orage grondait violemment au dessus de leur tête, les gens commencèrent de partir et de retourner chez eux, bien au chaud.
En fin de journée, l'hôpital se referma, toujours entouré de gardes d'où on entendait le cliquetis des gouttes de pluie sur leur armures. Les lumières s'éteignirent de toute part, et la ville reprit son cours de vie habituel.
Le lendemain matin ; alors que les activités des habitants reprenaient peu à peu, un défilé militaire ce fit, puis un cortège de 6 soldats portant un cercueil de pierre marchaient silencieusement dans l'allée tracé par les soldats.
Les gens s'approchèrent sans parler, et fixèrent cet évènement peu agréable aux yeux de tous.
Un homme assez grand suivait le cortège qui partait pour l'extérieur de la ville, monta sur une estrade, et sortir un texte d'une de ses sacoches.
Il le mit devant sa tête, regarde tout le monde, et commença son discours en ayant une voie forte :
"Salutations à tous Messieurs et Mesdames. Je suis là aujourd'hui à vous parler pour vous annoncer la mort de la capitaine Nölwene Tarri, à cause de son accouchement. Je souhaite donc tout d'abord féliciter son mari d'avoir un enfant, qui n'a pas encore de prénom, mais aussi malheureusement mes condoléances de cette femme qui avait tant d'énergie à consacrer à ce monde et à Theramore. Ayant parcourut de nombreuses Terres, abattu de nombreux adversaires ainsi que passer tant d'obstacle, c'est dommage que sa vie se termine à ce jour, à l'âge de 32 ans.
Je souhaite aussi une bonne continuation à son mari, messire Palar Tarri, et que nous apporterons une grande aide à son fils.
Bonne journée à tous, et merci de reprendre votre travail habituel, car votre vie ne doit s'arrêter aujourd'hui."
Puis, l'homme redescendit de l'estrade, et alla rejoindre le convoi tandis que tous les gens de Theramore s'en allèrent retourner à leur tache, avec un goût amère dans la bouche, celui de la tristesse, mais aussi de la mort.
Personne ne revit le père de cet enfant les jours qui suivirent, mais ce n'était pas grave, l'hôpital s'occupait de cet enfant convenablement. Peut être était-ce parce-que les médecin avait suivit les enseignements de l'ordre des hospitaliers de Hurlevent pour la plupart.
La maison est entouré de garde au cas où des gens essaieraient d'entrer.
Quelques heures plus tard, l'homme qui l'accompagnait sortit seul, de long cheveux bruns, yeux vert foncé, il regarda vers le ciel alors que la pluie lui coulait sur le visage.Il rabaissa la tête, s'encapuchonna, puis partit en écartant les habitants de la ville sans répondre à leur questions concernant l'évènement.
Tandis que la foudre et l'orage grondait violemment au dessus de leur tête, les gens commencèrent de partir et de retourner chez eux, bien au chaud.
En fin de journée, l'hôpital se referma, toujours entouré de gardes d'où on entendait le cliquetis des gouttes de pluie sur leur armures. Les lumières s'éteignirent de toute part, et la ville reprit son cours de vie habituel.
Le lendemain matin ; alors que les activités des habitants reprenaient peu à peu, un défilé militaire ce fit, puis un cortège de 6 soldats portant un cercueil de pierre marchaient silencieusement dans l'allée tracé par les soldats.
Les gens s'approchèrent sans parler, et fixèrent cet évènement peu agréable aux yeux de tous.
Un homme assez grand suivait le cortège qui partait pour l'extérieur de la ville, monta sur une estrade, et sortir un texte d'une de ses sacoches.
Il le mit devant sa tête, regarde tout le monde, et commença son discours en ayant une voie forte :
"Salutations à tous Messieurs et Mesdames. Je suis là aujourd'hui à vous parler pour vous annoncer la mort de la capitaine Nölwene Tarri, à cause de son accouchement. Je souhaite donc tout d'abord féliciter son mari d'avoir un enfant, qui n'a pas encore de prénom, mais aussi malheureusement mes condoléances de cette femme qui avait tant d'énergie à consacrer à ce monde et à Theramore. Ayant parcourut de nombreuses Terres, abattu de nombreux adversaires ainsi que passer tant d'obstacle, c'est dommage que sa vie se termine à ce jour, à l'âge de 32 ans.
Je souhaite aussi une bonne continuation à son mari, messire Palar Tarri, et que nous apporterons une grande aide à son fils.
Bonne journée à tous, et merci de reprendre votre travail habituel, car votre vie ne doit s'arrêter aujourd'hui."
Puis, l'homme redescendit de l'estrade, et alla rejoindre le convoi tandis que tous les gens de Theramore s'en allèrent retourner à leur tache, avec un goût amère dans la bouche, celui de la tristesse, mais aussi de la mort.
Personne ne revit le père de cet enfant les jours qui suivirent, mais ce n'était pas grave, l'hôpital s'occupait de cet enfant convenablement. Peut être était-ce parce-que les médecin avait suivit les enseignements de l'ordre des hospitaliers de Hurlevent pour la plupart.
Dernière édition par Térébor le Ven 13 Juin 2008, 18:35, édité 1 fois
Térébor
Re: Un homme, une histoire, une vie. . .
Cela faisait déjà trois mois que l'homme n'était pas revenu à Theramore, bien qu' étranger, les hospitaliers trouvait cela bizarre de la part d'un père d'abandonner son fils, même si les situations sont parfois délicate.
Jaina Proudmoore décida après encore un mois d'attente de s'occuper de cet enfant considéré comme orphelin. Cela ne surprit personne, tout le monde savait que cette femme était digne de servir l'Alliance et la lumière, elle était vraiment digne de vivre.
Elle s'en occupait chez elle, dans une maison à deux étages, composé d'une entrée remplit de petites affaires, d'un salon avec 2 fauteuils, une table basse sur un tapis, une armoire avec un pot de fleur dessus et des tableaux aux murs. Une petite cuisine avec de quoi préparer de bons plats, d'un miroir et de nombreux ustensiles ; avec tout proche une salle avec une grande table en chêne avec 6 chaises rangées contre, une horloge, des tableaux ainsi qu'un meuble d'où dépassait des armes. Au 1er étage se trouvait une petite pièce qui servait de salon aussi, décoré de tapis et de coussins, d'armoires et de bibliothèques, avec sur le côté une porte où se trouvait une salle de bain et toilettes. Puis pour finir une jolie porte elfe renfermait une grande chambre avec un lit à baldaquin ou 3 personnes pourraient facilement dormir. Ensuite d'autres tableaux dont un du roi étaient accrochés au mur de droite et de gauche. Une grande armoire et une cheminé finissaient de remplir l'espace de trop.
Jaina avait placé un berceau dans la chambre, et s'occupait en ce moment de jouer avec ce petit bonhomme, qu'elle avait nommé Cîd, Cîd Tarri.
Il était encore tout petit alors qu'il avait un an. N'ayant jamais vu ses parents, il appelait Jaina "maman" mais ne parlait encore que très peu.
C'est alors que près de 4 ans plus tard, le jeune Cîd de 5 ans marchait bien, parlait avec un bon language que Jaina lui enseignais, et était assez impulsif. Il était assez grand pour son âge, malgré qu'il était assez joli, les traits de son visage fin. Cheveux noirs, yeux bleus foncés, il développait déjà un corps masculin.
Jaina prenait beaucoup de temps à lui expliquer et à lui apprendre le langage, elle partait souvent dans le marécage, dans les Tarides, et même à Mulgore pour lui montrer la beauté de la nature ainsi que les races de la horde qui n'était pas forcément tribales et encore moins agressives.
Cîd apprit aussi grâce à sa mère adoptive à regarder souvent autour de lui, même les plus petit détails, ainsi que s'intéresser à un peut tout, même ce qu'il n'appréciais guère, malgré qu'a cet âge c'est très difficile.
C'est alors qu'a l'âge de 6 ans il partit tous les jour à l'école de Theramore étudier avec ses camarades plus de choses encore qu'il n'avais connu. Mais il s'ennuyait et préférais largement être avec sa mère, beaucoup plus gentille avec lui ; peut être avait il un peu de jalousie, car il aimait mieux que l'on s'occupe uniquement de lui, et non d'une vingtaine de personnes en même temps.
Jaina Proudmoore décida après encore un mois d'attente de s'occuper de cet enfant considéré comme orphelin. Cela ne surprit personne, tout le monde savait que cette femme était digne de servir l'Alliance et la lumière, elle était vraiment digne de vivre.
Elle s'en occupait chez elle, dans une maison à deux étages, composé d'une entrée remplit de petites affaires, d'un salon avec 2 fauteuils, une table basse sur un tapis, une armoire avec un pot de fleur dessus et des tableaux aux murs. Une petite cuisine avec de quoi préparer de bons plats, d'un miroir et de nombreux ustensiles ; avec tout proche une salle avec une grande table en chêne avec 6 chaises rangées contre, une horloge, des tableaux ainsi qu'un meuble d'où dépassait des armes. Au 1er étage se trouvait une petite pièce qui servait de salon aussi, décoré de tapis et de coussins, d'armoires et de bibliothèques, avec sur le côté une porte où se trouvait une salle de bain et toilettes. Puis pour finir une jolie porte elfe renfermait une grande chambre avec un lit à baldaquin ou 3 personnes pourraient facilement dormir. Ensuite d'autres tableaux dont un du roi étaient accrochés au mur de droite et de gauche. Une grande armoire et une cheminé finissaient de remplir l'espace de trop.
Jaina avait placé un berceau dans la chambre, et s'occupait en ce moment de jouer avec ce petit bonhomme, qu'elle avait nommé Cîd, Cîd Tarri.
Il était encore tout petit alors qu'il avait un an. N'ayant jamais vu ses parents, il appelait Jaina "maman" mais ne parlait encore que très peu.
C'est alors que près de 4 ans plus tard, le jeune Cîd de 5 ans marchait bien, parlait avec un bon language que Jaina lui enseignais, et était assez impulsif. Il était assez grand pour son âge, malgré qu'il était assez joli, les traits de son visage fin. Cheveux noirs, yeux bleus foncés, il développait déjà un corps masculin.
Jaina prenait beaucoup de temps à lui expliquer et à lui apprendre le langage, elle partait souvent dans le marécage, dans les Tarides, et même à Mulgore pour lui montrer la beauté de la nature ainsi que les races de la horde qui n'était pas forcément tribales et encore moins agressives.
Cîd apprit aussi grâce à sa mère adoptive à regarder souvent autour de lui, même les plus petit détails, ainsi que s'intéresser à un peut tout, même ce qu'il n'appréciais guère, malgré qu'a cet âge c'est très difficile.
C'est alors qu'a l'âge de 6 ans il partit tous les jour à l'école de Theramore étudier avec ses camarades plus de choses encore qu'il n'avais connu. Mais il s'ennuyait et préférais largement être avec sa mère, beaucoup plus gentille avec lui ; peut être avait il un peu de jalousie, car il aimait mieux que l'on s'occupe uniquement de lui, et non d'une vingtaine de personnes en même temps.
Térébor
Re: Un homme, une histoire, une vie. . .
Ce fut pour le jeune Cîd une longue et difficile année scolaire. Malgré qu'il n'était pas violent, il n'essayaient pas de s'intéresser aux choses, et les maîtres ne le comprenaient point. Ils avait dit à Jaina qu'il avait d'énormes capacités, il avait apprit à parler les premiers mois, compter également.
De plus, quand il participait, aucun de ses camardes ne pouvait rivaliser avec ses réponses. Mais c'était comme ça, "le destin de chaque homme est lié et unique" avait affirmé Jaina.
C'est alors que pendant la fermeture de l'école à Theramore, pendant une période de beau temps qui était l'été ; Cîd était sur le port et admirait le lointain.
Il fixait l'horizon, puis regarda le phare, avec une envie soudaine d'y aller. Il ne demanda a personne de l'accompagner, il voulait aller là bas seul, "comme un grand soldat" disait-il souvent.
Il descendit donc lentement du pont sur une petite barque, coupa la ficelle avec un couteau, puis prit la rame assez difficilement car elle était lourde pour son très jeune âge, puis arriva finalement a faire avancer la barque. Une fois arrivé à terre ferme, sur le petit îlot où se trouvait le phare, il sauta et mis pied sur le sable.
Il avança prudemment ; une fois arrivé à la porte de fer, il la poussa délicatement et entra en regardant autour de lui. Il remarqua que le fer était vieux avec pas mal de poussière et entrepris une monté des escaliers.
Plus tard, après bien une centaine de marche, à bout de souffle il vit la trappe qui menait en haut, d'où venait la lumière.
Il poussa la trappe qui émit un crissement assez audible.Il regarda a travers l'ouverture et vit des pieds avancer.
Un homme, qui avait une vois assez âgé marmonnait :
"Qu'est-ce que c'est encore ce bruit ? Si c'est encore des gardes qui viennent pour une inspection ça va barder..."
C'est alors que le jeune homme referma la trappe et se mit à descendre un peu stresser. L'homme descendit de la trappe et vit un mouvement de fuite, c'est alors qu'il se mit à courir.
Cîd courra dans les escalier le plus vite qu'il le put, et sema sans problème l'homme qui faisait entendre des grognements et des craquements de vieillesse.
C'est alors qu'arriver en bas il vit des gardes de Theramore ainsi que la porte ouverte. Il sauta dans des caisses sans que aucun homme le remarqua.
Puis, l'homme du phare arriva en bas et vit très bien les gardes qui lui sourirent. On entendit alors des exclamation,s à moitié étouffé par le souffle ravagé du vieux gardien de phare :
"Quoi ?!! Mais vous allez pas encore me faire chier alors que je vois surement un brigand dévalé mes escaliers !! Vous allez me foutre le camp sale tas de ferrailles de mauviettes !
-Hum ? Non mais ça va pas vous ?? rétorqua un garde.
-Allez dégager ou je vous pulvérise !
-Non mais faut vous calmer sire ! Et arrêtez donc de beugler de nous cracher dessus. répliqua un autre garde suivit d'un tonnerre de rire venant des gardes.
-Grumbblll..."
C'est alors que Cîd courut entre les jambes des soldats et se mit à plonger dans l'eau à toute vitesse pour regagner sa maison le plus vite possible.
Belle journée qui se terminait, mais certainement pas l'engueulade.
De plus, quand il participait, aucun de ses camardes ne pouvait rivaliser avec ses réponses. Mais c'était comme ça, "le destin de chaque homme est lié et unique" avait affirmé Jaina.
C'est alors que pendant la fermeture de l'école à Theramore, pendant une période de beau temps qui était l'été ; Cîd était sur le port et admirait le lointain.
Il fixait l'horizon, puis regarda le phare, avec une envie soudaine d'y aller. Il ne demanda a personne de l'accompagner, il voulait aller là bas seul, "comme un grand soldat" disait-il souvent.
Il descendit donc lentement du pont sur une petite barque, coupa la ficelle avec un couteau, puis prit la rame assez difficilement car elle était lourde pour son très jeune âge, puis arriva finalement a faire avancer la barque. Une fois arrivé à terre ferme, sur le petit îlot où se trouvait le phare, il sauta et mis pied sur le sable.
Il avança prudemment ; une fois arrivé à la porte de fer, il la poussa délicatement et entra en regardant autour de lui. Il remarqua que le fer était vieux avec pas mal de poussière et entrepris une monté des escaliers.
Plus tard, après bien une centaine de marche, à bout de souffle il vit la trappe qui menait en haut, d'où venait la lumière.
Il poussa la trappe qui émit un crissement assez audible.Il regarda a travers l'ouverture et vit des pieds avancer.
Un homme, qui avait une vois assez âgé marmonnait :
"Qu'est-ce que c'est encore ce bruit ? Si c'est encore des gardes qui viennent pour une inspection ça va barder..."
C'est alors que le jeune homme referma la trappe et se mit à descendre un peu stresser. L'homme descendit de la trappe et vit un mouvement de fuite, c'est alors qu'il se mit à courir.
Cîd courra dans les escalier le plus vite qu'il le put, et sema sans problème l'homme qui faisait entendre des grognements et des craquements de vieillesse.
C'est alors qu'arriver en bas il vit des gardes de Theramore ainsi que la porte ouverte. Il sauta dans des caisses sans que aucun homme le remarqua.
Puis, l'homme du phare arriva en bas et vit très bien les gardes qui lui sourirent. On entendit alors des exclamation,s à moitié étouffé par le souffle ravagé du vieux gardien de phare :
"Quoi ?!! Mais vous allez pas encore me faire chier alors que je vois surement un brigand dévalé mes escaliers !! Vous allez me foutre le camp sale tas de ferrailles de mauviettes !
-Hum ? Non mais ça va pas vous ?? rétorqua un garde.
-Allez dégager ou je vous pulvérise !
-Non mais faut vous calmer sire ! Et arrêtez donc de beugler de nous cracher dessus. répliqua un autre garde suivit d'un tonnerre de rire venant des gardes.
-Grumbblll..."
C'est alors que Cîd courut entre les jambes des soldats et se mit à plonger dans l'eau à toute vitesse pour regagner sa maison le plus vite possible.
Belle journée qui se terminait, mais certainement pas l'engueulade.
Térébor
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