Foi et Honneur
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Foi et Honneur
- Ne faiblissez pas ! La Lumière nous garde !
Voilà plus d'une heure que la troupe de Paladins de l'Aube d'Argent se battait sans relâche face aux Goules et autres abominations. Une heure qu'ils étaient dans ce sordide guêpier, sans avoir pu ni avancer ni reculer. A chaque coups de masse son encouragement, à chaque infamie abattue son lot d'espoir. Les râles des hommes, le bruit du métal contre la chair pourrie et les cris déchirants des créatures du Fléau s'entremêlaient dans un noir concert. Illustrant la profusion de sons, les terres désolées des Maleterres s'étandaient tout autour de la scène, rajoutant ainsi la touche final de ce tableau semblant tout droit sortit du Néant. De fins nuages de poussières s'élevaient par moment, qu'une légère brise avait tôt fait de balayer. L'herbe sèche craquait sous les pas précipités des combattants alors que le sang frais et le pus imbibaient lentement la terre. Le sol tremblait, le ciel grondait.
Quelques mètres plus loin, une silhouette se dessina au sommet d'un rochet, surplombant le carnage. Décharnée, ses gestes étaient fébriles mais d'une nette vivacité. Le visage masqué par un sac de cuir, ne laissait filtrer qu'un son rauque ponctué d'exclamation démentes. Vaguement humanoïde, la silhouette fléchit sur ses jambes et gratta la roche de ses mains déformées avant de bondir lestement. D'infimes secondes s'écoulèrent avant qu'elle ne plonge au milieu de la mêlée et parvienne à s'agripper à l'armure d'un malheureux Paladin. Ce dernier roula à terre, déstabilisé et lâche son arme. Excité, jubilant à l'idée de mort de sa nouvelle proie, la créature lui arracha littéralement le casque de la tête. Elle se retrouva ainsi nez à nez avec un homme au visage déformé par la haine et la peur, tâché de sang et de boue. Les cheveux courts, blonds, étaient humide de sueur. Dans un râle, il vint frapper de son poing le cou de la créature qui lâcha prise, lui laissant ainsi le temps de se redresser. Furieuse, elle adopta une position plus animale, se mettant à quatre pattes et dévoilant les os de sa colonne vertébrale, qui percaient à travers une peau jaunâtre. Du trou dans le sac de cuir se déroula une longue langue suintant de pue et de salive. Le Paladin déglutit puis contracta ses muscles avant de réciter quelques mots, bras tendu vers la bête. Ce simple geste fut comme un signal et elle bondit de nouveau quand soudain, un éclair de lumière illumina l'air et crépita furieusement, la frappant de plein fouet. Une odeur âcre monta aux narines de l'homme alors que la créature retombait, inerte, sur le sol.
Le moment n'étant pas au soulagement, il se précipita pour ramasser son arme. A l'instant où il parvint à s'en saisir, une vive douleur lui lancina le ventre, accompagné de divers craquements. Surpris au point de ne pouvoir crier, il n'eut que le temps de voir l'éclat du crochet qui venait de le transpercer avant d'être tiré en arrière d'un coup sec. Il vola un instant puis s'écrasa contre l'amas de chair que formait l'Abomination. Gémissant, il entendit les gargouillis émis par le monstre et fut, d'un nouveau coup, projetté plus loin. Le crochet rouillé s'arracha de son corps alors qu'il retombait lourdement contre un autre Paladin, le renversant dans une gerbe de sang et de tripes. Avant que la vie ne le quitte, il put apercevoir le visage horrifié de son frère d'arme qui se débattait et tentait de se relever.
- Pour Lordaeron, et la Lumière !
Voilà plus d'une heure que la troupe de Paladins de l'Aube d'Argent se battait sans relâche face aux Goules et autres abominations. Une heure qu'ils étaient dans ce sordide guêpier, sans avoir pu ni avancer ni reculer. A chaque coups de masse son encouragement, à chaque infamie abattue son lot d'espoir. Les râles des hommes, le bruit du métal contre la chair pourrie et les cris déchirants des créatures du Fléau s'entremêlaient dans un noir concert. Illustrant la profusion de sons, les terres désolées des Maleterres s'étandaient tout autour de la scène, rajoutant ainsi la touche final de ce tableau semblant tout droit sortit du Néant. De fins nuages de poussières s'élevaient par moment, qu'une légère brise avait tôt fait de balayer. L'herbe sèche craquait sous les pas précipités des combattants alors que le sang frais et le pus imbibaient lentement la terre. Le sol tremblait, le ciel grondait.
Quelques mètres plus loin, une silhouette se dessina au sommet d'un rochet, surplombant le carnage. Décharnée, ses gestes étaient fébriles mais d'une nette vivacité. Le visage masqué par un sac de cuir, ne laissait filtrer qu'un son rauque ponctué d'exclamation démentes. Vaguement humanoïde, la silhouette fléchit sur ses jambes et gratta la roche de ses mains déformées avant de bondir lestement. D'infimes secondes s'écoulèrent avant qu'elle ne plonge au milieu de la mêlée et parvienne à s'agripper à l'armure d'un malheureux Paladin. Ce dernier roula à terre, déstabilisé et lâche son arme. Excité, jubilant à l'idée de mort de sa nouvelle proie, la créature lui arracha littéralement le casque de la tête. Elle se retrouva ainsi nez à nez avec un homme au visage déformé par la haine et la peur, tâché de sang et de boue. Les cheveux courts, blonds, étaient humide de sueur. Dans un râle, il vint frapper de son poing le cou de la créature qui lâcha prise, lui laissant ainsi le temps de se redresser. Furieuse, elle adopta une position plus animale, se mettant à quatre pattes et dévoilant les os de sa colonne vertébrale, qui percaient à travers une peau jaunâtre. Du trou dans le sac de cuir se déroula une longue langue suintant de pue et de salive. Le Paladin déglutit puis contracta ses muscles avant de réciter quelques mots, bras tendu vers la bête. Ce simple geste fut comme un signal et elle bondit de nouveau quand soudain, un éclair de lumière illumina l'air et crépita furieusement, la frappant de plein fouet. Une odeur âcre monta aux narines de l'homme alors que la créature retombait, inerte, sur le sol.
Le moment n'étant pas au soulagement, il se précipita pour ramasser son arme. A l'instant où il parvint à s'en saisir, une vive douleur lui lancina le ventre, accompagné de divers craquements. Surpris au point de ne pouvoir crier, il n'eut que le temps de voir l'éclat du crochet qui venait de le transpercer avant d'être tiré en arrière d'un coup sec. Il vola un instant puis s'écrasa contre l'amas de chair que formait l'Abomination. Gémissant, il entendit les gargouillis émis par le monstre et fut, d'un nouveau coup, projetté plus loin. Le crochet rouillé s'arracha de son corps alors qu'il retombait lourdement contre un autre Paladin, le renversant dans une gerbe de sang et de tripes. Avant que la vie ne le quitte, il put apercevoir le visage horrifié de son frère d'arme qui se débattait et tentait de se relever.
- Pour Lordaeron, et la Lumière !
[A Suivre. Toute critique est bien évidemment la bienvenue, voir même requise, étant donné que j'essaye doucement de me replonger dans les récits écrits. Si vous dénotez quelques anachronismes, faites m'en part ! Navré pour les fautes, vu l'heure tardive.]
Invité- Invité
Re: Foi et Honneur
Nord des Royaumes de l'Est, il y a dix ans.
- Et en ce jour, nous sommes réunis afin de célébrer le courage, l'honneur et la vertu de nos frères et sœurs disparus...
Ces mots, combien de fois les avait-il entendu ? Il ne comptait même plus, connaissant désormais par cœur le discours qu'ils introduisaient. Quelques notes de musique s'élevèrent dans les airs, mélodie à la fois tendre et macabre. Un dernier concert avant l'adieu définitif. Le jeune paladin ferma les yeux et baissa le tête. Les images de ces scènes avaient beau être gravé en lui, cette fois c'était différent. Comme si après s'être gavé d'une corbeille de pommes juteuses, on tombait sur le fruit pourri. Et c'est exactement le sentiment qui tenaillait Aron en cet instant. Il déglutit, la mâchoire crispé et laissa ses lèvres se mouvoir, mimant les paroles du prêtre sans qu'aucun son ne s'échappe.
Les nuages s'étaient amassés au-dessus de Lordaeron et offraient au camps de l'Aube d'Argent un ciel grisâtre. Une légère brise soufflait, jouant par moment avec les plis des tentes. La tradition aurait voulu que le monde lui-même s'arrête de s'agiter mais il n'en était rien. Le son de la trompette masquait à peine la clameur du Fléau tapis dans les forêts alentours. Debout face à un pilier de bois sculpté, la troupe de paladins honorait la mémoire des derniers morts ou disparus au combat.
Disparus... Ce mot à lui seul n'était autre qu'une douce torture car il laissait place à une once infime d'espoir ou bien pire. Il aurait voulu pleurer, mais aucune larmes ne sortaient. Le discours était déjà bien avancé et le prêtre passait désormais en revu les différents noms. Il les connaissait tous. Tous avaient été des frères d'armes et parfois plus. Mais à l'annonce de l'un d'eux, il releva la tête et porta son regard sur le pilier gravé.
- ... Erold Dulys...
Petit frère, pensa-t-il. Toi qui chérissais père plus que tout, te voilà désormais à ses côtés. La gorge nouée, il déglutit. Lors d'une guerre les pertes étaient inéluctables, même dans celle que l'Aube d'Argent menait. Il ferma à nouveau les yeux et serra fortement son poignet au creux de sa main.
Je suis navré, je ne peux pas t'accorder ce dernier plaisir. Tu le sais, je vais toujours bien... Aron se prit à sourire. Un sourire ô combien chargé de tristesse. Un bras s'enroula autour de ses épaules alors que son voisin de gauche venait le réconforter - ou chercher lui même réconfort, qui sait - ravalant au passage quelques larmes.
Le ciel se mit à gronder et une première goutte de pluie s'écrasa sur la terre meuble, bientôt suivit par un millier d'autres. Au moins la nature se chargeait-elle de pleurer à la place du jeune homme. Un éclair fendit les nuages et le prêtre rabaissa son capuchon sur son crâne rasé. Il termina par une courte prière et les paladins inclinèrent la tête, une main sur leur libram.
Alors que tous s'éloignaient, Aron ne put s'empêcher de s'approcher du pilier gravé. Il passa un doigt sur les différents noms, s'attardant sur celui de son frère, puis remonta sa main le long du bois déjà humide, la glissant sur les premières inscriptions.
Puisse la Lumière t'accueillir en son sein, toi et tous ceux morts en ce jour. Repose en paix, Erold.
Sans un mot, il se redressa et tourna le dos au monument de fortune. S'apitoyer ainsi était un luxe qu'ils ne pouvaient pas s'offrir. Le Fléau avait atteint son apogée et les affrontements étaient chaque jour plus rudes. Le martèlement de l'orage se fit toile de fond à la réorganisation de la troupe. Au loin un hurlement lugubre retentit et le sol trembla. Serrant le manche de sa masse dans sa main, le jeune homme plissa les yeux en espérant apercevoir quelque chose derrière l'épais rideau de pluie et de brouillard montant.
- - -
De nos jours, Kalimdor.
Aron se réveilla en sursaut. Le visage dégoulinant de sueur, il porta une main à son abdomen et grimaça. Son armure de plaque avait à peine amortit le coup de masse reçu la veille de la part d'un orc et un bel hématome était apparu. Il soupira, sortit de sa couche - uniquement vêtu de son caleçon - et se dirigea vers les tonneaux d'eau. Il se pencha par dessus et s'aspergea le visage puis contempla son reflet, pensif.
Il serait peut-être temps que je me rase, je vais finir par ressembler à Bleryn. Un sourire amusé se dessina sur son visage puis il s'étira. Le soleil pointait à peine ses rayons sur les Tarides et l'air était encore frais ce qui ne durerait pas. Après quelques étirements, il rentra de nouveau dans sa tente et s'activa en silence, saluant au passage les Assermentés déjà levés.
Les affrontements avec la Horde étaient chose régulière désormais. Cette partie là de Kalimdor était un point stratégique aussi bien pour l'Alliance que pour leurs ennemis. Mais ce n'était pas tout, le Vol Noir lui-même donnait du fil à retordre dans les marécages adjacents et se profilait comme une menace tout aussi sérieuse. Sans compter les quelques peuplades autochtones ou traitres auxquels avait à faire l'Alliance. Les membres du Serment de Theramore n'avaient ainsi que peu de répis.
Mais ce qui surprenait Aron, s'était la récente venu d'un paladin envoyé par l'Eglise de Hurlevent afin de lui confier une mission : faire jaillir la Lumière en Désolace et récupérer un sombre artefact. La région était l'une des plus dangereuses du continent et l'endroit où se trouvait l'objet l'était encore plus. Et cette histoire de commanditaire désirant rester secret. Pourquoi diable si tout ceci avait été déclaré officiel ?
Il haussa une épaule et termina d'attacher les sangles de ses épaulières. Servir la Lumière était son devoir et une fois les Sénéchaux avertit, il mettrait tout en œuvre pour mener à bien sa mission. Ayant terminé d'enfiler son armure, il empoigna sa masse et rejoignit d'un bon pas la tour en construction.
- Et en ce jour, nous sommes réunis afin de célébrer le courage, l'honneur et la vertu de nos frères et sœurs disparus...
Ces mots, combien de fois les avait-il entendu ? Il ne comptait même plus, connaissant désormais par cœur le discours qu'ils introduisaient. Quelques notes de musique s'élevèrent dans les airs, mélodie à la fois tendre et macabre. Un dernier concert avant l'adieu définitif. Le jeune paladin ferma les yeux et baissa le tête. Les images de ces scènes avaient beau être gravé en lui, cette fois c'était différent. Comme si après s'être gavé d'une corbeille de pommes juteuses, on tombait sur le fruit pourri. Et c'est exactement le sentiment qui tenaillait Aron en cet instant. Il déglutit, la mâchoire crispé et laissa ses lèvres se mouvoir, mimant les paroles du prêtre sans qu'aucun son ne s'échappe.
Les nuages s'étaient amassés au-dessus de Lordaeron et offraient au camps de l'Aube d'Argent un ciel grisâtre. Une légère brise soufflait, jouant par moment avec les plis des tentes. La tradition aurait voulu que le monde lui-même s'arrête de s'agiter mais il n'en était rien. Le son de la trompette masquait à peine la clameur du Fléau tapis dans les forêts alentours. Debout face à un pilier de bois sculpté, la troupe de paladins honorait la mémoire des derniers morts ou disparus au combat.
Disparus... Ce mot à lui seul n'était autre qu'une douce torture car il laissait place à une once infime d'espoir ou bien pire. Il aurait voulu pleurer, mais aucune larmes ne sortaient. Le discours était déjà bien avancé et le prêtre passait désormais en revu les différents noms. Il les connaissait tous. Tous avaient été des frères d'armes et parfois plus. Mais à l'annonce de l'un d'eux, il releva la tête et porta son regard sur le pilier gravé.
- ... Erold Dulys...
Petit frère, pensa-t-il. Toi qui chérissais père plus que tout, te voilà désormais à ses côtés. La gorge nouée, il déglutit. Lors d'une guerre les pertes étaient inéluctables, même dans celle que l'Aube d'Argent menait. Il ferma à nouveau les yeux et serra fortement son poignet au creux de sa main.
Je suis navré, je ne peux pas t'accorder ce dernier plaisir. Tu le sais, je vais toujours bien... Aron se prit à sourire. Un sourire ô combien chargé de tristesse. Un bras s'enroula autour de ses épaules alors que son voisin de gauche venait le réconforter - ou chercher lui même réconfort, qui sait - ravalant au passage quelques larmes.
Le ciel se mit à gronder et une première goutte de pluie s'écrasa sur la terre meuble, bientôt suivit par un millier d'autres. Au moins la nature se chargeait-elle de pleurer à la place du jeune homme. Un éclair fendit les nuages et le prêtre rabaissa son capuchon sur son crâne rasé. Il termina par une courte prière et les paladins inclinèrent la tête, une main sur leur libram.
Alors que tous s'éloignaient, Aron ne put s'empêcher de s'approcher du pilier gravé. Il passa un doigt sur les différents noms, s'attardant sur celui de son frère, puis remonta sa main le long du bois déjà humide, la glissant sur les premières inscriptions.
- Mars, le 5 de l'An 21 -
Puisse la Lumière t'accueillir en son sein, toi et tous ceux morts en ce jour. Repose en paix, Erold.
Sans un mot, il se redressa et tourna le dos au monument de fortune. S'apitoyer ainsi était un luxe qu'ils ne pouvaient pas s'offrir. Le Fléau avait atteint son apogée et les affrontements étaient chaque jour plus rudes. Le martèlement de l'orage se fit toile de fond à la réorganisation de la troupe. Au loin un hurlement lugubre retentit et le sol trembla. Serrant le manche de sa masse dans sa main, le jeune homme plissa les yeux en espérant apercevoir quelque chose derrière l'épais rideau de pluie et de brouillard montant.
- - -
De nos jours, Kalimdor.
Aron se réveilla en sursaut. Le visage dégoulinant de sueur, il porta une main à son abdomen et grimaça. Son armure de plaque avait à peine amortit le coup de masse reçu la veille de la part d'un orc et un bel hématome était apparu. Il soupira, sortit de sa couche - uniquement vêtu de son caleçon - et se dirigea vers les tonneaux d'eau. Il se pencha par dessus et s'aspergea le visage puis contempla son reflet, pensif.
Il serait peut-être temps que je me rase, je vais finir par ressembler à Bleryn. Un sourire amusé se dessina sur son visage puis il s'étira. Le soleil pointait à peine ses rayons sur les Tarides et l'air était encore frais ce qui ne durerait pas. Après quelques étirements, il rentra de nouveau dans sa tente et s'activa en silence, saluant au passage les Assermentés déjà levés.
Les affrontements avec la Horde étaient chose régulière désormais. Cette partie là de Kalimdor était un point stratégique aussi bien pour l'Alliance que pour leurs ennemis. Mais ce n'était pas tout, le Vol Noir lui-même donnait du fil à retordre dans les marécages adjacents et se profilait comme une menace tout aussi sérieuse. Sans compter les quelques peuplades autochtones ou traitres auxquels avait à faire l'Alliance. Les membres du Serment de Theramore n'avaient ainsi que peu de répis.
Mais ce qui surprenait Aron, s'était la récente venu d'un paladin envoyé par l'Eglise de Hurlevent afin de lui confier une mission : faire jaillir la Lumière en Désolace et récupérer un sombre artefact. La région était l'une des plus dangereuses du continent et l'endroit où se trouvait l'objet l'était encore plus. Et cette histoire de commanditaire désirant rester secret. Pourquoi diable si tout ceci avait été déclaré officiel ?
Il haussa une épaule et termina d'attacher les sangles de ses épaulières. Servir la Lumière était son devoir et une fois les Sénéchaux avertit, il mettrait tout en œuvre pour mener à bien sa mission. Ayant terminé d'enfiler son armure, il empoigna sa masse et rejoignit d'un bon pas la tour en construction.
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