Adoren
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Adoren
* Paysage gelé fait de noir et de blanc,entre branches séchées et air du vent glaçant. Un cœur emprisonné se fige lentement,oubliant le passé de tous ces mauvais temps…L’ère glaciaire est entrée malencontreusement par le vide des pensées des esprits ignorants. Tel un tableau gâché par un pinceau blessant, l’ère glaciaire installée va durer un moment…*
Elle avait neuf ans, elle été tiraillé entre le chagrin et la joie. Elle volait sous les étoiles, au dessus d'une terre éclairé par la lune. C'était un rêve... un rêve. Même à son âge elle savait que les gens ne volé par pour de vrai. Songe ou pas elle, à cet instant elle était libre. Personne n'était là pour la punir d'avoir piquer une part de gâteau au miel. Nul coup pour avoir marqué de son doigt l'argenterie pourtant astiquée pendant des heures.
Elle était quelque part, où? Elle l'ignorait...Sa mère gisait, figée dans la mort. Le chagrin de la petite était semblable à mille lames poignardant son âme.
Cependant comme n'importe qu'elle enfant, elle chassa la douleur de son esprit et se tourna vers les étoiles. Elle ne souhaitait plus retourner chez elle,préférant planer toujours loin des tourments de l'esclavage.
Du vivant de ses parents,on s'occupait d'elle non comme une petite souillon, mais comme d'une enfant...
Adoren... La chair de leur chair. On lui avait déjà enlever son père ... la petite fille savait que les bras de sa mère était toujours ouvert pour elle. Le chagrin, la douleur la submergèrent de nouveau.
Lorsque sa mère était tombé malade, on lui avait fait comprendre qu'elle avait besoin de repos. Cela n'avait servit a rien. On avait fait cherché Glyrion l'un des prêtre de la ville, mais il était déjà parti pour la cité d'Hurlevent.
Adoren avait vue le visage de sa mère se creuser de jour en jour et elle, si vivante commençait a se changer en une créature squelettique qui la fixé sans la reconnaitre,aux bras si faible qu'il ne pouvait plus s'ouvrir à elle.
La petite avait embrassé sa mère lui souhaitant une bonne nuit, priant les dieux de la protéger contre son mal. Puis on l'avait conduit dans une chambre qu'elle partageait désormais avec cinq autres filles.
Le matin suivant,une fois ses corvées terminées la jeune elfe avait couru jusqu'à la chambre de sa mère pour s'apercevoir qu'on l'avait recouverte d'un linge blanc. Elle était morte, pendant qu'elle dormait.
Adoren lui avait ôté le voile se persuadant que ce n'était qu'un horrible cauchemars et que sa mère allait se réveiller. Mais ses yeux restaient clos, sa bouche était ouverte. Il n'y avait aucunes trace de mouvements, ni de respirations.
Adoren était bien consciente de la présences des autres personnes qui fixé la gamine avec un regard de pitié dans cette chambre qui paraissait si étouffante, mais elle ne pouvait plus bougée, elle restait là... paralysé sous le choc.
On l'avait amenée se coucher, on l'avait bordé. Elle avait bien senti le contact des couvertures chaudes autour de ses épaules sans pourtant parvenir a fermer les yeux. Une mains douce commença a lui caresser le visage,puis lentement ses paupières commencèrent enfin a se fermer. Adoren avait dormi longtemps.Trop longtemps...Puis quelque chose en elle s'était rompu net,libérant son esprit qui s'était levé dans le ciel nocturne...Elle volait sous les étoiles...
Elle avait neuf ans, elle été tiraillé entre le chagrin et la joie. Elle volait sous les étoiles, au dessus d'une terre éclairé par la lune. C'était un rêve... un rêve. Même à son âge elle savait que les gens ne volé par pour de vrai. Songe ou pas elle, à cet instant elle était libre. Personne n'était là pour la punir d'avoir piquer une part de gâteau au miel. Nul coup pour avoir marqué de son doigt l'argenterie pourtant astiquée pendant des heures.
Elle était quelque part, où? Elle l'ignorait...Sa mère gisait, figée dans la mort. Le chagrin de la petite était semblable à mille lames poignardant son âme.
Cependant comme n'importe qu'elle enfant, elle chassa la douleur de son esprit et se tourna vers les étoiles. Elle ne souhaitait plus retourner chez elle,préférant planer toujours loin des tourments de l'esclavage.
Du vivant de ses parents,on s'occupait d'elle non comme une petite souillon, mais comme d'une enfant...
Adoren... La chair de leur chair. On lui avait déjà enlever son père ... la petite fille savait que les bras de sa mère était toujours ouvert pour elle. Le chagrin, la douleur la submergèrent de nouveau.
Lorsque sa mère était tombé malade, on lui avait fait comprendre qu'elle avait besoin de repos. Cela n'avait servit a rien. On avait fait cherché Glyrion l'un des prêtre de la ville, mais il était déjà parti pour la cité d'Hurlevent.
Adoren avait vue le visage de sa mère se creuser de jour en jour et elle, si vivante commençait a se changer en une créature squelettique qui la fixé sans la reconnaitre,aux bras si faible qu'il ne pouvait plus s'ouvrir à elle.
La petite avait embrassé sa mère lui souhaitant une bonne nuit, priant les dieux de la protéger contre son mal. Puis on l'avait conduit dans une chambre qu'elle partageait désormais avec cinq autres filles.
Le matin suivant,une fois ses corvées terminées la jeune elfe avait couru jusqu'à la chambre de sa mère pour s'apercevoir qu'on l'avait recouverte d'un linge blanc. Elle était morte, pendant qu'elle dormait.
Adoren lui avait ôté le voile se persuadant que ce n'était qu'un horrible cauchemars et que sa mère allait se réveiller. Mais ses yeux restaient clos, sa bouche était ouverte. Il n'y avait aucunes trace de mouvements, ni de respirations.
Adoren était bien consciente de la présences des autres personnes qui fixé la gamine avec un regard de pitié dans cette chambre qui paraissait si étouffante, mais elle ne pouvait plus bougée, elle restait là... paralysé sous le choc.
On l'avait amenée se coucher, on l'avait bordé. Elle avait bien senti le contact des couvertures chaudes autour de ses épaules sans pourtant parvenir a fermer les yeux. Une mains douce commença a lui caresser le visage,puis lentement ses paupières commencèrent enfin a se fermer. Adoren avait dormi longtemps.Trop longtemps...Puis quelque chose en elle s'était rompu net,libérant son esprit qui s'était levé dans le ciel nocturne...Elle volait sous les étoiles...
Zalazaï
Re: Adoren
*Quand vous êtes petits, la nuit est effrayante parce que des monstres se cachent sous le lit. Quand vous vieillissez, les monstres sont différents...On doute de soi... Solitude... Regret... Et bien que vous soyez plus âgés et plus sages, vous avez toujours peur du noir. Dormir... C'est la chose la plus facile à faire...Vous fermez simplement les yeux. Mais pour beaucoup d'entre nous, dormir ne semble pas être à notre portée. On le veut, mais on ne sait pas comment atteindre ce maudit sommeil. Seulement... une fois que nous affrontons nos démons, affrontons nos peurs...Et que nous nous décidons à demander de l'aide aux autres...La nuit n'est plus tellement effrayante parce que nous réalisons que nous ne sommes pas seuls dans le noir finalement.*
Elle descendit brusquement sur terre, d’une longue chute vertigineuse. Arrivée en bas, elle essaya de se redresser sans succès.
Une brume apparue soudainement autour d'elle. Ado tenta de s'envoler sans y parvenir. Son corps était solidement ancré dans la terre. Le vent froid effleura son visage, elle frissonna. Ce rêve ne lui apportait à présent plus de réconfort, elle mourait d'envie de rentrer chez elle...Mais où, chez elle? Combien de temps avait-elle volé? Elle entendit un bruit filtrant dans la brume, une sorte d'ondulation, un bruissement...
Elle se retourna et scruta le paysage, mais le brouillard grisâtre recouvrait tout. La petite tenta de courir, le cœur battant, prêt à sortir de sa poitrine. Mais elle glissa, tomba dans l'herbe boueuse et roula sur le dos. Une ombre s'éleva au dessus d'elle, des griffes acérées jaillirent dans sa direction. Acculé, elle roula à nouveau tandis qu'elles labouraient la chair de sa poitrine.
- Non !!!
Elle se mit à hurler quand la gueule écumante de la bête fondit vers son visage. Elle leva le bras. Un vent glacé jaillit de ses mains et gela la créature. La glace se brisa soudainement, la bête tomba en milles morceaux. Une nouvelle ombre enveloppa l’enfant, elle se recroquevilla ...Terrifiée...
Elle descendit brusquement sur terre, d’une longue chute vertigineuse. Arrivée en bas, elle essaya de se redresser sans succès.
Une brume apparue soudainement autour d'elle. Ado tenta de s'envoler sans y parvenir. Son corps était solidement ancré dans la terre. Le vent froid effleura son visage, elle frissonna. Ce rêve ne lui apportait à présent plus de réconfort, elle mourait d'envie de rentrer chez elle...Mais où, chez elle? Combien de temps avait-elle volé? Elle entendit un bruit filtrant dans la brume, une sorte d'ondulation, un bruissement...
Elle se retourna et scruta le paysage, mais le brouillard grisâtre recouvrait tout. La petite tenta de courir, le cœur battant, prêt à sortir de sa poitrine. Mais elle glissa, tomba dans l'herbe boueuse et roula sur le dos. Une ombre s'éleva au dessus d'elle, des griffes acérées jaillirent dans sa direction. Acculé, elle roula à nouveau tandis qu'elles labouraient la chair de sa poitrine.
- Non !!!
Elle se mit à hurler quand la gueule écumante de la bête fondit vers son visage. Elle leva le bras. Un vent glacé jaillit de ses mains et gela la créature. La glace se brisa soudainement, la bête tomba en milles morceaux. Une nouvelle ombre enveloppa l’enfant, elle se recroquevilla ...Terrifiée...
Zalazaï
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