Méandres
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Méandres
Certains épisodes ne sont pas à citer.
Mais pourquoi ... La déviance des esprits ne peux être contrôlée, enfin, je pense.
Donc, cette personne, là, je peux la considérer comme le jouet qu'il est, l'utiliser, l'aimer sur un temps limité, sentez le faillir , je le brûlerai, comme les autres.
Cette personne, je peux le décrire en certains mots qui pourrons sans cesse vous inspirer la bassesse des songes dont il est victime, l'être et le paraître ... décrire ... être, paraître.
[
Elle semblait hors du temps, elle fixait chaque personne qui pouvais lui sembler interessente, quand ils tournaient la tête vers elle, elle se sentait jubiler, leur adressant un sourire comme pour les happer. Elle.
Son passé la rattrapais , mais personne ne s'était attaché au détail le plus important de celui-ci, une chronologie incorrecte , qu'elle même ne soupçonnais pas l'existence, elle est très douée, elle le savais, mais une beautée telle ne pouvais pas rester dans l'ombre, mais elle le devais.
Elle, c'est grossier, vous ne croyiez pas ?
Voll', elle aimait ce pseudonyme, son nom donné par ces géniteurs, la sentait si impure, petite, elle présentais déja des signes sociopathes. Elle a vécue une enfance solitaire , nous pouvons croire cela au mépris qu'elle porte aux enfants et aux jeunes parents, ces insultes ne sont même plus cachées, elle se dévergondera à coups sûr.
Mais ... Ne peut-elle pas conter ses démences et autres folies ... elle même ?
Le livre que vous tournez semble de très bonne manufacture mais tout change du tout au tout en tournant les pages , une écriture d'encre noire pressée viens maculer toutes les pages, vous vous arrêterez sur une en particulier, celle ou les contours sont dessinés de ballons crevés : ø
Rien, rien. Il ne pouvais pas faire mieux, me faire plaisir à ce point , ce soumettre tel le petit chien qu'il est. J'adore cette race.
Il m'en faut un autre. Au même pelage, ils se cachent , les bougres, ils me nargents, ils violantent mes pensées, je suis saine, ce petit chien me fait languir, viens chercher, frappe le, soumet le, il est si frêle devant toi.
Ce piège marche à tout les coups, ce mage m'a aidé, l'a brusqué. Ma chausse l'obnubilait, secoue la , c'est bien , laisse le la fixer.
Faît le parler, croise les jambes, pousse le à bout.
C'est un gibier , il le dit lui même, il t'a observé pendant toute la semaine, tu lui sourit à chaque fois, il n'en pouvais plus, tu est belle, tu le fait languir, il s'approche.
Une fois sûre , tu l'emmène marcher , sous un ordre , il te suivera, mon enfant.
Regarde le lac , met le devant toi , il n'a pas le droit de te regarder. Si il détourne le regard , frappe le, il l'a fait, il reste docile.
Tu a ton jouet. Bravo ma chérie.
L'écriture ce calme , mais demeure incompréhensible
( L'usage de petites phrases est voulu , et c'est mon premier texte publié , soyez indulgents )
Mais pourquoi ... La déviance des esprits ne peux être contrôlée, enfin, je pense.
Donc, cette personne, là, je peux la considérer comme le jouet qu'il est, l'utiliser, l'aimer sur un temps limité, sentez le faillir , je le brûlerai, comme les autres.
Cette personne, je peux le décrire en certains mots qui pourrons sans cesse vous inspirer la bassesse des songes dont il est victime, l'être et le paraître ... décrire ... être, paraître.
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Elle semblait hors du temps, elle fixait chaque personne qui pouvais lui sembler interessente, quand ils tournaient la tête vers elle, elle se sentait jubiler, leur adressant un sourire comme pour les happer. Elle.
Son passé la rattrapais , mais personne ne s'était attaché au détail le plus important de celui-ci, une chronologie incorrecte , qu'elle même ne soupçonnais pas l'existence, elle est très douée, elle le savais, mais une beautée telle ne pouvais pas rester dans l'ombre, mais elle le devais.
Elle, c'est grossier, vous ne croyiez pas ?
Voll', elle aimait ce pseudonyme, son nom donné par ces géniteurs, la sentait si impure, petite, elle présentais déja des signes sociopathes. Elle a vécue une enfance solitaire , nous pouvons croire cela au mépris qu'elle porte aux enfants et aux jeunes parents, ces insultes ne sont même plus cachées, elle se dévergondera à coups sûr.
Mais ... Ne peut-elle pas conter ses démences et autres folies ... elle même ?
Le livre que vous tournez semble de très bonne manufacture mais tout change du tout au tout en tournant les pages , une écriture d'encre noire pressée viens maculer toutes les pages, vous vous arrêterez sur une en particulier, celle ou les contours sont dessinés de ballons crevés : ø
Rien, rien. Il ne pouvais pas faire mieux, me faire plaisir à ce point , ce soumettre tel le petit chien qu'il est. J'adore cette race.
Il m'en faut un autre. Au même pelage, ils se cachent , les bougres, ils me nargents, ils violantent mes pensées, je suis saine, ce petit chien me fait languir, viens chercher, frappe le, soumet le, il est si frêle devant toi.
Ce piège marche à tout les coups, ce mage m'a aidé, l'a brusqué. Ma chausse l'obnubilait, secoue la , c'est bien , laisse le la fixer.
Faît le parler, croise les jambes, pousse le à bout.
C'est un gibier , il le dit lui même, il t'a observé pendant toute la semaine, tu lui sourit à chaque fois, il n'en pouvais plus, tu est belle, tu le fait languir, il s'approche.
Une fois sûre , tu l'emmène marcher , sous un ordre , il te suivera, mon enfant.
Regarde le lac , met le devant toi , il n'a pas le droit de te regarder. Si il détourne le regard , frappe le, il l'a fait, il reste docile.
Tu a ton jouet. Bravo ma chérie.
L'écriture ce calme , mais demeure incompréhensible
( L'usage de petites phrases est voulu , et c'est mon premier texte publié , soyez indulgents )
Vollstrecker TrancheSang
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