- Poèmes - Quelques humbles vers....
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Wendy Gibs
Zal'Nash/Jinzüa
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- Poèmes - Quelques humbles vers....
Trés étonnement je n'ai presque pas vu de poèmes et de récits dans cette partie...a croire que ce n'est pas ici ! (auquel cas je vous implore de me dire où les mettre ) Bref, voici un petit poème sans aucune prétention. C'est un poème largement inspiré du mythe de Davy Jones et du Hollandais volant (flying dutchman) ainsi que sur les rimes de l'ancien marinier. Encore une fois, aucun schéma précis dans les rimes (un mélange de croisé et suivie d'une strophe a l'autre), et un rythme irrégulier. Simplement un petit poème qui, sans faire ma fierté me fais sourire entre deux pensées noires. Le voici le voilà.
Fut un temps, où capitaine, l’on m’appelait
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Au quatre coins du monde j’ai navigué,
Jusqu’aux confins de la terre, l’ancre j’ai jeté.
Pendant des années, mon bateau, mon navire
N’a cessé de traverser, ces océans dont j’ai fais mon empire.
Sous le lourd soleil, et les cruelles tempêtes,
Quand l’aventure nous appelait à partir,
De nombreux autre, mon voilier a pris la tête
Que voulez vous ? Pour cela, nous voulions mourir.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Maintes fois, mon arrogance, ma fierté,
Les mers et les vents en furie, ont défié.
Mais jamais, n’ont ils tous put nous emporter,
Jamais typhons ni orage, mon bateau, n’ont échoué.
La mort même, nous avons défié, hélas
Nul homme, jamais, n’a sut en triompher,
Et c’est ici, ici, où toutes choses trépassent,
Que notre fin a nous, fier corsaires j’ai vu arriver.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers je voguais.
Les dieux, cruels, mon équipage, m’ont arraché
Et de mon fidèle navire, jadis un des meilleurs,
Un lugubre vaisseau, sans vie ni joie, ils ont fais ;
Une épave écumant les océans, aux confins de la peur.
La vie, ne me fut pas ôté, a moi, sinistre infortuné
Mais quel châtiment, que celui d’être condamné,
A voguer sur les mers, seul, aux côtés des damnés,
A hanter les flots amers, seul, pour l’éternité.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Voilà des centaines d’années, que je vogue sur ce monde,
Prisonnier, avec quelques autre infortunés,
Dans ce cauchemar sans la moindre pitié
Entravé sur ce désert, qui n’est qu’écume et onde…
Même le vent frais sur ma peau, je ne sens plus,
Les mets sur ma langue, ne sont que des cendres,
De mes yeux mornes, terre je ne vois plus
Depuis tant d’année, en enfer je ne fais que descendre.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers je voguais.
Peut être n’y a il guère d’espoir de repenti,
Pour mes hommes comme pour moi,
Car je le sais, a la mer je suis lié a vie…
Notre bateau, des mers doit rester roi.
Car nous l’aimons la mer, malgré tout,
Malgré cette vie qui perdure,
Malgré cet enfer sans atout,
Malgré cette malédiction, cette âpre morsure.
Nous ne faisons maintenant qu’un avec la mer,
Cela me rappel autrefois, naguère,
Au temps, où capitaine l’on m’appelait
Au temps, où sur les sept mers je voguais.
Voilà... Vous a il plut ? Qu'est ce qui vous a déçut/incommodé ? Partagez !
Fut un temps, où capitaine, l’on m’appelait
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Au quatre coins du monde j’ai navigué,
Jusqu’aux confins de la terre, l’ancre j’ai jeté.
Pendant des années, mon bateau, mon navire
N’a cessé de traverser, ces océans dont j’ai fais mon empire.
Sous le lourd soleil, et les cruelles tempêtes,
Quand l’aventure nous appelait à partir,
De nombreux autre, mon voilier a pris la tête
Que voulez vous ? Pour cela, nous voulions mourir.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Maintes fois, mon arrogance, ma fierté,
Les mers et les vents en furie, ont défié.
Mais jamais, n’ont ils tous put nous emporter,
Jamais typhons ni orage, mon bateau, n’ont échoué.
La mort même, nous avons défié, hélas
Nul homme, jamais, n’a sut en triompher,
Et c’est ici, ici, où toutes choses trépassent,
Que notre fin a nous, fier corsaires j’ai vu arriver.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers je voguais.
Les dieux, cruels, mon équipage, m’ont arraché
Et de mon fidèle navire, jadis un des meilleurs,
Un lugubre vaisseau, sans vie ni joie, ils ont fais ;
Une épave écumant les océans, aux confins de la peur.
La vie, ne me fut pas ôté, a moi, sinistre infortuné
Mais quel châtiment, que celui d’être condamné,
A voguer sur les mers, seul, aux côtés des damnés,
A hanter les flots amers, seul, pour l’éternité.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Voilà des centaines d’années, que je vogue sur ce monde,
Prisonnier, avec quelques autre infortunés,
Dans ce cauchemar sans la moindre pitié
Entravé sur ce désert, qui n’est qu’écume et onde…
Même le vent frais sur ma peau, je ne sens plus,
Les mets sur ma langue, ne sont que des cendres,
De mes yeux mornes, terre je ne vois plus
Depuis tant d’année, en enfer je ne fais que descendre.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers je voguais.
Peut être n’y a il guère d’espoir de repenti,
Pour mes hommes comme pour moi,
Car je le sais, a la mer je suis lié a vie…
Notre bateau, des mers doit rester roi.
Car nous l’aimons la mer, malgré tout,
Malgré cette vie qui perdure,
Malgré cet enfer sans atout,
Malgré cette malédiction, cette âpre morsure.
Nous ne faisons maintenant qu’un avec la mer,
Cela me rappel autrefois, naguère,
Au temps, où capitaine l’on m’appelait
Au temps, où sur les sept mers je voguais.
Voilà... Vous a il plut ? Qu'est ce qui vous a déçut/incommodé ? Partagez !
Dernière édition par Jinzüa le Dim 15 Mai 2011, 19:49, édité 1 fois
Zal'Nash/Jinzüa
Re: - Poèmes - Quelques humbles vers....
J'avoue aussi que je ne m'attendais pas à cela de la part d'un troll ... Mais ton poème m'a fait voyager
No One
Re: - Poèmes - Quelques humbles vers....
Je lirais tes vers demain, mais je me permet de répondre à ta question :
Je t'invite à poster tes récits sur cette section : https://royaumes-rp.1fr1.net/f7-evenements-aventures-et-recits ; cependant sache que la poésie a également sa place dans la section "Art", après tout dépend du contexte
Trés étonnement je n'ai presque pas vu de poèmes et de récits dans cette partie...a croire que ce n'est pas ici ! (auquel cas je vous implore de me dire où les mettre !
Je t'invite à poster tes récits sur cette section : https://royaumes-rp.1fr1.net/f7-evenements-aventures-et-recits ; cependant sache que la poésie a également sa place dans la section "Art", après tout dépend du contexte
Tonerelle/Vorticus- Personnages Joués : Tonerelle
Re: - Poèmes - Quelques humbles vers....
Et bien les Troll sont surprenants décidément !
C'est très beau sinon j'aime beaucoup.
C'est très beau sinon j'aime beaucoup.
Nelliell
Re: - Poèmes - Quelques humbles vers....
En voici un autre, bien plus sombre. Celui là, je ne peux pas vous demander de l'aimer, car très peu de gens en sont capables, tant la vision est acide et cynique bref....plutôt que dans le thème, peut être apprécierez vous la forme. Encore une fois ce poème trahit ma vision de pas mal de chose en ce bas monde...Les plus attentifs d'entre vous trouverons un message caché dans le poème. Le voici le voilà :
"Dors, naïf mortel..."
Dors, naïf mortel, du noir soit prisonnier,
Alors qu’un peuple d’infâmes marionnettes
Nourrissent ta crédulité, d’infâmes vérités
Sifflantes et grinçantes, le concert d’une odieuse fête.
Le diable, ce soir, tire les macabres ficelles
Et les humains, tristes pantins, sont artisans du fiel.
Regarde le ciel, hurlant de rage et de douleur,
En ce monde déverser son immense chagrin,
Véritable spectateur, des rires et des pleures,
Entouré d’un peuple de monstres sanguins.
Plie sous le joug d’un millier de créatures
Et soit témoins de l’atrocité de leur nature
Raffolant de vice et d’affreux plaisirs
Souhaitant de tout leur être te voir souffrir.
O naïf mortel, vois ici l’enfer se réaliser,
Nul part où fuir, ni même te cacher
Nul moyen, ici bas, a nouveau de sourire
En cet endroit, où tu rêvera de mourir.
Non, les beaux jours ne reviendront pas
En ce monde, où au premier jour l’on t’enchaina.
Toutes choses que tu aimais, on te les arracha
Et cela, avant même que tu ne les chérisses.
Nuit et jour tu entendras grogner,
Tes passions affamées, de meurtre et d’avarice.
En ce monde, des dieux, l’on ne pourra te montrer
Nulles preuves, si ce n’est leur immonde cruauté
Devant un peuple de difformes égarés,
Ricanant des infortunés, qui creusent, désespérés,
Avec leur ongles brisés, les murs sordides de la réalité.
Adieu, douces illusions qui nous ont bercées
Grimace désormais, devant l’ignominie de la réalité.
Or en ce monde, tu ne trouvera ni réconfort,
Ni même l’amour sans ça sinistre précarité
Ici bas, vois d’avance le monde que tu a bâtis de tes efforts,
S’écrouler devant tes yeux horrifiés.
Enfin, vois les griffes du diable étriper ta réalité,
Reconstruire des pierres de ton rêve brisé, une vision de l’humanité.
Voici
"Dors, naïf mortel..."
Dors, naïf mortel, du noir soit prisonnier,
Alors qu’un peuple d’infâmes marionnettes
Nourrissent ta crédulité, d’infâmes vérités
Sifflantes et grinçantes, le concert d’une odieuse fête.
Le diable, ce soir, tire les macabres ficelles
Et les humains, tristes pantins, sont artisans du fiel.
Regarde le ciel, hurlant de rage et de douleur,
En ce monde déverser son immense chagrin,
Véritable spectateur, des rires et des pleures,
Entouré d’un peuple de monstres sanguins.
Plie sous le joug d’un millier de créatures
Et soit témoins de l’atrocité de leur nature
Raffolant de vice et d’affreux plaisirs
Souhaitant de tout leur être te voir souffrir.
O naïf mortel, vois ici l’enfer se réaliser,
Nul part où fuir, ni même te cacher
Nul moyen, ici bas, a nouveau de sourire
En cet endroit, où tu rêvera de mourir.
Non, les beaux jours ne reviendront pas
En ce monde, où au premier jour l’on t’enchaina.
Toutes choses que tu aimais, on te les arracha
Et cela, avant même que tu ne les chérisses.
Nuit et jour tu entendras grogner,
Tes passions affamées, de meurtre et d’avarice.
En ce monde, des dieux, l’on ne pourra te montrer
Nulles preuves, si ce n’est leur immonde cruauté
Devant un peuple de difformes égarés,
Ricanant des infortunés, qui creusent, désespérés,
Avec leur ongles brisés, les murs sordides de la réalité.
Adieu, douces illusions qui nous ont bercées
Grimace désormais, devant l’ignominie de la réalité.
Or en ce monde, tu ne trouvera ni réconfort,
Ni même l’amour sans ça sinistre précarité
Ici bas, vois d’avance le monde que tu a bâtis de tes efforts,
S’écrouler devant tes yeux horrifiés.
Enfin, vois les griffes du diable étriper ta réalité,
Reconstruire des pierres de ton rêve brisé, une vision de l’humanité.
Voici
Zal'Nash/Jinzüa
Re: - Poèmes - Quelques humbles vers....
Aaah je bave, j'ai trouvé un Jack Sparrow poète.
*fuit*
(Très joli sinon. ^^)
*fuit*
(Très joli sinon. ^^)
A'sharad- Personnages Joués : Détenduuuuuuuhuhuhu
Re: - Poèmes - Quelques humbles vers....
Un nouveau, assez court et plutôt sympa, intitulé un conte, un poème, une histoire.
Appréciez bien
Un conte, un poème, une histoire
Assied toi mon ami, et laisse moi te raconter
Une folle aventure qui m’est arrivée,
Tous réunis ici, venez donc vous asseoir,
Laissez moi vous narrer un conte, un poème, une histoire.
C’était au temps des aventures, des épopées
Au temps des grandes guerres de jadis,
Au temps où l’on combattait a l’épée,
Au temps où sur terre régnait le vice….
J’étais jeune, et dieu sait que j’étais fier
Avec mes rêve de gloire et d’honneur,
Où je me battais sur terres et mers,
Tel un brave guerrier dénué de peur.
Assied toi mon ami, et laisse moi te raconter
Une folle aventure qui m’est arrivée,
Tous réunis ici, venez donc vous asseoir,
Laissez moi vous narrer un conte, un poème, une histoire.
Un jour las de la morose routine,
Je partis par le sentier qui longeait les plaines,
Rejoindre, une auberge de contrée voisine,
Où trouver de quoi me remplir la bedaine.
Dans cette auberge, un nain j’ai rencontré
Un gaillard costaud et combattant,
Qui a mon aventure se joignit, fasciné,
Ainsi nous repartîmes, tambours battant.
Assied toi mon ami, et laisse moi te raconter
Une folle aventure qui m’est arrivée,
Tous réunis ici, venez donc vous asseoir,
Laissez moi vous narrer un conte, un poème, une histoire.
Des jours et des jours nous avons marché,
A travers sentiers et plaines, jungles et déserts,
Des semaines et des semaines, sans jamais s’arrêter
Pour à l’aventure allé, Dieu sait que le chemin est amer…
Sur le chemin, un troll nous croisâmes
Affamé d’aventure et de savoirs,
Un sage shaman, un magi, une noble âme
Ainsi tout trois, continuâmes notre histoire.
Assied toi mon ami, et laisse moi te raconter
Une folle aventure qui m’est arrivée,
Tous réunis ici, venez donc vous asseoir,
Laissez moi vous narrer un conte, un poème, une histoire.
Pendant notre épopée, une elfe nous a rejoint,
Une guerrière agile, qui se disputait avec le nain…
Avec eux, je peux te dire que nous sommes allé loin,
A la sueur de notre front et à la force de nos mains…
Avec mes trois amis, de créatures nous n’avons pas tué
De grand trésors, aucun d’entre nous n’en a trouvé…
Mais j’ai compris a ce moment, que la plus grande des aventures,
C’est celle faite aux côtés de ses amis, et pas vêtu d’une armure…
Vois tu mon ami, l’aventure ce n’est pas tuer,
Ni même trouver des belles quantités d’or…
Mais bien de vivre sa vie sans aucun regret,
Au côté de ses amis, le plus fabuleux des trésors…
Ces amis, aujourd’hui sont toute ma vie,
Et peut être qu’un jour tu pourras les voir,
Et si jamais tu le veux et si ils ont envie,
Ils te raconteront, un conte, un poème, une histoire.
Appréciez bien
Un conte, un poème, une histoire
Assied toi mon ami, et laisse moi te raconter
Une folle aventure qui m’est arrivée,
Tous réunis ici, venez donc vous asseoir,
Laissez moi vous narrer un conte, un poème, une histoire.
C’était au temps des aventures, des épopées
Au temps des grandes guerres de jadis,
Au temps où l’on combattait a l’épée,
Au temps où sur terre régnait le vice….
J’étais jeune, et dieu sait que j’étais fier
Avec mes rêve de gloire et d’honneur,
Où je me battais sur terres et mers,
Tel un brave guerrier dénué de peur.
Assied toi mon ami, et laisse moi te raconter
Une folle aventure qui m’est arrivée,
Tous réunis ici, venez donc vous asseoir,
Laissez moi vous narrer un conte, un poème, une histoire.
Un jour las de la morose routine,
Je partis par le sentier qui longeait les plaines,
Rejoindre, une auberge de contrée voisine,
Où trouver de quoi me remplir la bedaine.
Dans cette auberge, un nain j’ai rencontré
Un gaillard costaud et combattant,
Qui a mon aventure se joignit, fasciné,
Ainsi nous repartîmes, tambours battant.
Assied toi mon ami, et laisse moi te raconter
Une folle aventure qui m’est arrivée,
Tous réunis ici, venez donc vous asseoir,
Laissez moi vous narrer un conte, un poème, une histoire.
Des jours et des jours nous avons marché,
A travers sentiers et plaines, jungles et déserts,
Des semaines et des semaines, sans jamais s’arrêter
Pour à l’aventure allé, Dieu sait que le chemin est amer…
Sur le chemin, un troll nous croisâmes
Affamé d’aventure et de savoirs,
Un sage shaman, un magi, une noble âme
Ainsi tout trois, continuâmes notre histoire.
Assied toi mon ami, et laisse moi te raconter
Une folle aventure qui m’est arrivée,
Tous réunis ici, venez donc vous asseoir,
Laissez moi vous narrer un conte, un poème, une histoire.
Pendant notre épopée, une elfe nous a rejoint,
Une guerrière agile, qui se disputait avec le nain…
Avec eux, je peux te dire que nous sommes allé loin,
A la sueur de notre front et à la force de nos mains…
Avec mes trois amis, de créatures nous n’avons pas tué
De grand trésors, aucun d’entre nous n’en a trouvé…
Mais j’ai compris a ce moment, que la plus grande des aventures,
C’est celle faite aux côtés de ses amis, et pas vêtu d’une armure…
Vois tu mon ami, l’aventure ce n’est pas tuer,
Ni même trouver des belles quantités d’or…
Mais bien de vivre sa vie sans aucun regret,
Au côté de ses amis, le plus fabuleux des trésors…
Ces amis, aujourd’hui sont toute ma vie,
Et peut être qu’un jour tu pourras les voir,
Et si jamais tu le veux et si ils ont envie,
Ils te raconteront, un conte, un poème, une histoire.
Zal'Nash/Jinzüa
Re: - Poèmes - Quelques humbles vers....
Voici un nouveau poème, toujours de ma composition, plus romantique par rapport aux autre, ayant pour thème l'amour, comme vous l'aurez deviné en le lisant. Il s'intitule "Laisse moi te dire..." Bonne lecture
"Laisse moi te dire...
Comment, en si peu de mot, exprimer
La passion qui me retiens prisonnier ?
Comment pourrais-je te dévoiler,
L’amour qui ne cesse de me consumer ?
Laisses moi te dire ce que tu es pour moi.
Que ce soit au chaud prés du feu palpitant,
Ou lors d’une soirée hivernal, toi
Tu es celle qui enflamme mon corps tremblant.
Que ce soit, au lendemain d’une défaite,
Où, fier, devant tout autre, triomphant,
Tu es celle qui câline mes espoirs souffrants,
Et qui sourit en embrassant mes gloires imparfaites.
Que ce soit au temps de la morne tristesse,
Ou au temps de la joie envahissante,
Tu es celle qui sait faire naître avec finesse,
Un sentiment de joie pure et palpitante.
Comment ne puis-je voir dans ton cœur,
Autre chose que la tendresse et l’amour,
Et cet invincible sentiment de bonheur,
Qui fleurit a tes côtés et qui m’entoure ?
Dans le bonheur comme dans la misère,
Ta présence, ton sourire, ton rire,
Ont sut adoucir mes pensées amères,
Et apaiser les entailles qui me font souffrir.
Que puis-je dire, si ce n’est que j’aperçois,
Dans ta silhouette charmeuse et adorable,
Le reflet embelli par un artiste adroit,
De mon âme fragile et périssable.
Que puis-je dire, si ce n’est que je ne peux,
Concevoir de vivre ici sans toi ;
Il n’y a qu’en toi que mon être malheureux,
Trouve dans la vie une once de joie.
Laisse moi te dire ce que me hurle mon cœur,
Permet moi d’embrasser ces lèvres chéries,
Et d’observer ces yeux plein de douceur,
De caresser cette peau fine et pleine de vie.
Laisses moi te dire ce qui brûle mes veines,
Et te dévoiler ce que en moi tu sèmes,
Ce sentiment que j’ai tu et qui me gêne ;
Enfin laisse moi te dire que je t’aime.
Voilou Qu'en pensez vous ? Partagez vos sentiments
"Laisse moi te dire...
Comment, en si peu de mot, exprimer
La passion qui me retiens prisonnier ?
Comment pourrais-je te dévoiler,
L’amour qui ne cesse de me consumer ?
Laisses moi te dire ce que tu es pour moi.
Que ce soit au chaud prés du feu palpitant,
Ou lors d’une soirée hivernal, toi
Tu es celle qui enflamme mon corps tremblant.
Que ce soit, au lendemain d’une défaite,
Où, fier, devant tout autre, triomphant,
Tu es celle qui câline mes espoirs souffrants,
Et qui sourit en embrassant mes gloires imparfaites.
Que ce soit au temps de la morne tristesse,
Ou au temps de la joie envahissante,
Tu es celle qui sait faire naître avec finesse,
Un sentiment de joie pure et palpitante.
Comment ne puis-je voir dans ton cœur,
Autre chose que la tendresse et l’amour,
Et cet invincible sentiment de bonheur,
Qui fleurit a tes côtés et qui m’entoure ?
Dans le bonheur comme dans la misère,
Ta présence, ton sourire, ton rire,
Ont sut adoucir mes pensées amères,
Et apaiser les entailles qui me font souffrir.
Que puis-je dire, si ce n’est que j’aperçois,
Dans ta silhouette charmeuse et adorable,
Le reflet embelli par un artiste adroit,
De mon âme fragile et périssable.
Que puis-je dire, si ce n’est que je ne peux,
Concevoir de vivre ici sans toi ;
Il n’y a qu’en toi que mon être malheureux,
Trouve dans la vie une once de joie.
Laisse moi te dire ce que me hurle mon cœur,
Permet moi d’embrasser ces lèvres chéries,
Et d’observer ces yeux plein de douceur,
De caresser cette peau fine et pleine de vie.
Laisses moi te dire ce qui brûle mes veines,
Et te dévoiler ce que en moi tu sèmes,
Ce sentiment que j’ai tu et qui me gêne ;
Enfin laisse moi te dire que je t’aime.
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