Olympia de Melaidhrin
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Olympia de Melaidhrin
J'avais six ans lorsque la nouvelle de la chute d'Azeroth et de la fuite de Lothar en Lordaeron parvint à Dalaran.
Les contes dont j'étais le plus friande à cette époque étaient ceux qui narraient la création des Grands Aspects par les Titans dans le but de protéger le monde. Je n'y croyais pas vraiment, mais j'étais émerveillée par la puissance et la sagesse de ces êtres surnaturels. C'est pourquoi ce qui me choqua le plus dans les événement qui suivirent fut d'apprendre que les Fils d'Alexstrasza décimaient maintenant à tour de flamme tout ce qu'ils avaient protégé pendant des éons.
La Grande Guerre faisait rage alors que je restais recluse avec ma famille dans nos terres de Dalaran, mon père faisant partie des mage envoyés en renfort pour soutenir l'Alliance, jusqu'au jour ou nous appriment enfin que la Horde avait été matée et mise sous les Fers... Mon père revint saint et sauf, et j'appris un peu plus tard que l'un des notre, Rhonin, avait libéré la Lieuse de Vie, et vu de ses yeux sa rebellion contre les derniers rebelles orcs, les réduisant à néant. Soulagement.
Les années qui suivirent furent paisibles, les nations de l'alliance se relevaient de leurs cendres, et moi j'apprenais la Magie dans l'une des écoles de Dalaran, l'apres guerre ayant encouragé la créations de nouveaux centres d'instruction, où la selection devenait de moins en moins rude, la crainte d'une nouvelle attaque étant tout de même encore bien présente dans les esprits.
Mes competences ne cessaient de s'accroitre, en même temps que la foi des peuples humains en la Lumière Sacrée, les exploits d'Uther ayant bien aidés pour cela. J'accedais à la robe de mage dans les temps où Kel'Thuzad revint en Lordaeron promettant à qui voulait le suivre dans sa folie la vie éternelle. Ces abhérations n'inquiétèrent pas grand monde en Dalaran, puisque sonnant comme la démence d'un vieil homme sénile, mais trouverent écho, à ce qu'il semblait, dans les plus basses classes ouvrières de Lordaeron...
Le Fléau explosa soudain comme une allumette claquée dans une bouteille de gaz et tout s'enchaina tres vite. Apres la chute de Terenas, nous appriment qu'Arthas marchait sur Dalaran, et je fuyais avec une faible partie des miens vers Theramore. Le voyage fut épouvantable, nous avions tout perdu, et nous decouvrimes que Kalimdor avait été autant dévasté que Lordaeron, suite à la terrible bataille du Mont Hyjal...
Mon père qui avait survécu à la Grande Guerre était de ceux qui soutenaient corps et âme l'amiral Proudmore dans son désir de menner une bataille contre la Horde, mais cela n'eu jamais lieu.. Il fut donc renvoyé à Dalaran ainsi que ceux qui le souhaitaient pour reconstruire la ville. Pour ma part, je restais à Theramore aux côtés des miens, gardant le secret espoir d'une vengeance funeste contre la Horde.
Un apres midi, dans la somptuseuse bibliotheque d'Hurlevent, plongée dans toutes sortes de grimoires biologiques décrivant les differentes especes qui peuplent Azeroth, je fis la connaissance d'un chercheur, venant lui aussi de Theramore. Il travaillait au laboratoire de recherche sur la biodiversité, et nous passames la fin de la journée a discuter. Ravie de croiser enfin une oreille attentive et passionnée, celui-ci me proposait rapidement de me joindre à son équipe. Avec le temps, je me mis à pratiquer des autopsies, à étudier les rouages du corps tant et plus, et finirent par passer sous mes mains maintenant expertes les dépouilles d'humains touchés par la peste. Nous cherchions des réponses et des solutions, et je devins obsédée par le fonctionnement histologique du vivant. Je fus promue thanatopractrice et légiste de l'hopital de Theramore ou je pratique encore aujourd'hui, toujours en quetes de nouvelles especes et nouveaux cadavres à étudier.
Les contes dont j'étais le plus friande à cette époque étaient ceux qui narraient la création des Grands Aspects par les Titans dans le but de protéger le monde. Je n'y croyais pas vraiment, mais j'étais émerveillée par la puissance et la sagesse de ces êtres surnaturels. C'est pourquoi ce qui me choqua le plus dans les événement qui suivirent fut d'apprendre que les Fils d'Alexstrasza décimaient maintenant à tour de flamme tout ce qu'ils avaient protégé pendant des éons.
La Grande Guerre faisait rage alors que je restais recluse avec ma famille dans nos terres de Dalaran, mon père faisant partie des mage envoyés en renfort pour soutenir l'Alliance, jusqu'au jour ou nous appriment enfin que la Horde avait été matée et mise sous les Fers... Mon père revint saint et sauf, et j'appris un peu plus tard que l'un des notre, Rhonin, avait libéré la Lieuse de Vie, et vu de ses yeux sa rebellion contre les derniers rebelles orcs, les réduisant à néant. Soulagement.
Les années qui suivirent furent paisibles, les nations de l'alliance se relevaient de leurs cendres, et moi j'apprenais la Magie dans l'une des écoles de Dalaran, l'apres guerre ayant encouragé la créations de nouveaux centres d'instruction, où la selection devenait de moins en moins rude, la crainte d'une nouvelle attaque étant tout de même encore bien présente dans les esprits.
Mes competences ne cessaient de s'accroitre, en même temps que la foi des peuples humains en la Lumière Sacrée, les exploits d'Uther ayant bien aidés pour cela. J'accedais à la robe de mage dans les temps où Kel'Thuzad revint en Lordaeron promettant à qui voulait le suivre dans sa folie la vie éternelle. Ces abhérations n'inquiétèrent pas grand monde en Dalaran, puisque sonnant comme la démence d'un vieil homme sénile, mais trouverent écho, à ce qu'il semblait, dans les plus basses classes ouvrières de Lordaeron...
Le Fléau explosa soudain comme une allumette claquée dans une bouteille de gaz et tout s'enchaina tres vite. Apres la chute de Terenas, nous appriment qu'Arthas marchait sur Dalaran, et je fuyais avec une faible partie des miens vers Theramore. Le voyage fut épouvantable, nous avions tout perdu, et nous decouvrimes que Kalimdor avait été autant dévasté que Lordaeron, suite à la terrible bataille du Mont Hyjal...
Mon père qui avait survécu à la Grande Guerre était de ceux qui soutenaient corps et âme l'amiral Proudmore dans son désir de menner une bataille contre la Horde, mais cela n'eu jamais lieu.. Il fut donc renvoyé à Dalaran ainsi que ceux qui le souhaitaient pour reconstruire la ville. Pour ma part, je restais à Theramore aux côtés des miens, gardant le secret espoir d'une vengeance funeste contre la Horde.
Un apres midi, dans la somptuseuse bibliotheque d'Hurlevent, plongée dans toutes sortes de grimoires biologiques décrivant les differentes especes qui peuplent Azeroth, je fis la connaissance d'un chercheur, venant lui aussi de Theramore. Il travaillait au laboratoire de recherche sur la biodiversité, et nous passames la fin de la journée a discuter. Ravie de croiser enfin une oreille attentive et passionnée, celui-ci me proposait rapidement de me joindre à son équipe. Avec le temps, je me mis à pratiquer des autopsies, à étudier les rouages du corps tant et plus, et finirent par passer sous mes mains maintenant expertes les dépouilles d'humains touchés par la peste. Nous cherchions des réponses et des solutions, et je devins obsédée par le fonctionnement histologique du vivant. Je fus promue thanatopractrice et légiste de l'hopital de Theramore ou je pratique encore aujourd'hui, toujours en quetes de nouvelles especes et nouveaux cadavres à étudier.
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