Démonologue.
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Démonologue.
(Le style des deux premiers textes sort un peu du lot, datant d'un peu avant l'ouverture de la Porte, et témoignent d'un humour un peu différent.)
Une vie de démoniste.
*Assise à la table d’une auberge à Forgefer, une jeune fille écoutait un groupe d’aventuriers occupés à se chamailler violemment au rez-de-chaussée*
« -Ouaiis, les spé démono c’est trop abusayyy ! Démonoob quoi !
-Ouais, de toute façon, démo c’est cheaté.
-Ils ont un million de points d’vie, et tuent tout, c’est trop nul !
-T’as raison, mais..t’as pas reroll démo toi ?
-Euh, ouais, si, mais c’est pour écraser les gens en pvp !
-Moi j’pourrais pas, j’les hais trop, alors… »
*Valshéa sortit calmement du bâtiment, se fraya un chemine vers le centre de la ville bruyante et enfumée, ou elle prit un griphon., Quittant la capitale, elle fini par arriver dans une région à l’apparence hostile et déserte, aux crevasses sillonnées de lave et parcourues par diverses bestioles qui grondaient/grinçaient/sifflaient/bavaient -rayez les mentions inutiles- pour se retrouver seule.
Elle jetta un coup d’œil à droite et à gauche, histoire se ne pas être dérangée et…des rayons lumineux dansèrent au-dessus de sa tête. Un colosse s’inclina lentement devant sa maîtresse.*
« Oups...désolée Jhuutom, mauvaise incantation. Au revoiiir ! »
*La haute silhouette disparut. Valshéa se concentra un peu mieux et…*
« …Grrreuuuhhhhh…. »
*Un Marcheur du Vide oscillait à la place de son prédécesseur*
« Ah, bonjour mon Klathgarth ! Bon sang tu m’as manqué durant ces quelques heures…»
« Gruehh ? »
« Tu sais bien que je préfère être seule quand je me balade en ville. En plus je n’aime pas ces regards sots de la part des autres. »
« Uhhmm »
« En plus tu es toujours à te traîner derrière moi, fort peu pratique. »
« Grah ! »
« Tu n’as pas de lacets à renouer ! Tu n’as même pas de souliers ! Et ne soit pas insolent s’il-te-plaît.
« ….. »
« Allez, au travail. »
*Klathgarth suivit sa maîtresse, qui avait décidée de récolter des écailles de dragons aujourd’hui. Il fût relançé inlassablement vers les dragonnets, voir aussi quelques worgs et araignées trop curieux. Puis vint le moment d’une petite pause, au cours de laquelle Valshéa décida de casser la croûte.*
« Tu sais...nous ne sommes pas trop aimés. Nous avons même une mauvaise réputation chez les autres démonistes *pince les lèvres*. Comme si n’avions suivis cette voie que pour trouver de la gloire facile. Peuh…moi par exemple : je ne mets les pieds sur les fameux champs de bataille qu’une ou eux fois par mois. C’est donc très très peu…glorieux *tousse* mais je m’en moque, je viens pour trouver...un certain amusement, pour un bref changement. Bien sûr, j’ai déjà consulté des ouvrages écrits par de vrais vétérans expérimentés. »
*Regarde un instant Klathgarth qui ne commente pas*
« Il y a parfois eu des moments ou tu…euh...en fait, non, pas toi, c’est un monde hostile pour toi trésor, mais parfois Aeltai, Pagjug ou mon délicieux petit Czzadrom si bondissant, nous avons eu des minutes de grand plaisir et de défi ! »
*Se perche sur une petite butte et contemple la vallée en contrebas.*
« Certains d’entre nous ont choisis cette voie de démonologue car ils l’aimaient, leurs familiers sont précieux à leurs yeux, c’est un mode de vie fort paisible, oui. Toi, mon cher Klathgarth *le Marcheur s’agite de façon enthousiaste à son nom* tu ne crée pas de soucis et tu obéis bien.
Bon...après…je suis fragile si je suis seule…mes malédictions font rire mes collègues, grumfff…Qu’ils rient. »
*Jette son trognon de pomme d’un geste maussade*
« Ca changera peut-être, mais je suis contente d’avoir ma petite indépendance. *Klathgarth dodeline joyeusement* Ouii, je sais, on va repartir, tu es aussi impatient.
*Valshéa rassemble ses affaires, lisse sa robe soigneusement et commence à s’éloigner à cheval, avant de lancer un dernier appel…*
« Klaaaaaathgaaaarth, bouge tes tentacules et vieeeens !... »
Une vie de démoniste.
*Assise à la table d’une auberge à Forgefer, une jeune fille écoutait un groupe d’aventuriers occupés à se chamailler violemment au rez-de-chaussée*
« -Ouaiis, les spé démono c’est trop abusayyy ! Démonoob quoi !
-Ouais, de toute façon, démo c’est cheaté.
-Ils ont un million de points d’vie, et tuent tout, c’est trop nul !
-T’as raison, mais..t’as pas reroll démo toi ?
-Euh, ouais, si, mais c’est pour écraser les gens en pvp !
-Moi j’pourrais pas, j’les hais trop, alors… »
*Valshéa sortit calmement du bâtiment, se fraya un chemine vers le centre de la ville bruyante et enfumée, ou elle prit un griphon., Quittant la capitale, elle fini par arriver dans une région à l’apparence hostile et déserte, aux crevasses sillonnées de lave et parcourues par diverses bestioles qui grondaient/grinçaient/sifflaient/bavaient -rayez les mentions inutiles- pour se retrouver seule.
Elle jetta un coup d’œil à droite et à gauche, histoire se ne pas être dérangée et…des rayons lumineux dansèrent au-dessus de sa tête. Un colosse s’inclina lentement devant sa maîtresse.*
« Oups...désolée Jhuutom, mauvaise incantation. Au revoiiir ! »
*La haute silhouette disparut. Valshéa se concentra un peu mieux et…*
« …Grrreuuuhhhhh…. »
*Un Marcheur du Vide oscillait à la place de son prédécesseur*
« Ah, bonjour mon Klathgarth ! Bon sang tu m’as manqué durant ces quelques heures…»
« Gruehh ? »
« Tu sais bien que je préfère être seule quand je me balade en ville. En plus je n’aime pas ces regards sots de la part des autres. »
« Uhhmm »
« En plus tu es toujours à te traîner derrière moi, fort peu pratique. »
« Grah ! »
« Tu n’as pas de lacets à renouer ! Tu n’as même pas de souliers ! Et ne soit pas insolent s’il-te-plaît.
« ….. »
« Allez, au travail. »
*Klathgarth suivit sa maîtresse, qui avait décidée de récolter des écailles de dragons aujourd’hui. Il fût relançé inlassablement vers les dragonnets, voir aussi quelques worgs et araignées trop curieux. Puis vint le moment d’une petite pause, au cours de laquelle Valshéa décida de casser la croûte.*
« Tu sais...nous ne sommes pas trop aimés. Nous avons même une mauvaise réputation chez les autres démonistes *pince les lèvres*. Comme si n’avions suivis cette voie que pour trouver de la gloire facile. Peuh…moi par exemple : je ne mets les pieds sur les fameux champs de bataille qu’une ou eux fois par mois. C’est donc très très peu…glorieux *tousse* mais je m’en moque, je viens pour trouver...un certain amusement, pour un bref changement. Bien sûr, j’ai déjà consulté des ouvrages écrits par de vrais vétérans expérimentés. »
*Regarde un instant Klathgarth qui ne commente pas*
« Il y a parfois eu des moments ou tu…euh...en fait, non, pas toi, c’est un monde hostile pour toi trésor, mais parfois Aeltai, Pagjug ou mon délicieux petit Czzadrom si bondissant, nous avons eu des minutes de grand plaisir et de défi ! »
*Se perche sur une petite butte et contemple la vallée en contrebas.*
« Certains d’entre nous ont choisis cette voie de démonologue car ils l’aimaient, leurs familiers sont précieux à leurs yeux, c’est un mode de vie fort paisible, oui. Toi, mon cher Klathgarth *le Marcheur s’agite de façon enthousiaste à son nom* tu ne crée pas de soucis et tu obéis bien.
Bon...après…je suis fragile si je suis seule…mes malédictions font rire mes collègues, grumfff…Qu’ils rient. »
*Jette son trognon de pomme d’un geste maussade*
« Ca changera peut-être, mais je suis contente d’avoir ma petite indépendance. *Klathgarth dodeline joyeusement* Ouii, je sais, on va repartir, tu es aussi impatient.
*Valshéa rassemble ses affaires, lisse sa robe soigneusement et commence à s’éloigner à cheval, avant de lancer un dernier appel…*
« Klaaaaaathgaaaarth, bouge tes tentacules et vieeeens !... »
Gahil- Personnages Joués : Une ribambelle.
Re: Démonologue.
A la bataille.
« Slt »
« lu’ »
« buff plizz ?!! »
« Bon les gars on y va stratégie maintenant, alors les groupes là iront… »
« GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!!!!!!!!! »
Plusieurs montures se jettent sur pêle-mêle sur une imposante barrière qui cède et dévalent la pente, faisant voler les mottes de terre, leurs cavaliers dans un état proche de la transe, regard fixe et avec parfois un soupçon d’écume aux lèvres.
Valshéa vérifie de n’avoir pas égaré son familier (ben quoi, il a pu se perdre, hein), invoque son cheval, déroule une carte et se penche dessus avec application et l’air concentrée. Les petits points en mouvement filent aux divers positions inspirant la convoitise de tous (sans doute le fantasme de posséder une petite fermette grouillante de volailles pour y finir ses vieux jours). Par chance, l’un de ses endroits favoris semble ignoré par les « troupes »…
La mine, ou « Devinez-pas-les-gens-planqués-sur-les-toits »
Résignée à devoir supporter le Gangregarde, il s’agissait de le mettre le plus loin possible, pour un petit effet de surprise.
(« Maîtresse, que veut-tu que je fasse dans ce buisson ? Mon rôle est d’assurer ta protection en tous li… »
« Chut ! C’est un ordre, tu restes dans ce buisson et tu te fais discret. »
« Quel…. »
« Et ne fais pas cogner ta hache dans les branchages, ça s’entend de loin ! »)
Inspirée par certains exemples déjà remarqués, et pour avoir testé cette pratique, la démoniste se hissa tant bien que mal sur le haut toit surplombant l’entrée de la mine, faisant tomber deux trois tuiles dans un fracas peu apprécié des autres défenseurs qui venaient de la rejoindre à ce post, et faisaient des rondes autour dudit drapeau (« Mes amis !...Ce drapeau est la CLEF de notre bataille ! Voir flotter ce noble exemple de propriété est la raison pour laquelle vous êtes tous réunis ici en ce jour et j’ai l’immense fierté de vous…oui jeune fille ? Mon rôle ? Eh bien il me reviendra la noooble tâche de tous vous récompenser à l’issue de ce combat, par l’envoi de maaarques d’appréciation, tout ceci, bien sûr, influencera la réputation que vous aurez au regard de mes supérieurs. D’autres questions ?...Ca ira ? dans ce cas, veuillez tous me suivre par ici…)
Enfin perchée sur son poste de surveillance, Jhuutom plus ou moins dissimulé en contrebas, Valshéa fixait l’horizon de tous côtés, se retournant fréquemment avec nervosité pour regarder dans son dos, souvenir de quelques rencontres douloureuses avec des agents des ombres. Enfin un petit groupe descendit pour passer à l’attaque, et toute hésitation fût vite bannie.
« GG les gars »
« inc SCIERIIIE !!!! »
« go ferme, sont que 2 »
« defffff ! »
Lançant quelques modestes malédictions (de loin, les tâches de sang partent mal au nettoyage), supervisant Jhuutom, qui était heureux de pouvoir quitter son buisson, et l’était moins lorsqu’il devait y retourner dans les moments de répit, Valshéa gardait régulièrement un œil sur ses alliés et toujours, dans son dos autant que possible !
La bataille faisant rage plus férocement, et tournant en faveur de la Horde, la démoniste finit par se jeter elle-même du toit (« …..aie…saleté de bûches.. »), courant un peu partout, et essayant de survivre, faisant rarement appel à un sort basique de défense qui était la spécialité de son ordre, à savoir la Peur,(« v..iiteeuh, lancer ce truc, vite-vite-vite… aaaarg ») gardant une dent contre les détracteurs de cette technique et voulant prouver qu’on pouvait se battre « presque » sans. Elle avait aussi un réflexe de pitié envers certains soigneurs adverses, et détestait les combattre, mais le combat étant ainsi, il fallait surmonter cela. (« Naonn...pas le druide, va-t-en ! va-t-en !Remonte ce sentier tout d’suite ! Bon, désolée, j’suis méchante, c’est la guerre… » …lédiction des langages touche…Trait de l’Ombre touche…et lui inflige…)
Certaines hésitations sont souvent fatales, et cela pour tout le monde. (« Un mage, bon, euh, y’a quoi d’autre avec lui et…aaaaaaie, boule de feu pique…ghh…bon alors je..aaaaaaaaaie, non ! Retraite, retraite, fuir, surviv…. » Vous êtes mort(e).)
A la fin de ces heures trépidantes, Valshéa revint d’un pas épuisé vers l’enthousiaste officier du début, qui lui décocha un grand sourire charmeur et lui donna ses « récompenses », qu’elle récupéra avec lassitude avant de se diriger vers la sortie.
« N’oubliez pas !...Tous vos bons et loyaux services envers nos forces seront encore dûment récompensés et vous aurez la joie de satisfaire mes sup… ! »
Voile Mortel touche Officier et le fait trébucher dans les escaliers après une course de plusieurs mètres sur la jambe gauche, inflige 144 points de dégâts à son nez proéminant par le bref contact avec [Chandelier sur pied]. Vous gagnez Sourire. Vous gagnez Bonne humeur. Bonne journée à vous, démonologue.
« Slt »
« lu’ »
« buff plizz ?!! »
« Bon les gars on y va stratégie maintenant, alors les groupes là iront… »
« GOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!!!!!!!!! »
Plusieurs montures se jettent sur pêle-mêle sur une imposante barrière qui cède et dévalent la pente, faisant voler les mottes de terre, leurs cavaliers dans un état proche de la transe, regard fixe et avec parfois un soupçon d’écume aux lèvres.
Valshéa vérifie de n’avoir pas égaré son familier (ben quoi, il a pu se perdre, hein), invoque son cheval, déroule une carte et se penche dessus avec application et l’air concentrée. Les petits points en mouvement filent aux divers positions inspirant la convoitise de tous (sans doute le fantasme de posséder une petite fermette grouillante de volailles pour y finir ses vieux jours). Par chance, l’un de ses endroits favoris semble ignoré par les « troupes »…
La mine, ou « Devinez-pas-les-gens-planqués-sur-les-toits »
Résignée à devoir supporter le Gangregarde, il s’agissait de le mettre le plus loin possible, pour un petit effet de surprise.
(« Maîtresse, que veut-tu que je fasse dans ce buisson ? Mon rôle est d’assurer ta protection en tous li… »
« Chut ! C’est un ordre, tu restes dans ce buisson et tu te fais discret. »
« Quel…. »
« Et ne fais pas cogner ta hache dans les branchages, ça s’entend de loin ! »)
Inspirée par certains exemples déjà remarqués, et pour avoir testé cette pratique, la démoniste se hissa tant bien que mal sur le haut toit surplombant l’entrée de la mine, faisant tomber deux trois tuiles dans un fracas peu apprécié des autres défenseurs qui venaient de la rejoindre à ce post, et faisaient des rondes autour dudit drapeau (« Mes amis !...Ce drapeau est la CLEF de notre bataille ! Voir flotter ce noble exemple de propriété est la raison pour laquelle vous êtes tous réunis ici en ce jour et j’ai l’immense fierté de vous…oui jeune fille ? Mon rôle ? Eh bien il me reviendra la noooble tâche de tous vous récompenser à l’issue de ce combat, par l’envoi de maaarques d’appréciation, tout ceci, bien sûr, influencera la réputation que vous aurez au regard de mes supérieurs. D’autres questions ?...Ca ira ? dans ce cas, veuillez tous me suivre par ici…)
Enfin perchée sur son poste de surveillance, Jhuutom plus ou moins dissimulé en contrebas, Valshéa fixait l’horizon de tous côtés, se retournant fréquemment avec nervosité pour regarder dans son dos, souvenir de quelques rencontres douloureuses avec des agents des ombres. Enfin un petit groupe descendit pour passer à l’attaque, et toute hésitation fût vite bannie.
« GG les gars »
« inc SCIERIIIE !!!! »
« go ferme, sont que 2 »
« defffff ! »
Lançant quelques modestes malédictions (de loin, les tâches de sang partent mal au nettoyage), supervisant Jhuutom, qui était heureux de pouvoir quitter son buisson, et l’était moins lorsqu’il devait y retourner dans les moments de répit, Valshéa gardait régulièrement un œil sur ses alliés et toujours, dans son dos autant que possible !
La bataille faisant rage plus férocement, et tournant en faveur de la Horde, la démoniste finit par se jeter elle-même du toit (« …..aie…saleté de bûches.. »), courant un peu partout, et essayant de survivre, faisant rarement appel à un sort basique de défense qui était la spécialité de son ordre, à savoir la Peur,(« v..iiteeuh, lancer ce truc, vite-vite-vite… aaaarg ») gardant une dent contre les détracteurs de cette technique et voulant prouver qu’on pouvait se battre « presque » sans. Elle avait aussi un réflexe de pitié envers certains soigneurs adverses, et détestait les combattre, mais le combat étant ainsi, il fallait surmonter cela. (« Naonn...pas le druide, va-t-en ! va-t-en !Remonte ce sentier tout d’suite ! Bon, désolée, j’suis méchante, c’est la guerre… » …lédiction des langages touche…Trait de l’Ombre touche…et lui inflige…)
Certaines hésitations sont souvent fatales, et cela pour tout le monde. (« Un mage, bon, euh, y’a quoi d’autre avec lui et…aaaaaaie, boule de feu pique…ghh…bon alors je..aaaaaaaaaie, non ! Retraite, retraite, fuir, surviv…. » Vous êtes mort(e).)
A la fin de ces heures trépidantes, Valshéa revint d’un pas épuisé vers l’enthousiaste officier du début, qui lui décocha un grand sourire charmeur et lui donna ses « récompenses », qu’elle récupéra avec lassitude avant de se diriger vers la sortie.
« N’oubliez pas !...Tous vos bons et loyaux services envers nos forces seront encore dûment récompensés et vous aurez la joie de satisfaire mes sup… ! »
Voile Mortel touche Officier et le fait trébucher dans les escaliers après une course de plusieurs mètres sur la jambe gauche, inflige 144 points de dégâts à son nez proéminant par le bref contact avec [Chandelier sur pied]. Vous gagnez Sourire. Vous gagnez Bonne humeur. Bonne journée à vous, démonologue.
Gahil- Personnages Joués : Une ribambelle.
Re: Démonologue.
Rencontre.
Elle attendait dans l'ombre, fine silhouette immobile, les mains croisées sur le ventre. C'était ça la ferme des Balnir? Ruines ridicules, spectres et non-morts tout aussi ridicules traînant leurs pieds difformes sur la terre retournée ou l'effleurant dans un bruit de soie. Aucune trace de celle qu'elle avait entraperçue sur la route, l'ancienne maîtresse des lieux, Izhann Balnir.
Elle l'avait reconnue malgré son état de Mort-Vivante, étant donné qu'elle avait côtoyée la mortelle de son vivant. Belle, la même chevelure blonde et soyeuse tombant dans son dos, mais à présent froide. Les orbites creuses l'avait fixée durant quelques longues minutes avant de disparaître sans que Valshéa puisse la poursuivre.
Elle devait être heureuse maintenant...libre et seule, son idiot de mari tombé lors de la chute de Lordaeron, elle qui avait toujours été une dame comme il faut, contrainte à supporter une vie ennuyeuse avec toutes les convenances demandées à une noble. Valshéa l'avait comprise à cette époque, bien que n'étant elle-même pas très âgée. Le pouvoir par les ombres...Maintenant les deux femmes d'autrefois étaient libres, l'une ayant trouvée sa force après une mort peu riante, l'autre s'étant faufilée doucement par une voie interdite.
Bruit de branches derrière elle.
- Tu reviendras? Izhann la regardait, blanche et immobile, reflet du passé pourtant tangible.
- Oh oui je reviendrai... Répondit-elle avec un sourire.
Les feuilles mortes bruissaient dans le vent...
Elle attendait dans l'ombre, fine silhouette immobile, les mains croisées sur le ventre. C'était ça la ferme des Balnir? Ruines ridicules, spectres et non-morts tout aussi ridicules traînant leurs pieds difformes sur la terre retournée ou l'effleurant dans un bruit de soie. Aucune trace de celle qu'elle avait entraperçue sur la route, l'ancienne maîtresse des lieux, Izhann Balnir.
Elle l'avait reconnue malgré son état de Mort-Vivante, étant donné qu'elle avait côtoyée la mortelle de son vivant. Belle, la même chevelure blonde et soyeuse tombant dans son dos, mais à présent froide. Les orbites creuses l'avait fixée durant quelques longues minutes avant de disparaître sans que Valshéa puisse la poursuivre.
Elle devait être heureuse maintenant...libre et seule, son idiot de mari tombé lors de la chute de Lordaeron, elle qui avait toujours été une dame comme il faut, contrainte à supporter une vie ennuyeuse avec toutes les convenances demandées à une noble. Valshéa l'avait comprise à cette époque, bien que n'étant elle-même pas très âgée. Le pouvoir par les ombres...Maintenant les deux femmes d'autrefois étaient libres, l'une ayant trouvée sa force après une mort peu riante, l'autre s'étant faufilée doucement par une voie interdite.
Bruit de branches derrière elle.
- Tu reviendras? Izhann la regardait, blanche et immobile, reflet du passé pourtant tangible.
- Oh oui je reviendrai... Répondit-elle avec un sourire.
Les feuilles mortes bruissaient dans le vent...
Dernière édition par Gahil le Mer 08 Oct 2008, 11:40, édité 1 fois
Gahil- Personnages Joués : Une ribambelle.
Re: Démonologue.
Quelques achats.
La robe tombait à ses pieds, lourde et ample. A sa gauche un miroir, à sa droite la couturière, un peu nerveuse.
- Je peux l'avoir aussi dans une autre gamme de couleurs... La femme se détourna bien vite et revint au comptoir, commençant à fouiller dans les réserves.
Regardant la glace qui lui renvoyait l'image d'une jeune fille blonde pas très grande, à la silhouette d'adolescente, Valshéa se permit un bref sourire. Puis avec des manières très comme il faut, elle revint vers la femme, frôlant le comptoir de bois et sortit un peu d'argent d'une sacoche restée posée dessus.
- Je prends celle-là.
Bredouillement amical de la vendeuse, qui récupéra l'argent et n'eut que le temps que saluer sa cliente avant que celle-ci ne sorte de la boutique.
Le bruit de ses pas étouffés par l'herbe, Valshéa lança un regard ennuyé vers la Tour des mages, et tout aussi distant vers un adepte des arcanes qui en descendait justement. Elle marcha tranquillement vers une autre ruelle, longea des façades fleuries, pour arriver à une autre petite place toute ronde. La pancarte de la boutique de feux d'artifices sembla la distraire un moment, avant qu'une forme sombre et indistincte n'apparaisse près des arbres, se déplaçant par à coups.
- Viens.
Le Chasseur corrompu fila doucement vers elle dans un frottement d'écailles. Tous deux s'installèrent au bord d'un petit muret, la jeune fille assise jambes croisées, le démon blotti contre sa cuisse, antennes s'agitant dans l'air, comme à l'écoute.
Une main commença à le caresser.
La robe tombait à ses pieds, lourde et ample. A sa gauche un miroir, à sa droite la couturière, un peu nerveuse.
- Je peux l'avoir aussi dans une autre gamme de couleurs... La femme se détourna bien vite et revint au comptoir, commençant à fouiller dans les réserves.
Regardant la glace qui lui renvoyait l'image d'une jeune fille blonde pas très grande, à la silhouette d'adolescente, Valshéa se permit un bref sourire. Puis avec des manières très comme il faut, elle revint vers la femme, frôlant le comptoir de bois et sortit un peu d'argent d'une sacoche restée posée dessus.
- Je prends celle-là.
Bredouillement amical de la vendeuse, qui récupéra l'argent et n'eut que le temps que saluer sa cliente avant que celle-ci ne sorte de la boutique.
Le bruit de ses pas étouffés par l'herbe, Valshéa lança un regard ennuyé vers la Tour des mages, et tout aussi distant vers un adepte des arcanes qui en descendait justement. Elle marcha tranquillement vers une autre ruelle, longea des façades fleuries, pour arriver à une autre petite place toute ronde. La pancarte de la boutique de feux d'artifices sembla la distraire un moment, avant qu'une forme sombre et indistincte n'apparaisse près des arbres, se déplaçant par à coups.
- Viens.
Le Chasseur corrompu fila doucement vers elle dans un frottement d'écailles. Tous deux s'installèrent au bord d'un petit muret, la jeune fille assise jambes croisées, le démon blotti contre sa cuisse, antennes s'agitant dans l'air, comme à l'écoute.
Une main commença à le caresser.
Dernière édition par Gahil le Mer 08 Oct 2008, 11:41, édité 1 fois
Gahil- Personnages Joués : Une ribambelle.
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