Henry Jones, « Comprendre le passé pour découvrir le futur »
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Henry Jones, « Comprendre le passé pour découvrir le futur »
Message de l'auteur a écrit:N'hésitez pas à me soumettre vos corrections par MP, qu'elles soient simplement orthographiques ou plus en rapport avec le contenu / le lore, je suis preneuse ! Merci d'avance et bonne lecture.
En bref a écrit:
Identité : Henry Jones
Emploi : Archéologue
Âge : Vieux
Race : Humain
Lieu de résidence : VoyageurHenry mesure 1 mètre 90. Sa peau très blanche fait ressortir ses yeux pers. Les parties les plus visibles de sa figure sont marquées par une cicatrice qui traverse tout le coté gauche de son visage.
Ses cheveux épais, en bataille, sont d’un gris très clair. Sa barbe couvre presque intégralement le bas de son visage et retombe sous son menton telle une stalactite. On peut y remarquer des tessons de glace, de pierre ou de poussière emmêlés dans ses poils partiellement gelés.
Ses mains imposantes et crevassées tranchent avec le reste de sa peau, elles sont gercées et plus sombres. Son abdomen est musclé, c’est un homme bien bâti, robuste et fort.
On le verra le plus souvent porter des vêtements de travailleur, usés ou en lambeaux et crasseux, avec un pantalon en cuir, une chemise légère, une paire de bretelles et des bottes en cuir renforcé.
Comportement avec la Horde : Ne s'intéresse pas à la politique. « Œil pour œil ! Et j'ai toujours mes deux yeux ! »
Aime : Sentir la fraîcheur du matin, les trouvailles inattendues
N'aime pas : Le désordre, les pilleurs de tombes, les voleurs
Devise : « Il y a toujours quelque chose à trouver. »
Citation : « Si tu veux connaître le futur, ne consulte pas le tarot ou les voyants. Regarde vers le passé. On en apprends plus de nos ancêtres que de nos enfants. »
Henry est issu d’une famille de fermiers qui avait élu domicile dans une maisonnette sur le bord de la rivière séparant la forêt d’Elwynn du Bois de la Pénombre. Ils avaient leur propre lopin de terre, raison pour laquelle tous les membres de la famille avaient du travail à faire.
Le père d’Henry, fermier dans le sang, ne s’économisait jamais. Il travaillait durement. Il décida que son fils serait un artisan, dans la construction ou la maçonnerie. Sa mère tenait le rôle de celle qui réconfortait, faisait le ménage et les corvées, cuisinait, tricotait…
Ses deux parents inculquèrent de concert à Henry tout ce qu’il fallait savoir sur la vie, combien elle était difficile et à quels dangers il pourrait s’exposer. Pendant son enfance, Henry commença à s’aventurer dans la forêt d’Elwynn, découvrant les merveilles qu’elle renfermait, il s’intéressa aux animaux et aux gens la peuplant, visita Hurlevent de plus en plus fréquemment, jusqu’à en être fasciné par son histoire et ses splendeurs.
Un jour, tandis qu’il marchait le long des canaux, il repéra une pièce en or au fond de l’eau. Quand il fut sur que personne ne le regardait, il se jeta à l’eau pour la récupérer. Il la mis rapidement dans une poche et courut pour la montrer à ses parents. La pièce était faite d’un or très pur et portait des inscriptions qu’il n’arrivait pas à déchiffrer. Un visage ressortait de la face opposée de la pièce.
Son père identifia la pièce comme étant un vestige de la Seconde Guerre. Enchanté par sa découverte, Henry devint attiré par l’histoire de cette pièce : son contexte, ses secrets… A qui avait-elle appartenu ? Avait-elle était lancé dans le canal par un homme superstitieux qui espérait que son rêve se réalise ? Etait-elle tombée des poches d’un riche noble sur la route du château pour rencontrer le Roi ? Ou avait-elle était volée par un détrousseur de la Vieille Ville ? Il savait pertinemment qu’il ne connaîtrait jamais le propriétaire de cette pièce mais les scénarios qu’elle faisait imaginer à ce jeune homme suffisaient à le faire déborder d’excitation.
A partir de ce moment, le jeune Henry se mis à chercher scrupuleusement le moindre artéfact ancien qu’il put trouver, que cela soit une vieille botte près de chez lui, le manche rouillé d’une épée oubliée depuis trop longtemps sur un ancien champ de bataille, ou un morceau de roche orné d’inscriptions trouvé au fond du lac. Henry venait de trouver ce qu’il voulait faire de sa vie. Il comprit que son but n’était pas de découvrir ce que le monde lui réservait, mais de ce que la vie avait offert à d’autres avant lui et ce qu’elle avait signifié pour eux.
En grandissant, il se mis à voyager régulièrement en Norfendre dans l’espoir de compléter ses connaissances sur les campements trolls de Zul’Drak mais aussi pour organiser des fouilles près de la Couronne de Glace ou dans le Bassin de Sholazar.
En se servant de ce qu’il avait appris auprès des maîtres archéologues d’Hurlevent, il prit la mer jusqu’en Norfendre au moment où on commençait la construction de grands édifices comme le donjon de la Bravoure. Il avait la trentaine et aurait préféré partir plus tôt mais les tensions grandissantes avec le Fléau et la peur grandissante envers le Roi Liche décourageaient ses compagnons. Mais comme l’attaque était la meilleure et surtout l’unique solution de la Horde et de l’Alliance, les gens finirent par s’installer en Norfendre.
Quand il accosta sur les cotes de la Toundra Boréenne, on venait tout juste de finir la construction du donjon de la Bravoure et la zone commençait à se peupler plus densément. Il était plus facile de trouver un endroit où loger pour Henry et ses deux acolytes : Séréna Branchedorée, une elfe de la nuit, et Hans Dentdacier, un nain. Hans était les muscles, Séréna la boussole : ses talents pour la navigation étaient inouïs. Quand les trois eurent trouvé où passer la nuit, ils organisèrent leur itinéraire. Il s’agissait de traverser la toundra jusqu’au bassin de Sholazar afin d’enquête sur les titans.
Pendant 5 jours et 5 nuits ils traversèrent les paysages merveilleux de la Toundra Boréenne jusqu’à arriver à leur destination. Le petit groupe installa un camp au milieu du bassin de Sholazar afin d’y séjourner deux semaines. Ils trouvèrent toutes sortes d’artefacts ésotériques, des bracelets aux calices en passant par les tablettes manuscrites. Ces trouvailles étaient exceptionnelles et il en restait tant d’autres à mettre au jour. Etant donné que Sholazar était resté intact pendant des années, il y avait beaucoup de choses à déterrer. Dépassé par ce résultat, Henry décida de s’enfoncer encore plus loin dans le Norfendre afin de découvrir plus de choses en rapport avec son histoire et peut être mettre la main sur des artéfacts encore plus impressionnants.
Ils voyagèrent des jours entiers de Sholazar jusqu’à la Désolation des Dragons, le trajet prenait plus de temps de prévu car il fallait installer des campements de fortune pour se reposer en route et établir des itinéraires. Après une semaine, ils arrivirent finalement au donjon de Garde-Hiver, un petit bastion qui défendait la région d’une poignée de créatures du Roi Liche.
Séréna et Henry appréhendaient de se déplacer vers un endroit encore plus hostile au lieu de rejoindre leur point de chute prévu, le Fjord Hurlant. Mais étant donné qu’ils commençaient à manquer de vivres et que Hans manquait d’action depuis plusieurs semaines, celui-ci parvint à convaincre le petit groupe de s’engager pour « aider l’Alliance » et « apporter leur contribution à la défense du territoire contre la menace du Roi Liche ». Il répétait ça constamment de façon à réveiller le patriotisme de l’une ou de l’autre même si au fond le but de la manœuvre était surtout d’aller se battre peut importe le motif.
Au donjon de Garde-Hiver, ils furent envoyés directement sur le champ de bataille. On offrit à Harry et Séréna de quoi s’équiper pour cette bataille titanesque et on les envoya avec d’autres volontaires sur le front face au Fléau.
Hans était à la tête du groupe quand la charge eut lieu, en partie parce qu’il avait déjà subi un entrainement militaire, mais aussi parce qu’il avait vraiment la volonté d’en découdre. Plusieurs créatures du Fléau se précipitèrent vers les combattants aux premières lignes, criant et mugissant aussi fort qu’elles pouvaient. L’ombre sinistre de Naxxramas couvrait une grande partie des lieux et impressionnait beaucoup les petits groupes de combattants au sol.
Pendant plus d’une heure, le groupe composé de 15 combattants affronta sans discontinuer les morts-vivants, quelques un avaient péri et la plupart étaient blessés que ça soit par l’ennemi ou par le manque d’expérience de certains qui faisaient voler leurs haches ou leurs épées en espérant toucher quelque chose.
C’est alors que les forces du Fléau se mirent à diminuer, puis à s’arrêter. Le groupe se tenait prêt à battre en retraite en emportant les morts et les mourants, quand tout à coup une gigantesque monstruosité se mis à charger dans leur direction. Cette abomination mesurait près de 5 mètres de haut et était constituée d’un amas de chair pourrissante. D’un seul coup de son couperet couvert de sang, il souscrit 4 des soldats du groupe qui était maintenant en train de fuir pour sa survie. Un deuxième coup pris 4 autres vies et le coup final amocha le dos d’Henry. Avant même de comprendre la situation, son corps s’envola dans les airs, les ténèbres envahissaient sa vision, puis, plus rien.
Son corps inanimé au sol fut saisi par des agents du Roi Liche, et d’immenses chars trainèrent les restes du combat jusqu’à leur quartier général. Il était un parmi tant d’autres. Dans l’obscurité de l’Acherus, des nécromanciens le ramenèrent à la vie.
A partir de ce moment, Henry avait été contraint de commettre des actes horribles et meurtriers envers ceux qui se trouvaient sur la route du Roi Liche. Tout cela eu de graves conséquences sur Henry, sa vie autrefois truffée d’aventures et de découvertes avait laissé place aux regrets et à la haine. Mais ne voulant pas devenir à nouveau esclave, cette fois de ses émotions, il continua ses travaux. Réhabilité par le roi Varian, il tourna la page de son passé, pour se consacrer à celui des autres.
Le père d’Henry, fermier dans le sang, ne s’économisait jamais. Il travaillait durement. Il décida que son fils serait un artisan, dans la construction ou la maçonnerie. Sa mère tenait le rôle de celle qui réconfortait, faisait le ménage et les corvées, cuisinait, tricotait…
Ses deux parents inculquèrent de concert à Henry tout ce qu’il fallait savoir sur la vie, combien elle était difficile et à quels dangers il pourrait s’exposer. Pendant son enfance, Henry commença à s’aventurer dans la forêt d’Elwynn, découvrant les merveilles qu’elle renfermait, il s’intéressa aux animaux et aux gens la peuplant, visita Hurlevent de plus en plus fréquemment, jusqu’à en être fasciné par son histoire et ses splendeurs.
Un jour, tandis qu’il marchait le long des canaux, il repéra une pièce en or au fond de l’eau. Quand il fut sur que personne ne le regardait, il se jeta à l’eau pour la récupérer. Il la mis rapidement dans une poche et courut pour la montrer à ses parents. La pièce était faite d’un or très pur et portait des inscriptions qu’il n’arrivait pas à déchiffrer. Un visage ressortait de la face opposée de la pièce.
Son père identifia la pièce comme étant un vestige de la Seconde Guerre. Enchanté par sa découverte, Henry devint attiré par l’histoire de cette pièce : son contexte, ses secrets… A qui avait-elle appartenu ? Avait-elle était lancé dans le canal par un homme superstitieux qui espérait que son rêve se réalise ? Etait-elle tombée des poches d’un riche noble sur la route du château pour rencontrer le Roi ? Ou avait-elle était volée par un détrousseur de la Vieille Ville ? Il savait pertinemment qu’il ne connaîtrait jamais le propriétaire de cette pièce mais les scénarios qu’elle faisait imaginer à ce jeune homme suffisaient à le faire déborder d’excitation.
A partir de ce moment, le jeune Henry se mis à chercher scrupuleusement le moindre artéfact ancien qu’il put trouver, que cela soit une vieille botte près de chez lui, le manche rouillé d’une épée oubliée depuis trop longtemps sur un ancien champ de bataille, ou un morceau de roche orné d’inscriptions trouvé au fond du lac. Henry venait de trouver ce qu’il voulait faire de sa vie. Il comprit que son but n’était pas de découvrir ce que le monde lui réservait, mais de ce que la vie avait offert à d’autres avant lui et ce qu’elle avait signifié pour eux.
En grandissant, il se mis à voyager régulièrement en Norfendre dans l’espoir de compléter ses connaissances sur les campements trolls de Zul’Drak mais aussi pour organiser des fouilles près de la Couronne de Glace ou dans le Bassin de Sholazar.
En se servant de ce qu’il avait appris auprès des maîtres archéologues d’Hurlevent, il prit la mer jusqu’en Norfendre au moment où on commençait la construction de grands édifices comme le donjon de la Bravoure. Il avait la trentaine et aurait préféré partir plus tôt mais les tensions grandissantes avec le Fléau et la peur grandissante envers le Roi Liche décourageaient ses compagnons. Mais comme l’attaque était la meilleure et surtout l’unique solution de la Horde et de l’Alliance, les gens finirent par s’installer en Norfendre.
Quand il accosta sur les cotes de la Toundra Boréenne, on venait tout juste de finir la construction du donjon de la Bravoure et la zone commençait à se peupler plus densément. Il était plus facile de trouver un endroit où loger pour Henry et ses deux acolytes : Séréna Branchedorée, une elfe de la nuit, et Hans Dentdacier, un nain. Hans était les muscles, Séréna la boussole : ses talents pour la navigation étaient inouïs. Quand les trois eurent trouvé où passer la nuit, ils organisèrent leur itinéraire. Il s’agissait de traverser la toundra jusqu’au bassin de Sholazar afin d’enquête sur les titans.
Pendant 5 jours et 5 nuits ils traversèrent les paysages merveilleux de la Toundra Boréenne jusqu’à arriver à leur destination. Le petit groupe installa un camp au milieu du bassin de Sholazar afin d’y séjourner deux semaines. Ils trouvèrent toutes sortes d’artefacts ésotériques, des bracelets aux calices en passant par les tablettes manuscrites. Ces trouvailles étaient exceptionnelles et il en restait tant d’autres à mettre au jour. Etant donné que Sholazar était resté intact pendant des années, il y avait beaucoup de choses à déterrer. Dépassé par ce résultat, Henry décida de s’enfoncer encore plus loin dans le Norfendre afin de découvrir plus de choses en rapport avec son histoire et peut être mettre la main sur des artéfacts encore plus impressionnants.
Ils voyagèrent des jours entiers de Sholazar jusqu’à la Désolation des Dragons, le trajet prenait plus de temps de prévu car il fallait installer des campements de fortune pour se reposer en route et établir des itinéraires. Après une semaine, ils arrivirent finalement au donjon de Garde-Hiver, un petit bastion qui défendait la région d’une poignée de créatures du Roi Liche.
Séréna et Henry appréhendaient de se déplacer vers un endroit encore plus hostile au lieu de rejoindre leur point de chute prévu, le Fjord Hurlant. Mais étant donné qu’ils commençaient à manquer de vivres et que Hans manquait d’action depuis plusieurs semaines, celui-ci parvint à convaincre le petit groupe de s’engager pour « aider l’Alliance » et « apporter leur contribution à la défense du territoire contre la menace du Roi Liche ». Il répétait ça constamment de façon à réveiller le patriotisme de l’une ou de l’autre même si au fond le but de la manœuvre était surtout d’aller se battre peut importe le motif.
Au donjon de Garde-Hiver, ils furent envoyés directement sur le champ de bataille. On offrit à Harry et Séréna de quoi s’équiper pour cette bataille titanesque et on les envoya avec d’autres volontaires sur le front face au Fléau.
Hans était à la tête du groupe quand la charge eut lieu, en partie parce qu’il avait déjà subi un entrainement militaire, mais aussi parce qu’il avait vraiment la volonté d’en découdre. Plusieurs créatures du Fléau se précipitèrent vers les combattants aux premières lignes, criant et mugissant aussi fort qu’elles pouvaient. L’ombre sinistre de Naxxramas couvrait une grande partie des lieux et impressionnait beaucoup les petits groupes de combattants au sol.
Pendant plus d’une heure, le groupe composé de 15 combattants affronta sans discontinuer les morts-vivants, quelques un avaient péri et la plupart étaient blessés que ça soit par l’ennemi ou par le manque d’expérience de certains qui faisaient voler leurs haches ou leurs épées en espérant toucher quelque chose.
C’est alors que les forces du Fléau se mirent à diminuer, puis à s’arrêter. Le groupe se tenait prêt à battre en retraite en emportant les morts et les mourants, quand tout à coup une gigantesque monstruosité se mis à charger dans leur direction. Cette abomination mesurait près de 5 mètres de haut et était constituée d’un amas de chair pourrissante. D’un seul coup de son couperet couvert de sang, il souscrit 4 des soldats du groupe qui était maintenant en train de fuir pour sa survie. Un deuxième coup pris 4 autres vies et le coup final amocha le dos d’Henry. Avant même de comprendre la situation, son corps s’envola dans les airs, les ténèbres envahissaient sa vision, puis, plus rien.
Son corps inanimé au sol fut saisi par des agents du Roi Liche, et d’immenses chars trainèrent les restes du combat jusqu’à leur quartier général. Il était un parmi tant d’autres. Dans l’obscurité de l’Acherus, des nécromanciens le ramenèrent à la vie.
A partir de ce moment, Henry avait été contraint de commettre des actes horribles et meurtriers envers ceux qui se trouvaient sur la route du Roi Liche. Tout cela eu de graves conséquences sur Henry, sa vie autrefois truffée d’aventures et de découvertes avait laissé place aux regrets et à la haine. Mais ne voulant pas devenir à nouveau esclave, cette fois de ses émotions, il continua ses travaux. Réhabilité par le roi Varian, il tourna la page de son passé, pour se consacrer à celui des autres.
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