Les Industries Kelbourg - Renouveau
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Les Industries Kelbourg - Renouveau
En guise de catalogue ou par simple presse, de nouvelles documentations en rapport avec les services commerciaux proposés par les Industries Kelbourg étaient disponibles à présent, et ce, autant pour les invétérés clients qu'étaient les gens de guerre, que pour la clientèle plus pudique.
Les Industries KelbourgOu les nouvelles formules de vieilles industries du monde
Avant toute chose...
Bien que les Industries Kelbourg n'aient qu'une année d'ancienneté en ce monde seulement, leur histoire remonte à une époque bien plus lointaine que cela. Rien que dans les grandes cités de l'Alliance contemporaine, beaucoup sauront reconnaître le nom qu'est celui de Kelbourg. Certains l'assimileront aux Armureries Kelbourg, propriété fut un temps de Vastrosse Kelbourg, serviable gentilhomme de la capitale de la Lumière -et du fromage- de l'humanité. D'autres peut-être rapprocheront ce nom aux cigares qui circulaient en ville à une époque plus ou moins récente, de la Tabaterie Kelbourg, qui était à la fleur de son âge entre les mains glaciales de Iakov Kelbourg, amoureux de la mer et des finances.
Qu'on se souvienne ou non de l'un ou l'autre, c'est de là que proviennent les récentes Industries. Fusion, rassemblement, union, les deux bâtiments ne devinrent plus qu'un entre les mains de l'actuel détenteur Aldorey Kelbourg. L'occasion de rouvrir les portes de la tabaterie, closes depuis le départ de leur défunt propriétaire, et de faire peau neuve pour les armureries, en renouvelant le catalogue et en offrant un second souffle de modernité à l'armement de guerre proposé à la clientèle.
Mais revenons à nos moutons. Les Industries Kelbourg ont pour origine le royaume de Gilnéas, alors que le nom Kelbourg n'existait même pas encore, à l'instar du Mur. C'est par les noms mêlés de Dillinger et de Magtorus que survinrent les premières armureries de la famille. Et comme le monde le sait, les sciences industrielles et techniques du royaume n'avaient rien à envier aux nains, ou à tout autre royaume humain. C'est dans cette avance technologique et technique que les Industries puisent leur savoir-faire et leur expérience. Travail du bois, de l'acier-léger et de la mécanique. Connaissances balistiques, physiques et humaines. Toute la culture des Industries Kelbourg est fondée sur le travail uni de nombreux ancêtres, et s'est laissée transmettre de père en fils. Que les armes aient été faites pour repousser les loups des lisières des villes, ou pour équiper les armées royales, toujours ont-elles été faites selon des règles précises et un cahier des charges strict et traditionnel.
De Gilnéas, les armureries disparurent en Lordaeron, et de Lordaeron, plus au sud encore. Au gré des aléas de l'histoire, les armureries des familles Dillinger, Magtorus et puis Kelbourg ont toujours mis un point d'honneur à nourrir les défenses de l'Alliance, qu'importe son époque, son blason et sa dorure. Et encore aujourd'hui, sous l'égide patriarcale d'Aldorey Kelbourg, l'entreprise familiale bat son plein pour participer vaille que vaille aux conflits actuels. Mise à disposition d'armes à feu, vente et installation d'artilleries légères et lourdes. Navires, remparts, champs de bataille et soldats, tous peuvent être prêts à recevoir le fruit du travail de nombreux hommes se démenant corps et âme pour les Industries.
Et si jamais le feu d'une arme ne vous intéresse pas, encore reste-t-il celui chaleureux d'un bon cigare.
Tradition, authenticité, efficacité
Comme vous le savez à présent, les Industries Kelbourg comprennent une armurerie de guerre, fournissant armes à feu diverses et artilleries légères comme lourdes, mais aussi une tabaterie, à l'origine de cigares réputés et d'autres formes de traitement du tabac.
D'un côté comme de l'autre, les Industries se sont toujours engagés auprès de trois mots d'ordre :
- Respecter les traditions de la famille, dans la manière de confectionner et de préparer, dans la manière de donner forme, de donner genre et aspect, aura.
- Certifier une authenticité incontestable, en offrant un traitement digne de l'expérience et de l'expertise anciennes de l'entreprise, certifier le caractère gilnéen, l'authenticité rustique et technique du royaume, ses saveurs.
- Satisfaire le besoin d'efficacité recherché par la clientèle des Industrie en vendant de la première qualité, à la pointe des technologies et des sciences humaines actuelles.
A l'image des différents détenteurs des Industries, présents comme passés, la qualité du travail est strictement vérifiée et étudiée afin que la production ne perde jamais de sa superbe.
Les offres de la tabaterie
Du tabac et de sa chaîneLe tabac est une matière première poussant plus naturellement et avec plus d'aisance dans les lieux d'histoire. Et il faut entendre par là que c'est une plante qui ne demande pas une terre riche d'eau, de soleil ou même de sel ou quoi que ce soit. Non, sa particularité provient de son étrange amour du temps passé, des événements, du vécu. En effet, c'est une plante qui a le caprice d'aimer pousser dans des ruines, ou des terres salies par les guerres, les architecture oubliées ou les lieux trop contestés. Evidemment, selon la plante précisément recherchée ou la saveur désirée lors du traitement, les détails se font plus complexes que cela.
Mais c'est ainsi que le tabac Kelbourg trouve son origine dans les terres au nord du Viaduc comme celles un poil plus au sud. Des lieux hostiles, ou au passé riche de choses et d'autres, de quoi donner à la plante et au produit généré une austérité savoureuse et inimitable.
Poussée, la plante se retrouve ensuite à poursuivre une chaîne logistique prévoyant de la transporter jusqu'au site des Industries, plus ancré au sud, dans les royaumes de l'humanité, et c'est au gré de nos cahiers des charges méticuleux et surveillés qu'elle deviendra feuilles pour cigare, ou tabac, rendu à priser ou autre. Nous préférons de manière personnelle sécher les feuilles à l'air libre par soleil afin de bien nous identifier.
Les produits sont ensuite directement scellés dans leur boîte, confectionnées de manière à les préserver d'un trop-plein d'humidité nocif et à les préserver du temps. La cave à cigares est faite de cèdre dont le lit est de tissu.
Produits disponibles
Les Industries Kelbourg ont pour habitude de vendre en gros en ce qui concerne l'armement comme les cigares, cela dit, la spécificité de ces derniers pousse à la vente plus minime et pesée. Aussi, chaque vente se fait soumise au marchandage, même lors d'achats personnels.
Cigares :
- Le Gilnéen : Oscuro de plus d'un décimètre huit, puissant et humide en bouche.
- L'Altéran : Claro d'un décimètre et demi environ, terreux et humide en bouche.
- Robuste de Stromgarde : Colorado avoisinant le décimètre trois, épicé et végétal en bouche.
- Grandeur de Lordaeron : Maduro d'un décimètre six, puissant et mielleux.
- Le Tirassien : Claro-claro d'un décimètre deux environ, fruité et boisé.
- Le Dalaranais : Claro d'un décimètre un, balsamique et mielleux.
- L'Hurleventois : Oscuro de moins d'un décimètre, terreux et animal. Dédié au Commandant Marteau-Hardi.
Vendus respectivement dans leur cave en cèdre, par bouquet de six, dix ou douze cigares, à 3, 5 ou 6 pièces d'or.
Caves :
- Cave simple : Cave en cèdre simple, confectionnée pour protéger de l'humidité et du temps, lit en tissu de soie. Pour abriter six, dix ou douze cigares. 6 pièces d'or.
- Cave luxe : Cave en cèdre travaillée, pyrogravée d'arabesques et d'entrelacs et ornementée par fraisage et sculpture sur bois pour lui offrir pieds. Lit en tisse-givre pour garder une température constante. Pour abriter six, dix, ou douze cigares. 10 pièces d'or
Tabac à pipe ou à priser :
Le tapac à pipe est calculé à la bourrée, soit, à la mesure nécessaire à préparer une pipe. La bourrée est fixée à un prix de 1 pièce d'argent.
Le tabac à priser est calculé en récipient d'une vingtaine d'inhalations. Le récipient en fer est fixé à un prix de 15 pièces d'argent.
Les offres des armureries de guerre
Des armureries et de leur chaîneLes armes et les pièces d'artillerie des Industries Kelbourg portent en chacune d'elles le caractère austère, noble et froid de Gilnéas. Véritables chefs-d'œuvres, elles incarnent toutes l'histoire de leurs pères, mêlant en elles un savoir-faire de gilnéas, de Lordaeron et de Hurlevent, tout comme répondant ou ayant répondu aux besoins de chacune de ces cités.
Et pour dire, les pièces des canons comme des armes à feu proviennent de divers endroits. Prenons par exemple le bois, souvent de noyer mais parfois de chêne, puisé dans les forêts réputées d'Elwynn, dans le Royaume de Hurlevent, mais aussi depuis le domaine même de la famille Traumout, vivant de sa scierie ancienne et unique. Le bois est récupéré là-bas, scié en Elwynn selon les besoins, travaillé là-bas, poncé, ciré, huilé, gravé et ornementé.
Prenons sinon l'exemple des métaux, qui parallèlement à la découpe du bois, eux, sont minés par nos alliés nains dans leurs régions riches en acier ou en autres minerais plus rares. Et s'ils ne peuvent le miner près de chez eux, alors ils l'achètent pour le traiter et le maîtriser, à l'instar de l'adamantium et de l'élémentium, demandant des savoirs infiniment rares et coûteux. Le métal est fondu à Forgefer ou dans les villes minières l'avoisinant, puis est envoyé au site pour être forgé et pilonné, découpé et trempé pour correspondre aux nécessités du moment. En survient souvent l'acier-léger inhérent aux âmes des canons des fusils ou des bouches à feu.
Parlons encore d'autre chose, pourquoi pas de la poudre, demandant un travail minutieux et attentionné, voire même des cordages liés aux affûts des canons ? Peut-être même devrions-nous évoquer les boulets et leur demande en poids et diamètre quasi-parfaite ?
Tous ces calculs, toutes ces demandes ont lieu sur le site des Industries. Et quant à l'assemblage final des fusils, il est fait là-bas. Par opposition à celui des canons, qui a lieu en Elwynn, où les bouches à feu seront réunies -enfin- à leur affût de bois de chêne lourd.
C'est par souci de logistique que cela se fait ainsi. Afin de mieux répondre aux demandes de notre clientèle, le transport se faisant le plus souvent maritime, et donc depuis le port de Hurlevent, ou plus rarement de la Baie-du-Butin ou de Menethil.
Produits disponiblesLes Industries Kelbourg ont pour habitude de vendre en gros en ce qui concerne l'armement comme les cigares, cela dit, la spécificité de ces derniers pousse à la vente plus minime et pesée. Aussi, chaque vente se fait soumise au marchandage, même lors d'achats personnels.
En ce qui concerne plus précisément la vente d'armes, chaque achat est personnalisé, le prix final est donc basé selon les choix pris, et nous nous mettons bien sûr à disposition afin de vous éclairer quant à ceux-ci.
Cela dit, et à contrario des cigares, nous ne détaillons pas dans notre catalogue les produits disponibles.
Chaque achat d'armes à feu ou de canons doit se faire suite à un entretien. Pour se faire, écrivez aux Industries Kelbourg, à Hurlevent, et demandez une rencontre pour discuter de votre possible achat et propositions diverses.
Voici cela dit une liste non détaillée et non exhaustive des produits :
- Fusils pour tir sportif ou chasse.
- Fusils pour défense personnelle.
- Fusils de guerre.
- Carabines pour longue portée, tout usage.
- Armes à feu conceptuelles de luxe ou de collection. Armes décoratives, pièces uniques.
- Canons à main ou à pivot.
- Mortiers de défense.
- Mortiers mobiles.
- Mortiers pour bâtiment naval.
- Artillerie de champ de bataille.
- Artillerie de défense.
- Artillerie navale.
- Artillerie lourde et conceptuelle.
- Artillerie de luxe ou de collection, artillerie décorative, pièce unique.
- Pièces détachées. (Nos produits seulement)
- Retouches. (Nos produits seulement)
- Personnalisation. (Nos produits seulement)
- Munitions pour armes à feu. (Calibrées pour nos produits uniquement)
- Boulets pleins, raisins, chaînés. (Calibrés pour nos produits uniquement)
Il est en effet compliqué de générer un catalogue précis de nos produits étant donné que chaque pièce que nous produisons est faite d'après la demande précise d'un de nos clients. Aussi, chaque contrat se veut unique et avec des spécificités discutées d'après les besoins de la personne, de son bataillon, des événements en cours.
Dans notre effort de répondre au moindre besoin de la clientèle, nous nous faisons fort de nous mettre à disposition de celle-ci, avec de mieux nous renseigner sur le contexte où elle évolue, de manière à calculer une réponse adéquate.
Nous vous remercions de votre temps et de votre lecture, et espérons un jour pouvoir satisfaire vos attentes.
Les Industries Kelbourg participent et participeront toujours aux victoires comme aux défaites de l'Alliance et de l'humanité, armant au mieux ses soldats et ses serviteurs, ses membres, ses citoyens et ses défenseurs. Car les guerres ne cessent, les guerres font rage, et les guerres ne finissent jamais. Nous vivons dans un monde de rancune, de rancœur, de racisme, de prétentions et de revendications.
Nous faisons face à des adversaires chaque fois plus acharnés, chaque fois plus assoiffés et puissants. Des êtres destructeurs, toxiques, nuisibles et nocifs. Des bêtes parfois, des monstres d'autres, et plus rarement au fur et à mesure du temps qui passe, de nobles ennemis. Fourberies, abus, et génocides se multiplient. Destructions de masse, assassinats, crimes ne font que devenir quotidiens. Mais nous faisons en sorte de nous adapter, de rendre coup pour coup, de nous débattre, de nous battre, de battre.
Nous brûlons de désir de les voir payer pour les cendres qu'il ont engendré, et sur lesquels chaque jour marchent de nombreux gens, tantôt la tête haute vers la bataille, tantôt la tête basse au retour d'une défaite.
Mais pour chaque arbre piétiné, sectionné, incendié par la Horde, nous reviendrons en chercher le prix du double. Nous n'offrons pas nos arbres, nous n'offrons pas notre vie.
Nous n'offrons pas nos cendres.
Pour l'Alliance.
Pour l'Humanité.
Pour la Lumière.Sir Aldorey Kelbourg, Baron des Bois-aux-Bruines et détenteur des Industries Kelbourg« Payez pour nos cendres »
Aldorey Kelbourg- Personnages Joués : Aldoreÿ/Guilhart/Visvaldis
Re: Les Industries Kelbourg - Renouveau
(HRP :
A propos de l'or : Je ne participe pas aux débats sur l'or, tout comme ma vision de ce dernier n'est ni vraiment personnelle, ni vraiment une vision. Pour des besoins qui sont ceux de la rédaction d'un texte, et ceux d'une immersion, j'offre des prix précis et chiffrés. Cela dit, ils ne sont là que pour remplir un vide et dire qu'ils sont bel et bien là.
Je me contente, IG, de préciser HRP que le prix est faible, élevé, exagéré ou équitable, par exemple. Je laisse aux concernés le soin de prendre les décisions numérales qu'ils veulent après ça.
A propos des armes à feu et des canons : World of Warcraft est un jeu vidéo ET a un univers tout ce qu'il y a de plus bordélique. Autant dire que le coktail est dangereux et complètement à la ramasse. J'entends par là qu'en ce qui concerne les armes à feu, nous avons droit IG à tout et n'importe quoi de la part de Blizzard, mais puisque c'est leur choix, il ne peut qu'être au minimum « considéré » avant d'être occulté.
Ma position à ce propos, est que mes armes ont une technicité contemporaine, lorsque je parle de calibres IG, ou de carabine à verrou, et j'en passe, je suis quelque part persuadé de briser une sorte de quatrième mur ou d'aller très loin. Mais quand on se spécialiser quelque part, il est compliqué de ne pas faire dans le détail sous peine de dire n'importe quoi. Aussi il y a conflit.
Je considère donc que, bien que mes armes soient celles d'époques proches de la nôtre (surtout pour les armes typés de chasse) ou d'époques peu lointaines (les classiques canons dignes des pirates bien clichés), il est tout à fait possible que je fasse, que je puisse produire, des choses un brin plus fantaisistes ou surréalistes.
On ne me verra cependant jamais vendre une arme de poing, ou un fusil d'épaule automatique, voire d'autres trucs dans ce champ là. Qu'on évite donc de faire appel à moi pour ça, j'ai déjà assez refusé de conneries de ce genre.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ne fais pas un catalogue détaillé des armes, discuter calibre, notamment ceux des balles, qui se font au millimètre, est assez peu immersif à mes yeux. Je cache donc un peu comme je peux la misère de mon amour du détail à ce propos. Je la camoufle, la sous-entend.)
A propos de l'or : Je ne participe pas aux débats sur l'or, tout comme ma vision de ce dernier n'est ni vraiment personnelle, ni vraiment une vision. Pour des besoins qui sont ceux de la rédaction d'un texte, et ceux d'une immersion, j'offre des prix précis et chiffrés. Cela dit, ils ne sont là que pour remplir un vide et dire qu'ils sont bel et bien là.
Je me contente, IG, de préciser HRP que le prix est faible, élevé, exagéré ou équitable, par exemple. Je laisse aux concernés le soin de prendre les décisions numérales qu'ils veulent après ça.
A propos des armes à feu et des canons : World of Warcraft est un jeu vidéo ET a un univers tout ce qu'il y a de plus bordélique. Autant dire que le coktail est dangereux et complètement à la ramasse. J'entends par là qu'en ce qui concerne les armes à feu, nous avons droit IG à tout et n'importe quoi de la part de Blizzard, mais puisque c'est leur choix, il ne peut qu'être au minimum « considéré » avant d'être occulté.
Ma position à ce propos, est que mes armes ont une technicité contemporaine, lorsque je parle de calibres IG, ou de carabine à verrou, et j'en passe, je suis quelque part persuadé de briser une sorte de quatrième mur ou d'aller très loin. Mais quand on se spécialiser quelque part, il est compliqué de ne pas faire dans le détail sous peine de dire n'importe quoi. Aussi il y a conflit.
Je considère donc que, bien que mes armes soient celles d'époques proches de la nôtre (surtout pour les armes typés de chasse) ou d'époques peu lointaines (les classiques canons dignes des pirates bien clichés), il est tout à fait possible que je fasse, que je puisse produire, des choses un brin plus fantaisistes ou surréalistes.
On ne me verra cependant jamais vendre une arme de poing, ou un fusil d'épaule automatique, voire d'autres trucs dans ce champ là. Qu'on évite donc de faire appel à moi pour ça, j'ai déjà assez refusé de conneries de ce genre.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ne fais pas un catalogue détaillé des armes, discuter calibre, notamment ceux des balles, qui se font au millimètre, est assez peu immersif à mes yeux. Je cache donc un peu comme je peux la misère de mon amour du détail à ce propos. Je la camoufle, la sous-entend.)
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