[À faire vivre] L'épuration de la Marche de l'ouest.
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[À faire vivre] L'épuration de la Marche de l'ouest.
'' Où suis-je ? Que me voulez-vous? Qu'est-ce qui se passe ?!
Je ne peux plus bouger.. Je ne peux plus bouger ? Je ne peux pas bouger !?
Je suis attachée à un arbre. Comment est-ce arrivé ? Je n'en ai pas souvenir.. Qui m'a attaché ici ..?
Pourquoi je ne peux pas parler? .. Je suis bâillonnée, pourquoi on m'a bâillonnée ?
Où suis-je ?.. ''
Le vent soufflait paisiblement à travers les feuilles de la forêt endormie. Une nuit sans lune, qui rendait la forêt des plus sinistres. La respiration courte et paniquée de la femme ligotée à l'arbre brisait le calme de la nuit. Une silhouette marchait dans l'ombre de la forêt, autour de la femme.
'' Qui êtes-vous? Que me voulez-vous ?! ''
La silhouette noire cessa d'avancer aux paroles de la femme. Sans dire un mot elle s'avança de la femme et lui saisit le bras, sans prévenir..
Une froideur, suivi d'un engourdissement se saisit du bras de la femme ligotée. Une douleur grandissante naissait, tandis que la femme réalisait que son bras gauche était maintenant sectionné au niveau du coude.
Un hurlement brisa le calme de la nuit. Un hurlement de douleur intense. La silhouette noire lui enfonça un chiffon de lin dans la bouche, tandis que la femme sentait le prolongement de celui-ci se resserrer contre son visage, l'empêchant d'émettre le moindre son à partir de cet instant. Une douleur encore plus intense se saisit de la femme ligotée, tandis que la silhouette lui fixa un tissu rempli de sel directement sur la plaie.
La jeune femme en vint à perdre conscience, sous l'effet de la douleur...
À suivre..
Je ne peux plus bouger.. Je ne peux plus bouger ? Je ne peux pas bouger !?
Je suis attachée à un arbre. Comment est-ce arrivé ? Je n'en ai pas souvenir.. Qui m'a attaché ici ..?
Pourquoi je ne peux pas parler? .. Je suis bâillonnée, pourquoi on m'a bâillonnée ?
Où suis-je ?.. ''
Le vent soufflait paisiblement à travers les feuilles de la forêt endormie. Une nuit sans lune, qui rendait la forêt des plus sinistres. La respiration courte et paniquée de la femme ligotée à l'arbre brisait le calme de la nuit. Une silhouette marchait dans l'ombre de la forêt, autour de la femme.
'' Qui êtes-vous? Que me voulez-vous ?! ''
La silhouette noire cessa d'avancer aux paroles de la femme. Sans dire un mot elle s'avança de la femme et lui saisit le bras, sans prévenir..
Une froideur, suivi d'un engourdissement se saisit du bras de la femme ligotée. Une douleur grandissante naissait, tandis que la femme réalisait que son bras gauche était maintenant sectionné au niveau du coude.
Un hurlement brisa le calme de la nuit. Un hurlement de douleur intense. La silhouette noire lui enfonça un chiffon de lin dans la bouche, tandis que la femme sentait le prolongement de celui-ci se resserrer contre son visage, l'empêchant d'émettre le moindre son à partir de cet instant. Une douleur encore plus intense se saisit de la femme ligotée, tandis que la silhouette lui fixa un tissu rempli de sel directement sur la plaie.
La jeune femme en vint à perdre conscience, sous l'effet de la douleur...
À suivre..
Le masque de Sombrelune
Re: [À faire vivre] L'épuration de la Marche de l'ouest.
'' Amélianne, je veux que tu cesses d'aller dans la forêt. C'est un endroit dangereux, je te l'ai répété et encore répété. ''
'' Je suis désolée mère, je n'y retournerai plus.. j'ai compris.. ''
'' Tu sais que je te dis ça pour ton bien.. ''
'' Oui maman.. ''
'' Allez, file te laver et après, tu vas te coucher.. ''
...
'' Tout est noir. Je sent la brise du vent me caresser le visage.
Je tremble comme une feuille.. Pourquoi est-ce que je tremble ?
Est-ce que je rêve..? Était-ce un rêve..?''
La jeune femme ouvrit les yeux faiblement, réalisant peu à peu qu'elle se trouvait encore attachée à l'arbre. La forêt dans laquelle elle se trouvait était à présent éclairé par les dernières lueurs du jour. Combien de temps avait-elle perdue conscience ?
Des bruits de pas se fit entendre derrière l'arbre où elle était ligotée.
'' MH-MHHHHH-MHHHHHHHH !!! ''
Elle ne pouvait pas laisser le moindre mot s'échapper. Lorsqu'elle réalisa que les pas se trouvait près d'elle et que la personne derrière elle ne s'en préoccupait pas, elle compris qu'il ne s'agissait pas d'un passant, mais probablement du même individu qui lui avait tranché le bras. Les pas semblaient tracer un cercle derrière elle.
Près d'une heure s'écoula. Les dernières lueurs se dissipant peu à peu. La silhouette de la veille passa devant elle. Un capuchon noir, recouvrant un masque aux couleurs fantaisistes.
Une grande cape noire recouvrait le corps de l'individu.
Le masque souriant de l'individu donnait la chaire de poule à la femme ligotée. La silhouette noire se contentait de fixer la femme, assis sur la buche.
D'un geste lent, l'individu mit le doigt vis-à-vis sa bouche, tel un signe de silence. Il approcha doucement sa main droite vers le bâillon, lui retirant par la suite. La jeune femme pleurait à chaudes larmes.
'' - Qu-Que me voulez-vous.. ? J-je vous en supplie... ''
La silhouette se redressa d'un coup sec, aux paroles de la femme.
''- Non... Non..... Non....! Je vous en supplie, par pitiez ... par pitiez ! ... ''
La silhouette se redressa, remettant le bâillon à la femme, avant la même lenteur que la première fois. L'individu s'accroupie et saisit d'un geste sec la cheville gauche de la femme. Il lui retira sa botte. L'individu passa sa main dans sa cape et sortie une paire de ciseau.
La lune reflétait sur les formes prononcées du masque souriant en porcelaine.
Lentement, très lentement, les lames de la paire de ciseau s'ouvraient et se refermaient dans le vide, devant les yeux noyés de larmes.
Une faible lueur laissait le fer de l'outil briller.
La femme, tremblait violemment.
Une sensation froide dévalait du tibia de la femme, vers sa cheville, puis vers le bout de son gros oreille, tandis le fer de l'outil caressait la peau de la femme. Les deux lames du ciseau virent s'appuyer autour de la phalange distale du gros orteil du pied gauche de la femme.
La tête de l'individu se releva lentement, pour fixer la femme, tandis que l'inconnu lui tenait le pied, le ciseau en place pour lui trancher une partie du gros orteil gauche.
Le capuchon masquant la partie supérieur du masque.. seul le sourire ironique reluisait des quelques lueurs de la lune qui éclairaient les lieux.
Un claquement sec se fit entendre, suivi d'un cri étouffé..
Le masque ne bougea pas d'un poil, fixant toujours et toujours celle-ci, tandis que la femme gigotait de douleur.
... Cette nuit-là, quatre autres claquement de ciseau se fit entendre. La femme fragile hurla et hurla, tandis que son pied fut posé dans une poche de sel, pour cicatriser les cinq phalange d'orteils tranchés.
C'est sous cette douleur que la femme perdit à nouveau conscience sous le regard de la silhouette masquée..
À suivre..
'' Je suis désolée mère, je n'y retournerai plus.. j'ai compris.. ''
'' Tu sais que je te dis ça pour ton bien.. ''
'' Oui maman.. ''
'' Allez, file te laver et après, tu vas te coucher.. ''
...
'' Tout est noir. Je sent la brise du vent me caresser le visage.
Je tremble comme une feuille.. Pourquoi est-ce que je tremble ?
Est-ce que je rêve..? Était-ce un rêve..?''
La jeune femme ouvrit les yeux faiblement, réalisant peu à peu qu'elle se trouvait encore attachée à l'arbre. La forêt dans laquelle elle se trouvait était à présent éclairé par les dernières lueurs du jour. Combien de temps avait-elle perdue conscience ?
Des bruits de pas se fit entendre derrière l'arbre où elle était ligotée.
'' MH-MHHHHH-MHHHHHHHH !!! ''
Elle ne pouvait pas laisser le moindre mot s'échapper. Lorsqu'elle réalisa que les pas se trouvait près d'elle et que la personne derrière elle ne s'en préoccupait pas, elle compris qu'il ne s'agissait pas d'un passant, mais probablement du même individu qui lui avait tranché le bras. Les pas semblaient tracer un cercle derrière elle.
Près d'une heure s'écoula. Les dernières lueurs se dissipant peu à peu. La silhouette de la veille passa devant elle. Un capuchon noir, recouvrant un masque aux couleurs fantaisistes.
Une grande cape noire recouvrait le corps de l'individu.
Le masque souriant de l'individu donnait la chaire de poule à la femme ligotée. La silhouette noire se contentait de fixer la femme, assis sur la buche.
D'un geste lent, l'individu mit le doigt vis-à-vis sa bouche, tel un signe de silence. Il approcha doucement sa main droite vers le bâillon, lui retirant par la suite. La jeune femme pleurait à chaudes larmes.
'' - Qu-Que me voulez-vous.. ? J-je vous en supplie... ''
La silhouette se redressa d'un coup sec, aux paroles de la femme.
''- Non... Non..... Non....! Je vous en supplie, par pitiez ... par pitiez ! ... ''
La silhouette se redressa, remettant le bâillon à la femme, avant la même lenteur que la première fois. L'individu s'accroupie et saisit d'un geste sec la cheville gauche de la femme. Il lui retira sa botte. L'individu passa sa main dans sa cape et sortie une paire de ciseau.
La lune reflétait sur les formes prononcées du masque souriant en porcelaine.
Lentement, très lentement, les lames de la paire de ciseau s'ouvraient et se refermaient dans le vide, devant les yeux noyés de larmes.
Une faible lueur laissait le fer de l'outil briller.
La femme, tremblait violemment.
Une sensation froide dévalait du tibia de la femme, vers sa cheville, puis vers le bout de son gros oreille, tandis le fer de l'outil caressait la peau de la femme. Les deux lames du ciseau virent s'appuyer autour de la phalange distale du gros orteil du pied gauche de la femme.
La tête de l'individu se releva lentement, pour fixer la femme, tandis que l'inconnu lui tenait le pied, le ciseau en place pour lui trancher une partie du gros orteil gauche.
Le capuchon masquant la partie supérieur du masque.. seul le sourire ironique reluisait des quelques lueurs de la lune qui éclairaient les lieux.
Un claquement sec se fit entendre, suivi d'un cri étouffé..
Le masque ne bougea pas d'un poil, fixant toujours et toujours celle-ci, tandis que la femme gigotait de douleur.
... Cette nuit-là, quatre autres claquement de ciseau se fit entendre. La femme fragile hurla et hurla, tandis que son pied fut posé dans une poche de sel, pour cicatriser les cinq phalange d'orteils tranchés.
C'est sous cette douleur que la femme perdit à nouveau conscience sous le regard de la silhouette masquée..
À suivre..
Le masque de Sombrelune
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