[Inactive][Alliance][Alterac] La Maison Strabenolde

tel est l'écu de

La Maison

À l'aube de notre âge, le clan du Hibou faisait déjà régner ses trois grands principes : la Force, l'Honneur et la Justice. Si les siècles passent, les traditions peuvent elles perdurer à travers le temps. C'est ce pourquoi les puissants patriarches de ce clan ce sont battus au cours de leurs vies, et c'est ce pourquoi ils firent perdurer leur descendance jusqu'à ce le clan du Hibou devienne la Maison Strabenolde d'Alterac.

Très récemment, en l'an de grâce 33, alors qu'Edward de la Maison Strabenolde, Marquis de Ferningham, Baron de Ballystone et Seigneur de Fort-la-Roche, s’efforçait de maintenir le nom de sa famille et de faire perdurer la force de son fief, il fut trahi par les deux personnes qui lui étaient le plus cher. Sa femme, la sorcière Minerva Strabenolde complota secrètement avec les bannerets du marquis tandis que son fils Tobias empoisonna son paternel et le reste de sa famille pour pouvoir prétendre devenir le nouveau seigneur de la Maison Strabenolde.
Le baron William Ferblack de Westowl, descendant d'une longue lignée vassale de la Maison Strabenolde ne souhaita pas collaborer avec Minerva, pas plus d'ailleurs que plier le genou devant ce gamin parricide. Il envoya alors une missive à Armand Strabenolde, qui fut jadis banni par son frère le marquis Edward Strabenolde pour s'être opposé à faire passage aux orcs sur le domaine de leur famille. Dés qu'il fut informé, le frère rebelle engagea des mercenaires pour rejoindre la Baronnie de Westowl dans laquelle le baron William Ferblack formait déjà une résistance face aux agents du Syndicat du marquis Tobias Strabenolde qui voulaient sa tête. Le second frère d'Edward, Thomas Strabenolde rejoint aussi Armand avec ses hommes, et ensemble ils formèrent la Résistance de Ferningham, créée dans le but de s'opposer au droit d'héritage et donc au pouvoir féodal qu'avait Tobias Strabenolde sur le marquisat de Ferningham.
Alliée à la noble Maison Lionheart dite du « Cœur-de-Lion », la Résistance de Ferningham traversa uns à uns les cinq domaines annexes du marquisat dans le but de libérer les citoyens de l'idéologie du Syndicat, de leur promettre un meilleur avenir sans ce masque orange et sans cette tyrannie qu'avait formée Minerva Strabenolde avec les soldats des bannerets locaux. La Résistance parvint même à rallier certains de ces vassaux à leur cause et à obtenir toujours plus d'hommes armées dans ses rangs.

Après sept mois de campagne aux vêpres de l'automne et au courant du difficile hiver d'Alterac, après avoir bravé les batailles et le froid et enterrés leurs morts - dont Armand Strabenolde, qui avait mené la résistance, faisait lui-même parti, les résistants de Ferningham, désormais dirigés par son fils Jérémy Strabenolde - qui étaient plus communément appelés les rebelles d'Alterac, arrivèrent aux portes de Ferningham pour former l'ultime siège.
La sorcière Minerva Strabenolde fut vaincue et son fils, le marquis Tobias Strabenolde avec. Leurs têtes ornèrent durant plusieurs jours les remparts ravagés, pendant que dans le donjon, le nouveau seigneur de la Maison Strabenolde pleurait son père. Jérémy Strabenolde honora sont droit d'héritage et devint le Marquis de Ferningham, Baron de Ballystone et Seigneur de Fort-la-Roche. Il assura à la Maison Lionheart dite du « Cœur-de-Lion » qu'il avait une dette envers eux, il nomma William Ferblack comte de Northowl, il rappela les résistants à retourner à leurs familles et avec les volontaires, créa le Régiment défensif Strabenolde, qui aurait pour but d'assurer la protection du marquisat de Ferningham et d'être la première unité militaire majeure de l'Armée de Ferningham, à qui la gestion revint au nommé Général William Ferblack.

Au terme de ces batailles déroulées dans le royaume déchu d'Alterac, les mineurs et autres ouvriers du marquisat de Ferningham se remirent au travail pour reconstruire le domaine ancestral de la Maison Strabenolde. Mais à présent ils ne feraient pas tout ça pour le Syndicat, mais pour cette Maison qui se revendiquait fièrement "rebelle". Le marquis Jérémy Strabenolde marchait sur les pas de son père, il n'avait pas estriller son cousin Tobias du Syndicat pour en revenir à la même politique, il était bien conscient que ceux qui eu fondés le Syndicat d'Alterac jadis étaient les même que ceux qui avaient trahi l'Alliance de Lordaeron et qui c'était séparés de leur honneur. Jérémy eu la ferme intention de combattre le Syndicat et de protéger de lui ses citoyens, tout comme il les protégerait des ogres des montagnes et des orcs du clan des Loups-de-Givre qui pourraient leur vouloir du mal. Il allait montrer au monde que le marquisat de Ferningham n'afficherait plus des grandes bannières orange sur les pics de ses châtellenies et seigneuries, mais bien l'étendard de la Maison Strabenolde : le hibou d'or sur un fond noir.
Pour Jérémy Strabenolde, un jour viendra où l'Alliance se souciera du nord de ce continent; Et lorsqu'elle l'aura conquit, tout le monde saura que c'est la Maison Strabenolde qui à résisté sans cesse face au Syndicat, aux ogres et aux orcs, et au moment de couronner un Roi d'Alterac, c'est à un noble résistant que l'on pensera !

Alors que les réparations du marquisat étaient toujours en cours, la Maison Strabenolde était envieuse de s'ouvrir à la diplomatie, dans le but de former des traités commerciaux et des alliances avantageuses là où l'occasion se présenterait. La Maison Strabenolde avait déjà eu la chance durant la campagne qui l'eu opposer à l'usurpateur Tobias Strabenolde, de recevoir l'aide du Seigneur Tharen du Val, venu tout droit de Kul Tiras. Par un lien de parenté éloigné, le seigneur du Val était lié à la Maison Strabenolde, et suite à la perte de ses terres celui-ci avait décidé de rejoindre le continent et donc son suzerain, en Alterac.
Pour la diplomatie extérieure, tout commença avec la Maison Darrenfall de Stromgarde, le marquis de Ferningham envoya son oncle, le Seigneur Thomas Strabenolde au Comté de Direvale pour rencontrer le comte Marfeld Darrenfall. Les relations entre Stromgarde et Alterac étaient sans doute les pires, mais puisque la Maison Strabenolde se revendiquait opposée au Syndicat, l'entente était bonne. Suffisamment pour que très vite, un mariage fut conclu et derrière s'en suivi une alliance avantageuse aux deux partis.
Mais il s'avère qu'au bout de quelques semaines, les défenses du Comté de Direvale, qui avaient tenus toutes ces années face au Syndicat, furent mises à mal. En l'espace d'une nuit, une révolte paysanne déclenchée par le Syndicat engendra la colères des citoyens, et la cité de Direvale fini dans les flammes. En essayant de sauver les siens, le comte Darrenfall trépassa et une poignée de soldats loyaux survivants, menés par le Chevalier Fangor Carius se rendirent en Alterac, à Ferningham pour demander asile à la Maison Strabenolde.
Lorsque le marquis Jérémy Strabenolde apprit que la Maison Darrenfall possédait une colonie en Norfendre, avec un navire, un équipage et soixante-dix soldats s'y trouvant, il fit de Sire Fangor Carius le Baron de Montelieux, un domaine annexe du marquisat, et décida d'envoyer des hommes chercher les soldats Darrenfall pour augmenter considérablement ses effectifs. Seulement, aucune troupe n'était disponible pour se rendre à bord du bateau du seigneur du Val jusqu'au Norfendre.

Et c'est alors que sur l'initiative du seigneur Thomas Strabenolde, le Groupe d'Opération de Ferningham fut créé. Déjà, cette unité militaire se rendrait en Norfendre pour rapatrier les soldats de Haute-Direvale, la colonie de la Maison Darrenfall - qui c'était éteinte à la mort de toute la famille Darrenfall, mais ensuite, elle pourrait avoir un but offensif considérable. En réunissant des combattants qui sortent de l'ordinaire, avec les finances qui s'en suivent, la Maison Strabenolde pourrait disposer d'un groupe apte à faire des raids contre le Syndicat et à se rendre en territoire hostile en Alterac, mais aussi être envoyé là où la Maison Strabenolde aura besoin qu'ils soient, sans déplacer les garnisons qui constituent le Régiment Strabenolde de l'Armée de Ferningham.

À ce jour, cette unité placée sous la direction du Commandant Thomas Strabenolde recherche ses braves soldats épars pour servir loyalement la Maison Strabenolde pour le renouveau d'Alterac.

Chronologie récent de la Maison Strabenolde :

• Les vétérans : Ils sont les officiers (subalternes et supérieurs), les paladins et les chevaliers. Ils portent des armures d'acier solides et imposantes aux couleurs de la Maison Strabenolde.
  « S'il doit n'en rester qu'un, je ferais tout pour que ce soit moi. »
  Classes : Guerrier; Paladin
  

• Les factionnaires : Ce sont les soldats "ordinaires" du Groupe d'Opération de Ferningham. Qu'ils préfèrent attaquer de face le pavois levé ou à décocher des flèches sur leurs ennemis, les factionnaires forment la force de frappe principale, et la plus nombreuse. Ils sont équipés d'armures d'écailles de plaque.
  « Je lève mon écu pour protéger ma vie, et je lève mon glaive pour protéger Alterac ! »
  Classes : Guerrier; Chasseur
  

• Les trappeurs : Les trappeurs ne sont pas des spécialistes en combat rapproché. Même si tout soldat doit savoir participer au front, eux préfèrent servir de pisteurs, d'archers, de fusiliers, voir d'assassins, car la faim justifie les moyens. Ils sont équipés d'armures de cuir blanches, pour pouvoir aisément se camoufler dans la neige.
  « La façon de faire n'importe pas, seul compte le pourquoi. »
  Classes : Guerrier; Chasseur; Voleur; Moine
  

• Les magiciens : En guerre, les arts magiques dans toutes leurs splendeur sont les bienvenus et donc les magiciens qui savent s'en servir aussi. Qu'ils soient mages ou prêtres, ils auront toujours à faire derrière les lignes de factionnaires. Les magiciens portent des atours de tissu et quelques pièces de cuir pour se protéger des coups qui pourraient les atteindre.
  « Par nos mots magiques nous briserons ceux qui ne prônent pas l'équilibre. »
  Classes : Mage; Démoniste; Prêtre; Moine
  

• Le Commandant
  
• Le Capitaine
  
• Les Lieutenants
  
• Les Sergents
  

• Nous souhaitons être une guilde où l'ambiance hors-jeu est agréable, où la politesse est de mise et les où les joueurs se respectent les uns et les autres.
  
• Nous faisons du jeu de rôle notre principale activité, mais pouvons tout de même parfois partir en champs de bataille où en raids entre nous.
  
• Nous demandons à nos membres un minimum de présence. L'implication dans une guilde est quelque chose d'important. Déjà, si vous souhaitez que votre personnage évolue, il faudra de toute évidence le montrer, et pour ça : être connecté et jouer. Nous ne vous demandons pas une connexion journalière obligatoire mais nous ne pouvons non plus nous satisfaire d'un joueur qui apparaît quelques heures par semaines (week-end compris) ou alors uniquement pour les évents organisés.
  

Thomas Strabenolde a écrit:d'un écu de sable au hibou grand duc d'or abordant avec fierté son épée d'argent, entouré de plumes d'argent, de sable et d'or, passant des banderoles d'argent et de gueule vierges jusqu'au heaume d'argent et de gueule portant la couronne marquisale de Ferningham

Grelot-de-Bois a écrit:

Thomas Strabenolde a écrit:d'un écu de sable au hibou grand duc d'or abordant avec fierté son épée d'argent, entouré de plumes d'argent, de sable et d'or, passant des banderoles d'argent et de gueule vierges jusqu'au heaume d'argent et de gueule portant la couronne marquisale de Ferningham

Je sais bien qu'on est dans Warcraft et que donc on s'en fout, mais ce serait plutôt :

De sable à une chouette d'or posée de front tenant de ses serres dextres un glaive d'argent.

Préciser "d'un écu" au début sous-entendu qu'il y a un écu dans l'écu, ce qui n'est pas le cas.

Les animaux en héraldique sont symboliques, et préciser une espèce précise est donc non-seulement inutile, mais contraire à l'esprit de la chose.

"Avec fierté" n'indique aucune propriété du blason et doit donc être évité.

Le cimier et les lambrequins ne font pas parti du blason, et les décrire est donc inutile ; leurs propriétés peuvent normalement être déduites du rang et de l'origine du propriétaire du blason et des couleurs de celui-ci. Si l'on décide malgré tout de les décrire, il faut le faire en marquant bien la séparation avec le blasonnement lui-même ; on risque sinon de faire croire qu'on parle de meubles du blason. Par exemple, "entouré de plumes d'argent, de sable et d'or" laisse entendre qu'il y a sur le blason, autour du hibou, des plumes de ces couleurs (même si "entouré" n'est pas un terme technique ; on devrait plutôt dire "semé", par exemple).

Au final, en faire trop nuit peut-être à l'objectif premier ; d'autant plus qu'un blason est d'autant plus classe qu'il est simple (cela étant un signe d'ancienneté et de "pureté" du sang) :p

Aldorey Kelbourg a écrit:C'est plus complexe que cela, le blason en question n'est pas traditionnel mais contemporain. Un animal ne devrait aucun cas porter une arme de toute façon.

Aldorey Kelbourg a écrit:Ensuite c'est à la chouette, et il n'est pas nécessaire de préciser qu'elle est frontale, étant donné que les chouettes, en héraldique, le sont de manière obligatoire. Il serait donc nécessaire de blasonner si ce n'était plutôt pas le cas, au contraire.