[Alliance] Comte N. Nelius Daelis Célèste
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[Alliance] Comte N. Nelius Daelis Célèste
Le Comte Nelezar Nelius Daelis Célèste héritant d'une somme d'argent considérable a toujours fait bonne figure en société mais que cache ce masque de bonnes manières et d'altruisme ?
On ne sait que peu de choses sur la vie du Comte avant son arrivé sur Hurlevent,si ce n'est qui'il a autorité sur la Comté du Lac, nous avons pu retrouver les archives concernant les aventures qu'il a pu vivre après ce débarquement dans la grande cité.
Chapitre I. La Maison de Bayle
La Comtesse Amelie de Bayle fût pour le Comte une personne chez qui il trouva refuge en arrivant dans la cité de Hurlevent, ayant étudié la médecine et aussi les relations humaines il se porta au service de la Comtesse qui lui apporta toute son aide dans la cité pour se faire bien voir des personnes bien placées, des hommes et des femmes de valeurs de la cité.
Il se joignait aux soirées mondaines, nouait des liens commerciaux, ajouta des noms sur ses listes de contacts et il fût bientôt l'ambassadeur, non-officiel ceci dit de la Maison Bayle, il se rendait partout pour faire valoir le nom de la Maison bayle qui lui avait tant apporté dans sa découverte de la capitale.
Après quelques années au service de la Comtesse, il trouva un plis lui étant adressé, déposé sur sa table dans ces quartier du Manoir Bayle.
" Cher Comte Nelezar Nelius Daelis Célèste,
Nous avons déclaré la guerre sur le front du Norfendre,
Il est évident que nous aurons besoin de tous les bras disponible pour aider nos troupes a avancer sur le front.
Avec vos connaissances médicales nous aurions besoin de quelqu'un pour rejoindre le prestigieux VI Régiment d'Argent conduit par le grand Aidam Kerrigan, chevalier de la Main d'Argent qui me semble vous avez déjà rencontré.
Ils vous attendent prêt à embarquer, ils ne resterons pas longtemps à quai, si vous le souhaitez, et je vous en conjure, rejoignez-les, engagez vous !"
"Extrait du carnet de bord du Comte"
La tempête faisait rage, la neige venait fouetter nos visages, le grésil nous cisaillait les lèvres et le gel glaçait nos os.
Jour 36. Couronne de Glace.
Zul Drak et ces trolls étaient une partie de plaisir à coté des horreurs qui nous attendent dans la Couronne de Glace, je suis fasciné par l'aisance avec la qu'elle Kerrigan nous conduit à travers ces terres glacées, il nous galvanise de ses discours et nous fait garder le cap, le moral. le soir on se raconte nos histoires au coin du feu, belles tranches de récits et de vie qui améliorait notre quotidien dans ces landes oubliées des hommes. Le Vieme régiment rassemblait des hommes admirables. Kerrigan quant à lui s'enroulait de sa cape en peau de Talbuk et consultait nuit après nuit ses cartes pour nous mener à bon port.
jour 42. Camp Avancé de la Croisade d'Argent.
Nous sommes enfin arrivés à l'abri. nous avons eu le droit a un repas chaud sous une tente de la Croisade.
Hier, nous avons perdu un homme dans une embuscade de non-morts, nous avons tout tenté pour le sauver, je n'avais jamais vu pareil blessures, purulente d'un mal-non naturel, de ses plaies s'écoulaient des fluides sombre et puants la magie du Roi Liche ne laissait aucun répit aux mourants. Le Chevalier de la Mort qui avait asséné un coup de lame en travers du torse de notre soldat l'avait laissé sans vie, enfin je m'entends, il était bien vivant mais sans réactions et émotions, il restait planté au milieu du champ de bataille sans effectué de mouvement, le regard vide comme si le chevalier lui avait volé son âme. Le courage de Kerrigan et de ses hommes décima la troupe qui nous avait si avidement tendue une embuscade, c'est grâce à eux que je suis là pour écrire ces lignes.
Nous avons tout tenté pour sauver notre homme, la magie de la Lumière, bandages et onguents mais rien n'y fît, il mourut dans la nuit. Nous brûlâmes sont cadavre pour s'assurer que son corps ne servirait pas les troupes du Roi-Liche, c'était notre dernier hommage.
Jour 51. Trône de Glace.
C'est un massacre, nous sommes débordés, tout le service médical ne sait plus où donner de la tête nos soldats tombent comme des mouches.
*une tache d'encre orne la page*
Jour 67. Dalaran.
Nous sommes enfin libérés, nous avons perdu bon nombre d'amis dans ce combat mais le Norfendre et délivré, le Roi Liche est tombé, le mal ne régnera plus sur ces terres, je quitte ces étendues glacées. un dernier salut à Kerrigan, homme que je n’oublierais jamais. Nous étions une poignée de survivant du VIéme Régiment.
Chapitre III. L'Ordre des Hospitaliers.
A son retour à Hurlevent, il constata avec effroi que son argent avait été "jeté par les fenêtres" par son intendant, un gnome du nom de Roulfom, d'ailleurs il ne donna plus aucun signe de vie, surement parti se la couler douce dans les tavernes gobelines.
L'Ordre des Hospitaliers fût pour le Comte un moyen de continuer a être actif, en homme bon, il s'engagea en tant que médecin au sein de l'Ordre pour aider son prochain. Il développa ses compétences fît quelques rencontres, mais une, et une seule marqua le grand tournant qu'il allait effectué pour le reste de sa vie.
Veïn, il se nommait Veïn Holsein Blake. Blessé de guerre, il venait faire soigner régulièrement le trou béant qui remplaçait son œil gauche, arraché par un réprouvé lors de la guerre de Gilneas.
Veïn était un homme sans scrupule, un maniaque de l'argent. le Comte ruiné, l'écoutait parler de ces aventures "commerciales" en faisant mine d’être a peine intéressé, mais l'homme avec qui le Comte avait tissé des liens d'amitiés était en train d'installer en lui des idées mauvaises et perverses, qui bientôt redorerais le blason de Nelius, ruiné jusqu’à la moelle.
Chapitre IV. La Maison de la Chevalière.
*un crieur de rue*
Oyez ! Oyez !
La Maison de la Chevalière ouvre aujourd'hui sa nouvelle échoppe, venez y découvrir pierres précieuses et bijoux ! Ravissez vos dames et paradez fièrement avec les parures de nos plus grands joailliers."
Il y avait de la paperasse partout dans le bureau du Comte, un nuage de fumée quasi permanent emplissait tout l'espace au dessus du bureau s'évacuant doucement par la fenêtre entre-ouverte du Manoir.
"Blake ! Où en sont les arrivages de tissus de Darnassus ? Et les minerai du Loch ? Bon sang ! C'est pas possible ! J'ai aucunes nouvelles de notre contact en Strangleronce ! "
"On se calme ! Mon bon Nelius !" Veïn fumait sa gnolloise appuyé sur le rebord de la fenêtre. "Tout va bien... Disons que j'ai passé un petit accord avec les douanes de Hurlevent, ça va mettre un peu plus de temps mais au moins on va faire de sacrés économies !"
Le Comte se redressa, déposa son monocle sur la table entre diverses papiers. Il déposa son cigare gobelin dans le cendrier en verre de jaspe et se retourna pour observer Veïn qui était dans l'encadrure de la fenêtre.
" Ne m’appelle pas Nelius veux-tu ! Je suis Comte ! Des accords tu-dis ?"
"Ouai, j'ai graissé quelques pattes, comme prévu... Tu panique ?" Il s'esclaffa d'un rire gras. " Bon sang, t'as bien changé mon vieux ! Mais j'aime ce nouveau Comte de Machin-Chouette, tu porte tes couilles mon grand, tu as enfin compris que le système c'est soit toi qui le contrôle ou sinon c'est lui qui te contrôle..."
Nelius se rassit, abasourdit par ce qu'il venait d'entendre. Il était devant le fait accomplit de ces actes, il avait servi le peuple, défendu les innocents pour finir comme un "hors la loi" à contourner les lois qui autre fois faisait son code et son honneur.
Étonnamment, cette idée ne lui fît douleur que quelques instant, il prenait un malin plaisir a contrôler, lui petit Comte qui avait vu sa fortune réduite à néant et a devoir faire des courbettes à gauche et à droite pour se faire un nom, a servir les intérêts des autres pour pouvoir se faire connaitre. Lui et lui seul aujourd'hui décidait de ce qu'il allait entreprendre et réaliser et la, il prenait son pied.
( Merci à tous les rolistes qui m'ont fait découvrir le Roleplay, tout ceux que je cite dans cette histoire sont de vrai rolistes qui m'ont permis de créer et d'étoffer ce personnage ! Merci encore à eux ! )
Introduction.
On ne sait que peu de choses sur la vie du Comte avant son arrivé sur Hurlevent,si ce n'est qui'il a autorité sur la Comté du Lac, nous avons pu retrouver les archives concernant les aventures qu'il a pu vivre après ce débarquement dans la grande cité.
Chapitre I. La Maison de Bayle
La Comtesse Amelie de Bayle fût pour le Comte une personne chez qui il trouva refuge en arrivant dans la cité de Hurlevent, ayant étudié la médecine et aussi les relations humaines il se porta au service de la Comtesse qui lui apporta toute son aide dans la cité pour se faire bien voir des personnes bien placées, des hommes et des femmes de valeurs de la cité.Il se joignait aux soirées mondaines, nouait des liens commerciaux, ajouta des noms sur ses listes de contacts et il fût bientôt l'ambassadeur, non-officiel ceci dit de la Maison Bayle, il se rendait partout pour faire valoir le nom de la Maison bayle qui lui avait tant apporté dans sa découverte de la capitale.
Après quelques années au service de la Comtesse, il trouva un plis lui étant adressé, déposé sur sa table dans ces quartier du Manoir Bayle.
" Cher Comte Nelezar Nelius Daelis Célèste,
Nous avons déclaré la guerre sur le front du Norfendre,
Il est évident que nous aurons besoin de tous les bras disponible pour aider nos troupes a avancer sur le front.
Avec vos connaissances médicales nous aurions besoin de quelqu'un pour rejoindre le prestigieux VI Régiment d'Argent conduit par le grand Aidam Kerrigan, chevalier de la Main d'Argent qui me semble vous avez déjà rencontré.
Ils vous attendent prêt à embarquer, ils ne resterons pas longtemps à quai, si vous le souhaitez, et je vous en conjure, rejoignez-les, engagez vous !"
Chapitre II. Le VIeme Régiment d'Argent
"Extrait du carnet de bord du Comte"
La tempête faisait rage, la neige venait fouetter nos visages, le grésil nous cisaillait les lèvres et le gel glaçait nos os.
Jour 36. Couronne de Glace.
Zul Drak et ces trolls étaient une partie de plaisir à coté des horreurs qui nous attendent dans la Couronne de Glace, je suis fasciné par l'aisance avec la qu'elle Kerrigan nous conduit à travers ces terres glacées, il nous galvanise de ses discours et nous fait garder le cap, le moral. le soir on se raconte nos histoires au coin du feu, belles tranches de récits et de vie qui améliorait notre quotidien dans ces landes oubliées des hommes. Le Vieme régiment rassemblait des hommes admirables. Kerrigan quant à lui s'enroulait de sa cape en peau de Talbuk et consultait nuit après nuit ses cartes pour nous mener à bon port.
jour 42. Camp Avancé de la Croisade d'Argent.
Nous sommes enfin arrivés à l'abri. nous avons eu le droit a un repas chaud sous une tente de la Croisade.
Hier, nous avons perdu un homme dans une embuscade de non-morts, nous avons tout tenté pour le sauver, je n'avais jamais vu pareil blessures, purulente d'un mal-non naturel, de ses plaies s'écoulaient des fluides sombre et puants la magie du Roi Liche ne laissait aucun répit aux mourants. Le Chevalier de la Mort qui avait asséné un coup de lame en travers du torse de notre soldat l'avait laissé sans vie, enfin je m'entends, il était bien vivant mais sans réactions et émotions, il restait planté au milieu du champ de bataille sans effectué de mouvement, le regard vide comme si le chevalier lui avait volé son âme. Le courage de Kerrigan et de ses hommes décima la troupe qui nous avait si avidement tendue une embuscade, c'est grâce à eux que je suis là pour écrire ces lignes.
Nous avons tout tenté pour sauver notre homme, la magie de la Lumière, bandages et onguents mais rien n'y fît, il mourut dans la nuit. Nous brûlâmes sont cadavre pour s'assurer que son corps ne servirait pas les troupes du Roi-Liche, c'était notre dernier hommage.
Jour 51. Trône de Glace.
C'est un massacre, nous sommes débordés, tout le service médical ne sait plus où donner de la tête nos soldats tombent comme des mouches.
*une tache d'encre orne la page*
Jour 67. Dalaran.
Nous sommes enfin libérés, nous avons perdu bon nombre d'amis dans ce combat mais le Norfendre et délivré, le Roi Liche est tombé, le mal ne régnera plus sur ces terres, je quitte ces étendues glacées. un dernier salut à Kerrigan, homme que je n’oublierais jamais. Nous étions une poignée de survivant du VIéme Régiment.
Chapitre III. L'Ordre des Hospitaliers.
A son retour à Hurlevent, il constata avec effroi que son argent avait été "jeté par les fenêtres" par son intendant, un gnome du nom de Roulfom, d'ailleurs il ne donna plus aucun signe de vie, surement parti se la couler douce dans les tavernes gobelines.
L'Ordre des Hospitaliers fût pour le Comte un moyen de continuer a être actif, en homme bon, il s'engagea en tant que médecin au sein de l'Ordre pour aider son prochain. Il développa ses compétences fît quelques rencontres, mais une, et une seule marqua le grand tournant qu'il allait effectué pour le reste de sa vie.
Veïn, il se nommait Veïn Holsein Blake. Blessé de guerre, il venait faire soigner régulièrement le trou béant qui remplaçait son œil gauche, arraché par un réprouvé lors de la guerre de Gilneas.
Veïn était un homme sans scrupule, un maniaque de l'argent. le Comte ruiné, l'écoutait parler de ces aventures "commerciales" en faisant mine d’être a peine intéressé, mais l'homme avec qui le Comte avait tissé des liens d'amitiés était en train d'installer en lui des idées mauvaises et perverses, qui bientôt redorerais le blason de Nelius, ruiné jusqu’à la moelle.
Chapitre IV. La Maison de la Chevalière.
*un crieur de rue*Oyez ! Oyez !
La Maison de la Chevalière ouvre aujourd'hui sa nouvelle échoppe, venez y découvrir pierres précieuses et bijoux ! Ravissez vos dames et paradez fièrement avec les parures de nos plus grands joailliers."
Il y avait de la paperasse partout dans le bureau du Comte, un nuage de fumée quasi permanent emplissait tout l'espace au dessus du bureau s'évacuant doucement par la fenêtre entre-ouverte du Manoir.
"Blake ! Où en sont les arrivages de tissus de Darnassus ? Et les minerai du Loch ? Bon sang ! C'est pas possible ! J'ai aucunes nouvelles de notre contact en Strangleronce ! "
"On se calme ! Mon bon Nelius !" Veïn fumait sa gnolloise appuyé sur le rebord de la fenêtre. "Tout va bien... Disons que j'ai passé un petit accord avec les douanes de Hurlevent, ça va mettre un peu plus de temps mais au moins on va faire de sacrés économies !"
Le Comte se redressa, déposa son monocle sur la table entre diverses papiers. Il déposa son cigare gobelin dans le cendrier en verre de jaspe et se retourna pour observer Veïn qui était dans l'encadrure de la fenêtre.
" Ne m’appelle pas Nelius veux-tu ! Je suis Comte ! Des accords tu-dis ?"
"Ouai, j'ai graissé quelques pattes, comme prévu... Tu panique ?" Il s'esclaffa d'un rire gras. " Bon sang, t'as bien changé mon vieux ! Mais j'aime ce nouveau Comte de Machin-Chouette, tu porte tes couilles mon grand, tu as enfin compris que le système c'est soit toi qui le contrôle ou sinon c'est lui qui te contrôle..."
Nelius se rassit, abasourdit par ce qu'il venait d'entendre. Il était devant le fait accomplit de ces actes, il avait servi le peuple, défendu les innocents pour finir comme un "hors la loi" à contourner les lois qui autre fois faisait son code et son honneur.
Étonnamment, cette idée ne lui fît douleur que quelques instant, il prenait un malin plaisir a contrôler, lui petit Comte qui avait vu sa fortune réduite à néant et a devoir faire des courbettes à gauche et à droite pour se faire un nom, a servir les intérêts des autres pour pouvoir se faire connaitre. Lui et lui seul aujourd'hui décidait de ce qu'il allait entreprendre et réaliser et la, il prenait son pied.
( Merci à tous les rolistes qui m'ont fait découvrir le Roleplay, tout ceux que je cite dans cette histoire sont de vrai rolistes qui m'ont permis de créer et d'étoffer ce personnage ! Merci encore à eux ! )
Nelius
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