Le Cercle Cénarien

Le Cercle Cénarien est l'organisation à laquelle la très grande majorité des druides appartiennent. Elle est dédiée à la protection et à la restauration de la nature. Ses membres estiment que le seul moyen de parvenir à ces objectifs est de préserver l'équilibre dans le monde, de sorte que le Cercle cénarien est rarement impliqué dans les conflits à moins que ces derniers ne menacent directement la nature. Ainsi, le Cercle Cénarien est une faction impartiale qui ne s'intéresse ni se ne se mêle de politique. Les membres travaillant pour ce groupe peuvent appartenir à d'autres factions. Tandis que les hommes et les femmes du Cercle Cénarien cherchent à rester aussi loin que possible de la politique des autres factions, les tensions et les conflits engendré par celles ci affectent parfois directement la nature et donc le Cercle Cénarien. Quand de tels événements surgissent, le Cercle cénarien prend des mesures drastiques pour protéger la nature sauvage et restaurer l'ordre naturel, même si cela signifie d'agir à l'encontre de la faction concernée.


Histoire :

Nommé en l'honneur du demi-dieu Cenarius, le Cercle cénarien assure la protection de la nature et de ses créatures. De plus, ses membres agissent en tant que gardiens de la tradition ancienne qu'est le druidisme. Dans son rôle de protecteurs de la nature, le Cercle Cénarien s'efforce également de maintenir le fragile équilibre du monde.

La faction a été fondée par Cénarius et Malfurion lors de la guerre du Satyre. Malfurion a formé les premiers druides du groupe, mais a bientôt fait appel à Remulos, l'un des fils de Cenarius, pour l'aider. Remulos a joué un rôle majeur dans la fondation du Cercle et a enseigné aux jeunes druides tous les secrets qu'ils avaient besoin de maîtriser. Avec les années, le organisation s'est élargie pour inclure des taurens aux visions similaires, ainsi que d'autres races telles que les trolls et les worgens. Le Cercle Cénarien comporte désormais plus de membres qu'à l'origine même si ses effectifs restent peu nombreux. Ses agents sont actifs partout en Azeroth, mais surtout présents sur Kalimdor. Hommes et femmes de l'Alliance et de la Horde sont maintenant accueillis dans le Cercle Cénarien, mais la majorité de ses membres sont encore des hommes elfe de la nuit.

La plupart des membres de cette faction sont des elfes de la nuit ou des taurens. Le Cercle cénarien accepte cependant les hommes et les femmes de toute race ; les druides sont membres par définition, mais les autres personnages doivent faire leurs preuves auprès du Cercle Cénarien avant d'être accepté.


Relations :

En tant que défenseurs de la nature et gardiens du fragile équilibre d'Azeroth, les membres du Cercle Cénarien ont tendance à avoir beaucoup d'alliés, mais aussi beaucoup d'ennemis. Ceux qui cherchent à exploiter la nature voient le Cercle Cénarien comme une épine dans leur flanc, sinon une menace directe à leurs objectifs ultimes. A l'inverse, les gens qui respectent la nature sauvage et les créatures qui l'habitent voient le Cercle cénarien comme une force nécessaire que le monde ne peut pas se permettre de perdre.

Le Cercle cénarien a de nombreux alliés parmi les forestiers, les druides et les chamanes qui s'appellent eux-mêmes aventuriers. Il a aussi des liens étroits avec d'innombrables organisations croyant que la nature doit être sauvegardée. Parce que la plupart de ses membres viennent soit l'Alliance ou la Horde, le Cercle Cénarien s'entend généralement avec les deux bords.

Le cercle considère le Fléau et la Légion Ardente comme les plus importantes menaces que le monde a vu depuis des années. Les membres du Cercle cénarien se méfie donc énormément des démons et des morts-vivants, s'assurant que leur empreinte sur le monde ne se fasse pas plus insistante qu'elle ne l'est. Aussi, durant ces dernières années, les intrigues et manœuvres du Marteau du Crépuscule ont forcé le Cercle Cénarien prendre des mesures contre lui. Beaucoup savaient que le conflit allait être inévitable entre cette organisation ; les événements du Cataclysme ont confirmé ces rumeurs. Les forces du Cauchemar d'Emeraude ont également représenté une menace sourde mais tangible envers l'équilibre naturel, si bien que le Cercle Cénarien a également mené des actions contre ses membres corrompus et les créatures sorties du plan éthéré.


Organisation :

L'archidruide Malfurion Hurlorage conduit le Cercle Cénarien depuis sa création. Mais durant la période pendant laquelle il sombra dans le comas, ce fût Fandral Forteramure qui prit le commandement. Les gardiens du bosquet et les archidruides sont responsables de la protection de lieux bien spécifiques. Les périls font que ces individus sont parfois amenés à voyager, auquel cas ils prennent la tête d'une expédition. Les membres les plus influents du Cercle Cénarien sont l'archidruide Malfurion Hurlorage, l'archidruide Hamuul Totem-runique, l'archidruide de la Sylverêve et le gardien Rémulos.

L'organisation est divisée sous formes de branches telles que le Cercle d'Emeraude, les Tisses-Rêves, les Gardiens d'Hyjal, les Vengeurs d'Hyjal ou encore la Société de Protection des Animaux. Il arrive aussi que des druides suivent leur propre voie au sein d'autres factions comme la Horde ou l'Alliance.


Localisations :

Bien que les membres du Cercle Cénarien soient répartis à travers le monde, en particulier dans ses terres sauvages, le groupe dispose de plusieurs bases fixes. La plus importante est celle de Havrenuit, l'ancienne capitale des elfes de la nuit à Reflet de Lune. On compte aussi :

- L'Enclave Cénarienne à Darnassus
- Le Refuge Cénarien au Marécage de Zangar
- Sylvanaar dans les Tranchantes
- Le Bosquet de Murmevent dans Gangrebois
- Le Sanctuaire d'Emeraude dans Gangrebois
- La Clairière de Karnum en Désolace
- Nordrassil au Mont Hyjal
- Lorlathil à Val'sharah
- La Sylverêve à Val'sharah

Bien que le Cercle cénarien conserve d'autres bases d'opération, la plupart de ses membres se rencontrent dans la forêt, au coeur des clairières, sous les arbres particulièrement anciens ou sur les nombreuses
rives rocheuses du monde. Personne d'autre que l'organisation ne connaît l'emplacement de ces lieux qui servent de points de rendez-vous.