[Alliance - Humaine] Archimage Hérodiade Ambrose
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[Alliance - Humaine] Archimage Hérodiade Ambrose
[Alliance] Archimage Hérodiade Ambrose
Guilde : Les fils de Garithos.
Nom : Ambrose, Veuve : Beau-Regard
Prénoms : Hérodiade
Race : Humain
Âge : 49 ans
Sexe : Féminin
Origine : Hurlevent
Conviction Religieuse : Lumière
Titre : Ambassadrice d'Hurlevent, Baronne, Dame Ambrose, Archimage
Surnom : La Lionne / La Hyène (péjoratif) / L'hurleventoise
Profession : Diplomate Hurleventoise
Compétences et/ou pouvoirs : Cryomancie, pyromancie, arts des arcanes et de l'illusion, divination et abjuration. Maniement des baguettes et bâtons.
Habituée à la vie en mer.
Equitation.
Description physique et signe(s) particulier(s) :
Taille : 1.73m
Poids : 63kg
Musculature : Pulpeuse.
Yeux : Verts
Signes distinctifs : Chevelure dorée.
Résumé du passé :
Bercée par les hurlements de sa mère et les cries de joies de son père, Hérodiade naquit à Hurlevent dans la demeure des Ambrose, famille aisée de la Maison des Nobles de la Vielle Ville peu de temps avant l'ouverture de la Porte des Ténèbres. Hérode son père, déchanta vite au vue du sexe du bambin. En effet, il ne supporta pas l'idée d'avoir enfanté une fille et non un garçon destiné à reprendre les rênes de sa famille.
Enfant, Hérodiade était précoce. Elle ne supportait pas l'idée de rester enfermée chez elle à suppléer sa mère et ses tantes dans des tâches ménagères en tout genre et à apprendre les codes et les manières d'une jeune noble. De même, les absences répétées de son père en journée l'exaspérait. En effet, la vie de ce dernier la passionnait davantage. Son père, membre de la Maison des Nobles s'essayait à la politique et aux affaires économiques. Ce qui était insupportable pour la jeune fille fut finalement compris par ses parents. Son père accepta de lui enseigner, après un argumentaire rudement menée par la petite, la géographie, l'histoire et des bases en économie. Véritable passionnée, ces moments précieux aux côtés de son père lui permirent de tenir des conversations passionnantes et de s'élever culturellement.
Son enfance s'arrêta le jour où la Horde Noire posa le pied à Hurlevent. La ville fut rapidement assiégée. Son père, Hérode Ambrose, décéda aux portes du Donjon Royal alors qu'il tentait de se replier au près de la cour après une tentative veine de repousser les assaillants qui assiégeaient la Vieille Ville. Hérodiade, accompagnée de sa mère, Virginia Ambrose fut envoyée en tout hâte au port d'Hurlevent, dans une poche résistante mené par Anduin Lothar. Ce dernier organisa la fuite de plusieurs survivants, ainsi que du jeune Roi en Lordaeron. Plusieurs familles nobles étaient présente pour le voyage. Hérodiade développa une haine incommensurable envers les orcs.
L'arrivé en Lordaeron permit à Hérodiade de découvrir plus en détail les mages et leurs pouvoirs. Elle pleura la mort de son père et se jura de ne plus jamais être passive. Il était hors de question que les jeunes hommes des autres familles nobles soit les seuls à pouvoir défendre leur clan. Elle supplia sa mère de l'envoyer à Dalaran, elle voulait y étudier les Arcanes. Sa mère, catégorique, refusa. Hérodiade observait les garçons s'entrainer, elle avait ouïe dire que le Prince Arthas et le Roi Wrynn s'entrainaient eux aussi à l'épée. C'était décidé, elle trouva un mentor dans la capitale qui accepta de lui enseigner les arts des arcanes après avoir découvert sa forte affinité pour la magie et tout ceci dans le dos de sa mère. Quatre années passèrent, quatre années durant lesquels Hérodiade découvrit les bases de la magie arcanique aux côtés de son professeur. Mais vint le jour où Hurlevent fut reconstruite par la guilde des maçons.Sa mère prit la décision de rentrer à la capitale australe. Virginia devenue dépressive ne portait plus autant d'attention à son enfant. Le voyage en bateau fut long et éprouvant, il ôta la vie à Virginia, déjà faible et fragile. Le Typhus l'emporta. Hérodiade, jeune adolescente devint orpheline de père et de mère.
La capitale humaine était méconnaissable. Hérodiade désemparée, seule et abandonnée découvrit que son oncle avait survécu à l'attaque des orcs en ayant fuit vers la Marche de l'Ouest. Hérodiade était l'héritière de la famille Ambrose, or, son oncle avait repris les rênes de la famille pendant leur longue absence. Voyant le retour de sa nièce comme une menace il décida de l'adopter, s'assurant l'héritage du nom et des richesses de la famille. L'oncle peu enclin à s'occuper de la jeune fille lui offrit, malgré lui, une totale liberté. Hérodiade s'inscrivit à l'Académie de magie de la capitale, poursuivant son rêve de devenir Mage. Il était rare de trouver des élèves ayant une telle affinité avec la magie dans la capitale humaine dès la première année. Hérodiade dissimula à ses professeurs qu'elle avait déjà des notions en matière de magie souhaitant évoluer plus rapidement. Ses premières années d'étude furent marquées par sa réussite et son aisance à utiliser les arcanes, les sorts de téléportation et l'abjuration. Elle fit d'ailleurs des études poussées sur les spatio-failles et rédigea un mémoire sur ces dernières. En quelques années elle devint une experte de la téléportation à courte distance et était capable de créer des boucliers arcaniques puissants. La rapidité de ses incantations fut remarquée par l'armée d'Hurlevent. Grâce à beaucoup de travail et quelques contacts dû à ses professeurs elle fût recrutée avant de décrocher son diplôme de fin d'étude, chose qu'on le lui reprochera à de nombreuses reprises par la suite. Hérodiade se dressa comme une mage chevronnée et intelligente, elle savait quand il fallait disparaître en cas de crise. Ses généraux ne virent pas tous d'un très bon œil son ascension fulgurante. Elle dû faire face au machisme récurent et presque commun de l'armée. Elle choisit de se taire tout au long du début de sa carrière et de laisser faire. Désormais jeune adulte, elle participa a plusieurs batailles. La nouvelle Horde devenant une menace importante pour l'Alliance, les troupes d'Hurlevent furent en conséquence envoyées dans les quatre coins d'Azeroth. Revenant de ses campagnes respective, Hérodiade s'adonnait à toute la luxure qui la caractérisait. En effet, la mage s'adonnait à des rites fantasmatiques obscènes qui furent dissimulés pendant de nombreuses années. Mais vint le jour, où son oncle décida de sceller de nouvelles alliances, devenu richissime, s'asseyant sur un héritage colossal qu'il s'était forgé au fil des années. Hérodiade devint destinée à l'un des héritiers d'une famille puissante de la Maison des Nobles. Elle supplia son oncle de renoncer à cette hérésie, bien trop attachée à sa liberté. Malheureusement, la jeune femme dut joindre son destin à Vecthar, homme rondouillard, à peine plus grand qu'elle et plus enclin à la politique qu'à l'art de combattre. Ce dernier profita de sa femme pour ses propres manigances. Il connaissait la réputation qu'avait Hérodiade à l'Académie et il décida d'en faire une héroïne d'Hurlevent, s'assurant ainsi une carrière fulgurante. Il envoya sa femme participer à de nombreuses batailles. Elle devint un symbole pour la jeunesse d'Hurlevent, souvent utilisée comme exemple auprès des enfants des orphelinats et des foyers. Surnomée la Lionne, pour son amour pour sa patrie, ses cheveux blonds et sa jeunesse dorée. Vecthar, l'armée et Hurlevent dans une autre mesure se servaient de la jeune femme pour leur propre propagande, si à l'image du peuple une jeune femme orpheline pouvait le faire, vous pouviez le faire. L'armée recrutait en masse, les conflits ayant atteint leurs paroxysmes sur tous les fronts. Toute cette médiatisation monta à la tête d'Hérodiade. Cela créa une fissure entre la réalité et sa propre perception du monde. Elle s'enrichissait et devenait hautaine. La seule chose qui la ramenait au réel était ses relations avec les jeunes hommes qu'elle retrouvait lors de ses retours à la capitale. Elle s'échappait des bals, soirées mondaines et autre frivolités pour regagner les bras de ses amants. Hérodiade a aussi fait l'objet de nombreux scandales au sein de la capitale, cette femme froide et puissante aimait, donc, les hommes et les plaisirs fantasmatiques. Elle était une véritable nymphomane qui se réjouissait des jeunes gens qu'elle emmenait dans son lit quand son mari était occupé. Bien qu'elle fut extrêmement discrète elle eut à faire face à l'Eglise d'Hurlevent qui a répugné ses actes charnels bien dès fois. L'archevêque déchu Bénédictus entendit même parlé d'une rumeur répugnante mettant en scène la jeune femme dans des orgies dantesques. Il n'entretenait pas de bonnes relations avec cette dernière. Beaucoup se souviennent de conflit ayant eu lieu dans les couloirs du donjon royal. Cependant, son travail et sa réputation auprès du bas peuple faisaient vite oublier ces histoires qui animaient la cour. Hérodiade est une personne hautaine, c'est certain, mais cela lui causa du tord à plusieurs reprises. Sa réputation auprès des nobles n'a pas toujours été très élevé, il l'a surnommait la Hyène à défaut d'être une Lionne. Les affaires continuaient cependant de profiter à son oncle et son mari. Mais ce que les deux hommes ignoraient, c'était qu'Hérodiade n'était pas si facilement utilisable, maligne sur d'autres fronts, elle profita de sa sur-médiatisation pour devancer ses généraux au sein de l'armée. Elle les torpillait, les faisait disparaître derrière sa propre image à coup de cérémonie luxueuse, de scandales en tout genres et de victoires grandioses sur les champs de batailles. Ainsi Vechtar perdait peu à peu en popularité à son tour derrière l'image de sa femme. On ne parlait plus que d'elle. Sa dextérité et ses coups montés l'ont hissées aux côtés des hommes qui voulaient la voir couler.
Refusant de cracher sur son héritage et ses origines, elle organisa le meurtre de son oncle, qui s'était approprié les titres et richesses de la famille, en toute discrétion, faisant passé sa mort pour une crise cardiaque grâce à un poison rare qu'elle avait rapportée d'une campagne en Kalimdor. Récupérant ainsi ce qui lui revenait de droit, la jeune femme reprit possession des biens de sa famille. Cependant il restait un pion à évincer du jeu pour que la Reine puisse crier échec et mat. En effet, Vechtar l'a surprit un soir avec un chevalier. Lassé de sa femme et de l'image qu'elle entretenait, il jura de faire éclater le scandal. Hérodiade était alors enceinte de trois mois. Elle réalisa le danger que représentait Vechtar. Elle fit sortir l'homme et s'approcha de son mari qui ne perdit pas de temps pour la battre. Il la gifla, elle chuta, et un coup de pied bien placé dans le ventre fit le travail. Hérodiade folle de rage, usa d'un sort de givre, l'abattant sur le coup. Le secret ne devait pas quitter cette pièce. Elle monta une histoire bien ficelée, aux yeux de la presse, la maladie cardiaque avait emporté Vechtar l'un des hommes les plus politisé de la Capitale. Hérodiade gagna d'avantage en popularité et en liberté, cette femme alors enceinte, orpheline de père et de mère, de père adoptif et maintenant veuve s'assura le respect et l'amour du peuple. Maligne elle savait qu'en donnant naissance à son fils elle allait pouvoir récupérer les droits et héritages de la famille de Vechtar. Cependant le destin se riait d'elle, son enfant était mort-né. Cet évènement créa une déchirure. Détruite elle se recentra sur son rêve d'enfance et désira s'éloigner des intrigues de la cour. Elle était, en effet, depuis quelques années cramponnée à sa demeure dans la Vieille ville au côté de son défunt mari. Son passé de Lionne commençait à vieillir et à se ternir. La rumeur se répandait en ville qu'Hérodiade était maudite, pour avoir donné naissance à un enfant mort-né et avoir vue sa famille entière périr dans d'étrange circonstances. Souhaitant échapper à l'atmosphère étouffant de la capitale elle reprit du service alors que la campagne en Norfendre battait son plein. Elle participa à de nombreuses batailles qui redorèrent son image terne. Mais les secrets rattrapent toujours ceux qui les gardent. Un enquêteur du SI:7 profita de l'absence de la Dame Ambrose, alors sur le front, pour enquêter sur la mort de l'oncle et du mari d'Hérodiade. Ses découvertes allaient de mal en pis, et il finit par remonté la piste du poison. De l'autre côté du monde, Hérodiade, Championne de l'Alliance, gagna le titre d'Archimage pour ses efforts lors de la Guerre du Nexus, félicitée par Dalaran. L'enquêteur décida d'attendre le retour d'Hérodiade pour la coincer et la mettre sous les barreaux. Il voulait usé de la plus grande discrétion pour éviter à la capitale un scandal qui entacherait l'image de l'Alliance longuement représentée par des Héros comme la jeune Ambrose. A force de jeu de jambes avec bon nombre d'hommes dans la capitale, elle s'était monté un réseau de contact infaillible. Et aujourd'hui ses contacts lui disaient de fuir. Quelques semaines passèrent sans nouvelle d'Hérodiade. L'enquêteur décida de faire saisir ses biens et débuta un travail qui visait à faire oublier au peuple la simple présence de sa famille. Hérodiade de son côté, choisit finalement de combattre, refusant de salir le nom de ses parents par des accusations qu'elle jugeait ridiculement exagérées. En conséquence, elle ne put participer à la campagne en Pandarie et en Draenor ayant passé la plupart de son temps en tribunal et procès. Elle fini par gagner et fut libérée de toute inquiétude. La défense n'ayant trouvé assez de preuve pour l'accuser définitivement. Ruinée par ces années à combattre les institutions du pouvoir et maintenant méconnue de la nouvelle génération, elle s'enrôla sur un galion de l'armée Hurleventoise, le Vengeance de Neptulon où elle devint officier. L'exaltation fut de courte durée, peu de temps après avoir participé à la Guerre des Epines le navire sombra alors qu'elle était loin de son bord, en mission en Chantorage...
Ce qui nous mène au Duché...
La mystérieuse destruction du Neptulon la ramena de force à Hurlevent, où elle trahie la confiance de son Capitaine devant l'Amirauté et la justice Hurleventoise afin de servir ses prorpres intérêts. Placée sous tutelle, le temps d'élucider l'affaire, le SI:7 décida de l'éloigner pour de bon de la Capitale en prétendant une mission diplomatique dans un duché lointain en Lordaeron. Ils avaient connaissance de son enfance en la capitale septentrionale après la destruction d'Hurlevent, qui leur permirent de justifier une prise de contact avec ce peuple du nord qu'elle avait elle même fréquenté à la cour de Terenas. Dupée, cette reprise d'activité qui au début l'exaltait la fit rapidement déchantée.
Guilde : Les fils de Garithos.
Nom : Ambrose, Veuve : Beau-Regard
Prénoms : Hérodiade
Race : Humain
Âge : 49 ans
Sexe : Féminin
Origine : Hurlevent
Conviction Religieuse : Lumière
Titre : Ambassadrice d'Hurlevent, Baronne, Dame Ambrose, Archimage
Surnom : La Lionne / La Hyène (péjoratif) / L'hurleventoise
Profession : Diplomate Hurleventoise
Compétences et/ou pouvoirs : Cryomancie, pyromancie, arts des arcanes et de l'illusion, divination et abjuration. Maniement des baguettes et bâtons.
Habituée à la vie en mer.
Equitation.
Description physique et signe(s) particulier(s) :
Taille : 1.73m
Poids : 63kg
Musculature : Pulpeuse.
Yeux : Verts
Signes distinctifs : Chevelure dorée.
Résumé du passé :
Bercée par les hurlements de sa mère et les cries de joies de son père, Hérodiade naquit à Hurlevent dans la demeure des Ambrose, famille aisée de la Maison des Nobles de la Vielle Ville peu de temps avant l'ouverture de la Porte des Ténèbres. Hérode son père, déchanta vite au vue du sexe du bambin. En effet, il ne supporta pas l'idée d'avoir enfanté une fille et non un garçon destiné à reprendre les rênes de sa famille.
Enfant, Hérodiade était précoce. Elle ne supportait pas l'idée de rester enfermée chez elle à suppléer sa mère et ses tantes dans des tâches ménagères en tout genre et à apprendre les codes et les manières d'une jeune noble. De même, les absences répétées de son père en journée l'exaspérait. En effet, la vie de ce dernier la passionnait davantage. Son père, membre de la Maison des Nobles s'essayait à la politique et aux affaires économiques. Ce qui était insupportable pour la jeune fille fut finalement compris par ses parents. Son père accepta de lui enseigner, après un argumentaire rudement menée par la petite, la géographie, l'histoire et des bases en économie. Véritable passionnée, ces moments précieux aux côtés de son père lui permirent de tenir des conversations passionnantes et de s'élever culturellement.
Son enfance s'arrêta le jour où la Horde Noire posa le pied à Hurlevent. La ville fut rapidement assiégée. Son père, Hérode Ambrose, décéda aux portes du Donjon Royal alors qu'il tentait de se replier au près de la cour après une tentative veine de repousser les assaillants qui assiégeaient la Vieille Ville. Hérodiade, accompagnée de sa mère, Virginia Ambrose fut envoyée en tout hâte au port d'Hurlevent, dans une poche résistante mené par Anduin Lothar. Ce dernier organisa la fuite de plusieurs survivants, ainsi que du jeune Roi en Lordaeron. Plusieurs familles nobles étaient présente pour le voyage. Hérodiade développa une haine incommensurable envers les orcs.
L'arrivé en Lordaeron permit à Hérodiade de découvrir plus en détail les mages et leurs pouvoirs. Elle pleura la mort de son père et se jura de ne plus jamais être passive. Il était hors de question que les jeunes hommes des autres familles nobles soit les seuls à pouvoir défendre leur clan. Elle supplia sa mère de l'envoyer à Dalaran, elle voulait y étudier les Arcanes. Sa mère, catégorique, refusa. Hérodiade observait les garçons s'entrainer, elle avait ouïe dire que le Prince Arthas et le Roi Wrynn s'entrainaient eux aussi à l'épée. C'était décidé, elle trouva un mentor dans la capitale qui accepta de lui enseigner les arts des arcanes après avoir découvert sa forte affinité pour la magie et tout ceci dans le dos de sa mère. Quatre années passèrent, quatre années durant lesquels Hérodiade découvrit les bases de la magie arcanique aux côtés de son professeur. Mais vint le jour où Hurlevent fut reconstruite par la guilde des maçons.Sa mère prit la décision de rentrer à la capitale australe. Virginia devenue dépressive ne portait plus autant d'attention à son enfant. Le voyage en bateau fut long et éprouvant, il ôta la vie à Virginia, déjà faible et fragile. Le Typhus l'emporta. Hérodiade, jeune adolescente devint orpheline de père et de mère.
La capitale humaine était méconnaissable. Hérodiade désemparée, seule et abandonnée découvrit que son oncle avait survécu à l'attaque des orcs en ayant fuit vers la Marche de l'Ouest. Hérodiade était l'héritière de la famille Ambrose, or, son oncle avait repris les rênes de la famille pendant leur longue absence. Voyant le retour de sa nièce comme une menace il décida de l'adopter, s'assurant l'héritage du nom et des richesses de la famille. L'oncle peu enclin à s'occuper de la jeune fille lui offrit, malgré lui, une totale liberté. Hérodiade s'inscrivit à l'Académie de magie de la capitale, poursuivant son rêve de devenir Mage. Il était rare de trouver des élèves ayant une telle affinité avec la magie dans la capitale humaine dès la première année. Hérodiade dissimula à ses professeurs qu'elle avait déjà des notions en matière de magie souhaitant évoluer plus rapidement. Ses premières années d'étude furent marquées par sa réussite et son aisance à utiliser les arcanes, les sorts de téléportation et l'abjuration. Elle fit d'ailleurs des études poussées sur les spatio-failles et rédigea un mémoire sur ces dernières. En quelques années elle devint une experte de la téléportation à courte distance et était capable de créer des boucliers arcaniques puissants. La rapidité de ses incantations fut remarquée par l'armée d'Hurlevent. Grâce à beaucoup de travail et quelques contacts dû à ses professeurs elle fût recrutée avant de décrocher son diplôme de fin d'étude, chose qu'on le lui reprochera à de nombreuses reprises par la suite. Hérodiade se dressa comme une mage chevronnée et intelligente, elle savait quand il fallait disparaître en cas de crise. Ses généraux ne virent pas tous d'un très bon œil son ascension fulgurante. Elle dû faire face au machisme récurent et presque commun de l'armée. Elle choisit de se taire tout au long du début de sa carrière et de laisser faire. Désormais jeune adulte, elle participa a plusieurs batailles. La nouvelle Horde devenant une menace importante pour l'Alliance, les troupes d'Hurlevent furent en conséquence envoyées dans les quatre coins d'Azeroth. Revenant de ses campagnes respective, Hérodiade s'adonnait à toute la luxure qui la caractérisait. En effet, la mage s'adonnait à des rites fantasmatiques obscènes qui furent dissimulés pendant de nombreuses années. Mais vint le jour, où son oncle décida de sceller de nouvelles alliances, devenu richissime, s'asseyant sur un héritage colossal qu'il s'était forgé au fil des années. Hérodiade devint destinée à l'un des héritiers d'une famille puissante de la Maison des Nobles. Elle supplia son oncle de renoncer à cette hérésie, bien trop attachée à sa liberté. Malheureusement, la jeune femme dut joindre son destin à Vecthar, homme rondouillard, à peine plus grand qu'elle et plus enclin à la politique qu'à l'art de combattre. Ce dernier profita de sa femme pour ses propres manigances. Il connaissait la réputation qu'avait Hérodiade à l'Académie et il décida d'en faire une héroïne d'Hurlevent, s'assurant ainsi une carrière fulgurante. Il envoya sa femme participer à de nombreuses batailles. Elle devint un symbole pour la jeunesse d'Hurlevent, souvent utilisée comme exemple auprès des enfants des orphelinats et des foyers. Surnomée la Lionne, pour son amour pour sa patrie, ses cheveux blonds et sa jeunesse dorée. Vecthar, l'armée et Hurlevent dans une autre mesure se servaient de la jeune femme pour leur propre propagande, si à l'image du peuple une jeune femme orpheline pouvait le faire, vous pouviez le faire. L'armée recrutait en masse, les conflits ayant atteint leurs paroxysmes sur tous les fronts. Toute cette médiatisation monta à la tête d'Hérodiade. Cela créa une fissure entre la réalité et sa propre perception du monde. Elle s'enrichissait et devenait hautaine. La seule chose qui la ramenait au réel était ses relations avec les jeunes hommes qu'elle retrouvait lors de ses retours à la capitale. Elle s'échappait des bals, soirées mondaines et autre frivolités pour regagner les bras de ses amants. Hérodiade a aussi fait l'objet de nombreux scandales au sein de la capitale, cette femme froide et puissante aimait, donc, les hommes et les plaisirs fantasmatiques. Elle était une véritable nymphomane qui se réjouissait des jeunes gens qu'elle emmenait dans son lit quand son mari était occupé. Bien qu'elle fut extrêmement discrète elle eut à faire face à l'Eglise d'Hurlevent qui a répugné ses actes charnels bien dès fois. L'archevêque déchu Bénédictus entendit même parlé d'une rumeur répugnante mettant en scène la jeune femme dans des orgies dantesques. Il n'entretenait pas de bonnes relations avec cette dernière. Beaucoup se souviennent de conflit ayant eu lieu dans les couloirs du donjon royal. Cependant, son travail et sa réputation auprès du bas peuple faisaient vite oublier ces histoires qui animaient la cour. Hérodiade est une personne hautaine, c'est certain, mais cela lui causa du tord à plusieurs reprises. Sa réputation auprès des nobles n'a pas toujours été très élevé, il l'a surnommait la Hyène à défaut d'être une Lionne. Les affaires continuaient cependant de profiter à son oncle et son mari. Mais ce que les deux hommes ignoraient, c'était qu'Hérodiade n'était pas si facilement utilisable, maligne sur d'autres fronts, elle profita de sa sur-médiatisation pour devancer ses généraux au sein de l'armée. Elle les torpillait, les faisait disparaître derrière sa propre image à coup de cérémonie luxueuse, de scandales en tout genres et de victoires grandioses sur les champs de batailles. Ainsi Vechtar perdait peu à peu en popularité à son tour derrière l'image de sa femme. On ne parlait plus que d'elle. Sa dextérité et ses coups montés l'ont hissées aux côtés des hommes qui voulaient la voir couler.
Refusant de cracher sur son héritage et ses origines, elle organisa le meurtre de son oncle, qui s'était approprié les titres et richesses de la famille, en toute discrétion, faisant passé sa mort pour une crise cardiaque grâce à un poison rare qu'elle avait rapportée d'une campagne en Kalimdor. Récupérant ainsi ce qui lui revenait de droit, la jeune femme reprit possession des biens de sa famille. Cependant il restait un pion à évincer du jeu pour que la Reine puisse crier échec et mat. En effet, Vechtar l'a surprit un soir avec un chevalier. Lassé de sa femme et de l'image qu'elle entretenait, il jura de faire éclater le scandal. Hérodiade était alors enceinte de trois mois. Elle réalisa le danger que représentait Vechtar. Elle fit sortir l'homme et s'approcha de son mari qui ne perdit pas de temps pour la battre. Il la gifla, elle chuta, et un coup de pied bien placé dans le ventre fit le travail. Hérodiade folle de rage, usa d'un sort de givre, l'abattant sur le coup. Le secret ne devait pas quitter cette pièce. Elle monta une histoire bien ficelée, aux yeux de la presse, la maladie cardiaque avait emporté Vechtar l'un des hommes les plus politisé de la Capitale. Hérodiade gagna d'avantage en popularité et en liberté, cette femme alors enceinte, orpheline de père et de mère, de père adoptif et maintenant veuve s'assura le respect et l'amour du peuple. Maligne elle savait qu'en donnant naissance à son fils elle allait pouvoir récupérer les droits et héritages de la famille de Vechtar. Cependant le destin se riait d'elle, son enfant était mort-né. Cet évènement créa une déchirure. Détruite elle se recentra sur son rêve d'enfance et désira s'éloigner des intrigues de la cour. Elle était, en effet, depuis quelques années cramponnée à sa demeure dans la Vieille ville au côté de son défunt mari. Son passé de Lionne commençait à vieillir et à se ternir. La rumeur se répandait en ville qu'Hérodiade était maudite, pour avoir donné naissance à un enfant mort-né et avoir vue sa famille entière périr dans d'étrange circonstances. Souhaitant échapper à l'atmosphère étouffant de la capitale elle reprit du service alors que la campagne en Norfendre battait son plein. Elle participa à de nombreuses batailles qui redorèrent son image terne. Mais les secrets rattrapent toujours ceux qui les gardent. Un enquêteur du SI:7 profita de l'absence de la Dame Ambrose, alors sur le front, pour enquêter sur la mort de l'oncle et du mari d'Hérodiade. Ses découvertes allaient de mal en pis, et il finit par remonté la piste du poison. De l'autre côté du monde, Hérodiade, Championne de l'Alliance, gagna le titre d'Archimage pour ses efforts lors de la Guerre du Nexus, félicitée par Dalaran. L'enquêteur décida d'attendre le retour d'Hérodiade pour la coincer et la mettre sous les barreaux. Il voulait usé de la plus grande discrétion pour éviter à la capitale un scandal qui entacherait l'image de l'Alliance longuement représentée par des Héros comme la jeune Ambrose. A force de jeu de jambes avec bon nombre d'hommes dans la capitale, elle s'était monté un réseau de contact infaillible. Et aujourd'hui ses contacts lui disaient de fuir. Quelques semaines passèrent sans nouvelle d'Hérodiade. L'enquêteur décida de faire saisir ses biens et débuta un travail qui visait à faire oublier au peuple la simple présence de sa famille. Hérodiade de son côté, choisit finalement de combattre, refusant de salir le nom de ses parents par des accusations qu'elle jugeait ridiculement exagérées. En conséquence, elle ne put participer à la campagne en Pandarie et en Draenor ayant passé la plupart de son temps en tribunal et procès. Elle fini par gagner et fut libérée de toute inquiétude. La défense n'ayant trouvé assez de preuve pour l'accuser définitivement. Ruinée par ces années à combattre les institutions du pouvoir et maintenant méconnue de la nouvelle génération, elle s'enrôla sur un galion de l'armée Hurleventoise, le Vengeance de Neptulon où elle devint officier. L'exaltation fut de courte durée, peu de temps après avoir participé à la Guerre des Epines le navire sombra alors qu'elle était loin de son bord, en mission en Chantorage...
Ce qui nous mène au Duché...
La mystérieuse destruction du Neptulon la ramena de force à Hurlevent, où elle trahie la confiance de son Capitaine devant l'Amirauté et la justice Hurleventoise afin de servir ses prorpres intérêts. Placée sous tutelle, le temps d'élucider l'affaire, le SI:7 décida de l'éloigner pour de bon de la Capitale en prétendant une mission diplomatique dans un duché lointain en Lordaeron. Ils avaient connaissance de son enfance en la capitale septentrionale après la destruction d'Hurlevent, qui leur permirent de justifier une prise de contact avec ce peuple du nord qu'elle avait elle même fréquenté à la cour de Terenas. Dupée, cette reprise d'activité qui au début l'exaltait la fit rapidement déchantée.
Hérodiade
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