[Alliance] Aradam, paladin dans l'ombre.
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[Alliance] Aradam, paladin dans l'ombre.
Malgré un début d’enfance emplit de l’amour que ses parents lui portaient, Aradam s’était toujours sentit différent. Il se savait plus violent et impitoyable que ses pairs –qui eux ne prônaient que la Paix au travers de la Lumière, recherchant toujours les sentiments grisants des combats et de la victoire. Seule sa raison et la peur de se retrouver seul l’empêchaient de quitter son peuple pour voguer sur les routes afin d’acquérir un pouvoir incommensurable. Au lieu de cela, il se battait avec des plus âgés que lui, se satisfaisant du peu que ses maigres combats lui apportaient, rêvant de toujours plus de violence et de grandeur.
Parfois, alors qu’il regardait ses mains légèrement recouvertes du sang bleu de ses adversaires, l’euphorie de la victoire ainsi que les blessures sur le visage du perdant lui donnait une envie irrépressible de continuer à frapper jusqu’à ce que mort s’en suive. Il se contenait toujours, bien qu’avec de plus en plus de mal, sachant très bien en son for intérieur qu’un jour la violence contenue en lui prendrait le dessus et annihilerait toute raison présente dans son esprit.
Il errait ainsi dans cette vie fade, sans réel but, goûtant de temps en temps à l’euphorie d’un maigre combat sans vraiment être jamais rassasié.
Heureusement, un miracle se produisit : ses parents eurent un deuxième enfant, un autre garçon. Aradam ne sut jamais comment ni pourquoi mais lorsque ses parents lui déposèrent l’enfant dans les bras et que ce dernier plongea ses grands yeux bleus dans les siens, Aradam comprit que son but était là, serré contre son cœur et suçotant une de ses tentacules tout en bavant allègrement sur son torse. Les doutes furent chassés, la douleur balayée et il ne vit plus que par lui, son précieux petit frère : Anuzi.
A partir de cet instant ils devinrent inséparables. Aradam revivait son enfance avec son frère, celle que sa haine intérieure avait gâché. Bientôt ils furent assez grands pour s’entraîner aux maniements des armes ensemble, et c’est là que quelques différences pointèrent le bout de leur nez… Anuzi n’était vraiment pas fait pour ça contrairement à son grand frère. Les combats n’en étaient pas vraiment mais restaient obligatoires, une règle d’Aradam qui n’avait qu’une peur : que son petit frère se retrouve face à un danger sans savoir se protéger.
Ils vécurent ainsi près de deux siècles, satisfaits de leur vie. La haine d’Aradam était chassée par la lumière d’Anuzi et tout allait bien dans le meilleur des mondes. Sauf que.
Cela commença par leurs parents qui décédèrent lors d’une sortie : leur groupe fut attaqué par des ogres et il n’y eut aucun survivant. On emmena leur dépouille à Auchindoun où leurs enfants purent leur faire un dernier hommage. Cependant, Anuzi, subjugué par l’endroit et la paix qui régnait en ces lieux, décida de rester. Il rejoint rapidement l’ordre des Auchenaï, vite suivit par son grand frère qui refusait de le laisser. Il savait que si son frère n’était pas à ses côté les Ténèbres reviendraient l’envahir à nouveau. Ils ne se battirent donc plus et consacrèrent de nombreuses années aux morts.
Finalement, une deuxième vague de malheur s’abattit sur eux, implacable et violente.
Étant devenus prêtres -et vivant avant cela dans un village paisible- les deux frères et leurs compères à Auchindoun n’avaient jamais eu affaire à des orcs. Ils savaient que leur peuple échangeait avec eux au niveau du commerce -et encore, mais c’était tout. Ainsi, lorsque les orcs, soi-disant si paisibles, attaquèrent le sanctuaire, la surprise fut totale. Au début ils n’entendirent que des bruits étouffés mais, rapidement, les hurlements parvinrent à leurs oreilles. Sans réfléchir, ressortant de vieux réflexes, Aradam s’empara d’un chandelier non loin et, s’en servant d’arme de fortune, se prépara à protéger de sa vie celui qui était plus important que l’univers lui-même.
Les orcs arrivèrent soudainement de tous les côtés, hurlant, fou de sang et de massacres, certains grognant et d’autres scandant plus intelligemment : POUR LA HORDE ! POUR GUL’DAN !
Malgré le tumulte, la peur et la puanteur qui emplissait l’air, il sentit la main de son petit frère quitter son dos et se retourna juste à temps pour voir un orc vert –n’étaient-ils pas bruns de bases ? - aux yeux rouges flamboyants de folie écraser la tête d’Anuzi d’un coup de massue.
Il ne hurla pas. Ne bougea pas. Sa force le quitta alors qu’il voyait le sang bleu couler sur le sol, s’échappant par à-coups de la nuque broyée, et la douleur fut soudain si forte qu’elle le mit à genoux. Alors qu’il commençait à se dire que la mort valait mieux que ce vide écrasant dans son cœur, une explosion retentit, envoyant des débris de pierres partout aux alentours. Cela tua l’orc qui continuait de sourire malgré la mort, et cela plongea Aradam dans un coma profond qui se vit là accorder quelques temps de répit.
Il ne le savait pas, mais il fût un des seuls survivants de ce massacre. L’explosion tua la plupart des orcs, ce qui sauva les blessés et les cadavres de la souillure habituelle de ces amateurs de tuerie. Ils furent presque les seuls de Draenor à échapper à cette violence gratuite alors que dans le reste de la planète torture, viols et autres joyeuseté furent soudain monnaie courante… Peu de Draeneï survirent à cela, fuyant de nouveau une planète qui avait été un foyer, un repère les cachant de Kil’Jaeden et de la Légion Ardente. Certains survivants passèrent par Auchindoun, attrapant rapidement les blessés et les emmenant à l’abri dans le vaisseau, abandonnant ceux dont les chances de survies étaient trop faibles. Respirant encore malgré ses blessures, la Lumière semblant le maintenir en vie, Aradam fût un des rares chanceux à gagner son voyage vers un nouveau monde, vers un nouveau repère.
Ses blessures étaient terribles : ses compères prêtres mirent des mois à le retaper, et lui mit des années à sortir de son sommeil, guidé par une Lumière toujours présente en lui.
Le Destin se moqua alors de lui, le faisant quitter le monde des Songes de la même façon dont il y était entré : par une explosion violente qui bouleversa, de nouveau, le peuple Draeneï. Il ouvrit donc les yeux, bien des années plus tard, suite à une secousse violente. Il tenta aussitôt de se mettre debout, l’adrénaline alimentant ses veines, la peur et la confusion le poussant à user de ses muscles atrophiés. Cependant le prêtre non loin de lui accourut aussitôt, tentant de le calmer malgré ses propres blessures. Une fois un peu plus calme et plus conscient de son entourage, Aradam comprit grâce aux explications de son sauveur que les Draeneï avaient fui sur un autre monde, encore, mais que l’atterrissage n’avait pas été une réussite et qu’il y avait beaucoup de perte. C’était d’ailleurs un miracle qu’il soit encore en vie, et le prêtre vit cela comme une bénédiction de la Lumière qui semblait ne pas l’avoir quitté depuis Auchindoun.
A l’entente de ce nom, les souvenirs d’Aradam le submergèrent alors, la douleur, la culpabilité et un sentiment d’impuissance le faisant de nouveau tomber dans l’inconscience. Une inconscience emplit cette fois non pas de douce Lumière, mais de ténèbres, de haine et d’envie vengeance.
Lors de son second réveil, il resta calme. Il ne pleura pas la mort de son frère ou de son incapacité totale à le protéger. Il se contenta de rester sur sa couche, les yeux dans le vide, sans plus bouger, manger ni boire malgré les demandes et sollicitations du prêtre.
Quelques semaines plus tard, alors qu’il commençait sérieusement à dépérir malgré les soins que l'on lui prodiguait, un humain vint le voir. Le prêtre qui s’occupait de sa guérison lui avait conté l’histoire des différentes espèces présente sur cette planète, et Aradam n’eut aucun mal à identifier la faible créature debout devant sa couche… Cependant, l’Homme face à lui semblait… Irradier de Lumière. Était-ce un prêtre également ? Pour la première fois depuis des jours et des jours, les yeux d’Aradam brillèrent d’un semblant d’intérêt. Non, il n’était pas un prêtre… Le marteau posé à ses pieds semblait usé, prouvant qu’il avait déjà tué des ennemis. Un prêtre, se battre ? C’était incompréhensible, impossible !
L’Humain se présenta -le prêtre Draeneï resta à ses côtés et traduit cette curieuse langue pour lui. Il lui parla de Uther le Porteur de Lumière. Il lui parla des Paladins. Il lui dit que la Lumière était toujours présente en lui malgré le fond de haine qui semblait briller au fond de ses yeux. Il lui proposa d’intégrer son ordre, de se servir de tout cela pour faire le bien autour de lui. Il partit ensuite, laissant Aradam réfléchir. Ce dernier mit peu de temps à prendre sa décision, un des arguments de son interlocuteur résonnant dans sa tête, prenant de plus en plus d’ampleur à mesure que le temps passait : vaincre la Horde. Vaincre ceux qui dirigeaient cet ennemi qu’ils avaient en commun. La Lumière brillait de plus en plus en lui, et Aradam vit en cela un signe que l’esprit de son frère, dans la pureté de sa Foi, l’encourageait dans sa démarche. Le visage de l’orc ayant bouleversé son existence apparût dans son esprit, les noms que lui et ses compères hurlaient alimentant sa haine et lui donnant un seul but : tuer la Horde.
Tuer la Légion.
Tuer Gul’dan.
Parfois, alors qu’il regardait ses mains légèrement recouvertes du sang bleu de ses adversaires, l’euphorie de la victoire ainsi que les blessures sur le visage du perdant lui donnait une envie irrépressible de continuer à frapper jusqu’à ce que mort s’en suive. Il se contenait toujours, bien qu’avec de plus en plus de mal, sachant très bien en son for intérieur qu’un jour la violence contenue en lui prendrait le dessus et annihilerait toute raison présente dans son esprit.
Il errait ainsi dans cette vie fade, sans réel but, goûtant de temps en temps à l’euphorie d’un maigre combat sans vraiment être jamais rassasié.
Heureusement, un miracle se produisit : ses parents eurent un deuxième enfant, un autre garçon. Aradam ne sut jamais comment ni pourquoi mais lorsque ses parents lui déposèrent l’enfant dans les bras et que ce dernier plongea ses grands yeux bleus dans les siens, Aradam comprit que son but était là, serré contre son cœur et suçotant une de ses tentacules tout en bavant allègrement sur son torse. Les doutes furent chassés, la douleur balayée et il ne vit plus que par lui, son précieux petit frère : Anuzi.
A partir de cet instant ils devinrent inséparables. Aradam revivait son enfance avec son frère, celle que sa haine intérieure avait gâché. Bientôt ils furent assez grands pour s’entraîner aux maniements des armes ensemble, et c’est là que quelques différences pointèrent le bout de leur nez… Anuzi n’était vraiment pas fait pour ça contrairement à son grand frère. Les combats n’en étaient pas vraiment mais restaient obligatoires, une règle d’Aradam qui n’avait qu’une peur : que son petit frère se retrouve face à un danger sans savoir se protéger.
Ils vécurent ainsi près de deux siècles, satisfaits de leur vie. La haine d’Aradam était chassée par la lumière d’Anuzi et tout allait bien dans le meilleur des mondes. Sauf que.
Cela commença par leurs parents qui décédèrent lors d’une sortie : leur groupe fut attaqué par des ogres et il n’y eut aucun survivant. On emmena leur dépouille à Auchindoun où leurs enfants purent leur faire un dernier hommage. Cependant, Anuzi, subjugué par l’endroit et la paix qui régnait en ces lieux, décida de rester. Il rejoint rapidement l’ordre des Auchenaï, vite suivit par son grand frère qui refusait de le laisser. Il savait que si son frère n’était pas à ses côté les Ténèbres reviendraient l’envahir à nouveau. Ils ne se battirent donc plus et consacrèrent de nombreuses années aux morts.
Finalement, une deuxième vague de malheur s’abattit sur eux, implacable et violente.
Étant devenus prêtres -et vivant avant cela dans un village paisible- les deux frères et leurs compères à Auchindoun n’avaient jamais eu affaire à des orcs. Ils savaient que leur peuple échangeait avec eux au niveau du commerce -et encore, mais c’était tout. Ainsi, lorsque les orcs, soi-disant si paisibles, attaquèrent le sanctuaire, la surprise fut totale. Au début ils n’entendirent que des bruits étouffés mais, rapidement, les hurlements parvinrent à leurs oreilles. Sans réfléchir, ressortant de vieux réflexes, Aradam s’empara d’un chandelier non loin et, s’en servant d’arme de fortune, se prépara à protéger de sa vie celui qui était plus important que l’univers lui-même.
Les orcs arrivèrent soudainement de tous les côtés, hurlant, fou de sang et de massacres, certains grognant et d’autres scandant plus intelligemment : POUR LA HORDE ! POUR GUL’DAN !
Malgré le tumulte, la peur et la puanteur qui emplissait l’air, il sentit la main de son petit frère quitter son dos et se retourna juste à temps pour voir un orc vert –n’étaient-ils pas bruns de bases ? - aux yeux rouges flamboyants de folie écraser la tête d’Anuzi d’un coup de massue.
Il ne hurla pas. Ne bougea pas. Sa force le quitta alors qu’il voyait le sang bleu couler sur le sol, s’échappant par à-coups de la nuque broyée, et la douleur fut soudain si forte qu’elle le mit à genoux. Alors qu’il commençait à se dire que la mort valait mieux que ce vide écrasant dans son cœur, une explosion retentit, envoyant des débris de pierres partout aux alentours. Cela tua l’orc qui continuait de sourire malgré la mort, et cela plongea Aradam dans un coma profond qui se vit là accorder quelques temps de répit.
Il ne le savait pas, mais il fût un des seuls survivants de ce massacre. L’explosion tua la plupart des orcs, ce qui sauva les blessés et les cadavres de la souillure habituelle de ces amateurs de tuerie. Ils furent presque les seuls de Draenor à échapper à cette violence gratuite alors que dans le reste de la planète torture, viols et autres joyeuseté furent soudain monnaie courante… Peu de Draeneï survirent à cela, fuyant de nouveau une planète qui avait été un foyer, un repère les cachant de Kil’Jaeden et de la Légion Ardente. Certains survivants passèrent par Auchindoun, attrapant rapidement les blessés et les emmenant à l’abri dans le vaisseau, abandonnant ceux dont les chances de survies étaient trop faibles. Respirant encore malgré ses blessures, la Lumière semblant le maintenir en vie, Aradam fût un des rares chanceux à gagner son voyage vers un nouveau monde, vers un nouveau repère.
Ses blessures étaient terribles : ses compères prêtres mirent des mois à le retaper, et lui mit des années à sortir de son sommeil, guidé par une Lumière toujours présente en lui.
Le Destin se moqua alors de lui, le faisant quitter le monde des Songes de la même façon dont il y était entré : par une explosion violente qui bouleversa, de nouveau, le peuple Draeneï. Il ouvrit donc les yeux, bien des années plus tard, suite à une secousse violente. Il tenta aussitôt de se mettre debout, l’adrénaline alimentant ses veines, la peur et la confusion le poussant à user de ses muscles atrophiés. Cependant le prêtre non loin de lui accourut aussitôt, tentant de le calmer malgré ses propres blessures. Une fois un peu plus calme et plus conscient de son entourage, Aradam comprit grâce aux explications de son sauveur que les Draeneï avaient fui sur un autre monde, encore, mais que l’atterrissage n’avait pas été une réussite et qu’il y avait beaucoup de perte. C’était d’ailleurs un miracle qu’il soit encore en vie, et le prêtre vit cela comme une bénédiction de la Lumière qui semblait ne pas l’avoir quitté depuis Auchindoun.
A l’entente de ce nom, les souvenirs d’Aradam le submergèrent alors, la douleur, la culpabilité et un sentiment d’impuissance le faisant de nouveau tomber dans l’inconscience. Une inconscience emplit cette fois non pas de douce Lumière, mais de ténèbres, de haine et d’envie vengeance.
Lors de son second réveil, il resta calme. Il ne pleura pas la mort de son frère ou de son incapacité totale à le protéger. Il se contenta de rester sur sa couche, les yeux dans le vide, sans plus bouger, manger ni boire malgré les demandes et sollicitations du prêtre.
Quelques semaines plus tard, alors qu’il commençait sérieusement à dépérir malgré les soins que l'on lui prodiguait, un humain vint le voir. Le prêtre qui s’occupait de sa guérison lui avait conté l’histoire des différentes espèces présente sur cette planète, et Aradam n’eut aucun mal à identifier la faible créature debout devant sa couche… Cependant, l’Homme face à lui semblait… Irradier de Lumière. Était-ce un prêtre également ? Pour la première fois depuis des jours et des jours, les yeux d’Aradam brillèrent d’un semblant d’intérêt. Non, il n’était pas un prêtre… Le marteau posé à ses pieds semblait usé, prouvant qu’il avait déjà tué des ennemis. Un prêtre, se battre ? C’était incompréhensible, impossible !
L’Humain se présenta -le prêtre Draeneï resta à ses côtés et traduit cette curieuse langue pour lui. Il lui parla de Uther le Porteur de Lumière. Il lui parla des Paladins. Il lui dit que la Lumière était toujours présente en lui malgré le fond de haine qui semblait briller au fond de ses yeux. Il lui proposa d’intégrer son ordre, de se servir de tout cela pour faire le bien autour de lui. Il partit ensuite, laissant Aradam réfléchir. Ce dernier mit peu de temps à prendre sa décision, un des arguments de son interlocuteur résonnant dans sa tête, prenant de plus en plus d’ampleur à mesure que le temps passait : vaincre la Horde. Vaincre ceux qui dirigeaient cet ennemi qu’ils avaient en commun. La Lumière brillait de plus en plus en lui, et Aradam vit en cela un signe que l’esprit de son frère, dans la pureté de sa Foi, l’encourageait dans sa démarche. Le visage de l’orc ayant bouleversé son existence apparût dans son esprit, les noms que lui et ses compères hurlaient alimentant sa haine et lui donnant un seul but : tuer la Horde.
Tuer la Légion.
Tuer Gul’dan.
Aradam- Personnages Joués : Aradam
Re: [Alliance] Aradam, paladin dans l'ombre.
Au jour d'aujourd'hui...
Ayant toujours voulut rester de côté face aux grands conflits, ne souhaitant pas se donner de l'importance, Aradam n'est pas un paladin connu de tous. Les seuls à reconnaître sa force et son courage sont ses "sujets" du Sanctum de la Lumière ainsi que de nombreux petites gens. Il refuse d'avoir trop de responsabilités car il se sent encore bien trop coupable de la mort de son petit frère qu'il n'a sût protéger.
Cependant, après avoir accompagné le Roi Anduin Wrynn sur les rivages brisés, il va se mettre à accomplir des quêtes plus importantes -comme recruter de nouveaux alliés ou aider l'Alliance plus souvent. En effet, il a vu en Anduin ce qu'il y avait chez Anuzi: une aspiration et une foi pour la Paix inébranlable, accompagnées d'une bienveillance et d'une empathie sans pareil.
Il va donc décider petit à petit de ne plus se cacher, et peut-être que des évènements dramatiques (comme la destruction d'un arbre par exemple...) pourrait lui faire ouvrir les yeux sur le fait qu'il ne peut sauver et aider l'Alliance seul.
Ayant toujours voulut rester de côté face aux grands conflits, ne souhaitant pas se donner de l'importance, Aradam n'est pas un paladin connu de tous. Les seuls à reconnaître sa force et son courage sont ses "sujets" du Sanctum de la Lumière ainsi que de nombreux petites gens. Il refuse d'avoir trop de responsabilités car il se sent encore bien trop coupable de la mort de son petit frère qu'il n'a sût protéger.
Cependant, après avoir accompagné le Roi Anduin Wrynn sur les rivages brisés, il va se mettre à accomplir des quêtes plus importantes -comme recruter de nouveaux alliés ou aider l'Alliance plus souvent. En effet, il a vu en Anduin ce qu'il y avait chez Anuzi: une aspiration et une foi pour la Paix inébranlable, accompagnées d'une bienveillance et d'une empathie sans pareil.
Il va donc décider petit à petit de ne plus se cacher, et peut-être que des évènements dramatiques (comme la destruction d'un arbre par exemple...) pourrait lui faire ouvrir les yeux sur le fait qu'il ne peut sauver et aider l'Alliance seul.
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