Poème d'un temps ou d'un autre.
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Poème d'un temps ou d'un autre.
Op op, voici un choix choisi parmi le stock de poème qui squattent sur mon ordinateur. Certains ont écrit pour du jeu de rôle (pour mes personnages ou pour d'autres), les autres sont simplement selon mon inspiration.
Tout les commentaires sont les bienvenues.
Trouble
Dans les méandres d'un rêve de verre
j'appréhende une présence clair,
et devine ses formes idylliques,
dans une brume éthylique.
A la suite de ses pas éthérés,
je marche dans un paradis imagé,
touchant du doigt des fleurs,
qui chassent toutes peurs.
Immergée dans sa présence,
blottie dans son essence,
je me noie dans cette merveille,
ne redoutant que l'éveil.
Flamme
En mon cœur une rivière de bonheur,
En mon âme, une colonie de fleur,
je ne sais comment le dire,
tout ce que je peux ressentir.
Mon regard se perd dans l'univers
tout entier contenu dans ses yeux,
par delà ses trop charmants travers,
je découvre son âme et Dieu.
En mon cœur, un torrent en liesse,
en mon âme, les mots se tressent.
je ne sais comment l'avouer,
tout ce que j'ai pu penser.
Petite poupée
Dans un songe sucré, mélopée rosée,
j'ai vu s'avancer, une toute petite poupée,
A petit pas compté, elle m'a enlacée,
dans une étreinte sucré, mélopée rosée.
Ses petits souliers bleu,
resplendissaient dans mes yeux,
ses maigres fossettes,
gouttaient la noisette.
Dans un songe sucré, mélopée rosée,
j'ai vu s'avancer, une toute petite poupée,
De ses légers sourires, elle m'a envoutée,
dans une tendresse sucré, mélopée rosée.
Le Yéti.
Il était une fois un yéti,
doté d'un tout petit kiki.
Il vivait sans complexe,
une grotte en guise de duplex.
Mais son vieux père mourant,
devint par erreur chef de clan.
Voilà qu'à la mort de son Roi,
il est forcé de quitter les bois.
Ce pauvre bon personnage,
obligé d'affronter fête et cours de nage,
sous le regard tendu et intéressé,
de toutes les demoiselles du panier
Après quelque outres de vin,
le voici au bord du ravin,
entouré de belles minettes,
pesant trois tonnes et des raouetes.
Obligé de rendre les armes,
c'est en larme,
qu'il hisse courageusement l'étendard..
Et ces dames de s'en retourner, hilare!
C'était l'histoire bien malheureuse,
d'un yéti qui ne voulait pas de gueuse.
Chassé par les circonstances,
il ne put jamais prouver sa constance
Ode à une Druide de l'ivresse.
Dans les vallées lointaines,
réside une lionne sans traîne,
prédatrice affamée,
de l'assise des topaze-graminées.
Souvent, ses mains dans la vigne,
font office de vice-bailli.
alors des doigts frêles et dignes,
vont de la tige aux fruits.
De ses deux grâces,
vigoureuse et délicate
ils tirent l'audace,
d'une amère prière à Hécate.
C'est ainsi que fut et que sera,
produit le plus capiteux des vins,
qui noie l'esprit de tout l'agora
et rend jaloux le Divin.
Nécrose.
Lorsque les rêves se terminent,
fanent les pâtés aux termites,
plus de lieu sans mine,
plus de sourire sans mite.
Goules goules, goules,
goulûment bois ton verre,
goules goules, goules,
goulûment avale tes vers.
A mesure la nécrose,
suce la peau des os,
cœurs exposés,
nul sein ne cache le péché.
Su-su-su-sucette
Glette tes haines,
Su-su-sucette
Glette ton haine.
Beauté blanche, calcium,
aussi disparaîtra,
fini l'instant d'opium,
Plus rien ne cache l'être.
Âme, âme, âme,
Lame qui fond,
Variation
Dans les rêves des jeunes demoiselles,
où les illusions règnent,
épiées par les veilles duègnes,
les chevaux manquent de sel.
Sur les rivages d'azur,
entre trois coquillage,
un crabe et son sillage,
vivent elles sans voilure.
Indifférente au temps et aux mouvements,
elles ne sont que des poupées fragiles,
habitée par des songes d'argiles,
a elles seules, le firmament.
Sonnet à une déesse.
Mon esprit est plein de muse,
qui musardent et chapardent,
mais tenace tel le marbre,
il se tient loin de toutes ces ruses.
Et le voici qui quête et s'amuse,
cherche dans les grâces de votre cuissarde,
celle qui vous lézarde,
mais elle n'est pas, la fâcheuse.
Aussi de tout cœur ce sonnet italien,
oh grande Dame sans lien,
est pour vous sans dessein.
De ces vers alambics
ma dévotion sort baroque et chaotique
contre l'harmonie de tout vos saints.
Tout les commentaires sont les bienvenues.
Trouble
Dans les méandres d'un rêve de verre
j'appréhende une présence clair,
et devine ses formes idylliques,
dans une brume éthylique.
A la suite de ses pas éthérés,
je marche dans un paradis imagé,
touchant du doigt des fleurs,
qui chassent toutes peurs.
Immergée dans sa présence,
blottie dans son essence,
je me noie dans cette merveille,
ne redoutant que l'éveil.
Flamme
En mon cœur une rivière de bonheur,
En mon âme, une colonie de fleur,
je ne sais comment le dire,
tout ce que je peux ressentir.
Mon regard se perd dans l'univers
tout entier contenu dans ses yeux,
par delà ses trop charmants travers,
je découvre son âme et Dieu.
En mon cœur, un torrent en liesse,
en mon âme, les mots se tressent.
je ne sais comment l'avouer,
tout ce que j'ai pu penser.
Petite poupée
Dans un songe sucré, mélopée rosée,
j'ai vu s'avancer, une toute petite poupée,
A petit pas compté, elle m'a enlacée,
dans une étreinte sucré, mélopée rosée.
Ses petits souliers bleu,
resplendissaient dans mes yeux,
ses maigres fossettes,
gouttaient la noisette.
Dans un songe sucré, mélopée rosée,
j'ai vu s'avancer, une toute petite poupée,
De ses légers sourires, elle m'a envoutée,
dans une tendresse sucré, mélopée rosée.
Le Yéti.
Il était une fois un yéti,
doté d'un tout petit kiki.
Il vivait sans complexe,
une grotte en guise de duplex.
Mais son vieux père mourant,
devint par erreur chef de clan.
Voilà qu'à la mort de son Roi,
il est forcé de quitter les bois.
Ce pauvre bon personnage,
obligé d'affronter fête et cours de nage,
sous le regard tendu et intéressé,
de toutes les demoiselles du panier
Après quelque outres de vin,
le voici au bord du ravin,
entouré de belles minettes,
pesant trois tonnes et des raouetes.
Obligé de rendre les armes,
c'est en larme,
qu'il hisse courageusement l'étendard..
Et ces dames de s'en retourner, hilare!
C'était l'histoire bien malheureuse,
d'un yéti qui ne voulait pas de gueuse.
Chassé par les circonstances,
il ne put jamais prouver sa constance
Ode à une Druide de l'ivresse.
Dans les vallées lointaines,
réside une lionne sans traîne,
prédatrice affamée,
de l'assise des topaze-graminées.
Souvent, ses mains dans la vigne,
font office de vice-bailli.
alors des doigts frêles et dignes,
vont de la tige aux fruits.
De ses deux grâces,
vigoureuse et délicate
ils tirent l'audace,
d'une amère prière à Hécate.
C'est ainsi que fut et que sera,
produit le plus capiteux des vins,
qui noie l'esprit de tout l'agora
et rend jaloux le Divin.
Nécrose.
Lorsque les rêves se terminent,
fanent les pâtés aux termites,
plus de lieu sans mine,
plus de sourire sans mite.
Goules goules, goules,
goulûment bois ton verre,
goules goules, goules,
goulûment avale tes vers.
A mesure la nécrose,
suce la peau des os,
cœurs exposés,
nul sein ne cache le péché.
Su-su-su-sucette
Glette tes haines,
Su-su-sucette
Glette ton haine.
Beauté blanche, calcium,
aussi disparaîtra,
fini l'instant d'opium,
Plus rien ne cache l'être.
Âme, âme, âme,
Lame qui fond,
Variation
Dans les rêves des jeunes demoiselles,
où les illusions règnent,
épiées par les veilles duègnes,
les chevaux manquent de sel.
Sur les rivages d'azur,
entre trois coquillage,
un crabe et son sillage,
vivent elles sans voilure.
Indifférente au temps et aux mouvements,
elles ne sont que des poupées fragiles,
habitée par des songes d'argiles,
a elles seules, le firmament.
Sonnet à une déesse.
Mon esprit est plein de muse,
qui musardent et chapardent,
mais tenace tel le marbre,
il se tient loin de toutes ces ruses.
Et le voici qui quête et s'amuse,
cherche dans les grâces de votre cuissarde,
celle qui vous lézarde,
mais elle n'est pas, la fâcheuse.
Aussi de tout cœur ce sonnet italien,
oh grande Dame sans lien,
est pour vous sans dessein.
De ces vers alambics
ma dévotion sort baroque et chaotique
contre l'harmonie de tout vos saints.
Amelie
Re: Poème d'un temps ou d'un autre.
Renaissance
Deuxièmes des saturnales, fête des dieux sans chaînes
Nous célébrons une reine, une déesse pas banale
Et le temps de ces strophes, rendre sous son égide,
l'imagerie avide, d'un temps sans catastrophe.
Ainsi donc en ce temple, Epona est louée
Louanges déclamées, érigée en exemple
Suivons les dires du ciel, donnons un beau surnom
Au sein de ce sanctuaire : Délices des trois miels.
Divinités du cru, tant et tant acharné
que tous ont proclamer: «Et bien, je l'ai accrut;
Sous toute ma grandeur, qui forte et sincère
en enchâssant ses pairs, vit le bonheur fait fleur »
Deuxièmes des saturnales, fête des dieux sans chaînes
Nous célébrons une reine, une déesse pas banale
Et le temps de ces strophes, rendre sous son égide,
l'imagerie avide, d'un temps sans catastrophe.
Ainsi donc en ce temple, Epona est louée
Louanges déclamées, érigée en exemple
Suivons les dires du ciel, donnons un beau surnom
Au sein de ce sanctuaire : Délices des trois miels.
Divinités du cru, tant et tant acharné
que tous ont proclamer: «Et bien, je l'ai accrut;
Sous toute ma grandeur, qui forte et sincère
en enchâssant ses pairs, vit le bonheur fait fleur »
Amelie
Re: Poème d'un temps ou d'un autre.
Bô ! Yep, sympa l'truc, entre les assonances et les vers, on plonge directement dans le monde que tu évoque ( olol l'alcoolisme !!! ) hem...
Sympa ouai
Sympa ouai
Tonerelle/Vorticus- Personnages Joués : Tonerelle
Re: Poème d'un temps ou d'un autre.
Un beau matin près d'un marécage,
se perdit un très vieux sage,
il crut voir à travers la vase,
non point une grenouille, mais un visage !
C'était celle qui aurait été son amoureuse
si il ne l'avait pas traité comme une gueuse
imaginant que les amours n'étaient digne de son temps
il y avait trop à étudier, qu'elle ait trouvé un autre manant.
Le cœur du vieillard se rappela à lui
pour un souvenir jamais apaisé il était épris
Après une dame déjà morte il sauta
et au milieu des grenouilles se noya.
A ceux qui en voudront.
Chatoyante horreur, je réclame ton inexistence,
toi qui prétend être de toutes les stances
te glisser dans toutes les têtes
contrôler tout les rêves.
Tu n'es qu'une vil ancêtre
la lie des cloportes.
Et si on te fait sortir par la porte
ne rentre pas par la fenêtre.
Tu n'a pas à veiller sur notre chambre
tes regards inquiet y font régner décembre
De tout les maris tu crée la rancœur
et de leurs amours le malheur.
Pourquoi donc se marier
si à vie il faut te supporter ?
Quel horrible galère
de se donner belle-mère.
Recette
Commencez par faire rejoindre le yang et le yin
glissez le chocolat au fond de votre casserole,
mais pas directement sur le feu, il le craint, le drôle !
Et versez dessus le lait des bovines.
Rompez ensuite délicatement un équilibre,
ice-lieu celui du blanc et du jaune,
tandis que s'élève grande et libre,
l'odeur sucré qu'attend le faune.
Ensuite il faudra battre utilement
(même si c'est bien plus beau dans le cas contraire)
les blancs en neige, fermement !
Puis sortez le chocolat de son aire.
Le soleil arrive après l'averse,
la présence après l'absence
Ne maintenez donc aucune herse
les jaunes s'ajouteront avec aisance.
Soyez à présent généreuse,
et mélanger avec cœur,
avant d'ajouter la tierce avantageuse
et de répéter la rime-sœur.
Prenez ensuite une large spatule,
et versez avec délicatesse le reste de la neige
observez le de votre regard de tulle,
jusqu'à ne plus voir de beige.
Deux heures de réfrigération,
finaliseront votre dominion
et si tout vos appétits ne sont cacao,
tout à votre loisir est le caramel-haut.
se perdit un très vieux sage,
il crut voir à travers la vase,
non point une grenouille, mais un visage !
C'était celle qui aurait été son amoureuse
si il ne l'avait pas traité comme une gueuse
imaginant que les amours n'étaient digne de son temps
il y avait trop à étudier, qu'elle ait trouvé un autre manant.
Le cœur du vieillard se rappela à lui
pour un souvenir jamais apaisé il était épris
Après une dame déjà morte il sauta
et au milieu des grenouilles se noya.
A ceux qui en voudront.
Chatoyante horreur, je réclame ton inexistence,
toi qui prétend être de toutes les stances
te glisser dans toutes les têtes
contrôler tout les rêves.
Tu n'es qu'une vil ancêtre
la lie des cloportes.
Et si on te fait sortir par la porte
ne rentre pas par la fenêtre.
Tu n'a pas à veiller sur notre chambre
tes regards inquiet y font régner décembre
De tout les maris tu crée la rancœur
et de leurs amours le malheur.
Pourquoi donc se marier
si à vie il faut te supporter ?
Quel horrible galère
de se donner belle-mère.
Recette
Commencez par faire rejoindre le yang et le yin
glissez le chocolat au fond de votre casserole,
mais pas directement sur le feu, il le craint, le drôle !
Et versez dessus le lait des bovines.
Rompez ensuite délicatement un équilibre,
ice-lieu celui du blanc et du jaune,
tandis que s'élève grande et libre,
l'odeur sucré qu'attend le faune.
Ensuite il faudra battre utilement
(même si c'est bien plus beau dans le cas contraire)
les blancs en neige, fermement !
Puis sortez le chocolat de son aire.
Le soleil arrive après l'averse,
la présence après l'absence
Ne maintenez donc aucune herse
les jaunes s'ajouteront avec aisance.
Soyez à présent généreuse,
et mélanger avec cœur,
avant d'ajouter la tierce avantageuse
et de répéter la rime-sœur.
Prenez ensuite une large spatule,
et versez avec délicatesse le reste de la neige
observez le de votre regard de tulle,
jusqu'à ne plus voir de beige.
Deux heures de réfrigération,
finaliseront votre dominion
et si tout vos appétits ne sont cacao,
tout à votre loisir est le caramel-haut.
Amelie
Re: Poème d'un temps ou d'un autre.
Peut être un peu vieux comme sujet, peut être oublier, mais bon, j'ai beaucoup aimé, et je tenais à le dire, y a pas beaucoup de poème qui m'arrache des sourires ou des petits rires
Deliciae Virtus
Re: Poème d'un temps ou d'un autre.
Les loges.
Salut à toi lecteur, entend moi de tes yeux
concentre toi au mieux, car sans moi nul bonheur
Tu ne me reconnais ? Laisse moi me conter!
Oh muses chantonnez, l'ire d'un (pet-)roquet.
Alors que le rideau voudrait tombé choqué(et risquer un procès), le personnage mystérieux chante à la place des muses qui s'amusent sans doute plus loin.
Rêveurs disparates, bavardeurs belliqueux,
héroïnes en non-lieux, malades bureaucrates,
Idiots adulateurs, zéro en autre pots
Sous tant et tant de peaux, sont mes prédicateurs.
Touts les pouvoirs sont miens, et point qu'en effigie,
Les rois en béotie, avoir tout ce n'est rien.
Est on un meilleur mort, un plus joli compost,
si on commandait l'Ost, attifé d'un bel or?
La cible idéale, mère d'enragées
je suis impliquée, mais jamais fatale.
Mes enfants artistes: De laids peintres ratés
Un lyre enflammé, veille reine triste.
Je suis la Folie, et je le prouve en quittant ces attraits poétiques. Mais suis je moins rêveuse, moins attraptoptacyltique, moins colonipsyatrice, sans chaussures de vers, sans définition dans le dictionnaire ? Je sens toujours votre cerveau qui s'échauffe, l'or électrique vous tenir en éveil, ou alors je rêve. Je n'ai pas fait un rêve !
Non, c'est la triste raison qui change le monde. C'est elle qui prend mes fils et suit leurs visions jusqu'à la fin. Bien sûr, je produis des violonistes, des culturistes, et des touristes, ainsi que des violences, des occultistes, et d'autres touristes.( Et des sadiques, river à leurs chansons.)
Mais c'est ma Nemesis qui les revêt de pourpre, de raisons économiques, ou les considère comme les sous-pape de la société ! Quand elle ne les élève pas carrément.
Soyez un peu déraisonnables...
Vous reprendrez bien un vers ?
Vous reprendrez bien un verre ?
Vous reprendrez bien un vair ?
Un ver s'en va, en promettant de ne plus s'y faire reprendre.
Salut à toi lecteur, entend moi de tes yeux
concentre toi au mieux, car sans moi nul bonheur
Tu ne me reconnais ? Laisse moi me conter!
Oh muses chantonnez, l'ire d'un (pet-)roquet.
Alors que le rideau voudrait tombé choqué(et risquer un procès), le personnage mystérieux chante à la place des muses qui s'amusent sans doute plus loin.
Rêveurs disparates, bavardeurs belliqueux,
héroïnes en non-lieux, malades bureaucrates,
Idiots adulateurs, zéro en autre pots
Sous tant et tant de peaux, sont mes prédicateurs.
Touts les pouvoirs sont miens, et point qu'en effigie,
Les rois en béotie, avoir tout ce n'est rien.
Est on un meilleur mort, un plus joli compost,
si on commandait l'Ost, attifé d'un bel or?
La cible idéale, mère d'enragées
je suis impliquée, mais jamais fatale.
Mes enfants artistes: De laids peintres ratés
Un lyre enflammé, veille reine triste.
Je suis la Folie, et je le prouve en quittant ces attraits poétiques. Mais suis je moins rêveuse, moins attraptoptacyltique, moins colonipsyatrice, sans chaussures de vers, sans définition dans le dictionnaire ? Je sens toujours votre cerveau qui s'échauffe, l'or électrique vous tenir en éveil, ou alors je rêve. Je n'ai pas fait un rêve !
Non, c'est la triste raison qui change le monde. C'est elle qui prend mes fils et suit leurs visions jusqu'à la fin. Bien sûr, je produis des violonistes, des culturistes, et des touristes, ainsi que des violences, des occultistes, et d'autres touristes.( Et des sadiques, river à leurs chansons.)
Mais c'est ma Nemesis qui les revêt de pourpre, de raisons économiques, ou les considère comme les sous-pape de la société ! Quand elle ne les élève pas carrément.
Soyez un peu déraisonnables...
Vous reprendrez bien un vers ?
Vous reprendrez bien un verre ?
Vous reprendrez bien un vair ?
Un ver s'en va, en promettant de ne plus s'y faire reprendre.
Amelie
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