Pillage a Brill
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Pillage a Brill
Dans la nuit du 15 au 16, aux alentours de 23 heures, nuit noire, pas de lune, l'entrée de l'auberge de Brill s'est barrée par les débris du toit qui s'est effondré suite a une explosion, quelques secondes plus tard, une seconde explosion s'est faite entendre a l'ouest de la bourgade. 30 secondes plus tard c'est un homme a cheval cette fois-ci, arrivant par le cimetière qui mit le feu au toit en bois de l'écurie puis, a prit la fuite, toutes tentatives de l'abattre ont été parés par des tires en provenance du cimetière qui couvraient le fou a cheval, les chevaux mort-vivant pris de peur face aux flammes prirent la fuite créant un climat de panique.
Puis trois ou quatre hommes quelques secondes après l'embrasement de l'écurie ont surgit du cimetière d'où continuaient de se tirer des traits de couvertures, ont placé une charge d'hydroglicérine devant la porte de l'hôtel de ville, pénétrant dans ce dernier, faisant exploser les coffre et pillant toute la richesse de la bourgade pour prendre la fuite vers le nord.
On ignore l'identité de ces hommes, l'attaque a été préparé, fulgurante, et, n'aura durée pas plus de deux minutes ne laissant aucune chance de réactions aux réprouvés locaux, les pistes remontants vers le nord s'arrêtent aux sables de la plage de la cote au nord des clairières de Tirisfal
Les dégâts dans la petite bourgade sont cependant conséquents, l'entrée de l'auberge, une petite maison, sont démolis, et la toiture de l'écurie est a refaire tout autant que la porte de l'hôtel de ville, mais le traumatisme reste dans la violence de l'attaque pratiquement gratuite et sans revendication. La plupart des hommes étaient cagoulés et bien entrainés.
Puis trois ou quatre hommes quelques secondes après l'embrasement de l'écurie ont surgit du cimetière d'où continuaient de se tirer des traits de couvertures, ont placé une charge d'hydroglicérine devant la porte de l'hôtel de ville, pénétrant dans ce dernier, faisant exploser les coffre et pillant toute la richesse de la bourgade pour prendre la fuite vers le nord.
On ignore l'identité de ces hommes, l'attaque a été préparé, fulgurante, et, n'aura durée pas plus de deux minutes ne laissant aucune chance de réactions aux réprouvés locaux, les pistes remontants vers le nord s'arrêtent aux sables de la plage de la cote au nord des clairières de Tirisfal
Les dégâts dans la petite bourgade sont cependant conséquents, l'entrée de l'auberge, une petite maison, sont démolis, et la toiture de l'écurie est a refaire tout autant que la porte de l'hôtel de ville, mais le traumatisme reste dans la violence de l'attaque pratiquement gratuite et sans revendication. La plupart des hommes étaient cagoulés et bien entrainés.
Faldin- Personnages Joués : Je vous emmerde (mais moins qu'avant)
Re: Pillage a Brill
Oyez, Oyez,
Fidèles sujets de sa Majesté Sylvanas !
Le Crépuscule de Lordaeron va soutenir la Nécrogarde dans son enquête pour retrouver les responsables de cette infamie !
Les habitants de Brill sont, pour la plupart, des civils ! Des frères et des soeurs qui n'ont jamais souhaité participer aux offensives militaires contre les vivants et contre le Fléau. Mais en ce jour, ce n'est plus le désir de subsister ni le désir de vengeance qui nous anime ! En ce jour c'est le désir de justice qui porte notre volonté à retrouver ces pleutres !
Puissiez-vous trouvez, dans la puissance des Ombres, la force de traverser ce dramatique evenement.Ryvius, maître du Crépuscule de Lordaeron
Takeo / Ryvius
Re: Pillage a Brill
Ci et là, des faits divers sont a noter, des patrouilles disparaissent, leur corps peuvent-être retrouver, caché sous des brousailles, quelques heures / jours, après les faits, dans les clairières de Trisfal, on note même un corps de nécro-garde, retrouvé a l'entrée des ruines de Lordearon, dans la soirée du 20 au 21.
Les sentinelles réprouvés ayant pue apercevoir les agresseurs, noteront que tous agissent, sans tabard, masqué le plus souvent, en discretion avant de se retirer, vers le sud ou leur empreinte se perdent rapidement sur la route pavée, ou bien encore dans les courts d'eau, les agresseurs prennent soins a masquer leur traces mais rôdent bel et bien aux frontières des terres réprouvés.
Les sentinelles réprouvés ayant pue apercevoir les agresseurs, noteront que tous agissent, sans tabard, masqué le plus souvent, en discretion avant de se retirer, vers le sud ou leur empreinte se perdent rapidement sur la route pavée, ou bien encore dans les courts d'eau, les agresseurs prennent soins a masquer leur traces mais rôdent bel et bien aux frontières des terres réprouvés.
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