Rapport de l'Opération Espoir & Libération
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Rapport de l'Opération Espoir & Libération
< Ce rapport a été envoyé au centre de Commandement de Hurlevent, a l'abbaye de la comté du nord, au quartier militaire de Forgefer et à l'Hotel de Ville d'Austrivage. >
Rapport de l'Opération dite "Espoir & Libération" par Takeo d'elwynn, Comte de Dalanor, Commandeur des croyants en la Justice.
Le peuple doute qu'il y ait une justice en notre monde.
Des membres de l'Alliance et de la Horde ont tenté de me dissuader de mener mon action.
Une partie même de ma troupe ne croient plus en moi et j'ai du les renvoyer.
Mes plans sont demeurés secret afin d'éviter que les services de la Reine Noire et la horde manipulé organisent une défense.
Jeudi 28 du huitième mois de cette année à partir de 20 heure 30, le Colonel Ornerod Sôter rassemblait l'Armée à Austrivage. Parallèlement à cela, une petite troupe entrait furtivement dans Fossoyeuse.
A 21h20, une partie de l'Armée est allée à l'Hotel de Ville d'Austrivage afin de se faire téléporter vers le coeur du Quartier Général de la Société Royal des Apothicaires. Les rituels d'invocations ont commencé...
Pendant ce temps, le gros de l'armée a du prendre la route vers Fossoyeuse, mais je laisserais le soin au Colonel de détailler le déroulement de cette partie de l'opération.
Une fois 21h30, pensant que la bataille devrait faire diversion non loin des égouts de Fossoyeuse, j'ai ordonné a la troupe d'attaquer le Quartier Général.
Les nécrogardes nous ont donné quelques difficultés... mais les apothicaires présent furent exécuté.
Sous la menace, un apothicaire m'indiqua où se trouvait les parchemins et grimoires sur les travaux effectuer sur la nouvelle peste qui était testé sur des êtres vivants. Les étagères sur lesquel se trouvaient les rapports sur cette nouvelle peste furent toute brulé sous le regard impuissant de l'apothicaires.
Les prisonniers qui servaient de cobaye pour les expériences des apothicaires furent libéré et téléporté a Hurlevent.
Après nous etre assuré que les rapports sur la nouvelle peste étaient bien détruit... j'ordonnais aux soldats de se replier. Une fois reculé des combats, alors que les nécrogardes devraient préparer une contre-attaque pour prendre d'assault le quartier des apothicaires en feu, Nous fumes téléporté à Austrivage.
Une fois a Austrivage, je me suis assuré que les anciens cobayes soient envoyés au centre de soin de Dame Anuata.
Un soldat m'a ensuite indiqué que l'armée se repliait et que le Colonel avait été capturé. J'ai donc demander au magicien de se préparer a faire un rituel d'invocation à Austrivage.
En attendant, je me suis rendu au Tournoi de Chevalier afin de rencontrer le Seigneur Idrid. Le Sénéchal a bien voulut m'accorder un instant et j'ai sollicité l'envoie d'un emissaire d'Austrivage vers la citée de Fossoyeuse afin que le Colonel soit restitué à l'Alliance. Le Sénéchal me fit comprendre qu'il s'occuperait de cela plus tard. Je décidais donc de me retirer dans le manoir afin de me reposer.
Après m'etre restauré, je me suis rendu à Austrivage. Un soldat m'a indiqué qu'une grande réunion avait lieu en l'hotel de ville. Je m'y suis rendu et à peine arrivée le Sénéchal Idrid a ordonné qu'on me mette au arret.
Après avoir donner mon épée, j'ai été invité a monter sur l'estrade. Le Commandant de la Garde de Hurlevent et le Sénéchal Idrid ont convenu que je sois envoyé à la prison de Hurlevent mais que le Colonel Ornerod soit jugé à Austrivage.
J'ai donc été transféré à la prison de la Garde de Hurlevent. Je pense que la garde ne me laissera pas sortir en attendant mon jugement, mais malgrès les heures sombres qui s'annoncent, j'ai désormais espoir en l'avenir.
*Signé*
Takeo d'elwynn, Comte de Dalanor, Commandeur de la Ligue des Justes
Rapport de l'Opération dite "Espoir & Libération" par Takeo d'elwynn, Comte de Dalanor, Commandeur des croyants en la Justice.
Le peuple doute qu'il y ait une justice en notre monde.
Des membres de l'Alliance et de la Horde ont tenté de me dissuader de mener mon action.
Une partie même de ma troupe ne croient plus en moi et j'ai du les renvoyer.
Mes plans sont demeurés secret afin d'éviter que les services de la Reine Noire et la horde manipulé organisent une défense.
Jeudi 28 du huitième mois de cette année à partir de 20 heure 30, le Colonel Ornerod Sôter rassemblait l'Armée à Austrivage. Parallèlement à cela, une petite troupe entrait furtivement dans Fossoyeuse.
A 21h20, une partie de l'Armée est allée à l'Hotel de Ville d'Austrivage afin de se faire téléporter vers le coeur du Quartier Général de la Société Royal des Apothicaires. Les rituels d'invocations ont commencé...
Pendant ce temps, le gros de l'armée a du prendre la route vers Fossoyeuse, mais je laisserais le soin au Colonel de détailler le déroulement de cette partie de l'opération.
Une fois 21h30, pensant que la bataille devrait faire diversion non loin des égouts de Fossoyeuse, j'ai ordonné a la troupe d'attaquer le Quartier Général.
Les nécrogardes nous ont donné quelques difficultés... mais les apothicaires présent furent exécuté.
Sous la menace, un apothicaire m'indiqua où se trouvait les parchemins et grimoires sur les travaux effectuer sur la nouvelle peste qui était testé sur des êtres vivants. Les étagères sur lesquel se trouvaient les rapports sur cette nouvelle peste furent toute brulé sous le regard impuissant de l'apothicaires.
Les prisonniers qui servaient de cobaye pour les expériences des apothicaires furent libéré et téléporté a Hurlevent.
Après nous etre assuré que les rapports sur la nouvelle peste étaient bien détruit... j'ordonnais aux soldats de se replier. Une fois reculé des combats, alors que les nécrogardes devraient préparer une contre-attaque pour prendre d'assault le quartier des apothicaires en feu, Nous fumes téléporté à Austrivage.
Une fois a Austrivage, je me suis assuré que les anciens cobayes soient envoyés au centre de soin de Dame Anuata.
Un soldat m'a ensuite indiqué que l'armée se repliait et que le Colonel avait été capturé. J'ai donc demander au magicien de se préparer a faire un rituel d'invocation à Austrivage.
En attendant, je me suis rendu au Tournoi de Chevalier afin de rencontrer le Seigneur Idrid. Le Sénéchal a bien voulut m'accorder un instant et j'ai sollicité l'envoie d'un emissaire d'Austrivage vers la citée de Fossoyeuse afin que le Colonel soit restitué à l'Alliance. Le Sénéchal me fit comprendre qu'il s'occuperait de cela plus tard. Je décidais donc de me retirer dans le manoir afin de me reposer.
Après m'etre restauré, je me suis rendu à Austrivage. Un soldat m'a indiqué qu'une grande réunion avait lieu en l'hotel de ville. Je m'y suis rendu et à peine arrivée le Sénéchal Idrid a ordonné qu'on me mette au arret.
Après avoir donner mon épée, j'ai été invité a monter sur l'estrade. Le Commandant de la Garde de Hurlevent et le Sénéchal Idrid ont convenu que je sois envoyé à la prison de Hurlevent mais que le Colonel Ornerod soit jugé à Austrivage.
J'ai donc été transféré à la prison de la Garde de Hurlevent. Je pense que la garde ne me laissera pas sortir en attendant mon jugement, mais malgrès les heures sombres qui s'annoncent, j'ai désormais espoir en l'avenir.
*Signé*
Takeo d'elwynn, Comte de Dalanor, Commandeur de la Ligue des Justes
Takeo
Re: Rapport de l'Opération Espoir & Libération
< Ce rapport a été envoyé au centre de Commandement de Hurlevent, a l'abbaye de la comté du nord, au quartier militaire de Forgefer et à l'Hotel de Ville d'Austrivage. >
Rapport de l'Opération Espoir et Libération par le paladin Ornerod Sôter, Chevalier de la Maison Dalanor, Colonel de la Ligue des Justes.
Hier soir, à 20h30, je remettais l'ordre aux soldats de la Ligue de rester basés à Austrivage en attendant les renforts. Ces derniers étaient constitués de combattants d'élite que j'avais regroupé avec le Commandeur depuis plus d'une semaine. Ils venaient pour la plupart d'Outreterre, et étaient équipés et armés au mieux de ce qui se fait sur les fronts de l'autre monde.
J'évitais de donner trop d'attention aux quelques membres de l'Ordre des Hospitaliers qui annoncaient massacre, défaite, et tristesse.
Je fis rassembler l'Armée au complet face à la Tour de garde d'Austrivage : un peu plus d'une quarantaine, c'était amblement suffissant pour mener à bien l'opération. Je formais alors deux groupes, le premier d'une dizaine de combattants devaient se rendre à Austrivage afin que les invocateurs infiltrés à Fossoyeuse puissent les invoquer à l'heure programmée. J'attendis quelques instants, afin d'être dans les temps, avant de mener l'Armée restante avec moi.
Nous fîmes mouvement vers la forêt des pins argentées, où je m'éfforcais de rappeller les ordres d'organisation à la troupe afin qu'elle se batte au mieux en suivant mes ordres à la lettre !
Alors que nous avions passé le dernier avant poste des mages de Dalaran depuis un petit moment, j'appercu au loin un groupe de personne sur la route. Des pacifistes, et personnes souhaitant nous ralentir, voir annuler l'opération. Ces derniers pensaient nous ralentir : j'ordonnais que l'on passe à côté de ces irresponsables sur le côté de la route. A une centaine de mêtre se tenait ensuite le pont de la contrée. Je fus presque étonné de voir que des membres manipulés de la Horde nous y attendent, mais cela m'a procuré bien plus de réconfort qu'autre chose : ces derniers devaient se croirent assez forts pour penser retenir notre Armée loin de Fossoyeuse. La diversion que je supervisais marchait donc parfaitement, ils ne pouvaient se douter qu'au moment où je commanda la charge, le Commandeur et ses hommes se trouvaient à Fossoyeuse.
La bataille fit donc rage sur le pont ! Nos troupes étaient bien plus nombreuses, et plus puissantes que l'oppossition de la Horde, malgré que ces derniers se battaient comme des lions. Alors que je venais de terrasser avec l'aide d'un soldat d'élite un troll, je m'appercu que les troupes de la Horde courraient au massacre.
Orcs, trolls, sin'doreis, réprouvés... ils nous faisait face en croyant se battre pour ce qui leur apparaissaient comme juste et bon. Ils n'avaient pas cru la Ligue lorsqu'elle les avait mis en garde contre les projets de la Reine Sylvanas. Mais au jeu d'influence, la Reine Noire était gagnante au sein de la Horde. Ces gens que nous allions massacrés, n'étaient que des manipulés. La bataille avait duré suffisament pour que le Commandeur nous croit à l'ouverture des égouts de Lordaeron et qu'il lance l'assaut. La victoire serait très probablement notre d'ici quelques minutes ou même si la Horde se rendait compte de son erreure, elle n'aurait point le temps de soutenir à temps les nécrogardes de Fossoyeuse.
Je ne sais pas si ces manipulés de la Horde méritaient la mort mais je devrais remplir ma mission afin de redonner éspoir à la paix et libérer les prisonniers. La Lumière guidera ces manipulés, et leur fera bientot ouvrir les yeux, je le prie de tout mon coeur.
J'ai ordonné la retraite à l'Armée, ce qui m'a value une remarque d'un soldat ne comprennant visiblement pas mon ordre alors que vous allions "gagner". Une grande partie de l'Armée exécuta rapidement, mais avec quelques autres combattants, nous nous étions bien trop avancé dans les rangs ennemis par la percée de notre charge. Et j'ai pas eu le temps d'organiser parfaitement la retraite car je recu un puissant coup à l'épaule. Le coup m'a projetté à tête, inconscient.
Lorsque je retrouvais mes esprits. Dame Katea me menacait de son épée, à quelques centimètres de mon visage. J'étais entouré de membre de la Horde qui comprenaient à peine ce qui leur arrivait, et semblait croire à une victoire en voyant l'alliance se replier. Peut être, savaient ils le Commandeur mort en ayant prévu d'organiser une défense aux quartiers généraux de la Société Royale des Apothicaires. Notre objectif était pourtant si clair, est il possible que ces gens soient tombés parfaitement dans notre plan ? Je me mis à douter tout en repoussant Dame Katea qui voulait me mettre des sortes de chaine autour des poignets. Je me suis levé avec difficulté, encore un peu sonné, pour faire face à la Ranger Général Severnaya. Elle semblait donner des instructions à ceux qu'elles dirigaient, mais je remarquai bien qu'une fois de plus les forces adversaires étaient un regroupement de plusieurs confréries et clans. Apparament, ils projetaient de me mener à Fossoyeuse, et m'y guidèrent.
J'ai prié, espérant que le Commandeur ne soit pas capturé car je n'étais pas en mesure de donner l'ordre de l'invoquer. J'esperais toutefois que ma capture serait rapidement annoncée afin que le plan de secours soit opéré. J'ai également prié pour qu'aucun jeteur de sort en me met un artefact anti-magie empechant les invocations comme m'en avait montré l'invocateur qui m'avait entrainé.
Arrivez devant les ruines de Fossoyeuse, les membres de la Horde discutèrent pour savoir quel sort me réserver. Ils étaient partagés et ignoraient totalement les hospitaliers qui se trouvaient à côté d'eux et qui cherchait à m'affirmer que ma mission avait été un échec, ou ce genre de chose.
J'affirmai alors que le Commandeur avait surment réussit, et que si ils leur plairaient de pénétrer dans les profondeurs de Fossoyeuse dans le quartier de l'Apothicarium, ils se rendraient compte que le feu brulait une partie des étageres, et que des expériences et recherches avaient été détruite. Mais je savais très bien que les nécrogrades avaient pour ordre de ne laisser passer aucun non apothicaire dans cette zone, et qu'affirmer que nous avions détruire quelque chose qui n'existait pas à leur yeux était peine perdue. Mais j'étais sur que malgré les efforts des nécrogardes, des vapeurs et fumés devaient s'échappé du grand laboratoire des apothicaires, et qu'elles traduiraient la réussite de notre action aux yeux de la Horde.
La Ranger Générale Severnaya semblait plus que préoccupé, je dirais même boulverser et était sans cesse entrain de douter sur ce qu'ils allaient faire de moi. La chef de forestiere tachait de lui mettre la pression afin que je sois mis à mort. Cette elfe se trouvait derriere moi, et alors que je montai les marches devant l'entrée des ruines de Lordaeron, elle me plantai une dague dans le dos. Louée soit la Lumière, le mouvement et l'armure jouèrent contre le geste de l'elfe, et je ne fus que légerement blessé.
Le temps que je me remettes quelques instants de cette attaque surprise, j'affirma qu'il n'y avait aucun honneur à tuer un prisonnier de guerre sans jugement, et encore moins à s'en prendre à un prisonnier et ce, par derrier. Ils furent nombreux à me rétorquer qu'ils se fichaient bien de l'Honneur et que j'ignorais tout de ces choses là. J'annonca que ce que savait, c'était que la Horde avait suffisament de principe et accordait suffisament de valeur à l'Honneur qu'une troll avait été condammné il y a peu pour avoir manquer à cela !
Par toutes ses répliques, je cherchais à gagner du temps. Les invocateurs auraient déjà du commencer leur travail.
Ma derniere parole enerva la chef des forestiers qui décida de m'exécuter, disant qu'elle n'avait aucun compte à rendre à personne. Elle me fit mettre contre le mur de l'entrée des ruines de Lordaeron, solidement tenue par un démon et son démoniste elfe. Je la apperçu mettre sa main sur son carquois pour en sortir une fleche qu'elle mit rapidement à son arc. Je ferma les yeux et pria la Lumière d'intervenir, qu'en tant que serviteur je me faisais son intermédiaire pour maitriser sa puissance afin que je puisse tenir à l'écart mes adversaires et me proteger de toute attaque physique et magique. Le Bouclin divin se forma en un éclair : La fleche décoché au même instant percuta la grande sphère de Lumière qui m'entourait et avait repoussé le démon et son maitre de manière puissante. Alors que je commencais à remercier la Lumière par une autre prière, j'entendis des voix dans ma tête : les invocateurs commencaient le rituel d'invocation, enfin ! J'ouvrir les yeux pour m'appercevoir qu'à l'intérieur de la sphère lumineuse, des rhunes violettes transparantes tournaient autour de moi. Je ferma les yeux. Exercez pour cela, je me concentrai sur une prière afin de maintenir l'intervention de la Lumière aussi longtemps que je pouvais me le permettre, malgrès les voix qui s'élevaient derrière le bouclier et dans ma tête. Je répondis aux invocations et lorsque je réouvris les yeux, j'étais à Austrivage : je tomba un genou à terre.
L'invocateur était accompagné d'un groupe de personne que je reconnue une fois que je me releva. Les tisseurs de paix, Crileloup et sa compagne, ainsi que quelques liguiers, des soldats du Sénéchal, et quelques autres personnes. La douleur à l'épaule se fit sentir, mais je parvins à comprendre ce que me voulaient les tisseurs : ils réclamaient que je me constitue prisonnier et que je me rende à la Garde de Hurlevent.
Je déclarai que j'étais sûr les terres de la Sénéchaussée d'Austrivage, et que seul le Sénéchal Idrid avait le droit de haute et basse justice en ces lieux. Je me tournai ensuite après quelques echanges vers l'écurie. Malgré mes blessures, je comptai m'assurer que selon mes ordres, l'Armée avait bien battue retraite jusqu'a Moulin de l'Ambre.
Je fus arrêté par messire Crileloup qui tira une fleche sur ma personne. Une chance que mon pas irrégulé lui fit raté sa cible. La fleche se logait dans l'une de mes épaulettes. Je me suis retourné en déclarant que je conseillai fortement aux tisseurs de rester dans le cadre de la loi pour agir, et que cet acte pourrait leur retomber dessus.
Est ensuite arrivée la Commandante Eriane de la Garde de Hurlevent. Elle souhaitait également me mettre aux arrêts, et je dû également lui donner un cours de droit pour bien lui faire comprendre en quelques mots qu'elle n'avait aucune autorité ici. Elle se rattrappa en affimant qu'elle ne voulait que me donner conseil.
Rattrapez par mes blessures, on m'a amené au centre de soin d'Austrivage géré par la Directrice Anuata.
J'ai profité de ma présence en ces lieux pour voir les bléssés qui y avaient été ramené et leur donner courage. J'ai également ordonné qu'on effectue des patrouilles pour s'assurer qu'aucun blessé n'ait été laissé derriere nous.
Enfin alors, je pu m'assoire, mais mon repos n'était que de courte durée, le Sénéchal Idrid entra pour m'énoncer qu'il me faisait prisonnier. Il était suivi d'un bon nombre de ses soldats, et il fit sortir les Gardes de Hurlevent et leur Commandante qui se montraient enclin à outrepasser leurs droits.
Cette décision me convenait pour le moment, et je ne dis point grand mot.
Les heures qui suivirent, Dame Anuata oeuvra pour me guérrir au mieux. Lorsque plus tard, j'étais faible mais guérie, je fis quérir le Sénéchal. Je lui demandais à ce qu'il accepte que je sois en libertée conditionnelle en l'attente du procès où je donna ma parole d'être present. Le Sénéchal dans sa bontée a accepté.
A mon réveil ce matin, avant la rédaction de ce rapport, j'ai conduit les anciens prisonniers-cobayes dans un lieu plus reculé et je m'assurerais que des soins leur soient remis.
Cette opération marque la fin de la campagne de la Ligue contre la Société Royale des Apothicaires ! Bien qu'aucune preuve n'ait été ramené par précausion, nous savons que nous avons oeuvré pour la sauvegarde d'Azeroth !
Les réprouvés qui comptaient sur une paix d'hypocrite afin de gagner du temps pour l'élaboration de cette peste se voit leur projet anéanti ! Désormais, si la Reine Noire souhaite poursuivre sa lutte contre l'humanitée et ses alliés, elle devra le faire de manière plus ouverte ! Et en ce cas, l'Alliance et la Horde prendront leurs responsabilitées pour réagir face à ces hostilitées ! Je prie la Lumière que la Reine Noire renonce à une telle lutte, et que la voie de la diplomatie soit enfin approchée sans forberie !
Colonel Ornerod Sôter
De la Ligue des Justes
Rapport de l'Opération Espoir et Libération par le paladin Ornerod Sôter, Chevalier de la Maison Dalanor, Colonel de la Ligue des Justes.
Hier soir, à 20h30, je remettais l'ordre aux soldats de la Ligue de rester basés à Austrivage en attendant les renforts. Ces derniers étaient constitués de combattants d'élite que j'avais regroupé avec le Commandeur depuis plus d'une semaine. Ils venaient pour la plupart d'Outreterre, et étaient équipés et armés au mieux de ce qui se fait sur les fronts de l'autre monde.
J'évitais de donner trop d'attention aux quelques membres de l'Ordre des Hospitaliers qui annoncaient massacre, défaite, et tristesse.
Je fis rassembler l'Armée au complet face à la Tour de garde d'Austrivage : un peu plus d'une quarantaine, c'était amblement suffissant pour mener à bien l'opération. Je formais alors deux groupes, le premier d'une dizaine de combattants devaient se rendre à Austrivage afin que les invocateurs infiltrés à Fossoyeuse puissent les invoquer à l'heure programmée. J'attendis quelques instants, afin d'être dans les temps, avant de mener l'Armée restante avec moi.
Nous fîmes mouvement vers la forêt des pins argentées, où je m'éfforcais de rappeller les ordres d'organisation à la troupe afin qu'elle se batte au mieux en suivant mes ordres à la lettre !
Alors que nous avions passé le dernier avant poste des mages de Dalaran depuis un petit moment, j'appercu au loin un groupe de personne sur la route. Des pacifistes, et personnes souhaitant nous ralentir, voir annuler l'opération. Ces derniers pensaient nous ralentir : j'ordonnais que l'on passe à côté de ces irresponsables sur le côté de la route. A une centaine de mêtre se tenait ensuite le pont de la contrée. Je fus presque étonné de voir que des membres manipulés de la Horde nous y attendent, mais cela m'a procuré bien plus de réconfort qu'autre chose : ces derniers devaient se croirent assez forts pour penser retenir notre Armée loin de Fossoyeuse. La diversion que je supervisais marchait donc parfaitement, ils ne pouvaient se douter qu'au moment où je commanda la charge, le Commandeur et ses hommes se trouvaient à Fossoyeuse.
La bataille fit donc rage sur le pont ! Nos troupes étaient bien plus nombreuses, et plus puissantes que l'oppossition de la Horde, malgré que ces derniers se battaient comme des lions. Alors que je venais de terrasser avec l'aide d'un soldat d'élite un troll, je m'appercu que les troupes de la Horde courraient au massacre.
Orcs, trolls, sin'doreis, réprouvés... ils nous faisait face en croyant se battre pour ce qui leur apparaissaient comme juste et bon. Ils n'avaient pas cru la Ligue lorsqu'elle les avait mis en garde contre les projets de la Reine Sylvanas. Mais au jeu d'influence, la Reine Noire était gagnante au sein de la Horde. Ces gens que nous allions massacrés, n'étaient que des manipulés. La bataille avait duré suffisament pour que le Commandeur nous croit à l'ouverture des égouts de Lordaeron et qu'il lance l'assaut. La victoire serait très probablement notre d'ici quelques minutes ou même si la Horde se rendait compte de son erreure, elle n'aurait point le temps de soutenir à temps les nécrogardes de Fossoyeuse.
Je ne sais pas si ces manipulés de la Horde méritaient la mort mais je devrais remplir ma mission afin de redonner éspoir à la paix et libérer les prisonniers. La Lumière guidera ces manipulés, et leur fera bientot ouvrir les yeux, je le prie de tout mon coeur.
J'ai ordonné la retraite à l'Armée, ce qui m'a value une remarque d'un soldat ne comprennant visiblement pas mon ordre alors que vous allions "gagner". Une grande partie de l'Armée exécuta rapidement, mais avec quelques autres combattants, nous nous étions bien trop avancé dans les rangs ennemis par la percée de notre charge. Et j'ai pas eu le temps d'organiser parfaitement la retraite car je recu un puissant coup à l'épaule. Le coup m'a projetté à tête, inconscient.
Lorsque je retrouvais mes esprits. Dame Katea me menacait de son épée, à quelques centimètres de mon visage. J'étais entouré de membre de la Horde qui comprenaient à peine ce qui leur arrivait, et semblait croire à une victoire en voyant l'alliance se replier. Peut être, savaient ils le Commandeur mort en ayant prévu d'organiser une défense aux quartiers généraux de la Société Royale des Apothicaires. Notre objectif était pourtant si clair, est il possible que ces gens soient tombés parfaitement dans notre plan ? Je me mis à douter tout en repoussant Dame Katea qui voulait me mettre des sortes de chaine autour des poignets. Je me suis levé avec difficulté, encore un peu sonné, pour faire face à la Ranger Général Severnaya. Elle semblait donner des instructions à ceux qu'elles dirigaient, mais je remarquai bien qu'une fois de plus les forces adversaires étaient un regroupement de plusieurs confréries et clans. Apparament, ils projetaient de me mener à Fossoyeuse, et m'y guidèrent.
J'ai prié, espérant que le Commandeur ne soit pas capturé car je n'étais pas en mesure de donner l'ordre de l'invoquer. J'esperais toutefois que ma capture serait rapidement annoncée afin que le plan de secours soit opéré. J'ai également prié pour qu'aucun jeteur de sort en me met un artefact anti-magie empechant les invocations comme m'en avait montré l'invocateur qui m'avait entrainé.
Arrivez devant les ruines de Fossoyeuse, les membres de la Horde discutèrent pour savoir quel sort me réserver. Ils étaient partagés et ignoraient totalement les hospitaliers qui se trouvaient à côté d'eux et qui cherchait à m'affirmer que ma mission avait été un échec, ou ce genre de chose.
J'affirmai alors que le Commandeur avait surment réussit, et que si ils leur plairaient de pénétrer dans les profondeurs de Fossoyeuse dans le quartier de l'Apothicarium, ils se rendraient compte que le feu brulait une partie des étageres, et que des expériences et recherches avaient été détruite. Mais je savais très bien que les nécrogrades avaient pour ordre de ne laisser passer aucun non apothicaire dans cette zone, et qu'affirmer que nous avions détruire quelque chose qui n'existait pas à leur yeux était peine perdue. Mais j'étais sur que malgré les efforts des nécrogardes, des vapeurs et fumés devaient s'échappé du grand laboratoire des apothicaires, et qu'elles traduiraient la réussite de notre action aux yeux de la Horde.
La Ranger Générale Severnaya semblait plus que préoccupé, je dirais même boulverser et était sans cesse entrain de douter sur ce qu'ils allaient faire de moi. La chef de forestiere tachait de lui mettre la pression afin que je sois mis à mort. Cette elfe se trouvait derriere moi, et alors que je montai les marches devant l'entrée des ruines de Lordaeron, elle me plantai une dague dans le dos. Louée soit la Lumière, le mouvement et l'armure jouèrent contre le geste de l'elfe, et je ne fus que légerement blessé.
Le temps que je me remettes quelques instants de cette attaque surprise, j'affirma qu'il n'y avait aucun honneur à tuer un prisonnier de guerre sans jugement, et encore moins à s'en prendre à un prisonnier et ce, par derrier. Ils furent nombreux à me rétorquer qu'ils se fichaient bien de l'Honneur et que j'ignorais tout de ces choses là. J'annonca que ce que savait, c'était que la Horde avait suffisament de principe et accordait suffisament de valeur à l'Honneur qu'une troll avait été condammné il y a peu pour avoir manquer à cela !
Par toutes ses répliques, je cherchais à gagner du temps. Les invocateurs auraient déjà du commencer leur travail.
Ma derniere parole enerva la chef des forestiers qui décida de m'exécuter, disant qu'elle n'avait aucun compte à rendre à personne. Elle me fit mettre contre le mur de l'entrée des ruines de Lordaeron, solidement tenue par un démon et son démoniste elfe. Je la apperçu mettre sa main sur son carquois pour en sortir une fleche qu'elle mit rapidement à son arc. Je ferma les yeux et pria la Lumière d'intervenir, qu'en tant que serviteur je me faisais son intermédiaire pour maitriser sa puissance afin que je puisse tenir à l'écart mes adversaires et me proteger de toute attaque physique et magique. Le Bouclin divin se forma en un éclair : La fleche décoché au même instant percuta la grande sphère de Lumière qui m'entourait et avait repoussé le démon et son maitre de manière puissante. Alors que je commencais à remercier la Lumière par une autre prière, j'entendis des voix dans ma tête : les invocateurs commencaient le rituel d'invocation, enfin ! J'ouvrir les yeux pour m'appercevoir qu'à l'intérieur de la sphère lumineuse, des rhunes violettes transparantes tournaient autour de moi. Je ferma les yeux. Exercez pour cela, je me concentrai sur une prière afin de maintenir l'intervention de la Lumière aussi longtemps que je pouvais me le permettre, malgrès les voix qui s'élevaient derrière le bouclier et dans ma tête. Je répondis aux invocations et lorsque je réouvris les yeux, j'étais à Austrivage : je tomba un genou à terre.
L'invocateur était accompagné d'un groupe de personne que je reconnue une fois que je me releva. Les tisseurs de paix, Crileloup et sa compagne, ainsi que quelques liguiers, des soldats du Sénéchal, et quelques autres personnes. La douleur à l'épaule se fit sentir, mais je parvins à comprendre ce que me voulaient les tisseurs : ils réclamaient que je me constitue prisonnier et que je me rende à la Garde de Hurlevent.
Je déclarai que j'étais sûr les terres de la Sénéchaussée d'Austrivage, et que seul le Sénéchal Idrid avait le droit de haute et basse justice en ces lieux. Je me tournai ensuite après quelques echanges vers l'écurie. Malgré mes blessures, je comptai m'assurer que selon mes ordres, l'Armée avait bien battue retraite jusqu'a Moulin de l'Ambre.
Je fus arrêté par messire Crileloup qui tira une fleche sur ma personne. Une chance que mon pas irrégulé lui fit raté sa cible. La fleche se logait dans l'une de mes épaulettes. Je me suis retourné en déclarant que je conseillai fortement aux tisseurs de rester dans le cadre de la loi pour agir, et que cet acte pourrait leur retomber dessus.
Est ensuite arrivée la Commandante Eriane de la Garde de Hurlevent. Elle souhaitait également me mettre aux arrêts, et je dû également lui donner un cours de droit pour bien lui faire comprendre en quelques mots qu'elle n'avait aucune autorité ici. Elle se rattrappa en affimant qu'elle ne voulait que me donner conseil.
Rattrapez par mes blessures, on m'a amené au centre de soin d'Austrivage géré par la Directrice Anuata.
J'ai profité de ma présence en ces lieux pour voir les bléssés qui y avaient été ramené et leur donner courage. J'ai également ordonné qu'on effectue des patrouilles pour s'assurer qu'aucun blessé n'ait été laissé derriere nous.
Enfin alors, je pu m'assoire, mais mon repos n'était que de courte durée, le Sénéchal Idrid entra pour m'énoncer qu'il me faisait prisonnier. Il était suivi d'un bon nombre de ses soldats, et il fit sortir les Gardes de Hurlevent et leur Commandante qui se montraient enclin à outrepasser leurs droits.
Cette décision me convenait pour le moment, et je ne dis point grand mot.
Les heures qui suivirent, Dame Anuata oeuvra pour me guérrir au mieux. Lorsque plus tard, j'étais faible mais guérie, je fis quérir le Sénéchal. Je lui demandais à ce qu'il accepte que je sois en libertée conditionnelle en l'attente du procès où je donna ma parole d'être present. Le Sénéchal dans sa bontée a accepté.
A mon réveil ce matin, avant la rédaction de ce rapport, j'ai conduit les anciens prisonniers-cobayes dans un lieu plus reculé et je m'assurerais que des soins leur soient remis.
Cette opération marque la fin de la campagne de la Ligue contre la Société Royale des Apothicaires ! Bien qu'aucune preuve n'ait été ramené par précausion, nous savons que nous avons oeuvré pour la sauvegarde d'Azeroth !
Les réprouvés qui comptaient sur une paix d'hypocrite afin de gagner du temps pour l'élaboration de cette peste se voit leur projet anéanti ! Désormais, si la Reine Noire souhaite poursuivre sa lutte contre l'humanitée et ses alliés, elle devra le faire de manière plus ouverte ! Et en ce cas, l'Alliance et la Horde prendront leurs responsabilitées pour réagir face à ces hostilitées ! Je prie la Lumière que la Reine Noire renonce à une telle lutte, et que la voie de la diplomatie soit enfin approchée sans forberie !
Colonel Ornerod Sôter
De la Ligue des Justes
Dernière édition par Ornerod le Ven 29 Aoû 2008, 18:46, édité 1 fois
Herümor Garde-bois
Re: Rapport de l'Opération Espoir & Libération
Kaltezar s'enfonça dans son fauteuil, un léger sourire au lèvre alors qu'il reposait la copie du rapport d'Ornerod sur son bureau. Ses quelques contacts astucieusement placé dans l'Alliance les lui avaient fait parvenir. La différence entre ce que les versions Horde et Alliance des faits ... était probante. Ce cher Colonel n'avait pas perdu la goût de la propagande, oser affirmer que le massacre des 9/10 de sa troupe de diversion était une victoire au pont des Pints Argentés, il fallait le faire.
Quel dommage que Severnaya Dead-Aim se soit montrée si faible. Vouloir en faire un prisonnier ? Cet homme était un ennemi de la Horde, il aurait du mourir immédiatement sur le champ de bataille, c'était aussi simple que ça et ça aurait évité le ridicule de la situation. Enfin, situation relativement ridicule puisque les Tisseurs s'étaient arrangé pour mettre immédiatement ce déviant en prison, pourvu qu'il y croupisse pour le restant de ces jours à l'issue de son procès.
Une bouffée de fumée tirée de son cigare et son regard revint se poser sur le rapport de Takeo. L'idiot, si fier de son action ... pensait-il vraiment avoir d'une simple torche anéhanti les travaux des sbires de la Dame Noire ? L'Alliance le penserait-elle aussi ? C'était finalement préférable. Le regard du Légat s'éleva sur d'autres document classé "Sombre Secret". Le plan des Apothicaire avait donc marché à la perfection. Bien entendu, Takeo avait réellement détruit des documents sur la peste en la présence symbolique de quelques Nécrotraqueur d'élite. Les Réprouvés avaient prévu une éventuelle réussite de l'opération des Liguiers. Des copies des documents importants avaient donc emprunté le chemin de Lune d'Argent, via l'orbe de téléportation. Il faudrait quelques temps aux Réprouvé pour reprendre efficacement leur travaux, bien que ces derniers soient sur le point d'aboutir (vive WOTLK u_u).
Kaltezar se mit à espérer que les sujets d'expériences rapatriés, des Croisés Ecarlates capturés aux alentours de la ville, par Takeo propagent un peu de leur peste aux acteurs de l'infiltration dans Undercity. Il adorait le terme "manipulé par la Dame Noire". Oh, bien évidemment, la Dame Noire n'avait rien dit du tout aux représentants de la Horde de Kalimdor, Thrall n'approuverais jamais de telle recherche. Mais pour le reste, les dignitaires Elfes de Sang savaient depuis longtemps l'objectif des recherches des Apothicaires, ils y'avaient même contribué sur le plan des modification arcaniques ... une telle arme serait une nécessité pour les prochain débarquement en Northrend. Elle n'avait jamais été destinée à l'Alliance, mais bon ... comment le faire comprendre aux Humains qui adoraient se suicider pour des causes "Juste" tout comme venait de le faire la Ligue ?
Le Légat écrasa son cigare et s'empara de son verre de vin qu'il huma longuement avant de se délecter d'une gorgée, encore perdu dans ses pensées. Tout était ... parfait.
La Ligue à l'agonie, ravagée en une seule bataille.
Ses dignitaires muselé par l'Alliance elle-même.
Cette même Alliance croyant avoir retiré des mains de la Horde la plus puissante arme jamais imaginée.
Décidément, c'était une excellente journée.
[HRP]
Voila, je profite de ce message pour indiquer que désormais les officiers des Fils de Quel'Thalas ne souhaitent plus avoir la moindre interraction avec la Ligue des Justes. Nous laissons évidemment nos membres libre s'ils le souhaitent de poursuivre le "trip", mais pour beaucoup d'entre nous, on a atteint le point où il y'en a simplement "marre". Comme plusieurs l'ont dit, les seuls de la Horde à s'être amusé hier à un event concernant Undercity, ce sont ceux qui sont allé à Silverpine ... c'est vraiment dommage et preuve de grosse carence entre ce que nous proposait la Ligue et ce qu'elle a fait finalement, comme d'habitude.
Pour nous:
- Le gros de l'armée de la Ligue a été ravagée hier soir au pont de Silverpine
- Takeo et Ornerod sont emprisonné dans l'attente d'un procès qui les ménera logiquement à la déchéance
- La Ligue des Justes est donc détruite et n'est plus un acteur que nous considérons dans ce monde
Nous remercions par avance le reste de la communauté RP de Kirin Tor par avance pour ne plus aborder avec nous le sujet de la Ligue des Justes en RP ou HRP. Si vous le faites quand même, attendez vous simplement à ne pas recevoir de réponse sur le sujet. Merci de votre compréhension.
[/HRP]
Quel dommage que Severnaya Dead-Aim se soit montrée si faible. Vouloir en faire un prisonnier ? Cet homme était un ennemi de la Horde, il aurait du mourir immédiatement sur le champ de bataille, c'était aussi simple que ça et ça aurait évité le ridicule de la situation. Enfin, situation relativement ridicule puisque les Tisseurs s'étaient arrangé pour mettre immédiatement ce déviant en prison, pourvu qu'il y croupisse pour le restant de ces jours à l'issue de son procès.
Une bouffée de fumée tirée de son cigare et son regard revint se poser sur le rapport de Takeo. L'idiot, si fier de son action ... pensait-il vraiment avoir d'une simple torche anéhanti les travaux des sbires de la Dame Noire ? L'Alliance le penserait-elle aussi ? C'était finalement préférable. Le regard du Légat s'éleva sur d'autres document classé "Sombre Secret". Le plan des Apothicaire avait donc marché à la perfection. Bien entendu, Takeo avait réellement détruit des documents sur la peste en la présence symbolique de quelques Nécrotraqueur d'élite. Les Réprouvés avaient prévu une éventuelle réussite de l'opération des Liguiers. Des copies des documents importants avaient donc emprunté le chemin de Lune d'Argent, via l'orbe de téléportation. Il faudrait quelques temps aux Réprouvé pour reprendre efficacement leur travaux, bien que ces derniers soient sur le point d'aboutir (vive WOTLK u_u).
Kaltezar se mit à espérer que les sujets d'expériences rapatriés, des Croisés Ecarlates capturés aux alentours de la ville, par Takeo propagent un peu de leur peste aux acteurs de l'infiltration dans Undercity. Il adorait le terme "manipulé par la Dame Noire". Oh, bien évidemment, la Dame Noire n'avait rien dit du tout aux représentants de la Horde de Kalimdor, Thrall n'approuverais jamais de telle recherche. Mais pour le reste, les dignitaires Elfes de Sang savaient depuis longtemps l'objectif des recherches des Apothicaires, ils y'avaient même contribué sur le plan des modification arcaniques ... une telle arme serait une nécessité pour les prochain débarquement en Northrend. Elle n'avait jamais été destinée à l'Alliance, mais bon ... comment le faire comprendre aux Humains qui adoraient se suicider pour des causes "Juste" tout comme venait de le faire la Ligue ?
Le Légat écrasa son cigare et s'empara de son verre de vin qu'il huma longuement avant de se délecter d'une gorgée, encore perdu dans ses pensées. Tout était ... parfait.
La Ligue à l'agonie, ravagée en une seule bataille.
Ses dignitaires muselé par l'Alliance elle-même.
Cette même Alliance croyant avoir retiré des mains de la Horde la plus puissante arme jamais imaginée.
Décidément, c'était une excellente journée.
[HRP]
Voila, je profite de ce message pour indiquer que désormais les officiers des Fils de Quel'Thalas ne souhaitent plus avoir la moindre interraction avec la Ligue des Justes. Nous laissons évidemment nos membres libre s'ils le souhaitent de poursuivre le "trip", mais pour beaucoup d'entre nous, on a atteint le point où il y'en a simplement "marre". Comme plusieurs l'ont dit, les seuls de la Horde à s'être amusé hier à un event concernant Undercity, ce sont ceux qui sont allé à Silverpine ... c'est vraiment dommage et preuve de grosse carence entre ce que nous proposait la Ligue et ce qu'elle a fait finalement, comme d'habitude.
Pour nous:
- Le gros de l'armée de la Ligue a été ravagée hier soir au pont de Silverpine
- Takeo et Ornerod sont emprisonné dans l'attente d'un procès qui les ménera logiquement à la déchéance
- La Ligue des Justes est donc détruite et n'est plus un acteur que nous considérons dans ce monde
Nous remercions par avance le reste de la communauté RP de Kirin Tor par avance pour ne plus aborder avec nous le sujet de la Ligue des Justes en RP ou HRP. Si vous le faites quand même, attendez vous simplement à ne pas recevoir de réponse sur le sujet. Merci de votre compréhension.
[/HRP]
Kaltezar
Re: Rapport de l'Opération Espoir & Libération
[modo]Les message HRP ont été déplacés dans la partie adéquate du forum, dans ce sujet[/modo]
Arlequin- Admin
Re: Rapport de l'Opération Espoir & Libération
Ériane s'enfonça dans son fauteuil, le visage grave et froncé, alors qu'elle reposait la copie du rapport des Justes sur son bureau. Elle n’avait eu qu’à tendre la main pour qu’on le lui fournisse rapidement.
Elle n’en croyait pas ce qu’elle avait lu.
Comment le Colonel pouvait-il se glorifier du massacre stupide de ses hommes ? Sont-ils à ce point endoctrinés, dans la Ligue ?
Elle était arrivée dans le début de la soirée à Austrivage, pour inscrire les gardes sur les listes du tournoi que le Sénéchal organisait sur ses terres.
Les rumeurs avaient été confirmées plus tôt dans la soirée.
Il avait fallu rapidement envoyer des vigies par les routes les plus évidentes, et le major Hellenlicht s’était porté volontaire pour chapeauter les opérations de reconnaissance.
Elle, elle avait rencontré le Sénéchal pour organiser la diversion. Le coin fourmillait tellement de Justes qu’il n’aurait pas été possible de préparer l’action en toute franchise.
Pour tout le monde, la Garde allait combattre pour l’honneur au tournoi de Hautebrande.
Ériane déposa la liste des inscrits, prodonfément navrée du vilain tour qu’elle jouait à cet homme qu’elle commençait à apprécier, mais le devoir passait avant tout, ainsi que les ordres.
Or, les ordres étaient d’empêcher les Justes d’aller de faire massacrer inutilement, stupidement.
La Garde n’allait pas agir seule, bien entendu, et il y avait eu conciliabule pour planifier la coopération dans cette absurde mission de sauvetage.
Lorran, ainsi que Summerdrake, Astaldo et bien d’autres encore, étaient arrivés. Ils avaient commencé leur travail de sape au moral par des discours enflammés et subtils.
Les gens arrivaient et avec eux des héros lourdement armés.
Toutes les craintes furent confirmées, la Ligue avait convié à leur petite sauterie des soldats de tout bords. Autant de futurs stupides cadavres en plus.
Lorsque le Sénéchal annonça le départ pour Ravenholdt et le bientôt début du tournoi, elle rassembla les gardes et ordonna de préparer le départ.
Les hommes furent en ligne rapidement et la troupe partit au pas sur la route qui montait vers Alterac.
Les gardes discutaient agréablement, à mille lieues de se douter de leur véritable destination.
Elle avait décidé que ne rien dire trop tôt était le meilleur moyen de ne pas soulever trop de questions.. pour l’instant..
C’est un bip sur son communicateur, un signal du major, qui sonna la fin de l’insouciance des gardes.
Ériane arrêta la troupe des Gardes et leur expliqua la situation en détail.
Oui, la Ligue allait commettre l’irréparable et mener des hommes vers une mort certaine.
La réaction des gardes fut exemplaire. Tous clamèrent à l’unisson la nécessité de les arrêter au plus vite, d’empêcher un massacre certain. Il règna à ce moment l’esprit dont on fait celui qui mène aux victoires.
Ériane demande à chacun des gardes présents son assentiment cette action. Ils allaient devoir entrer dans les terres de la Horde, sans ordre précis de s’y trouver. Autrement dit, ils allaient face au danger eux aussi, mais pas un n’objecta rien, tant est l’esprit de corps qui anime les corps de garde dans la tension qui précède les ennuis.
Ils partirent donc au galop, les montures soufflaient, fracassant la route de leurs sabots enfiévrés.
Les messages d’alertes commençaient à arrivés de plus en plus, on avait aperçu une armée de Justes qui quittait les cotés, et qui se dirigeaient vers Tirisfal. Ces stupides liguiers avaient donc décidés de mourir ? Chevauchant, elle se glaça de l’entêtement du commandeur à prouver sa folle théorie d’une nouvelle peste. A combien de massacres encore allait-elle devoir assister pour le voir revenir à la raison. Stupide !
Ils traversèrent sans plus d’émois la frontière et entrèrent dans les forêts argentées sans regarder derrière eux. Les cœurs étaient serrés, mais vaillants devant le danger. Ériane prenait garde à regrouper les cavaliers. Se retrouver seul dans ces contrées voulait dire mourir à court terme, surtout avec un tabard bleu sur les épaules. Le point de rendez-vous avait été défini au pont qui enjambait la rivière, avant le verger des Malden.
Ils y retrouvèrent les éclaireurs, et s’ordonnèrent en ligne compacte, fermant le passage du pont aussi sûrement qu’ils savaient le faire, faisant face à la route de Hautebrande, par laquelle on annonçait encore la Ligue.
L’attente ne fut pas longue.
Rapidement, l’on vit arriver les premières forces de la Horde. Sur les dents, en armes lourdes..
Visiblement, la horde était plus qu’avertie de la stupide initiative des Justes et elle voulait en découdre.
Bien que n’attaquant pas les Gardes, ils se montrèrent agressifs et vindicatifs, gesticulant et vociférant dans leur idiome incompréhensible, comme à leur habitude.
Ils n’avaient certainement pas saisis que la Garde voulait simplement éviter un bain de sang à tous.
La situation devenant tendue, à tel point qu'elle commença à craindre pour leur sécurité, Ériane ordonna à la ligne des gardes de se mettre en mouvement et de libérer le pont. Puisque maintenant d'autres tenaient à le fermer, elle pouvait tenter de refermer une nasse et éloigner ces stupides assaillants des guerriers hordeux et enragés sur le pont.
Ils ne firent pas une lieue quand un vacarme fit trembler les hommes.
Le bruit d'une cavalerie en charge sur la plaine est impressionnant, mais quand on l'entend au fond d'une forêt, au détour d'un virage, grondant et grossissant plus vite que le tonnerre, l'on perd l'esprit un temps, abasourdi.
Les Justes fusèrent de tout coté, traversant notre troupe médusée au moment même où les gardes reformaient une ligne.
Pas un ne put être empêché.
Ériane fit faire volte-face à sa monture dans le tumulte, rageant contre ces guerriers de la horde qui avaient éconduit le dispositif serré sur le pont.
Elle arriva en vue de la construction pour voir le raid des croisés s'écraser contre un mur.
De derrière, elle vit un fleuve s'engouffrer dans un entonnoir, et s'écraser dans des gerbes de sang et de feu contre un mur de lames et de piques.
Les hurlements étaient terrifiants.
Elle avait échoué à prévenir ce massacre, et ordonna aux gardes de rester en arrières et de saisir les Justes et héros en sang, qui refluaient déjà, pour les mettre au plus vite à l'abri. Des râles, des gémissements et du sang, voilà tout ce qui sortait du tumulte.
Les Justes furent décimés en quelques minutes. Le vacarme de la bataille retomba et les gardes abasourdis par ce suicide collectif si violent aperçurent ce qui restait de la Ligue sur le pont, un amoncellement de cadavres. Des corps partout.
Avant qu'elle n'eut le temps d'ordonner un repli, les hordeux, rendus fous par l'odeur du sang et le gout de la mort donnée, s'avancèrent en rugissant de colère vers les gardes. Le major Hellenlicht tomba sous les coups de dagues d'un fourbe. La garde n'était en sécurité et l'ordre de repli général se fit entendre.
Eskilan Astaldo, n'écoutant que son courage, se jeta à terre pour secourir le major. Ériane pour sa part, guida les hommes vers Hautebrande. Ils firent un arrêt bref aux moulins de l'Ambre, pour tenter de récupérer et sauver l'un ou l'autre blessé qui serait venu là se réfugier.
L'arrêt fut bref, donc, tant est que des forces de la Horde entreprenaient de purger la région de notre présence.
Ils repassèrent la frontière, amers. Combien de tués, et pour quoi? pour quel but?
Un hôpital de campagne fit établi aux champs de Hautebrande pour y donne les premiers secours au major et aux autres blessés. La plupart des plaies reçues avaient été causées par des lames empoisonnées, ce qui causa grand stressement aux soigneurs.
C'est sur ces entrefaites, alors qu'elle organisait le rapatriement des blessés, qu'Ériane fût avertie de la présence du colonel Ornerod à Austrivage.
Il fallait avant tout s'assurer qu'il ne s'enfuie pas. Elle ignorait son état et ne voulait plus prendre un seul risque, les tracasseries de droit seraient pour après.
Elle déplaça les gardes vers la bourgade.
Ériane y trouva le colonel, blessé, soutenu par ses hommes, sur la placette de l'armurerie, au milieu d'une troupe qui, lui sembla-t'il, essayait de le retenir.
C'est en premier la voix si reconnaissable du barde tisseur qu'elle reconnut, lui désignant le colonel.
Ériane piqua des talons et avança sa monture devant le Colonel, et, furieuse, le toisa.
Dut-il se sentir mal en sa conscience d'avoir mené ses hommes à une mort certaine qu'il s'offusqua, prétendant lui rappeler que l'autorité de Hurlevent ne s'étendait pas à ces terres.
Le commandant de la Garde balaya ces évidences d'un geste de la main, le colonel était-il déjà enchainé et à fond de cale pour la ville? Ériane ne faisait que lui conseiller de se rendre et lui demanda d'attendre la décision du Sénéchal, prévenu lui aussi, qui arrivait.
Voyant l'état misérable du colonel, fourbu et blessé, l'épaule meurtrie, elle le fit diriger vers le poste de santé, de l'autre coté de la bourgade.
Elle disposa ses gardes à l'entrée du bâtiment, afin d'être sûre que le colonel s'y faisait soigner et surtout, y restait.
L'arrivée du Sénéchal Ildrid se fit en fracas et en grand bruit, de par ses hommes que l'intempérance habite, visiblement furieux de voir deux gardes de Hurlevent surveiller une porte, armes rangées, même et si bien que les buts sont les mêmes et les interêts communs.
Ériane confia au Sénéchal le colonel et la suite des opérations.
La réunion qui s'ensuivit fut calme et productive, nonobstant l'arrivée curieuse du Commandeur Dalanor, qui fut rapidement conscrit et amené devant ses responsabilités.
Entretien fut donc tenu, sous la direction du Sénéchal, avec la participation du Tisseur de Paix et des autres qui se sentaient le devoir de prendre part à la Justice.
Il fut décidé que le Colonel Ornerod soit jugé pour ses actes en Hautebrande, et que le Commandeur Dalanor réspondisse des actes de la Ligue devant L'Alliance en Hurlevent, puisque le dit procès y avait été engagé quelques jours auparavant, si toutefois le magistrat chargé de ce dossier le confirmait.
Dalanor, dans un dernier et trop tardif accès d'éveil, demanda à être interné dans la capitale humaine, prétendant éloigner une menace possible des terres de Hautebrande s'il y restait, ce qui lui fut rapidement accordé.
La réunion se termina ensuite dans le calme, chacun retournant chez soi avec le sentiment que Justice sera rendue dans les règles.
L'on vit pourtant Ériane en arrière avec le Sénéchal, à demi-mots, s'excusant, réellement navrée que ne fut que trop perturbé le Tournoi de Hautebrande.
Elle n’en croyait pas ce qu’elle avait lu.
Comment le Colonel pouvait-il se glorifier du massacre stupide de ses hommes ? Sont-ils à ce point endoctrinés, dans la Ligue ?
Elle était arrivée dans le début de la soirée à Austrivage, pour inscrire les gardes sur les listes du tournoi que le Sénéchal organisait sur ses terres.
Les rumeurs avaient été confirmées plus tôt dans la soirée.
Il avait fallu rapidement envoyer des vigies par les routes les plus évidentes, et le major Hellenlicht s’était porté volontaire pour chapeauter les opérations de reconnaissance.
Elle, elle avait rencontré le Sénéchal pour organiser la diversion. Le coin fourmillait tellement de Justes qu’il n’aurait pas été possible de préparer l’action en toute franchise.
Pour tout le monde, la Garde allait combattre pour l’honneur au tournoi de Hautebrande.
Ériane déposa la liste des inscrits, prodonfément navrée du vilain tour qu’elle jouait à cet homme qu’elle commençait à apprécier, mais le devoir passait avant tout, ainsi que les ordres.
Or, les ordres étaient d’empêcher les Justes d’aller de faire massacrer inutilement, stupidement.
La Garde n’allait pas agir seule, bien entendu, et il y avait eu conciliabule pour planifier la coopération dans cette absurde mission de sauvetage.
Lorran, ainsi que Summerdrake, Astaldo et bien d’autres encore, étaient arrivés. Ils avaient commencé leur travail de sape au moral par des discours enflammés et subtils.
Les gens arrivaient et avec eux des héros lourdement armés.
Toutes les craintes furent confirmées, la Ligue avait convié à leur petite sauterie des soldats de tout bords. Autant de futurs stupides cadavres en plus.
Lorsque le Sénéchal annonça le départ pour Ravenholdt et le bientôt début du tournoi, elle rassembla les gardes et ordonna de préparer le départ.
Les hommes furent en ligne rapidement et la troupe partit au pas sur la route qui montait vers Alterac.
Les gardes discutaient agréablement, à mille lieues de se douter de leur véritable destination.
Elle avait décidé que ne rien dire trop tôt était le meilleur moyen de ne pas soulever trop de questions.. pour l’instant..
C’est un bip sur son communicateur, un signal du major, qui sonna la fin de l’insouciance des gardes.
Ériane arrêta la troupe des Gardes et leur expliqua la situation en détail.
Oui, la Ligue allait commettre l’irréparable et mener des hommes vers une mort certaine.
La réaction des gardes fut exemplaire. Tous clamèrent à l’unisson la nécessité de les arrêter au plus vite, d’empêcher un massacre certain. Il règna à ce moment l’esprit dont on fait celui qui mène aux victoires.
Ériane demande à chacun des gardes présents son assentiment cette action. Ils allaient devoir entrer dans les terres de la Horde, sans ordre précis de s’y trouver. Autrement dit, ils allaient face au danger eux aussi, mais pas un n’objecta rien, tant est l’esprit de corps qui anime les corps de garde dans la tension qui précède les ennuis.
Ils partirent donc au galop, les montures soufflaient, fracassant la route de leurs sabots enfiévrés.
Les messages d’alertes commençaient à arrivés de plus en plus, on avait aperçu une armée de Justes qui quittait les cotés, et qui se dirigeaient vers Tirisfal. Ces stupides liguiers avaient donc décidés de mourir ? Chevauchant, elle se glaça de l’entêtement du commandeur à prouver sa folle théorie d’une nouvelle peste. A combien de massacres encore allait-elle devoir assister pour le voir revenir à la raison. Stupide !
Ils traversèrent sans plus d’émois la frontière et entrèrent dans les forêts argentées sans regarder derrière eux. Les cœurs étaient serrés, mais vaillants devant le danger. Ériane prenait garde à regrouper les cavaliers. Se retrouver seul dans ces contrées voulait dire mourir à court terme, surtout avec un tabard bleu sur les épaules. Le point de rendez-vous avait été défini au pont qui enjambait la rivière, avant le verger des Malden.
Ils y retrouvèrent les éclaireurs, et s’ordonnèrent en ligne compacte, fermant le passage du pont aussi sûrement qu’ils savaient le faire, faisant face à la route de Hautebrande, par laquelle on annonçait encore la Ligue.
L’attente ne fut pas longue.
Rapidement, l’on vit arriver les premières forces de la Horde. Sur les dents, en armes lourdes..
Visiblement, la horde était plus qu’avertie de la stupide initiative des Justes et elle voulait en découdre.
Bien que n’attaquant pas les Gardes, ils se montrèrent agressifs et vindicatifs, gesticulant et vociférant dans leur idiome incompréhensible, comme à leur habitude.
Ils n’avaient certainement pas saisis que la Garde voulait simplement éviter un bain de sang à tous.
La situation devenant tendue, à tel point qu'elle commença à craindre pour leur sécurité, Ériane ordonna à la ligne des gardes de se mettre en mouvement et de libérer le pont. Puisque maintenant d'autres tenaient à le fermer, elle pouvait tenter de refermer une nasse et éloigner ces stupides assaillants des guerriers hordeux et enragés sur le pont.
Ils ne firent pas une lieue quand un vacarme fit trembler les hommes.
Le bruit d'une cavalerie en charge sur la plaine est impressionnant, mais quand on l'entend au fond d'une forêt, au détour d'un virage, grondant et grossissant plus vite que le tonnerre, l'on perd l'esprit un temps, abasourdi.
Les Justes fusèrent de tout coté, traversant notre troupe médusée au moment même où les gardes reformaient une ligne.
Pas un ne put être empêché.
Ériane fit faire volte-face à sa monture dans le tumulte, rageant contre ces guerriers de la horde qui avaient éconduit le dispositif serré sur le pont.
Elle arriva en vue de la construction pour voir le raid des croisés s'écraser contre un mur.
De derrière, elle vit un fleuve s'engouffrer dans un entonnoir, et s'écraser dans des gerbes de sang et de feu contre un mur de lames et de piques.
Les hurlements étaient terrifiants.
Elle avait échoué à prévenir ce massacre, et ordonna aux gardes de rester en arrières et de saisir les Justes et héros en sang, qui refluaient déjà, pour les mettre au plus vite à l'abri. Des râles, des gémissements et du sang, voilà tout ce qui sortait du tumulte.
Les Justes furent décimés en quelques minutes. Le vacarme de la bataille retomba et les gardes abasourdis par ce suicide collectif si violent aperçurent ce qui restait de la Ligue sur le pont, un amoncellement de cadavres. Des corps partout.
Avant qu'elle n'eut le temps d'ordonner un repli, les hordeux, rendus fous par l'odeur du sang et le gout de la mort donnée, s'avancèrent en rugissant de colère vers les gardes. Le major Hellenlicht tomba sous les coups de dagues d'un fourbe. La garde n'était en sécurité et l'ordre de repli général se fit entendre.
Eskilan Astaldo, n'écoutant que son courage, se jeta à terre pour secourir le major. Ériane pour sa part, guida les hommes vers Hautebrande. Ils firent un arrêt bref aux moulins de l'Ambre, pour tenter de récupérer et sauver l'un ou l'autre blessé qui serait venu là se réfugier.
L'arrêt fut bref, donc, tant est que des forces de la Horde entreprenaient de purger la région de notre présence.
Ils repassèrent la frontière, amers. Combien de tués, et pour quoi? pour quel but?
Un hôpital de campagne fit établi aux champs de Hautebrande pour y donne les premiers secours au major et aux autres blessés. La plupart des plaies reçues avaient été causées par des lames empoisonnées, ce qui causa grand stressement aux soigneurs.
C'est sur ces entrefaites, alors qu'elle organisait le rapatriement des blessés, qu'Ériane fût avertie de la présence du colonel Ornerod à Austrivage.
Il fallait avant tout s'assurer qu'il ne s'enfuie pas. Elle ignorait son état et ne voulait plus prendre un seul risque, les tracasseries de droit seraient pour après.
Elle déplaça les gardes vers la bourgade.
Ériane y trouva le colonel, blessé, soutenu par ses hommes, sur la placette de l'armurerie, au milieu d'une troupe qui, lui sembla-t'il, essayait de le retenir.
C'est en premier la voix si reconnaissable du barde tisseur qu'elle reconnut, lui désignant le colonel.
Ériane piqua des talons et avança sa monture devant le Colonel, et, furieuse, le toisa.
Dut-il se sentir mal en sa conscience d'avoir mené ses hommes à une mort certaine qu'il s'offusqua, prétendant lui rappeler que l'autorité de Hurlevent ne s'étendait pas à ces terres.
Le commandant de la Garde balaya ces évidences d'un geste de la main, le colonel était-il déjà enchainé et à fond de cale pour la ville? Ériane ne faisait que lui conseiller de se rendre et lui demanda d'attendre la décision du Sénéchal, prévenu lui aussi, qui arrivait.
Voyant l'état misérable du colonel, fourbu et blessé, l'épaule meurtrie, elle le fit diriger vers le poste de santé, de l'autre coté de la bourgade.
Elle disposa ses gardes à l'entrée du bâtiment, afin d'être sûre que le colonel s'y faisait soigner et surtout, y restait.
L'arrivée du Sénéchal Ildrid se fit en fracas et en grand bruit, de par ses hommes que l'intempérance habite, visiblement furieux de voir deux gardes de Hurlevent surveiller une porte, armes rangées, même et si bien que les buts sont les mêmes et les interêts communs.
Ériane confia au Sénéchal le colonel et la suite des opérations.
La réunion qui s'ensuivit fut calme et productive, nonobstant l'arrivée curieuse du Commandeur Dalanor, qui fut rapidement conscrit et amené devant ses responsabilités.
Entretien fut donc tenu, sous la direction du Sénéchal, avec la participation du Tisseur de Paix et des autres qui se sentaient le devoir de prendre part à la Justice.
Il fut décidé que le Colonel Ornerod soit jugé pour ses actes en Hautebrande, et que le Commandeur Dalanor réspondisse des actes de la Ligue devant L'Alliance en Hurlevent, puisque le dit procès y avait été engagé quelques jours auparavant, si toutefois le magistrat chargé de ce dossier le confirmait.
Dalanor, dans un dernier et trop tardif accès d'éveil, demanda à être interné dans la capitale humaine, prétendant éloigner une menace possible des terres de Hautebrande s'il y restait, ce qui lui fut rapidement accordé.
La réunion se termina ensuite dans le calme, chacun retournant chez soi avec le sentiment que Justice sera rendue dans les règles.
L'on vit pourtant Ériane en arrière avec le Sénéchal, à demi-mots, s'excusant, réellement navrée que ne fut que trop perturbé le Tournoi de Hautebrande.
Ériane
Re: Rapport de l'Opération Espoir & Libération
*Du haut de la chaine de montagne qui borde la partie Est de tanaris , un chaman tauren aux corne blanche et a la fourure noir termine son rituel de visoin*
Le vent apporte de bien triste nouvelle........son chant est charge du tonnerre de la guerre et sa soeur la terre pleure des larmes de sang.......des choses grave sont arrivée a l'est.....la paix est donc si fragile?
*le chaman prend sa forme de loup fantome et pars vers le nord et orgrimmar afin d'en apprendre plus*
[/HRP] un chtit nouveau rpiste debutant parmis vous^^[/HRP]
Le vent apporte de bien triste nouvelle........son chant est charge du tonnerre de la guerre et sa soeur la terre pleure des larmes de sang.......des choses grave sont arrivée a l'est.....la paix est donc si fragile?
*le chaman prend sa forme de loup fantome et pars vers le nord et orgrimmar afin d'en apprendre plus*
[/HRP] un chtit nouveau rpiste debutant parmis vous^^[/HRP]
Aka"Courroux-Terrestre
Re: Rapport de l'Opération Espoir & Libération
[HRP - Ou non]
Ce qui s'est réellement passé :
Et voilà.
( Avec une plus haute résolution sur http://lordaeron.xooit.com/t374-Ce-qui-s-est-vraiment-passe-a-Undercity.htm#p1199 )
[/HRP - Ou non]
Ce qui s'est réellement passé :
Et voilà.
( Avec une plus haute résolution sur http://lordaeron.xooit.com/t374-Ce-qui-s-est-vraiment-passe-a-Undercity.htm#p1199 )
[/HRP - Ou non]
Magus Eldred
Re: Rapport de l'Opération Espoir & Libération
Idrid avait vécu une dure soirée. Il pris enfin du repos dans une chambre de l'auberge d'Austrivage, le soleil étant alors sur le point de percer la nuit de ses rayons. Il repensa à cette dite soirée.
Entre l'organisation du tournoi, et l'attaque de la Ligue sur Fossoyeuse, son esprit fut à de nombreux moments tourmenté.
Le tournoi, oui, dont la bonne tenue fut bien laborieuse. Etant plus un habitué aux combats de Maleterres, l'organisation de ce rendez-vous, qui se voulait avant tout être un bon moment, n'était pas chose aisée pour le Sénéchal.
Après divers contretemps, entre autre: inscriptions à la dernière minute, non présence de la Garde, le tournoi était sur le point de commencer, regroupant une dizaine de participants ainsi qu'une bonne dizaine égalemnt de spectateurs.
Les rumeurs de l'attaque des Justes se firent entendre. Un émissaire de la Garde, le soldat Shatian se rendit alors devant Idrid, lui demandant si celui-ci était au courant des projets de la Ligue, ce à quoi le Sénéchal répondit par la négative.
Celui-ci tenta alors une bonne fois pour toute de commencer son tournoi. Il n'en fut rien, pour cette fois encore, le Commandeur Takeo Dalanor étant arrivé demander un entretien avec Idrid, qui accepta.
Les deux hommes discutèrent avant tout de la capture du Colonel Ornerod, le Commandeur souhaitant qu'un émissaire des Rédempteurs soit envoyé.
Le Sénéchal pria alors le Commandeur de se retirer.
Le tournoi commenca donc, de beaux combats furent visible. Le gagnant fut Laoshan, à qui on donna une bourse remplie d'or et un titre de Chevalier de Hautebrande.
Le soldat Shatian était alors revennu, recquierant du Sénéchal une autorisation juridique quant au sort de Colonel Ornerod.
Préférant régler lui même cette histoire, Idrid se mis en route pour Austrivage, suivi par son Capitane et une petite troupe.
Arrivé sur place, le Sénéchal reprit le contrôle de sa cité, ses rédempteurs prenant le relais de la Garde d'Hurlevent.
Un jugement par le Sénéchal sera donné au Colonel Ornerod.
Le Commandeur Takeo fut mis aux arrets par les Rédempteurs, puis transféré à Hurlevent par la Garde.
Les procès arriveront prochainement.
Idrid s'allongea débarassé de son armure, et se plongea dans un sommeil nerveux, un sommeil sans rêve.
Entre l'organisation du tournoi, et l'attaque de la Ligue sur Fossoyeuse, son esprit fut à de nombreux moments tourmenté.
Le tournoi, oui, dont la bonne tenue fut bien laborieuse. Etant plus un habitué aux combats de Maleterres, l'organisation de ce rendez-vous, qui se voulait avant tout être un bon moment, n'était pas chose aisée pour le Sénéchal.
Après divers contretemps, entre autre: inscriptions à la dernière minute, non présence de la Garde, le tournoi était sur le point de commencer, regroupant une dizaine de participants ainsi qu'une bonne dizaine égalemnt de spectateurs.
Les rumeurs de l'attaque des Justes se firent entendre. Un émissaire de la Garde, le soldat Shatian se rendit alors devant Idrid, lui demandant si celui-ci était au courant des projets de la Ligue, ce à quoi le Sénéchal répondit par la négative.
Celui-ci tenta alors une bonne fois pour toute de commencer son tournoi. Il n'en fut rien, pour cette fois encore, le Commandeur Takeo Dalanor étant arrivé demander un entretien avec Idrid, qui accepta.
Les deux hommes discutèrent avant tout de la capture du Colonel Ornerod, le Commandeur souhaitant qu'un émissaire des Rédempteurs soit envoyé.
Le Sénéchal pria alors le Commandeur de se retirer.
Le tournoi commenca donc, de beaux combats furent visible. Le gagnant fut Laoshan, à qui on donna une bourse remplie d'or et un titre de Chevalier de Hautebrande.
Le soldat Shatian était alors revennu, recquierant du Sénéchal une autorisation juridique quant au sort de Colonel Ornerod.
Préférant régler lui même cette histoire, Idrid se mis en route pour Austrivage, suivi par son Capitane et une petite troupe.
Arrivé sur place, le Sénéchal reprit le contrôle de sa cité, ses rédempteurs prenant le relais de la Garde d'Hurlevent.
Un jugement par le Sénéchal sera donné au Colonel Ornerod.
Le Commandeur Takeo fut mis aux arrets par les Rédempteurs, puis transféré à Hurlevent par la Garde.
Les procès arriveront prochainement.
Idrid s'allongea débarassé de son armure, et se plongea dans un sommeil nerveux, un sommeil sans rêve.
Idrid
Re: Rapport de l'Opération Espoir & Libération
Ebraite optint finalement, non sans difficultés, le rapport sur l'attaque des Justes sur Fossoyeuse. Il avait quitté les rangs de la Ligue quelques jours cet évênement tragique.
Ebraite fronça légèrement les sourcils, le teint blafard. Il bourra sa pipe et l'alluma, tira quelques bouffées silencieusement. Il s'assit sans un bruit, le regard vide, près de la fenêtre. Il resta dans cette même position plusieurs minutes, immobile. Seule la lumière de la bougie éclairait ses joues creusées à chaque nouvelle bouffée.
Il ne savait plus quoi penser :
La remarquable différence entre les rumeurs de cette attaque et le rapport était là. Les gens disaient que la Ligue avait perdu de nombreux hommes au pont de Silverpine, bien qu'elle eut réussi à faire brûler les recherches réprouvées.
Ses anciens soldats, qu'il avait entrainé, étaient-ils tombés au champs d'honneur ? Etait-il responsable de ce carnage, n'ayant pas réussi à convaincre ni Takeo ni Ornerod de leur inscoucience ?
Toutes ces questions, Ebraite se les posait. Il transpirait un peu, la chambre de l'hôpital envahie par l'ôdeur du tabac. Il se dit que s'il avait été là, il aurait pû essayer de sauver un maximum de vies... Mais la raison de son départ quelques jours avant, avait été de ne pas se rendre lui même responsable du fanatisme de Dalanor.
Le Commandeur allait être mis en prison... par les gens qui l'avaient soutenu jusque là, alors Ebraite n'avait peut-être rien à se reprocher.
Malgré tout, l'estime qu'il portait à certains de ses hommes le dépassa et une larme roula doucement sur sa joue. Il ne savait pas qui y était resté, qui avait été capturé... Au fond, il avait voulu protéger ses hommes de la folie de Dalanor lorsqu'il avait tenter de le raisonner.
Il relut quelques passages, puis jura. Il avait présenté ses excuses à Dalanor, avant de lire ce rapport, et maintenant, il le considérait autant que de nombreuses personnes au sein de l'Alliance.
Ebraite posa sa pipe, déchira les précieux documents. Il était dans un excès de rage tel, que ses problèmes cardiaques se montrèrent bien vite.
Il s'effrondra dans un bruit sourd, agonisant. Des infirmières accoururent, affolées. Elles firent leur possible, mais peut-être était-il déjà trop tard.
[HRP]
Bon j'ai écris ça parce que j'avais bien envie de montrer les sentiments d'Ebraite à propos de cette histoire, qu'il désapprouve depuis le début.
[/HRP]
Ebraite fronça légèrement les sourcils, le teint blafard. Il bourra sa pipe et l'alluma, tira quelques bouffées silencieusement. Il s'assit sans un bruit, le regard vide, près de la fenêtre. Il resta dans cette même position plusieurs minutes, immobile. Seule la lumière de la bougie éclairait ses joues creusées à chaque nouvelle bouffée.
Il ne savait plus quoi penser :
La remarquable différence entre les rumeurs de cette attaque et le rapport était là. Les gens disaient que la Ligue avait perdu de nombreux hommes au pont de Silverpine, bien qu'elle eut réussi à faire brûler les recherches réprouvées.
Ses anciens soldats, qu'il avait entrainé, étaient-ils tombés au champs d'honneur ? Etait-il responsable de ce carnage, n'ayant pas réussi à convaincre ni Takeo ni Ornerod de leur inscoucience ?
Toutes ces questions, Ebraite se les posait. Il transpirait un peu, la chambre de l'hôpital envahie par l'ôdeur du tabac. Il se dit que s'il avait été là, il aurait pû essayer de sauver un maximum de vies... Mais la raison de son départ quelques jours avant, avait été de ne pas se rendre lui même responsable du fanatisme de Dalanor.
Le Commandeur allait être mis en prison... par les gens qui l'avaient soutenu jusque là, alors Ebraite n'avait peut-être rien à se reprocher.
Malgré tout, l'estime qu'il portait à certains de ses hommes le dépassa et une larme roula doucement sur sa joue. Il ne savait pas qui y était resté, qui avait été capturé... Au fond, il avait voulu protéger ses hommes de la folie de Dalanor lorsqu'il avait tenter de le raisonner.
Il relut quelques passages, puis jura. Il avait présenté ses excuses à Dalanor, avant de lire ce rapport, et maintenant, il le considérait autant que de nombreuses personnes au sein de l'Alliance.
Ebraite posa sa pipe, déchira les précieux documents. Il était dans un excès de rage tel, que ses problèmes cardiaques se montrèrent bien vite.
Il s'effrondra dans un bruit sourd, agonisant. Des infirmières accoururent, affolées. Elles firent leur possible, mais peut-être était-il déjà trop tard.
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Bon j'ai écris ça parce que j'avais bien envie de montrer les sentiments d'Ebraite à propos de cette histoire, qu'il désapprouve depuis le début.
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Ebraite- Personnages Joués : Gnu ?
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