Evolution du conflit en terre du nord (5) !
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Evolution du conflit en terre du nord (5) !
-Rapports publiques de la situation en terre du nord pour le Centre de Commandement de l'Alliance de Hurlevent, l'Etat Major de Stromgarde, et la Tour de Garde d'Austrivage.-
- Suite à leur bannissement, les troupes de la Ligue basée dans le Royaume d'Azeroth ont quitté Hurlevent et la contrée d'elwynn.
Elles ont fait mouvement vers les terres du nord. Cependant, une partie de ces troupes et matériels ont été arrêté par la Garde de Hurlevent alors que les 24 heures suivant l'annonce du bannissement n'étaient pas encore écoulées. Une partie du matériel est donc restée à l'Abbaye de la Comté du Nord, et les liguiers arretés ont été conduit aux geoles de Hurlevent. Faisant partie de ces dernieres troupes a quitté le royaume, j'ai failli tomber dans les mains de la Garde qui outrepassait ses droits, mais je suis parvenu à gagner le nord malgré la traque. Le front du nord ne devra donc pas compter sur une aide de notre ancienne base en Elwynn qui nous fournissait troupes de renforts et une partie de nos matériels. De plus, une partie de nos liguiers étaient aux arrêts, même si il ne s'agissait en rien du gros de la troupe, ce qui fait cependant autant d'homme en moins pour soutenir les justes causes où intervient la Ligue en terre du nord.
- A mon arrivée dans le royaume de Stromgarde, j'ai été convoqué par le Prince Trollbane. J'appris que le Prince voulait faire de moi un chevalier de son royaume pour avoir combattu efficassement ses ennemis. Mon adoubement eut lieu. Par ce geste, Stromgarde remerciait la Ligue pour ses combats contre le Syndicat, la Société Royale des Apothicaires et le clan de Hache Tonnerre. Je reçu l'armure et les armes du Royaume avec honneur, et remercia le Prince pour sa reconnaissance.
Je constatais ensuite par moi-même la fragile défense de Stromgarde qui était en grande nécéssitée pour bien des choses et qui avait de gros problèmes avec les Ogres mages et leurs sorts dévastateurs.
- J'ai organisé le rassemblement des forces de la Ligue en terre du nord pour que nous partions sur le front contre le Fléau. Sachant l'ennemi très puissant, et j'ai rallié à notre cause les Rédempteurs de Lordaeron, ainsi que cet nouvel ordre de chevalier, l'Ordo Santus Malleus dirigé par le chevalier Davian. J'avais également rassembler d'autres combattants partisans des actions de la Ligue, mais qui ne sont pas en nos rangs.
J'avais comme projet de prendre possession de la rive au sud d'Andorhal en vu d'une futur attaque sur les ruines de la ville. Le principal problème venait que le Fléau tenait fermement cette position par l'ancien cimetierre. J'organisais donc une stratégie afin de prendre par derriere les forces morts vivantes qui nous attendaient fatalement en provenance du sud. Le Chevalier Davian et ses hommes firent diversion en attaquant par le sud, pendant que le gros de la troupe qui avait contourné les positions du Fléau par un passage dans les montagnes de Hinterland, attaquait par le nord.
Pour l'attaque au nord, j'avais prévu que le Sénéchal et une partie des troupes donnent l'assaut sur une crypte qui faisait office de véritable garnison, pendant que je dirigais le reste de la troupe sur le cimetierre.
Nous sommes parvenus à surprendre parfaitement les morts vivants qui n'avaient pas organisé leur défense vers le nord et furent débordés et désorganisés.
Nous sommes parvenus à triompher, et j'organisais donc des patrouilles afin que les dernieres goules désorientées soient purifiés. Les patrouilles de l'Aube d'Argent prirent ensuite le relais pour s'assurer que la position serait notre pendant quelques jours, le temps de lancer une nouvelle offensive.
- Pendant que ses soldats envoyés sur le front du Fléau guérissaient, la Ligue des Justes effectura une mission de ravitaillement pour soutenir les défenseurs de Stromgarde. Escortez par deux escadrons, armes et vivres furent apportés au quartier tenu par les stromgardiens et placés dans leurs stocks et greniers. La Ligue porta ensuite un coup aux ogres tenant le quartier au sud-ouest, et parvient à les affaiblir. Cependant, les Ogres donnèrent du fil à retordre aux liguiers qui ne purent poursuivre les combats de rue très longtemps ; ne pouvant former les rangs de manière bien adaptés à ce genre de combat.
Une baraque du quartier tenu par les stromgardiens fut organisé en centre de soin après le combat.
Les deux escadrons de la Ligue repartirent vers les champs de Hautebrande pour mieux y soigner leurs blessés, et pour rassembler les valides dans les rangs d'un détachement qui se formait pour porter renfort au camp de Noroit.
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- Suite à leur bannissement, les troupes de la Ligue basée dans le Royaume d'Azeroth ont quitté Hurlevent et la contrée d'elwynn.
Elles ont fait mouvement vers les terres du nord. Cependant, une partie de ces troupes et matériels ont été arrêté par la Garde de Hurlevent alors que les 24 heures suivant l'annonce du bannissement n'étaient pas encore écoulées. Une partie du matériel est donc restée à l'Abbaye de la Comté du Nord, et les liguiers arretés ont été conduit aux geoles de Hurlevent. Faisant partie de ces dernieres troupes a quitté le royaume, j'ai failli tomber dans les mains de la Garde qui outrepassait ses droits, mais je suis parvenu à gagner le nord malgré la traque. Le front du nord ne devra donc pas compter sur une aide de notre ancienne base en Elwynn qui nous fournissait troupes de renforts et une partie de nos matériels. De plus, une partie de nos liguiers étaient aux arrêts, même si il ne s'agissait en rien du gros de la troupe, ce qui fait cependant autant d'homme en moins pour soutenir les justes causes où intervient la Ligue en terre du nord.
- A mon arrivée dans le royaume de Stromgarde, j'ai été convoqué par le Prince Trollbane. J'appris que le Prince voulait faire de moi un chevalier de son royaume pour avoir combattu efficassement ses ennemis. Mon adoubement eut lieu. Par ce geste, Stromgarde remerciait la Ligue pour ses combats contre le Syndicat, la Société Royale des Apothicaires et le clan de Hache Tonnerre. Je reçu l'armure et les armes du Royaume avec honneur, et remercia le Prince pour sa reconnaissance.
Je constatais ensuite par moi-même la fragile défense de Stromgarde qui était en grande nécéssitée pour bien des choses et qui avait de gros problèmes avec les Ogres mages et leurs sorts dévastateurs.
- J'ai organisé le rassemblement des forces de la Ligue en terre du nord pour que nous partions sur le front contre le Fléau. Sachant l'ennemi très puissant, et j'ai rallié à notre cause les Rédempteurs de Lordaeron, ainsi que cet nouvel ordre de chevalier, l'Ordo Santus Malleus dirigé par le chevalier Davian. J'avais également rassembler d'autres combattants partisans des actions de la Ligue, mais qui ne sont pas en nos rangs.
J'avais comme projet de prendre possession de la rive au sud d'Andorhal en vu d'une futur attaque sur les ruines de la ville. Le principal problème venait que le Fléau tenait fermement cette position par l'ancien cimetierre. J'organisais donc une stratégie afin de prendre par derriere les forces morts vivantes qui nous attendaient fatalement en provenance du sud. Le Chevalier Davian et ses hommes firent diversion en attaquant par le sud, pendant que le gros de la troupe qui avait contourné les positions du Fléau par un passage dans les montagnes de Hinterland, attaquait par le nord.
Pour l'attaque au nord, j'avais prévu que le Sénéchal et une partie des troupes donnent l'assaut sur une crypte qui faisait office de véritable garnison, pendant que je dirigais le reste de la troupe sur le cimetierre.
Nous sommes parvenus à surprendre parfaitement les morts vivants qui n'avaient pas organisé leur défense vers le nord et furent débordés et désorganisés.
Nous sommes parvenus à triompher, et j'organisais donc des patrouilles afin que les dernieres goules désorientées soient purifiés. Les patrouilles de l'Aube d'Argent prirent ensuite le relais pour s'assurer que la position serait notre pendant quelques jours, le temps de lancer une nouvelle offensive.
- Pendant que ses soldats envoyés sur le front du Fléau guérissaient, la Ligue des Justes effectura une mission de ravitaillement pour soutenir les défenseurs de Stromgarde. Escortez par deux escadrons, armes et vivres furent apportés au quartier tenu par les stromgardiens et placés dans leurs stocks et greniers. La Ligue porta ensuite un coup aux ogres tenant le quartier au sud-ouest, et parvient à les affaiblir. Cependant, les Ogres donnèrent du fil à retordre aux liguiers qui ne purent poursuivre les combats de rue très longtemps ; ne pouvant former les rangs de manière bien adaptés à ce genre de combat.
Une baraque du quartier tenu par les stromgardiens fut organisé en centre de soin après le combat.
Les deux escadrons de la Ligue repartirent vers les champs de Hautebrande pour mieux y soigner leurs blessés, et pour rassembler les valides dans les rangs d'un détachement qui se formait pour porter renfort au camp de Noroit.
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Dernière édition par Ornerod le Lun 08 Sep 2008, 05:04, édité 3 fois
Herümor Garde-bois
Re: Evolution du conflit en terre du nord (5) !
- Il y a quelques jours, le Chevalier Davian m'avait affirmé que lui et ses hommes, ainsi que les combattants pour la Rédemption de Lordaeron, Sénéchal en tête, serait présent ce dimanche en première ligne.
Je prie donc le commandement d'un détachement de la Ligue stationné aux champs de Hautebrande pour le mener au camp de Noroit. Une fois sur place, aucun rédempteur ou chevalier de Davian n'était présent. Etonné, mais sachant que la mission ne pouvait être repoussé, pour la sécuritée de l'avant poste de l'Aube et de la contrée d'Hautebrande, je poursuivis mon action.
Les forces de la Ligue firent une percée à l'entrée du sud-ouest de la ville et y établir une tête de pont.
Le combat fut rude pour avoir la position, mais cet tête de pont permettait d'organiser au mieux notre progression dans la ville, frapper rapidement au lieu les plus propice, et avoir un centre de soin au plus proche pour limiter les dégâts. La Ligue avait établie sa tête de pont dans une ancienne auberge qui servait de centre de soin, d'état major et de base pour relayer les troupes au combat.
La Ligue menait des patrouilles pour s'assurer le controle de la partie ouest de la ville, et s'assurer de controler le passage vers les lignes arrières. La position était délicate, mais nous permettait de frapper au coeur de la base ennemie, la Ligue tenait bon.
Au bout d'une heure, étant toujours sans nouvelle de messire Davian, et du Sénéchal, j'envoya un message pour que les quelques liguiers en arrière, au camp de Noroit, fassent office de maigre renforts. La Ligue poursuit ses actions, connaissant quelques rares moments d'accalmies le temps que le Fléau regroupe ses forces et organise ses défenses. L'agitation des changements de poste entre les combattants fatigués ou blessés, et ceux ayant relativement récupéré grâce notamment à la Sergent Anuata, était devenu une habitude, tout comme les bruits de combats et les cris, et les tires de mousquets.
Trois quart d'heure c'était encore écoulé... Désormais, les morts vivants passaient à l'assaut et tachaient te passer nos patrouilles pour atteindre directement notre tête de pont. Les fusiliers étaient aux fenetres et tachaient te tenir à distance l'ennemi, mais malgré cela, les restes d'une vague de mort vivant parvient à s'infiltrer dans notre base.
Même si elle fut rapidement maitrisée, je ne voulais plus prendre de risque, et j'ordonna que le reste de la patrouille oeuvre pour la défense de notre position.
Le détachement de la Ligue était désormais affaiblie, mais tenait bon, pour le moment. J'envoyai un messager au camp de Noroit pour demander le soutien militaire de la part de l'Aube d'Argent. Je savais que l'Aube tenait ce front depuis longtemps et qu'ils n'avaient pas la force s'envoyer d'autres troupes, mais quelques soient leurs aides, ils étaient nos derniers espoirs de tenir la tête de pont si importante stratégiquement pour la reprise de la ville.
Alors que je pensais que les morts vivants comptaient nous encerclés, et que je remettais les ordres nécéssaires pour qu'un escadron entrave leur action au plus vite, un cri se fit entendre : celui du Sénéchal Idrid. J'entendais le bruit de cavaliers chargés vraissemblablement les forces morts vivantes qui se rassemblaient pour esperer nous encercler.
Quelques instants plus tard, un liguier m'apportait la confirmation de mes pensées : Le Sénéchal et ses cavaliers étaient venus en renfort, répondant à l'appel de notre messagere. Le Sénéchal fit rapidement érruption dans ma salle d'état major avec sa capitaine et une autre rédemptrice. J'étais assez furieux par le fait que j'attendais ses renforts depuis des heures, mais je masqua cela, et me contentais de le remercie de sa présence. Ce dernier m'affirma que mon plan d'attaque sur Andorhal était pure folie, et demanda à ce que nous battions rapidement retraite sans plus tarder. J'essayais de convaincre le Sénéchal que nous devions tout faire pour tenir cette position stratégique qui nous permettait d'avoir un pied en Andorhal. Mais ce dernier refusait de laisser sa troupe sur place. Il était clair que si les Rédempteurs ne souhaitaient pas nous porter renfort, je n'avais plus qu'a faire replier mes troupes. Mais avec cette nouvelle troupe sur le front, je comptais au moins affaiblir au plus le Fléau en profitant de notre tête de pont pour y lancer une audacieuse attaque sur les positions défensives morts vivantes au nord est, sur la deuxieme tour d'Andorhal. Je demanda au Sénéchal de s'occuper avec ses cavaliers de cet assaut pendant que moi et mes hommes levions le camp et organisions la retraite et nos forces.
Le Sénéchal s'executait pendant que j'ordonnais aux liguiers de plier bagage et de tenir la position vers la sortie ouest de la ville. La Ligue dû affronter une vague de mort vivant, puis fut rejoind par les cavaliers du Sénéchal qui avait accompli leur tache : j'ordonna la retraite.
Une fois au camp de Noroit, le Sénéchal m'affirma que j'étais recherché sur sa sénéchaussée et qu'il hésiterait pas à me mettre aux fers si je posais pied sur ses terres. En outre, ce dernier voulu me convaincre de tendre la main vers Hurlevent pour trouver regler les différents entre la Garde et la Ligue. Ce a quoi je répondu que je ferais, comme toujours, mon possible afin que tout soit fait pour féderer tout combattants contre les ennemis communs. Ce message d'unité que souhaitait le Sénéchal ne le rassura à moitié me semble t il.
Par ailleurs, par précausion, j'avais ordonné à la directrice du centre de soin d'Austrivage de demander l'autorisation au Sénéchal de prendre ses matériels et installations pour les déplacer en dehors de sa sénéchaussée. C'est ce que fit Dame Anuata car elle put s'entretenir avec le Sénéchal qui accepta. Ainsi, elle prit un petit groupe de liguier pour l'assister et fit transporter son matériel dans son nouveau centre de soin aux champs de Hautebrande.
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Je prie donc le commandement d'un détachement de la Ligue stationné aux champs de Hautebrande pour le mener au camp de Noroit. Une fois sur place, aucun rédempteur ou chevalier de Davian n'était présent. Etonné, mais sachant que la mission ne pouvait être repoussé, pour la sécuritée de l'avant poste de l'Aube et de la contrée d'Hautebrande, je poursuivis mon action.
Les forces de la Ligue firent une percée à l'entrée du sud-ouest de la ville et y établir une tête de pont.
Le combat fut rude pour avoir la position, mais cet tête de pont permettait d'organiser au mieux notre progression dans la ville, frapper rapidement au lieu les plus propice, et avoir un centre de soin au plus proche pour limiter les dégâts. La Ligue avait établie sa tête de pont dans une ancienne auberge qui servait de centre de soin, d'état major et de base pour relayer les troupes au combat.
La Ligue menait des patrouilles pour s'assurer le controle de la partie ouest de la ville, et s'assurer de controler le passage vers les lignes arrières. La position était délicate, mais nous permettait de frapper au coeur de la base ennemie, la Ligue tenait bon.
Au bout d'une heure, étant toujours sans nouvelle de messire Davian, et du Sénéchal, j'envoya un message pour que les quelques liguiers en arrière, au camp de Noroit, fassent office de maigre renforts. La Ligue poursuit ses actions, connaissant quelques rares moments d'accalmies le temps que le Fléau regroupe ses forces et organise ses défenses. L'agitation des changements de poste entre les combattants fatigués ou blessés, et ceux ayant relativement récupéré grâce notamment à la Sergent Anuata, était devenu une habitude, tout comme les bruits de combats et les cris, et les tires de mousquets.
Trois quart d'heure c'était encore écoulé... Désormais, les morts vivants passaient à l'assaut et tachaient te passer nos patrouilles pour atteindre directement notre tête de pont. Les fusiliers étaient aux fenetres et tachaient te tenir à distance l'ennemi, mais malgré cela, les restes d'une vague de mort vivant parvient à s'infiltrer dans notre base.
Même si elle fut rapidement maitrisée, je ne voulais plus prendre de risque, et j'ordonna que le reste de la patrouille oeuvre pour la défense de notre position.
Le détachement de la Ligue était désormais affaiblie, mais tenait bon, pour le moment. J'envoyai un messager au camp de Noroit pour demander le soutien militaire de la part de l'Aube d'Argent. Je savais que l'Aube tenait ce front depuis longtemps et qu'ils n'avaient pas la force s'envoyer d'autres troupes, mais quelques soient leurs aides, ils étaient nos derniers espoirs de tenir la tête de pont si importante stratégiquement pour la reprise de la ville.
Alors que je pensais que les morts vivants comptaient nous encerclés, et que je remettais les ordres nécéssaires pour qu'un escadron entrave leur action au plus vite, un cri se fit entendre : celui du Sénéchal Idrid. J'entendais le bruit de cavaliers chargés vraissemblablement les forces morts vivantes qui se rassemblaient pour esperer nous encercler.
Quelques instants plus tard, un liguier m'apportait la confirmation de mes pensées : Le Sénéchal et ses cavaliers étaient venus en renfort, répondant à l'appel de notre messagere. Le Sénéchal fit rapidement érruption dans ma salle d'état major avec sa capitaine et une autre rédemptrice. J'étais assez furieux par le fait que j'attendais ses renforts depuis des heures, mais je masqua cela, et me contentais de le remercie de sa présence. Ce dernier m'affirma que mon plan d'attaque sur Andorhal était pure folie, et demanda à ce que nous battions rapidement retraite sans plus tarder. J'essayais de convaincre le Sénéchal que nous devions tout faire pour tenir cette position stratégique qui nous permettait d'avoir un pied en Andorhal. Mais ce dernier refusait de laisser sa troupe sur place. Il était clair que si les Rédempteurs ne souhaitaient pas nous porter renfort, je n'avais plus qu'a faire replier mes troupes. Mais avec cette nouvelle troupe sur le front, je comptais au moins affaiblir au plus le Fléau en profitant de notre tête de pont pour y lancer une audacieuse attaque sur les positions défensives morts vivantes au nord est, sur la deuxieme tour d'Andorhal. Je demanda au Sénéchal de s'occuper avec ses cavaliers de cet assaut pendant que moi et mes hommes levions le camp et organisions la retraite et nos forces.
Le Sénéchal s'executait pendant que j'ordonnais aux liguiers de plier bagage et de tenir la position vers la sortie ouest de la ville. La Ligue dû affronter une vague de mort vivant, puis fut rejoind par les cavaliers du Sénéchal qui avait accompli leur tache : j'ordonna la retraite.
Une fois au camp de Noroit, le Sénéchal m'affirma que j'étais recherché sur sa sénéchaussée et qu'il hésiterait pas à me mettre aux fers si je posais pied sur ses terres. En outre, ce dernier voulu me convaincre de tendre la main vers Hurlevent pour trouver regler les différents entre la Garde et la Ligue. Ce a quoi je répondu que je ferais, comme toujours, mon possible afin que tout soit fait pour féderer tout combattants contre les ennemis communs. Ce message d'unité que souhaitait le Sénéchal ne le rassura à moitié me semble t il.
Par ailleurs, par précausion, j'avais ordonné à la directrice du centre de soin d'Austrivage de demander l'autorisation au Sénéchal de prendre ses matériels et installations pour les déplacer en dehors de sa sénéchaussée. C'est ce que fit Dame Anuata car elle put s'entretenir avec le Sénéchal qui accepta. Ainsi, elle prit un petit groupe de liguier pour l'assister et fit transporter son matériel dans son nouveau centre de soin aux champs de Hautebrande.
Colonel Ornerod Sôter
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