Dans l'intimité d'une chambre d'auberge.
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Dans l'intimité d'une chambre d'auberge.
Une chambre de l’auberge de Theramore.
Adossée au mur, je les observe. Ils sont tous à son chevet, piaillant tel des oisillons affamés … Pfff ! qu’ils sont pathétiques.
Heureusement qu’au milieu de tant de niaiserie, cette petite chose répugnante, sur laquelle j’ai un grand mal à conserver un regard neutre balance des informations qui peuvent servir à ma maîtresse.
Je les regarde tour à tour cherchant dans sa mémoire une quelconque information afin de ne pas me trahir, de ne pas éveiller les soupçons.
Mon regard se porte sur cet éphèbe à ma gauche dont la peau tannée, la stature élancée et le joli minois rehaussé d’une barbe naissante sont d’irrésistibles pulsions, à jouir des plaisirs de la chair, qui me tiraillent. Je mordille mon index tout en le regardant, inspire doucement et ferme les yeux cherchant à retrouver un semblant de contenance. L’heure n’était malheureusement point à ce genre d’amusement, il ne fallait pas perdre mon objectif de vue et si j’arrivais à satisfaire les ordres de ma maîtresse la récompense serait à la hauteur de mes espérances.
Finalement … certains se décident à quitter la chambre, je les salue poliment, me fait violence pour ne pas suivre le brun. J’étais seule, enfin seule avec cette demi-elfe.
La voix de ma maîtresse raisonne en moi :
« Lorsqu’elle sera seule, assure-toi qu’elle dorme. »
Je souris, m’avance vers son chevet, lentement. Je l’invite à se reposer, en amie bienveillante que je suis, je la borde et me recule pour la contempler.
Elle dort, ce fut rapide et je ne vais pas m’en plaindre, je me déleste de tous ces artifices qui pourraient trahir mes déplacements dans cette pièce et me dirige vers la porte ou je colle mon oreille et écoute. Tout semble calme dehors, l’heure était venue, retournant près d’elle je glisse la main à ma poche et en sort une pierre aux reflets zizolins.
Je la pose délicatement sur sa poitrine et incante quelques paroles dans un murmure. La jeune femme bouge à peine tellement épuisée. La pierre brille légèrement puis quelques minutes plus tard retrouve son aspect normal.
Ma tâche terminée je peux m’en aller.
Adossée au mur, je les observe. Ils sont tous à son chevet, piaillant tel des oisillons affamés … Pfff ! qu’ils sont pathétiques.
Heureusement qu’au milieu de tant de niaiserie, cette petite chose répugnante, sur laquelle j’ai un grand mal à conserver un regard neutre balance des informations qui peuvent servir à ma maîtresse.
Je les regarde tour à tour cherchant dans sa mémoire une quelconque information afin de ne pas me trahir, de ne pas éveiller les soupçons.
Mon regard se porte sur cet éphèbe à ma gauche dont la peau tannée, la stature élancée et le joli minois rehaussé d’une barbe naissante sont d’irrésistibles pulsions, à jouir des plaisirs de la chair, qui me tiraillent. Je mordille mon index tout en le regardant, inspire doucement et ferme les yeux cherchant à retrouver un semblant de contenance. L’heure n’était malheureusement point à ce genre d’amusement, il ne fallait pas perdre mon objectif de vue et si j’arrivais à satisfaire les ordres de ma maîtresse la récompense serait à la hauteur de mes espérances.
Finalement … certains se décident à quitter la chambre, je les salue poliment, me fait violence pour ne pas suivre le brun. J’étais seule, enfin seule avec cette demi-elfe.
La voix de ma maîtresse raisonne en moi :
« Lorsqu’elle sera seule, assure-toi qu’elle dorme. »
Je souris, m’avance vers son chevet, lentement. Je l’invite à se reposer, en amie bienveillante que je suis, je la borde et me recule pour la contempler.
Elle dort, ce fut rapide et je ne vais pas m’en plaindre, je me déleste de tous ces artifices qui pourraient trahir mes déplacements dans cette pièce et me dirige vers la porte ou je colle mon oreille et écoute. Tout semble calme dehors, l’heure était venue, retournant près d’elle je glisse la main à ma poche et en sort une pierre aux reflets zizolins.
Je la pose délicatement sur sa poitrine et incante quelques paroles dans un murmure. La jeune femme bouge à peine tellement épuisée. La pierre brille légèrement puis quelques minutes plus tard retrouve son aspect normal.
Ma tâche terminée je peux m’en aller.
Marlyss
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