[Rapport d'animations] - Journal de Chantegivre
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[Rapport d'animations] - Journal de Chantegivre
Journal de Linël Chantegivre, Gardienne, et Maîtresse de la Veille des étoiles.
Première entrée – Royaume de Hurlevent, dans la forêt d’Elwynn. "Les jours d'attentes au départ..."
« Ainsi, débute ce récit. Cela faisait quelques temps que je n’avais pas pris une plume pour écrire l’histoire de bien des péripéties à venir. Notre monde est encore en guerre, cette impression ne disparaît pas depuis que le grand démon piétinait nos forêts pour atteindre Nordrassil. Notre monde est encore en guerre, car à jamais ses peuples se condamnent à voir dans l’avenir un triomphe sur l’intérêt des autres. Il ne s’agit pas de Justice, ni de bonté, il ne s’agit que de la plus sauvage des capacités à haïr naturellement son prochain. Je suis Linël Chantegivre, Gardienne de l’ordre des Guetteuse Darnassien, mon histoire est une longue continuité de chasse, de batailles et de missions qui ont déformés la nature même de notre ancienne culture depuis qu’elle s’est mue en un nouvel espoir avec notre Alliance avec les peuples de l’Est.
Et cette histoire, débute alors que Teldrassil est morte, brûlée par la plus ignoble des résolutions apportant dans le cœur des guerriers de la Horde, le réconfort à leur soif de sang. Blessée il y à quelques jours, mon rôle étant de réunir les miens pour fonder l’ambition qu’est de faire naître la Veille des étoiles. Un groupe qui réunirait le meilleur de la société Kaldorei, et de nos amis, pour accomplir les intentions du peuple Kaldorei. Et des efforts de l’Alliance à abattre les intentions malsaines de la Horde. Mais dans l’heure, nous sommes encore réunis dans les refuges sur les dalles de pierre de la Citée de Hurlevent.
Le calme paisible nous berçant doucement pendant que nous soutenons nos gens dont de nombreuses personnes s’occupent avec bienfaisance et bonnes intentions. Prêtres de la Lumière, soldats de la Grisegarde, et nombreux volontaires font de leurs mieux pour leur apporter réconfort, nourritures, et tranquillité. Mais notre Veille écoute, attends, et nous avons appris qu’il s’était déroulé une étrange scène quand une caravane quittant l’Abbaye de Comté-du-nord était sur le point de revenir à Hurlevent. Interrogeant la rescapée à la Cathédrale de la Lumière, nous avons découvert qu’elle avait entendu une grave dispute entre deux jeunes druides qui s’acheva par une étrange explosion. La caravane et les autres réfugiés partir vers l’Est, suivant leurs affaires et le cheval paniqué, pendant qu’elle et deux autres fuirent vers l’Ouest. Elle entendit son ami, un certains Indilïen, se mettre à hurler comme si on lui arrachait l’âme sans jamais voir qui était le responsable. L’affaire restait inquiétante, et il fut rapidement confirmé que les Kaldorei soutiendraient leurs pairs en cette trouble période. Il fallait retrouver la caravane, ce Indilïen si il était encore en vie, et comprendre quel pouvait être la menace pour nos réfugiés.
La première intervention de notre Veille des étoiles fut préparée avec Umbriel Murmétoile, Serya Lamétoile, Tynathiel Sylvenuit, Len’drys Molothress, moi même. Ainsi que la satisfaisante présence de notre ami et allié. Alphyn Zeff, membre de la Grisegarde et apprenti de Méandre sur les voies du Druidisme. La route débuta là où les soldats humains de la forêt d’Elwynn découvrirent la réfugiée fuyant, poursuivie par les loups, avant de la mené à la Cathédrale. Traversant cette première étendue forestière, nous avons parcouru une bonne distance en devant guidé Alphyn qui n’y voyait pas grand-chose une fois la nuit tombée, nous laissant cela dit pour notre part une meilleure aisance pour nous déplacer pour notre part.
Broussailles, racines, rien ne nous arrêtait dans notre route en cette forêt aux arbres éparpillés, bien plus que dans nos habituelles forêts où nous devons vraiment comprendre l’espace autours de nous pour progresser ensemble. Ici, tout était plus simple, même si la chaleur étouffante devenant de plus en plus difficile à supporter. La chaleur étouffante ? Nous sommes en plein hiver, cela n’avait pas de sens. Len’drys reconnu une trace d’une magie sauvage inquiétante et peu compréhensible par l’Arcaniste Bien-né, mais il n’y avait aucuns signes. Aucunes traces, si ce n’est le passage des pas de la réfugiée qui à pu s’enfuir. Cette chaleur étouffante ,avait au moins quelque chose : Le sens du vent, lourd et épais, permettant de trouver une piste plus au sud dans la forêt. Nous avons donc rejoins la piste, en chasse, pour retrouver malheureusement le corps d’Indilïen qui avait été littéralement traverser par quelque chose qui mettrait peu de temps après nos vies en péril.
Certains s’intéressaient aux lambeaux de tissus étranges, un retrouvé plus tôt avait provoqué un choc mental pour Alphyn, une sorte de vision de flammes déchaînés. Les doutes étaient de plus en plus nombreux, mais nos investigations réveillèrent le coupable : Les morceaux d’aciers qu’inspectait Serya firent naître des flammes à l’intérieur de celles ci, avant de la repousser. L’élémentaire flamboyant se hissait doucement, provoquant un déchirement dans le liens avec la Nature pour nos Druides, rien n’était habituel avec ce genre de présence. Quelque chose clochait, tissant de plus en plus la trame d’une affaire bien plus dangereuse. L’élémentaire de flamme fut vaincu, bien que j’ai reçu un mauvais coup et certains autres eurent quelques difficultés à le mettre à terre, ses bracelets fendu, et récupérés par la Gardienne Lamétoile. Se recueillant un instant devant le corps d’Indilïen, il fut choisit que le Druide Méandre reviendrait ici pour rendre son corps à la terre dès notre retour, et nous avons poursuivit la route de la caravane. Quelque chose de grave pouvait nous attendre désormais.
Celle ci traînait contre une rivière, dévastée par la cavale du cheval, nous avons parcouru une bonne heure de route supplémentaire en passant par la route de l’Abbaye, pour retourner dans la forêt, jusqu’à ce fil d’eau. Il n’y avait pas un seul réfugié présent, ils étaient visiblement parti un peu vite, mais la lettre d’un intendant de Hurlevent trouvée par Sylvenuit, qu’il n’avait pas eu le temps d’achever en disait long : La dispute entre les Druides entraîna une certaine confusion, et un des jeunes disait qu’il pouvait apporter la force d’un Ancien plus loin de là. Mais sous la caravane, Alphyn arracha d’une cache secrète visible par l’état misérable de la caravane, des affaires symboliques de Druide de la Flamme devant avoir été conservée depuis longtemps, ancienne et usées, elles n’avaient pas été spécialement traitée avec soin. La personne les conservant, ne devait pas spécifiquement savoir le faire, comme un souvenir laissé dans un coin. Pendant que Lamétoile repoussait les Murlocs qui mangeait le corps du cheval, nous avons vite poursuivit notre route en suivant les traces de pas menant vers l’Est.
D’après Len’drys, le temps était désormais compté, un rituel devait visiblement avoir lieu en réunissant des forces de manière un peu précipité – La mort de l’élémentaire de feu avait-il contrarié les plans de quelqu’un ? Probablement, et notre départ n’en fut que plus précipité, Alphyn n’ayant plus aucun mal à voir dans la nuit maintenant que son regard était couvert par l’aspect lupin. Un bosquet visiblement renforcé par les énergies de la Nature se trouvait isolé dans un recoin perdu de la forêt. Deux gardes aux armures nouvelles du peuple Kaldorei se tenaient présent, lances à la main, protégeant le Druide bercé par la lueur verdoyante de l’énergie qu’il usait, nos réfugiés se tenait de part et d’autre en attendant qu’il ait fini son rite.
Le feu-follet tournoyant au dessus de nous n’était pas anodin, et tout s’emballa rapidement – Len’drys conversait avec les Gardes, quand Umbriel découvrit que le Rituel était une façade face aux usages malveillants du jeune Kaldorei tirant de force cette énergie pour convoquer quelque chose d’autre. Alphyn se concentra sur le rituel, guidé par le Feu-follet, pour l’interrompre. Mais l’assaut de Lamétoile fit éclaté le déchaînement du Druide dont l’aspect se teintait d’un rouge flamboyant, son rire narquois s’étendait alors qu’il jurait au nom du Seigneur Incendius. Les plumes furent arrachés des armures des deux Gardes avant qu’ils ne partagent le sort du Druide condamné par son ancien camarade, et nous nous attaquions alors aux chaînes liant le totem rituel aux réfugiés. Seuls deux ne purent être brisés, jusqu’à ce que la lumière se propage due au sacrifice du Feu-follet, usé par Alphyn. Tout aspect de la Flamme fut révoqué, et il ne restait là que le Kaldorei chancelant et haletant qui observait ses mains, avant d’observer la botte de Lamétoile l’envoyant à terre.
L’intendant Humain gisait à l’intérieur du totem, les jambes calcinés par l’activation du rituel, nous avons au moins pu lui sauver la vie mais ses jambes ne seraient plus jamais un support pour son corps maltraité. Ainsi s’achevait cette tâche, tandis que nous soutenions les réfugiés blessés vers le retour aux Refuges. Pauvres âmes une fois de plus maltraités, car ils eurent la malchance de partir avec la mauvaise personne. Tout ça, car ils voulaient demander à planter des Baies Lunaires. Qui sait si d’autres tâches ne nous attends pas avant notre départ pour Sombrivage, dans quelques nuits ? »
Dernière édition par Linël le Ven 01 Fév 2019, 14:11, édité 1 fois
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Deuxième entrée – Royaume de Hurlevent, dans la forêt d’Elwynn. "Les jours d'attentes au départ..."
« Nous y sommes. La dernière nuit avant un long départ à travers nos terres natales pour y affronter ce que l’Armée de la Lune noire exigera de nous. Voilà deux semaines que nous avons fait cette halte à Hurlevent pour avisé de l’état des Réfugiés, noués quelques contacts à la fondation de notre Veille, et préparer notre force à la fin de cette paisible convalescence depuis que plusieurs des nôtres furent blessés pendant les terribles affrontements de Sombrivage.
Il y à une semaine, nous avons menés l’arrestation d’un jeune druide ayant laissé échappé toute conscience logique pour accepter l’héritage de son Père, un Druide de la flamme. La scène fini agréablement bien, puisque nous avons épargnés la vie de la plus part des Réfugiés mêlés à ses projets, néanmoins ce qu’il venait d’entrainer risquait de provoquer plus encore de problèmes dans les environs concernant nos pauvres citoyens. Déjà que le traumatisme de Teldrassil n’était vraiment pas facile à vivre, mais si il fallait y ajouter des cauchemars où nos pairs voyaient Hurlevent à son tour dévorée par les Flammes. Ceux sous cette pression furent menés à la Cathédrale de la Lumière pour discuter avec les prêtres, ou avec les Druides dans les champs pour se remettre de leurs émotions, mais il fallait que cela cesse. Rapidement.
Plusieurs enquêtes furent menés – Un chaman marteau hardi et deux de ses pairs partirent à la recherche des traces de la présence d’Incendius depuis qu’il avait convoqué ses forces à l’intérieur de certains de ses seides et autres victimes condamnés par le jeune Druide. Mais le discipline de Cirmo Douxfeuillage, Selvios, avait aussi fait venir plusieurs personnes dans un lieu isolé de la forêt d’Elwynn pour essayer de faire usage de ses dons avec l’énergie de la nature pour parvenir à apaiser les victimes des plus virulents cauchemars. Finalement le choix de notre équipe nous mena vers la rencontre de Selvios, et nous avons quitter les faubourgs aux nombreux refuges après bien des discussions pour préparer pour le mieux notre départ. Notre équipe ne fut pas la plus grande cette fois, mais tous étaient prêt à tout pour réussir. Serya Lamétoile et moi même incarnions la Justice d’Elune, tandis que Len’drys était à nos côtés avec ses dons pour la magie. Mais l’inattendu, et un des plus efficaces de part son humanité pour cette œuvre, fut le chevalier de la 7ème Légion William Helmar, un Paladin de la Lumière, et sa présence offrit beaucoup à ceux qui en avaient vraiment besoin.
Notre départ de Hurlevent fut paisible, voyant les étendues de la forêt d’Elwynn, avant de nous engouffrer dans les bois nocturnes, la nuit était tombé depuis quelques temps, et Helmar essayait de nous guider en usant de la carte, sans cesser de se prendre les pieds dans les branches. L’enchantement magnifique permit à notre ami Humain d’y voir quelques choses, grâce à Len’drys, et ce fut pendant ce genre d’interrogation que quelque chose semblait suspect : Des traces de feu-follet dans les hauteurs, disparaissaient sans raison.
Nous, Kaldorei, voyons là le signe d’un feu-follet paniqué ayant été prit de vitesse, et cela nous inquiéta suffisamment pour nous faire changer de route. Cela nous menant à un grand arbre, deux silhouettes visibles au loin. Les deux humains furent prit de panique et tentèrent de s’enfuir rapidement en agitant les bras dans tout les sens. Rapidement, nous les avons récupérés pour les interrogés, découvrant qu’ils étaient payés en nourriture et pièces d’argents pour enlevés des réfugiés, avant de les menés quelque part de spécifique. Avant d’en savoir plus, des marques apparurent sur leurs épaules, et devant nos yeux surpris voir horrifiés, ils prirent feu et fondirent lentement devant nous dans une agonie affreuse. Ce n’était pas un spectacle agréable, même pour un vétéran ayant tout vu comme j’ai pu le subir ses dernières années.
Soutenir William devenait une nécessité, et ce fut Len’drys qui retrouva le Feu-follet : Chantant pour sa concentration, l’esprit répondit à son champs, plutôt qu’à son sort. Ainsi, il se dévoila lui et la petite fille Worgène qu’il avait sauvé des brigands. Celle ci fut descendue, nous révélant que son père avait été enlevé pendant qu’elle désirait rejoindre Selvios. Le jeune druide était recherché par le feu-follet, dans son urgence, nous l’avons suivi au plus vite pour découvrir une scène macabre. C’était trop tard. Il tenait un jeune sabre-de-nuit dans ses bras, mort, et son garde personnel gisait plus loin, l’armure enfoncé comme par un coup de bélier l’ayant écrasé à l’intérieur. D’étrange êtres étaient figés par les sarments, quelques flammes visibles ici et là. Des inspections furent lancés, le jeune druide soigné de ses blessures par la Lumière sacrée pendant que Len’drys prenait le temps d’éteindre les flammes. Ce qui attira directement nos ennemis.
Tombant des feuillages, ils portaient de grandes tenues sombres mais étaient à peine plus grand que des Nains. Cela dit, ils étaient aussi musclés, à ne pas prendre à la légère. Les affrontements furent difficiles face à des brutes épaisses déjà au contact, mais l’expertise et les combats menés ensembles nous firent vaincre ce qui était vraisemblablement des Gnolls qui ne cessaient de hurler à la présence de la flamme dans leur cœur. Celui qui avait été assommé ne fit pas réalisé grand-chose de plus que ce que nous savions déjà : Ils étaient complètement cinglés, dévorés par un fanatisme dévorant.
Tout les Gnolls furent tués, aucun ne pouvait rester en vie, surtout après avoir vu les effets de leurs folies sur les brigands condamnés à mort par les flammes de leurs magies. Et les réfugiés récupérés restaient en grand danger, ce fut un cri d’appel étrange mêlé de traces de dagues en formes de flèches nous indiquant la bonne direction. Depuis qu’une flèche s’était planté dans le crâne du Gnoll ayant menacé Lamétoile avec un sachet dangereux, il était certains que nous avions un Gardien solitaire, mais maintenant, c’était sûr et certains. Qui avait nous nous aider à trouver la route ? En tout cas, cette personne à la vie de plusieurs réfugiés sur les épaules, autant grâce à elle, que grâce à la vision de Len’drys qu’il avait eu en se concentrant sur un des Gnoll.
Un Worgen, le père de la petite Caly laissée auprès de Selvios pour ne pas la mettre en danger, se tenait accroché à une poutre de bois en gesticulant, les réfugiés Kaldorei en transe autours comme pétrifiés par un rituel les sacrifiant aux flammes, le cercle de cendre autours ne devait absolument pas être pénétré. Mais quand il fut déraillé par l’anti-magie de Len’drys, nous avons du agir vite pour les sortir de là, et c’est dans une action désespérée grâce aux protections de William, que j’ai pu sortir les deux derniers réfugiés, tout les autres ayant été libérés par Len’drys et Lamétoile. La colonne de flamme jaillit là où elle aurait du consumé tout le monde, laissant apparaître le Gnoll massif portant le fléau d’arme qui avait tué le Garde d’un coup. Il était imprégné par l’énergie d’Incendius et portant une plume de feu et quelques perles usés par le jeune Druide de la flamme, les ayant sûrement découvert, attiré par son don innée pour le Chamanisme que certaines de ses bêtes possèdent. C’est après des efforts et des blessures, qu’il fut détruit lui et ses guerriers les plus massifs, ne laissant que des cadavres et un tas de cendres là où jadis il se dressait devant nous, prit par la fureur de nos assauts conjoints.
Les réfugiés étaient sauf, même si il restait difficile de savoir où en était l’influence d’Incendius là où le jeune Druide avait commit une incroyable faute, au moins il restait certains que nos pairs ne subiront plus de tels cauchemars. Rentrant lentement avec les réfugiés, William portant la petite Caly dans ses bras en riant, pour se libérer de tout ce que ce jeune humain avait subit rapidement. Il y avait comme un air de bon vivant dans cette marche nocturne à travers les bois humains, escortant ceux qui furent sauvés vers la sécurité. C’était là notre devoir, mais il s’agissait de notre dernière nuit ici. Adieu, Hurlevent, j’ignore quand nous te verrons de nouveau. Mais puisse notre prochain voyage au foyer, se faire là où les Kaldorei trouveront à nouveau leur place en ce monde. »
Dernière édition par Linël le Lun 28 Jan 2019, 04:00, édité 1 fois
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Re: [Rapport d'animations] - Journal de Chantegivre
Journal de Linël Chantegivre, Gardienne, et Maîtresse de la Veille des étoiles.
Troisième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
« Le feu et la guerre, la violence et le déchaînement de situation exigeant à l’esprit de devoir suivre une multitude de scène sans avoir le temps de peser le pour et le contre, juste en se laissant aller à l’instinct de survie primordiale qui sied à ceux qui ont affûtés leurs esprits par des batailles répétés, encore et encore. Face au portail nous menant vers les territoires elfiques envahit par les monstres nous servant d’ennemi, je n’avais aucun doute sur la teneur de notre mission. Cinq Kaldorei, les étoiles de la Veille, face à toutes horreurs possible les attendant là où ils iront combattre.
Len’drys était présent, en compagnie de Lamétoile. Umbriel était là, sa candeur et son envie donnant un aspect plus jeune et rafraîchissant face aux vieux vétérans sombre que nous sommes. Brumefeuille était toujours aussi discrète, s’effaçant en gardant un œil différent de celui de notre peuple, il y avait une étincelle de l’ombre du pragmatisme humain dans ses traits. Celui d’un esprit fatigué par des réalisations lugubres. Devant le tourbillon d’énergie arcanique présentée par la Bien-née attendant notre passage, sous le regard de quelques fantassins humains intrigués mais respectueux, le bruit des mouettes et du quotidien du port de la citée de Hurlevent s’effaçait lentement dans mon esprit, mais personne n’aurait pu prédire à quel point il aurait fallut se mettre en condition de bataille. La situation était simple : Parcourir le portail, rejoindre les sentinelles nous attendant, et les suivre jusqu’à l’Armée de la Lune noire pour recevoir notre ordre des officiers. Rien n’aurait suggérer plus de difficultés odieuses, si ce n’est le fait que ce n’était pas simplement un lieu où il y avait des tensions et quelques agressions, mais bien une affreuse zone de guerre.
Mes souvenirs de mon premier passage m’ayant valu la terrible blessure à l’épaule infligée par un Geist sournois m’avait rappelé à quel point l’impression de se battre comme à la guerre contre le Roi-liche était vicieuse. Mais néanmoins, sous le regard attristé et le soutiens de notre ami Alphyn Zeff qui ne pouvait que nous voir disparaître de sa vie aussi vite que nous étions apparu, nous avons franchis le portail. Et abandonner derrière nous, tout ce qui face à la vie des personnes habitant les lieux, faisait leur quotidien. Cet univers citadin m’était inconnu, et même la majestueuse Darnassus n’était pas toujours faites pour une Gardienne. Mais il s’y était gravé un malheureux sentiment de sérénité en deux semaines de convalescence auprès des réfugiés. Il s’effaça aussi tôt le portail franchit, après un instant de trouble due au passage menant à des distances si éloignée. Le sable accueillait nos bottes, et un ciel magnifié d’une lune noire justicière rendait le spectacle sublime. Dommage que les Réprouvés étaient déjà là pour le gâcher.
Deux Sentinelles gisaient à côté du portail, massacrées par des coups de marteau lourd. Plus loin, plusieurs gobelins ricanaient s’équipaient d’explosifs sous le regard du contre-maître les forçant à se hâté en montrant le portail actif à notre passage, braillant dans la langue orc qu’ils devaient le traverser au plus vite à leur tour. La ligne de cinq arbalétrier décocha aussi tôt, sous le gémissement sourd de l’Apothicaire sous son masque. Notre escorte était prisonnière, sous le regard d’un Orc massif détenant les survivantes n’ayant pas encore été livrées aux Réprouvés. Les carreaux se brisèrent à nos défenses, réagissent un instant, nous n’avions pas le temps de réfléchir – Le portail devait être sécurité et fermé le plus vite possible, maintenant qu’il était sûr que la Horde avait sa petite idée morbide en tête. Len’drys était devenu son protecteur, sa magie fusant sur les gobelins suicidaire en laissant de sinistre explosions, des cratères dans le sable quand ils étaient éparpillés en milles morceaux.
Toutes les étoiles fusèrent vers les Réprouvés, Lamétoile et moi frappions en un instant la ligne des arbalétriers ne s’attendant pas à voir en un clin d’œil deux Guetteuse apparaître dans un transfert au milieu de leur rang. Brumefeuille apparue de nulle part en tranchant le masque de l’apothicaire menant ce projet, pendant qu’Umbriel fit tout pour protéger et sauver celles qui avaient captive, face à l’Orc menaçant. Le contre-maître gobelin avait été une véritable plaie pour Len’drys, usant de son filet pour capturer son sabre-de-nuit, avant de tirer avec son arme à feu. Le gobelin ne fut pas de taille face à la magie et fini congelé, l’hobgobelin fonçant vers le portail d’un air ahurit avec le chargement d’explosif n’eut pas l’air très malin quand le bien-né fit sauté le chargement sur le contre-maître congelé. Il ne restait des gobelins, que de la poussière et des restes épars, ce qui était une finalité très agréable pour des Gobelins tout compte fait. Lamétoile était partie en aide à Umbriel, le massacre de plusieurs arbalétrier me laissait à affronter les trois derniers seule, ce qui était un exercice à la mesure de mon rang, mais restait plus aisé à dire qu’à faire.
L’Orc fut finalement exécuté, son regard observant Lamétoile levant son éventail de lame vers sa gorge, était rempli de colère et de volonté. Le courroux de la Gardienne ne lui donnait guère envie de faire dans la sérénité après les actes de la Horde, enlacé dans les racines d’Umbriel, il fut égorgé d’un coup net. J’ignore si j’aurais agis de la même façons, un prisonnier aurait pu être utile, mais au final, tel est le verdict de la guerre. Nous étions libérés des Réprouvés, l’Apothicaire fut massacré après avoir rudement lutté avec Brumefeuille à sa manière, mais le secours de Len’drys et Lamétoile soudain arrêta le combat, bien qu’il réussi à empoisonné deux des nôtres avec des maudites fioles de poisons. Les chaînes brisés et les premiers soins administrés, impossible de rester longtemps ici sans craindre un retour de nos ennemis vaincu. Une fois le portail clos, c’était un champ de cadavre isolé qui resterait derrière nous, entres cratères et Réprouvés vaincu, la forêt était notre destination en essayant de nous mettre en route vers les domaines occupés par l’Armée de la Lune noire. Et ce ne serait pas évident.
Trois heures de routes entre des bois assombris par l’état de nos terres, entre cette impression de maladie, l’absence inquiétante de faune, et l’obscurité toujours plus profonde qui était même surnaturelle pour des Kaldorei à la vision nocturne. La route semblait bien plus funeste et apportant de possible combat, même à notre avantage naturelle sous la bénédiction de notre Déesse en croisade, du repos restait nécessaire. Nous étions en train de reprendre nos forces après l’affrontement, menant les cinq Sentinelles libérées ayant récupérés les arbalètes sur les corps des réprouvés, suivit d’une chasseresse de la Lune noire aux airs enragées et d’une Prêtresse d’Elune plutôt jeune, mais très calme dans ses traits. Jusqu'à ce que le danger survint.
Len’drys et Umbriel entendirent un étrange chant provenant d’un espace étonnant même pour des Kaldorei – La nature semblait impossible à percé, sans sentier habituel, comme si l’espace de vie avait décidé d’être impénétrable pour quiconque s’y oserait. Brumefeuille apparue à ce même moment, en éclaireur devant nous, elle avait repéré un éclaireur Réprouvé et son sombredogue errant dans les bois. Lamétoile prit le commandement de notre camarade Brumefeuille et de deux Sentinelles pour intercepté les éclaireurs Réprouvés pour permettre à Umbriel, assisté de Len’drys, de trouver un aspect dans la forêt. Un treant s’éveilla face aux énergies druidiques, découvrant un pauvre protecteur affecté par les poisons apportés par les Réprouvés. Celui ci n’était pas encore en étant avancé de décrépitude, mais sa guérison entraîna des visions pour notre pauvre Druidesse. Celle d’une Réprouvée avec un grand heaume, un masque à gaz sur elle et sa montre, dont des parties de l’armure semblaient dégagé naturellement de la peste. Traquant les Gardiens de la nature survivant pour les éradiqués.
Mais le temps pressait, et il fallait s’échapper au plus vite avant la venue de force inarrêtable : Blessés et fatigués par notre voyage ainsi que notre dernier combat, il serait bien moins aisé de nous défendre d’une quinzaine de poursuivant, si ce n’est bien plus. L’éclaireur fut efficacement éliminé par Lamétoile et celles en embuscades, Brumefeuille ayant eue l’intelligence de parvenir à éloigné les autres poursuivant vers la plage en usant de ruse et d’astuce, nous laissant le temps de partir. L’accès avait été ouvert, par la concentration d’Umbriel, qui ressentit comme une invitation de la voix qui avait alors arrêté de chanter au loin de là. Traversant un accès interdit, qui se refermait lentement derrière nous en laissant le petit Treant à sa veille, nous avons atteins un bosquet isolé au cœur de ce morceau de forêt infranchissable.
Le domaine du Gardien du Bosquet Odoh, ayant été isolé depuis la Guerre des épines, il s’était visiblement installé ici pour secourir les esprits de la nature des griffes des Réprouvés. La conversation fut courte : Blessé et égarés, il fit de son minuscule foyer un domaine de repos pour les nôtres, afin de penser nos plaies et guérir de la toux. Ici, nous préparerons notre départ vers l’Armée de la Lune noire, même si il était certains que hors de ce bosquet solitaire. Une marée de mort attendait en cherchant la moindre trace de vie à éradiquée. »
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Quatrième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
« La journée suivant notre arrivée au bosquet d’Odoh fut reposante. Nous prenions le temps de reprendre des forces, et profiter d’une nuit revigorante pour faire le point sur nos réserves et notre situation. La venue du Druide Eclat d’Argent était une bénédiction de la nature, guidé par les chants d’Odoh, le druide avait survécu aux Réprouvés et rejoint les étoiles de la Veille pour la prospérité des Kaldorei. Avec Umbriel, les deux druides feront du bon travail, et ils le prouvèrent cette nuit là. Isolés dans le bosquet, nous avons au moins pu prendre conscience de notre environnement proche sur les quelques kilomètres nous séparant des forces de l’Armée de la Lune noire.
Autours de nous, se trouvait en tout – Une scierie gobeline s’occupant de tailler quelques arbres. Un petit camp de prisonnier de guerre sous le joug des Réprouvés. Une étrange caverne où plusieurs Sombrelance furent retrouvés morts, et un Puits de lune dans les ruines du village d’Estrelune, ravagé pendant la guerre. Si nous voulions délivrés les prisonniers pour les amenés vers la protection de l’Armée, il faudrait pour cela parvenir à renforcer quelque peu notre petite groupe. Comme le dit Sidhia, impossible de parvenir à grand-chose si nous n’étions pas suffisamment renforcés pour ne pas nous suicider sur les rangs ennemis.
Ainsi, même si cela devait retarder notre départ, l’objectif serait tel : Atteindre le puits de lune pour récupérer ses eaux pour les blessures et les usages en bénédiction pour nous préparer. Explorer la caverne pour découvrir le responsable de la mort des Sombrelance et voir si il ne s’agit pas d’un de nos alliés. Puis partir en marchant sur le camp de prisonnier avant de partir le plus vite possible vers le force de l’Armée de la Lune noire. Le crépuscule venant, bien qu’il soit plutôt impossible de parler de cela maintenant que Sombrivage est sous couvert de l’éternelle lune noire apportant les nuits de bataille. Nous étions prêtes à nous battre avec une bonne partie de la Veille. Umbriel Murmétoile, Eclat d’Argent, Sidhia Brumefeuille, Serya Lamétoile et Len’drys Molotress furent présent pour le départ vers les ruines d’Estrelune, un long voyage nous attendait sans pouvoir être vraiment préparer à ce que pouvait nous attendre une fois là-bas.
Un combat oui, mais tout le monde s’attendait à affronter l’ennemi qu’est la Horde souillant les ruines et usant du puits pour eux. Néanmoins, ce combat serait bien différent, et malgré notre reussite, cela ne pouvait que soulevé plus de sombre question. La nature restait bien calme et tranquille, du moins particulièrement trop pour se sentir à l’aise dans une forêt elfique, il n’y avait pas un seul bruit des animaux errant habituellement, pas le scintillement tel un chant de la nature nous acceuillant. Juste le vide, le calme morbide, et au loin devenant visible lentement les ruines de ce qui était jadis une fierté pour notre peuple. Un village, qui n’était désormais plus que ruine et dévastation.
Atteindre le village fut sans péril ni difficulté. Le panneau annonçant fièrement son nom voyait pendre au dessus, le cadavre empalé depuis la Guerre des épines par les odieux Orcs, de la matriarche Estrelune sauvagement assassinée par la Horde. Mais de première vue, il n’y avait par ici personne. Pas un Réprouvé en train de guetter, ou de préparer des poisons immondes. Rien que le vent et le sentiment malsain d’être sans cesse observés.
Après avoir discuter de la scène, nous sommes arrivés au Puits de Lune qui semblait si plaisant, si accueillant, que nous avions envie d’y boire directement pour nous soulager de tout nos maux. Sidhia y plongea sa main, et deux évènements nous firent ouvrir les yeux : Un hurlement venant d’une maison en ruine plus loin, et la panique de Sidhia qui ne pouvait plus sortir sa main de l’eau en criant qu’elle refusait un Don. J’envoyais Len’drys, Lamétoile et Éclat d’Argent au secours du cri féminin provenant de la demeure, où des Sentinelles furent retrouvés en débâcle rapide, accusant d’une présence malsaine ayant happé leur sœur Lana disparue on ne sait où. Nous rejoignant au Puits de Lune, Sidhia fut libérée, mais il restait certains qu’une entité résidait à l’intérieur du Puits, une entité « qu’ils » ont amenés pour se nourrir des eaux présentes et grandir, « naître ».
Si certaines désiraient détruire le Puits, nous n’avions pas reçue de solution adapté pour dans l’immédiat, il nous fallait des actes possibles en urgence. Avec un peu de chance, les ruines n’avaient pas encore été dépouillées de toutes leurs reliques, et j’envoyais rapidement la Sentinelle rescapée avec Umbriel et Sidhia à la recherche de quoi que ce soit pouvant nous permettre de convoquer la bénédiction d’Elune sur le puits. La bataille avait déjà éclaté dans la demeure, Lamétoile et Len’drys luttaient contre des Naga surgissant de tout les côtés après avoir retrouvé la défunte Lana, massacrée en ayant été emporté par ses maudits serpents. J’assistais pour ma part Eclat d’Argent pour contenir ce qui était en plein éveil, les Naga perturbés dans leurs projets décidèrent de faire usage de cristaux obscure pour reveillé ce qu’ils avaient plongés dans le puits de Lune.
La demeure de la matriarche Estrelune abritait quelques perfides illusions causés par les influences néfastes des Naga, celui qui voulu s’en prendre à Umbriel une fois tombé dans son piège, fut accueillit par les énergies de la nature et achevé d’une flèche dans la tête. Ce fut à la rencontre d’un antique esprit protecteur ayant été laissé là, qui discuta avec Brumefeuille en ayant faillit la tué. Il était perdu, choqué de savoir qu’il n’avait pas pu protéger Dame Estrelune. Mais si il ne pouvait pas combattre la corruption du Puits, il offrit au moins l’accès à la trappe interne de la demeure, laissant à nos sœurs le soin de découvrir une Statuette vouée à la Déesse Elune, baignant dans sa bénédiction.
La situation devenait alarmante. Éclat d’Argent ne pouvait plus seul contenir cette fureur qui emmargeait des eaux, comme des tentacules vicieuses formées d’une parodie souillée de la Nature, faites de feuillages et d’herbes malsaines. Le chant d’une Sirène éclatait derrière nous, la seconde usant d’un cristal noir comme celle que Len’drys combattait à l’étage de la demeure, pendant que Lamétoile luttait face aux myrmidons, ne pouvant hélas pas sauver une des Sentinelles sauvée sur la plage, qui fut subitement empalée par une lance. Le premier cristal fut brisé par l’Arcaniste, délivrant les âmes volées par les Naga dans un hurlement sinistre, des feu-follets tournoyant dans les cieux, heureux que soit achevée cette odieuse torture.
Notre adversaire de notre coté, était défendu par une barrière d’énergie arcanique liée à une Chasseresse captive. Si nous brisions la barrière, elle mourrait, et c’est après un instant de réflexion qu’Éclat d’Argent fit usage de son contrôle des énergies vitales pour distorde la canalisation, la rendant floue, entropique. Frappant de toutes mes forces contre la barrière, elle céda en me propulsant au sol. La sorcière enragée fit taire aussi mon camarade en l’envoyant au sol, s’écrasant dans une fourche d’éclair Eclat d’Argent s’écrasant aux côtés de Len’drys qui venait d’arriver. Dehors la situation devenait urgente, il devenait de plus en plus difficile d’installer la statuette d’Elune à cause des tentacules enragés, et ce fut lors de la destruction du dernier cristal et la mort de la sorcière par ma lame, me valant un traumatisme sur l’instant en voyant les atrocités à l’intérieur de ce canalisateur d’âme, que la situation changea drastiquement.
La graine, le cœur de la corruption, fut extirpé par un rayonnement lunaire en essayant de se débattre, usant de tentacule de son incarnation pour attraper les piliers de bois du Puits de Lune pour ne pas être happé de sa source de nourriture. Les derniers Naga se ruèrent de toute part en panique, hurlant qu’il fallait briser la statuette et nous empêcher de retirer la graine de leur maître. Un combat acharné éclata pour s’en sortir face aux envahisseurs serpentins, des coups frappant de toute part, ils furent néanmoins repoussés malgré quelques plaies, en voyant la graine revenant lentement vers l’intérieur du puits. L’usage du protecteur ancien de Dame Estrelune fut une mauvaise idée, l’ayant presque corrompu, cette graine semblait invincible tant elle était gorgée d’énergie du vide. Mais une fois les tentacules le reliant ici brisées, il disparut, comme dans un éclat obscurité même.
Il ne restait rien de sa présence, mais le Puits ne reluisait plus de cette ancienne énergie sacrée, il n’y avait plus la présence de notre déesse. Les eaux retrouvés dans une bassine encore pure, découverte par Brumefeuille, fut vidée dans le Puits de Lune, qui retrouva sa splendeur, sa lueur agréable et splendide. Le puits de lune était restauré, et il était temps de récupérer ses eaux pour nous préparer pour nos prochains combats. Cette mission fut accomplie avec bien des difficultés, mais la graine s’est échappée. Qui sait si nous en entendrons de nouveau parler, à l’avenir ? Pour l’instant. La priorité est de sauver les prisonniers. Retrouver l’Armée de la Lune noire. Et nous passions une heure avec Len’drys devant ce Puits de Lune sauvé, mais ironiquement, qui pouvait tomber entres les mains de la Horde de nouveau sans personne pour le protéger de nouveau. Une victoire, mais une victoire qui n’était pas durable. Sombrivage est encore en guerre. »
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Re: [Rapport d'animations] - Journal de Chantegivre
Journal de Linël Chantegivre, Gardienne, et Maîtresse de la Veille des étoiles.
Cinquième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
« La nuit suivant notre combat en Estrelune fut paisible, occupés par la chasse et les patrouilles le temps de nous préparer à l’inspection de la grotte que nous avons accompli. Il n’y eu pas grand-chose à signaler si ce n’est l’absence frustrante de bête pour nourrir notre petite troupe de guerrières , si ce n’est un cerf que Sidhia eut le plaisir de retrouver dans les bois sans qu’il ne soit trop infecté par les toxines des Réprouvés. Il restait plaisant de voir la vie au quotidienne, Éclat d’Argent ramassant des graines encore entière et prompt à offrir la vie pour un jour replanter les arbres qui ont été perdu. La seule chose à noté fut notre intervention, guidé par Umbriel ayant reçu comme un appel de la nature pour nous diriger moi même et Lamétoile vers des survivants ayant fuit une troupe de guerre de la Horde ayant pillé loin sur la route une caravane de survivant fuyant vers les territoires de l’Armée de la Lune noire.
Le gardien des ancêtres Grondefutaie accompagnait la Sentinelle Grise-Lune qui tâchaient de retrouver un peu de sécurité dans les forêts devenues hostiles pour les nôtres, jusqu’à ce que nous arrivions pour leur mettre la main dessus. Cette rencontre ne devait pas être fortuite, au vue des signes, mais hélas cette réussite fut due à des sacrifices plutôt qu’à une belle providence de la Déesse. Les miracles d’Elune sont toujours dues à des actes d’une grande profondeur, il est juste tragique que parfois, il y ait aussi des malheurs qui en découlent. Deux nouvelles étoiles firent vœux de se battre auprès de notre Veille face à nos ennemis, et c’est ainsi que nous nous retrouvions avec de nouveaux visages pour explorer cette caverne étrange où les corps des Sombrelances ont été retrouvés. Il était temps de savoir si nous pouvions trouver un allié là-bas, où si il était en moins nécessaire de faire taire une menace pour nos terres de Sombrivage. Ce n’est pas parce que quelque chose à tué quelques membres de la Horde qu’il faut le laisser errer jusqu’à ce que ce soit à nos sœurs d’en payer le prix de leurs vies.
Notre équipe fut formée de la Sentinelle Grise-Lune, Serya Lamétoile, Sidhia Brumefeuille, Umbriel Murmétoile et Len’drys, accompagné de son sabre-de-nuit Narka. Nous saluons ceux restant au repos paisible du Bosquet d’Odoh qui resterait au moins en sécurité à leur côté, avant de traverser le cercle des épines en route vers la grotte. Rien ne se déroula durant les heures de marches à travers les bois vides, il n’y avait que peu de trace, la plus part anciennes. Et pas de présence de nécrotraqueur ou quelconque adversaires voulant nous massacré au nom de leur odieuse Horde. Une atmosphère habituelle maintenant, errer dans des forêts vides de vie, les bêtes ayant fuit les horreurs et les avancées gobelines sciant nos précieux arbres. C’est dans l’absence de conflit, que nous sommes arrivés jusqu’à la caverne, où Len’drys y percevait déjà vaguement une pointe d’énergie lointaine.
Brumefeuille et Grise-Lune furent envoyés en éclaireur, car c’était leurs rôles, nous laissant à quatre discuter de la situation en réfléchissant à ce qui pouvait être fait au préalable. Len’drys ressentait encore cette pointe de magie, mais Umbriel était rapidement comme irritée par les messages apportés par la Nature. Elle signalait un danger, rien ne devait être manger dans les environs sous peine de subir un terrible empoisonnement.
Les corps des Trolls Sombrelance gisaient encore là, et les rapports des éclaireurs fut que ceux ci ont été tués sans aucunes luttes, des sortes de mouvements visibles sans qu’il n’y ai rien, il y avait clairement un problème et même en arrivant sur place, rien ne fut non plus accomplit. En observant les corps, ceux ci étaient comme tombés au sol, bien qu’il manquait une silhouette parmi les six empruntes de pas, la dernière menant vers la grotte où se trouvait la menace, ou nos futurs alliés. L’inspection des corps ne releva pas grand-chose, ce fut quand Umbriel se lançant dans une recherche spirituelle qu’elle fut en contact avec les esprits vagabonds des Sombrelance errant, essayant de trouver la présence du Loa de la mort pour les protéger de ce qui voudrait les corrompre. « L’enfant-monstre », ne cessaient-ils de geindre. Jusqu’à ce que le contact fut brisé, il y avait clairement quelque chose de mauvais, mais Sidhia était venue me chercher pour son rapport, je du les laisser se débrouiller.
Visiblement, Grise-Lune avait découvert que la silhouette massive derrière la cascade d’eau voilant l’accès à cette grotte perdue n’était rien d’autre qu’un Furbolg. Celui ci se présenta en nom d’Olgen du clan Danse-Fourrure, une petite famille de survivant ayant beaucoup perdu des leurs pendants la guerre, entre l’esclavagisme et la fureur imposée par les bêtes de la Horde. Mais celui ci était dans un état déplorable, complètement marqué par la corruption et les blessures, les siens ne survivraient pas plus de quelques jours à leurs états, et seraient d’après ce que les Nagas venu les railler disaient, « Plus que des pantins pour des expériences sur l’Enfant du maitre. »
Ceux ci avaient retenu l’entité protectrice qui les à motivé à rester ici malgré le danger, une certaine Lukania, que les Sombrelance étaient venu rechercher avant d’être massacrés pendant leur voyage. Lukania était dans un état inconnu, aucun Furbolg n’était en état de vérifier, et c’était la clé pour en savoir plus sur la situation. Dehors, les périls débutèrent quand Len’drys brûla les corps en brisant le charme protecteur involontairement, retirant le voile empêchant l’Enfant-monstre de s’attaquer aux esprits des trolls. Ceux ci devinrent visible, des yeux rouges de souillure et des veines noires. Et ils s’attaquèrent à lui et à Umbriel, dans une des pires visions d’entités fantômatiques qui soit.
La demeure de Lukania ne fut pas difficile à atteindre. Bien que sur la route, nous avons du restreindre un Furbolg qui était prit par la rage sanguinaire jusqu’à même frapper Lamétoile brusquement. La corruption l’avait rendu anormalement fort, et ce n’est qu’en agissant ensemble que nous avons pu l’aider – Grise-Lune essayant de concentrer son esprit sur la réalité pendant que Lamétoile et moi le restreignons via les forces de notre Déesse, comme les Guetteuses savent le faire. Sidhia fit couler une bonne partie d’une fiole remplie des eaux du puits de Lune, ce qui brisa la corruption et lui sauva la vie.
C’était déjà ça. Le totem de Lukania fut étonnant à découvrir, le tout ressemblait à l’autel d’un Loa, où de nombreuses offrandes étaient installés, mais la souillure essayait aussi de prendre le pas sur les imageries trolls inscrites dessus. Le corps du dernier troll était empalé au mur, et heureusement que nous n’avons pas touché aux tikis illuminés dessus protégeant l’esprit de Lukania. Brumefeuille et Lamétoile avaient trouver les sachets de sorcellerie impie, sortant avec pour les détruire pendant que Grise-Lune travaillait sur un motif à remettre en place après avoir été saboté, une sorte de soleil gravé sur le mur, ayant une utilité très précise.
Dehors, nos deux sœurs sortirent en étant très mal au point à cause de l’influence des sachets. Leur destruction ne leur épargna pas ce malaise, ce fut ironique que ce soit encore elles subissant un effet maladif, étant celles qui furent intoxiqué par l’Apothicaire lors de notre venue en Sombrivage. Len’drys avait fini par trouver le lien malsain de l’enfant-monstre : Une tentacule de la graine sous les flots que Umbriel fini par purifier en usant des forces de la Nature. Les esprits souillés ne pouvaient être détruit tant que cette influence restait présence, et en la soutirant, les voilà libre, tout comme nos sœurs. Revenant dans la grotte où les Furbolg vivaient une vie miséreuse de maladie et de toux, nous avons ensemble prit soin de préparer les prières à la Déesse pour détruire cette présence infecte.
Quand la rune fut activée, le monde s’illumina comme un soleil et dévoila l’Esprit de Lukania, servante de Lukou, Loa de la guérison. Perdue ici depuis la guerre des épines, satisfaite d’apporter la guérison à ceux qui la vénérait pour ça, il était temps pour elle de partir et de laisser aux Furbolg des protecteurs dignes. Les libérant de leurs maux en dernier signe de gratitude pour le soin et les offrandes, Lukania disparue elle aussi en laissant son totem en lambeau. Olgen rassembla les siens pour nous rejoindre en annonçant qu’il était temps pour lui et les siens de partir. Partir là où ils seront en sécurité hors des griffes de la Horde. Nous avions trouver nos renforts bien attendu, prêts désormais nous attaquer au camp des prisonniers pour libérer les condamnés à mort, avant que malheurs ne leur arrive. Déesse, faites qu’il ne soit pas trop tard pour les ramenés à l’Armée de la Lune noire. »
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Journal de Linël Chantegivre, Gardienne, et Maîtresse de la Veille des étoiles.
Sixième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
« Une mission pas spécifiquement prévue, mais tels sont les necessités de l’entretiens de ceux qui nous rejoignent, si il y à bien quelque chose de difficile à gérer et pas toujours une priorité pour les plus inconscients, c’est bien la nourriture. La vingtaine de furbolg des Danse-fourrure n’allait pas être nourri avec de l’eau et de la mousse, il fallait rapidement faire en sorte que nos stocks soient complet pour parvenir à partir en ayant toutes nos forces, et l’idée de Grise-Lune paraissait légitime. Pour approvisionner les forces de la Horde, bien entendu celle n’étant pas une bande de cadavre ahurie par la fausse vision d’une psychopathe génocidaire, il fallait bien des approvisionnement.
Ainsi la nuit durant et tout le début de la journée, les Sentinelles furent missionnés pour garder un œil sur les accès les plus proches, jusqu’à un signalement de la vue d’une caravane de ravitaillement, ce qu’il nous fallait. Observant la carte pour connaître quel lieu serait le plus utilisable pour une embuscade, notre route d’assaut serait constitué d’une petite équipe pour agir vite, fort, et ne pas laisser trop de trace tout en permettant aussi de ne pas risquer la vie de trop de nos camarades.
Deux furbolg seulement furent des nôtres, de ceux parmi les plus forts des guerriers d’Olgen pour pouvoir transporter les caisses et les sacs de nourritures à prendre, et c’est ainsi que nous nous sommes mis en route avec Len’drys, Umbriel Murmétoile, et Serya Lamétoile, mais très vite le plan initiale prit une toute autre ampleur. Une des caravanes de rationnement avait moins de nourriture, bien que cela restait suffisamment pour quelques jours, mais son changement était bien plus précieux : La présence d’un Chevalier humain de la septième légion y fut découvert, remontant à la disparition de William Helmar lors de notre venue en Sombrivage. Nous pensions le pauvre paladin mort ou dans un état pire encore, mais il fut découvert lors de son secours que le Réprouvé qui traînait sur la caravane avait quelques projets pour lui. Partager le destin de certaines de nos sentinelles auprès de leur immonde Val’kyr qui doit être détruite par exemple. Néanmoins, nous avons tout de même débuté un voyage calme, qui nous mènerait vers un affrontement brutal.
Les forêts étaient toujours calmes, bien qu’encore une fois ce ne fut pas ce calme plaisant et revigorant mais bien cette tension perpétuelle détestable. En progressant en avant, Len’drys retrouva la bête de son ami membre des forces ayant fait vœux de régénérer Azeroth, le raptor Seikko l’avait rejoint pour un temps, et pour quelques raisons privées ne concernant que ce vieux Jin’ko.
Ce fut bien peu de temps avant notre première rencontre avec les forces ennemies, quand des mouvements furent visibles, nous nous sommes tous cachés en vitesse. Un Sombrelance accompagné d’un Orc grognant observèrent les environs où ils crurent nous entendre, mais la venue de la bête proche du Troll lui confirma que ce n’était pas quelque chose de plus important qu’une bête errante ayant du s’échapper après une bataille. Continuant leur mission sans y porter plus d’importances, Umbriel nous fit prendre plus de précaution encore en nous aspergeant de pollen pour dissimuler nos odeurs. Les Furbolgs étaient fascinés par la bête accompagnant Len’drys, notamment par sa proximité avec l’apparence de Lukania, mais il fallait qu’ils se reprennent vite car le bruit de bois de piteuse qualité s’approchait doucement de nous, en même temps que la silhouette de la caravane.
Il était temps de nous mettre en place, et comme des véritables forces d’assauts Kaldorei, nous étions tous camouflés dans les buissons et derrières les arbres, me laissant faire usage des forces des ombres de la Déesse pour voilé les moindres détails de nos silhouettes. Des guerriers Orcs sûr d’eux discutant fièrement de leurs efforts à se battre tout en s’amusant à critiquer les carrures des guerriers Réprouvés. Le Kodo de trait était occupé par un troll à l’air absent, fatigué, et le tout avec cet immonde Réprouvé installé sur les caisses qui regardait parfois vers William, réfléchissant à ce qu’il ferait de ce corps quand il pourrait le fournir. Notre plan était toutefois prêt, et l’assurait à mes camarades cette réalité : Nous ne ferons pas de cadeau, pas de pitié. Ce sont des membres de la Horde. Et leurs crimes ne peuvent plus être pardonnés.
D’un coup, le chariot fut interrompu quand des ronces se mirent à enserrer les roues de bois en les tirant contre le sol. Nous nous sommes rués à l’assaut d’un coup, mais notre attaque initiale fut rapidement brisée par l’expertise et la témérité des Orcs. Len’drys affrontait la jeune guerrière acharnée et soutenue par le vieux Chaman qui m’empêcha d’abattre un des guerriers de tête. Au moins, un des grunts fut enfoncé sous le sol par les racines d’Umbriel qui voyait les furbolgs s’acharner à l’empêcher de se retenir. Le Troll blessa néanmoins notre druidesse d’un javelot, ce fut pour elle une de ses premières blessures sérieuse depuis notre présence en Sombrivage, mais la rage de la nature ne pouvait s’arrêter si aisément.
Si l’attaque de base fut contrée, ce ne fut pas le cas de l’acharnement de l’assaut qui écrasa notre ennemi de la Horde. Le troll fut broyé par les branches des arbres usés par la Druidesse, alors que la guerrière finie abattue par les sortilèges du Bien-né. Le sang du dernier guerrier était présent autant sur ma lame que sur ma tenue tandis que le corps de l’Orc s’effondrait sous la blessure causée. Le Réprouvé essayait de s’enfuir, ayant tirer sur William qui à pu se libérer de ses liens en le renvoyant dans les caisses brusquement, mais hors de question de le laisser s’enfuir. Apparaissant soudainement devant lui, son passage fut bloqué jusqu’à ce que la bête de Len’drys ne l’écrase au sol. Le vieux Chaman avait le crâne en sang et la mort de sa fille avait brisé ce qui animait l’ancien, plutôt qu’une rage sanguinaire, il y avait une résignation agrandie par son piteuse état.
Sous demande de William, il fut emprisonné plutôt qu’exécuté, et Lamétoile fut sa geôlière jusqu’à notre retour au campement. Les caisses furent inspectés rapidement par Murmétoile pour récupérer celles pures, ainsi que l’équipement du chevalier sauvé. Nous étions donc prêt à partir avec les rations voulues, laissant les corps et la caravane brûlé pour ne laisser absolument rien à la Horde, que ce soit pour se soigner, ou pour relevé les corps de leurs alliés tombés. William à prit le temps de purifier le Réprouvé par la Lumière sacrée, il le fit avec certains codes moraux pour que sa disparition ait une symbolique. Ce qu’il ne pourrait pas faire face à tout les adversaires qu’il affronterait. Nos rations prêtes, la nuit se poursuivit avec un petit festin et quelques chants paisible de nos sœurs, notamment par la voix de Grise-Lune. Une nuit à festoyer, pour se préparer mentalement à affronter le camp de prisonnier afin de secourir ceux devant être sauvés. Puisse Elune veiller à leurs âmes, et que jamais ne soit souiller leurs corps. »
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Re: [Rapport d'animations] - Journal de Chantegivre
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Septième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
« Les cartes ne montre que les lieux, pas les vies qui profitent de ce que l’endroit offre en terme de nourritures, de prospérité, d’avenir. Les cartes ne possèdent que les noms des endroits que nous pouvons visiter, et quand nous les effaçons, nous ne voyons pas ceux qui disparaissent avec. En regardant ce qui désignait les environs et le camp de prisonnier, une vague carte tracée selon les rapports des Sentinelles ayant longuement étudiés les lieux, on ne pouvait y voir que les tracés stratégiques pour des progressions, des sorties, et autres. Les rondes représentaient les passages des guetteurs, et certains cercles montraient là où se trouvaient des prisonniers, de la peste, des armes. Et je m’interrogeais mentalement sur le prix et l’ambition d’une telle attaque.
Nous avions prit le temps de nous préparer en mesure de nos moyens – Vivres, renforts, soutiens par les eaux pures et bénies. Ce n’était pas le grand luxe, mais c’était les faibles moyens pour faire en sorte que cette opération ne soit pas un désastre. Une semaine entière de préparation et de combats pour en arriver à cet instant : Le camp de prisonnier. Dernière étape pour parvenir à achevé notre rôle avant de rejoindre l’Armée de la Lune noire. Le plan fut discuté avec une bonne partie de la Veille des étoiles. Il ne serait pas d’une complexité immense, face aux maîtres des perfidies, la stratégie la plus efficace restait bien souvent la franchise direct : Faire penser à l’ennemi qu’il peut préparer ses complots et le surpasser avant qu’il y parvienne. La force de frappe principale serait constitué des Sentinelles et des forces de frappe de Furbolg soutenu par leur chef, Olgen des Danse-Fourrure. Cela générerait une bonne diversion pour frapper avec intensité les Réprouvés et créer une faille pour le passage d’une équipe de secours pour récupérer les prisonniers installés à côtés des sources de Peste avant qu’ils ne soient massacrés.
Tout devait être fait rapidement avant de ne pouvoir plus que libérer des cadavres intoxiqués, et nous nous préparions à un combat prévu depuis une longue semaine de missions diverses pour parvenir exactement à CE moment. Serya Lamétoile s’occupera du groupe d’intervention, avec Sidhia Brumefeuille, Carïn Grise-Lune, Faeloria Rêvelune et mon père, Méandre Douxfeuillage. Tandis que je guiderais les forces d’assaut qui frapperaient avec puissance les avants du camp de prisonnier, en compagnie de Naiev Murmétoile pour guider nos Sentinelles, et Umbriel Murmétoile pour faire en sorte que la fureur de la nature soit avec nous dans notre combat. Et alors que nous nous dressions devant la sortie, Odoh apparue en se dressant devant nous, ouvrant l’accès en déclarant que nous nous battrons avec la Nature même. Baignant dans ses énergies revigorantes. Nous avons traverser pour la dernière fois le passage d’épine, pour nous mettre en route vers notre futur champ de bataille.
Comme d’habitude, une route vide de présence quelconque, il n’y avait pas de bêtes, ni autres éclaireurs. Ce vide inquiétant était néanmoins comblé par la présence de tout nos camarades avec nous, les Furbolgs en nombre grognant un peu en espérant que leur famille aille bien au lieu de retrait prévu pour envoyer les prisonniers dès qu’ils seront libérés. Le signal devait être simple, le passage de la chouette de Lamétoile au dessus du passage signalant l’envoie de l’assaut, mais tout n’allait pas être aussi simple. Les groupes étaient séparés, mais nous avons été confrontés aux mêmes difficultés : Des guetteurs. Des Réprouvés ayant été bien cachés pour des cadavres errants sur nos terres, installés dans les branchages des arbres.
De notre côté, ce fut incroyablement concis, car ils furent massacrés avec une terrible efficacité : Naiev les avait vu rapidement, et Umbriel fit usage des branches mêmes pour les attrapés et les enserrés. Deux d’entre eux furent massacrés par les flèches des Sentinelles, tandis que le dernier voulant partir pour signaler notre venue, ne me vit pas venir et se fait décapité aussi-tôt. Aucune chance pour lui de s’en sortir. Mais cela mena une véritable course-poursuite pour ceux dans la plus profonde forêt en train de contourner, car une Forestière-Sombre était à la tête de leur groupe. Une des forestières Kaldorei relevée par leur immonde Val’kyr. Les Réprouvés à ses côtés n’eurent aucunes d’en de s’en sortir, le combat à travers les branches fut manipulés par des gestes experts jusqu’à ce que la Forestière-Sombre soit brusquement massacrée par Lamétoile et Grise-Lune. Au moins, tous étaient conscient maintenant du danger à venir. De notre côté tout ralentit énormément, face à une nouvelle difficulté : Un terrain miné, des mines gobelins découvert par Umbriel risquant clairement de sauter en essayant de traverser le passage. Si nous, Kaldorei, pouvions nous installer dans les arbres pour passer outre cet obstacle, c’était une autre chose pour les Furbolg qui étaient néanmoins notre troupe de guerre lancer l’assaut.
Ainsi fut-il décidé : Les Sentinelles se mirent en position, et feraient sautés les mines en deux salves avant la charge. Dès que le signal passera, nous chargerons au bruit des fracas de leurs propres pièges. Mais l’équipe d’intervention était en difficulté après avoir découvert qu’un apothicaire avait d’étrange projet devant le campement. Des scientifiques étudiant divers possibilités pour avoir des serviteurs de combat décérébrés, voilà de quoi était formé ce camp de prisonnier morbide. Pendant la dispute avec le Sombrelance qui se refusait à obeïr à un ordre, nos combattants frappèrent de toute leurs forces. Les ronces enserrèrent les Réprouvés, et les guerrières se jetèrent dans la mêlée en même temps que l’ours massif percuta une des Nécrogardes. Ce combat ne fut pas le plus ardu malgré la témérité d’une des Reprouvées. Mais les hurlements des prisonniers consumés par un étrange rituel devenait simplement insupportable. Le signal ne venait pas, et la pression sur les forces d’assaut finirent par nous faire manque de patience. Il fallait intervenir, où notre mission n’avait pas de sens. Les flèches des Sentinelles firent exploser les mines dans de fureur déflagration et précipitèrent notre action : La ruée était en marche, fonçant vers le camp des prisonniers pour fracasser lames et crocs face à des Réprouvés prit au dépourvu. Oui, il était grand temps de combattre.
Notre ruée s’écrasa à une résistante hébétée mais experte, et rapidement les nécrogardes firent barrages pour laisser à leurs arbalétriers et aux deux forestières-sombres le soin de nous tirer dessus dès qu’il serait possible de le faire. Naiev avait repéré le chariot à peste qui fut dévasté bien avant son tir par nos Sentinelles. Heureusement qu’elle y fit attention, où la situation aurait pu être pire que ce que nous avons subis : La contre-attaque fut sanglante, les nôtres tombaient dans une lourde représailles ayant clairsemés nos rangs et créer une hésitation. Quand l’Orc nécrotique fit surface, cela surpris Umbriel et l’énerva sous sa forme d’ours terrible et merveilleuse : Il s’agissait de celui que Lamétoile avait égorgé et abandonné sur la plage. Le voilà de nouveau, sous cet aspect malsains. Se ruant à son contact, la bataille prenait des airs de carnage, et il fut difficile de faire attention à ce que nos alliés survivent tout en détruisant nos ennemis.
Cela donna l’impulsion à notre équipe ayant abandonné le chariot et les corps sanctifiés par Rêvelune, passant outre les quelques défenses en massacrant les gobelins et leur étrange machine, ainsi que l’abomination qui n’eus strictement aucunes chances face à des actions coordonnés très efficaces, tous furent à l’intérieur rapidement pour empêcher les Réprouvés d’abattre les prisonniers. Brumefeuille et Grise-Lune s’en étaient efficacement chargés, s’intéressant à sécurisé les prisonniers ainsi que la Chimère en proie aux apothicaires. Mais le plus inquiétant était le cristal Ash’Ari, véritable vestige des Ziggourath impie du Fléau, qu’un Orc Ombrelune découvrait avec fascination en discutant avec un Apothicaire pour apprendre à le faire fonctionner. C’était presque une suite logique, quand on connaît l’histoire de la naissance du Roi-Liche, mais les sept sacrifiés qui hurlèrent de douleur ne furent sauvés, alimentant en âme ce cristal écœurant, qui fini par se mettre à expulser son énergie comme des marteaux effroyable. La chimère avait été libéré par Sidhia ayant découvert le mécanisme, alors que Méandre et Carin la rassurait pour la rallier à notre cause, sa présence allait faire de lourd dégât sur les forces de la Horde, Grise-Lune s’en chargerait.
Les prisonniers étaient petit à petit libérés, protégés par la Prêtresse d’Elune Rêvelune qui empêchait aux âmes infâmes projetés par le cristal de les massacrés, bien que quatre des prisonniers furent massacrés lors du dernier tir de cette chose, nous avons au moins pu les arrêtés après la chute de l’Apothicaire et de l’Orc Ombrelune quand Méandre en punition, se jeta sur lui sous sa forme féline, le brisant en milles morceaux en même temps que le non-mort fut touché par la fureur de la Déesse Lune. Le cristal fut brisé, alors que les civils évacuaient massivement vers le point de retraite avec notre Prêtresse.
La bataille avait prit une tournure de victoire en notre faveur après le passage dévastateur de la chimère, les Furbolg écrasant les Réprouvés privé de leur commandement depuis la mort des forestières et de l’Orc. Malgré de sévère blessure, surtout pour ma part, nous restions sur un champ de bataille où marque de dévastation, la tente de l’apothicaire baignant dans les flammes. Aucun des corps ne pouvait être laissé derrière, ni emportés en vue de notre état, et nous laissions autant les nôtres que ceux de nos ennemis à la fureur du feu. Puisse Elune bénir les combattants qui ont perdu la vie cette nuit là, et accompagner leurs esprits.
Traînée par Lamétoile ayant achevé les fuyards, elle même ayant subit de sérieux combats en ayant été soignée par nos pairs, en rejoignant les civils je perdis connaissance en vue de mes blessures, avant de retrouver conscience dans notre camp de repos. Isolé dans un recoin perdu de la forêt, le lieu était bien moins tranquille que le Bosquet d’Odoh, mais était notre première étape avant de rejoindre enfin les forces de l’Armée de la Lune noire. Il était grand temps de rentrer, et nous le ferons avec les rescapés de ce lieu de mort infâme. Ce pour recevoir nos ordres qui nous reverrait vers de nouvelles terribles batailles. »
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Re: [Rapport d'animations] - Journal de Chantegivre
Journal de Linël Chantegivre, Gardienne, et Maîtresse de la Veille des étoiles.
Huitième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
« Serya était en train de s’équiper non loin de moi. Ce camp de fortune ne ressemblait pas à grand-chose, mais nous avons pu finir de préparer les armures de notre ordre. « Notre ordre », ah ! Abandonnés et trahis par Chantelombre, lors d’une époque révolue, et la voilà désormais de nouveau à la tête des assauts en Sombrivage auprès de nos autres sœurs dirigeants les batailles. Enfilant mon gantelet en inspirant grandement en serrant les griffes d’aciers à mes doigts, il était temps après avoir usé de mon corps et de mon armure de bataille, de combattre sous les traits de la peur à inspiré à nos ennemis.
Referment lentement le heaume en laissant se générer les enchantements liés, nous étions prête à rejoindre l’avant-garde qui mènerait notre groupe élargit par les rescapés du camp des prisonniers, vers la sécurité de l’Armée de la Lune noire. Notre dernière nuit de voyage après avoir tant progresser à travers le territoire pour échapper aux représailles de nos ennemis. Au grand regret de Len’drys, on ne pouvait laisser pratiquement aucun répit aux pauvres civils éreintés et mentalement affectés par de tels voyages, il fallait vraiment partir pour les mettre en sécurité plutôt que de les laissés se reposer avec une dague en travers de la gorge. Malgré les gémissements, les Furbolgs furent installés sur les flancs des rescapés, nos sentinelles surveillants les arrières pendant que la Veille s’assure des avants.
Lamétoile, Len’drys, Brumefeuille et Naiev Murmétoile furent la composition de notre groupe alors que nous nous apprêtions à subir les heures les plus inquiétantes – Approcher de la zone de guerre soulevait le principe qu’il y aurait encore plus d’embuscades et de guetteurs, nombreux seront ceux qui garderont à l’œil d’un territoire contesté entre un camp et l’autre. Et nous voilà à nous jeté droit dans la gueule du loup pour essayer de lui échapper, quel ironie détestable, mais nous étions à ce moment loin d’imaginer quels types de perfidies les Réprouvés allaient préparer pour essayer de nous abattre. Ce qui nous fut l’expérience d’une intense frustration, quand nous reconnaissions à la fin de notre voyage, à quel point de fut un échec pour ceux qui n’ont jamais atteins la sécurité tant voulue. Surtout pour le vieux Olgen.
Le voyage débuta paisiblement, les premières heures étaient encore calme et toujours aussi vide de passage, si ce n’est les lueurs de quelques feu-follets veillant au loin sur nous après nous avoir découvert dans le lieu de repos utilisé après notre échappée du camp de prisonnier ravagé. Rien ne présageait de problèmes quelconques, jusqu’à ce qu’une première horreur apparaisse à nous – des cadavres pendu, une dizaine installés dans les branches des arbres sur la route empruntée. Len’drys venait de se débarrasser d’un tiki troll, visiblement le Chasseur des Ombres nous poursuivait encore, et il était possible qu’il nous ait signalé à ceux qui pourrait nous assaillir, au moins sa « vue » sur nous n’était désormais plus présente. Brumefeuille prit soin d’aller commencer à décrocher les corps dans l’optique d’y mettre feu, mais ce ne fut pas aussi facile que ça. Une première fois, nous voilà tombés dans un piège.
Au moins, nous avons pu limiter cette fois la casse, malgré la chute douloureuse de Brumefeuille quand des griffes vinrent lui tailler la hanche. Les morts ouvrirent leur œil unique écœurant avant un bond agile pour attérir devant nous. La dizaine de Geist n’était pas une épreuve particulièrement insupportable, mais leur nombre et leur agilité hors norme en faisait des adversaires difficiles, c’était d’eux d’ailleurs que je devais ma grave blessure m’ayant entraîné à rester deux semaine au repos dans la citée humaine auprès des Réfugiés. Tous engagèrent le combat malgré notre infériorité numérique nous confrontons à deux contre un, me ruant contre celui s’étalant sur Brumefeuille en appréciant les barrages de magies de Len’drys en ayant occit deux en plusieurs traits les écrasant contre les arbres.
La durée augmenta quand ils se mirent à tournoyer dans tout les sens pour esquivé notre vindicte, si bien que la caravane des rescapés fini par nous retrouver, le Redresseur de tort ne se fit pas attendre pour porter secours à Len’drys en écrasant lourdement celui qui osa se mettre en travers de son chemin. Voyant qu’ils ne feraient pas plus que nous couvrir de quelques blessures, Serya ayant faillit être surpassée fit éclaté sa colère en massacrant deux d’entre eux à toute vitesse, les survivants finirent par s’enfuir. Un seul pu nous abandonner en disparaissant dans les arbres avec une inquiétante expertise. Là était le gros problème avec ce Geist survivant, c’est qu’il faudrait constamment surveiller les hauteurs, tout ce qui doit être observer, pour ne pas qu’il jaillisse de nulle part. Et malheureusement, comme vous le découvrirait, la situation était loin d’être aussi simple. Reprenant l’avant-garde avec bien plus de paranoïa encore, nous ne i aucun temps de recherche ou de pause : A tout moment, une horde de cavalier nécrotique pouvaient se rué vers nous après avoir été prévenu de notre voyage. Continuant donc la route, quelques heures passèrent avant de nous offrir malheureusement aux bras de la mort.
Nous nous étions écartés du chemin pavé de pierre pour avancer sans risque d’autres embuscades sur le trajet évident. Il n’était pas si loin que ça pour avoir un œil dessus, mais suffisamment éloigné pour ne pas avoir à être observé par quiconque installerait un blocage sur le passage. Mais à la place, nous avons vu un campement de l’Armée de la Lune noire. Une dizaine de Sentinelle guettant les environs avec assurance, protégeant le Bien-né et leur officier installé autours d’un étrange rituel au milieu de celui ci. Plus loin dans la forêt, une dizaine de Treant semblaient avoir été figé par la Peste. D’ici quelques temps, ils finiraient comme le destin du pauvre Ivus, affecté par la Peste odieuse et rendu fou. Malheureusement, nous n’avons pas eu le temps et peut-être pas les moyens de les secourir. Rapidement l’inspection fut suffisamment encourageante pour rejoindre les forces elfiques, sans savoir à quel point nous progressions à l’aveugle vers ce qui serait notre chute. Ce manque de recherche affectera tout le monde, je l’espère pour le meilleur, mais en l’instant tous ne pensaient qu’à prendre un peu de repos. L’accueil fut chaleureux, il fut offert à boire et à manger et pendant une dizaine de minutes, tous savourèrent l’idée que nous étions enfin en sécurité. Les rires, les discussions, la paix. Le poison.
Nombreux rescapés s’écroulèrent en toussant, vomissant, ainsi que la plus part des Furbolg. La quasi-totalité des Danse-fourrure furent foudroyés pratiquement immédiatement, ce fut un massacre, là où peu des réfugiés avaient vraiment été tué sur le coup. Se riant de nous, le voile illusoire du Shal’dorei se dissipa en laissant celui ci nous regarder avec mépris, arrogance, aux côtés de la Forestière-Sombre qui nous souriait en appréciant l’idée de la rejoindre dans la mort. Il fallait agir vite, mais difficile d’affronter la dizaine de Réprouvé ayant prit la place des Sentinelles, tout en offrant l’eau de Puits de Lune à ceux qui pouvaient encore être sauvés. Serya Lamétoile fit un terrible choix : S’offrir comme cible. Pendant que Len’drys se remettait de ce qui lui floutait l’esprit, Sidhia dans les arbres délivrait de nombreux tirs pour empêcher l’Arcaniste Sacrenuit de faire usage de ses terribles sorts. Naiev fit bon rôle en ordonnant aux Sentinelles de sauver ceux pouvant l’être, ce qui nous mettait en situation de combat difficile : Cinq contre douze, car tout nos alliés étaient chargés de protéger la vie de ceux pouvant encore être sauvés.
Serya était au sol, la multitude d’adversaire l’avait renversé et blessée de part en part. Intervenant en vitesse, la Forestière-Sombre fut terrassée en passant par la plaie que Narka avait déjà laissé de ses griffes, le grand félin gisant plus loin en essayant de se relevé à cause de la plaie à son flanc. Si le Shal’dorei voulu intervenir, il reçu l’anti-magie de Len’drys qui empêcha l’usage de tout ses sorts un court instant, suffisant pour qu’une flèche se plante aussi-tôt dans son crâne en mettant fin à sa tyrannie magique. Rapidement, ce fut une bataille ordonnée face aux Réprouvés, frappant dans tout les directions autant que les traits fusaient ici et là. Des rugissement de frustration se mêlaient aux cris de paniques de ceux fuyant, plusieurs autres tués sur le coup par les traits des Réprouvés décidés d’en laisser le moins partir vivant possible. Et le Geist… Cette horreur bondit dans le tas de rescapé fuyant, avant d’être massacré par Naiev après avoir éventré une des jeunes Kaldorei au milieu de la foule. Nous finissions cette bataille sur une étendue de cadavre dont nombreux étaient des nôtres.
Au final, peu de prisonnier avaient été massacrés, car grâce à des actions rapides la plus part furent soignés rapidement avant de mourir du poison, mais ce fut pour les Danses-Fourrure que ce fut un coup vraiment abomination : Il ne reste que quatre furbolg, Olgen regardait sa famille décimée d’un air absent. Les survivants le poussant pour parvenir à poursuivre notre départ. Nous avions promit de les mettre en sécurité et au final, pratiquement tous ont périt des sournoiseries des Réprouvés. Les heures de marches suivant nous menèrent jusqu’à Bashal’Aran, enfin nous sommes en sécurité alors que nos alliés prirent soin de venir en aide aux rescapés. Observant les étendues en guerre depuis un balcon du Hall des Chasseresses, nous prenions un repos bien mérité tous épuisés de cette misérable situation. Effectivement, nous avons fini notre mission, et ramenés le plus en vie possible en sécurité. Mais à cause des pièges subis, beaucoup sont morts sur la route. C’était pour beaucoup d’entre nous un échec. Un échec, que nous nous promettons de faire payer à la Horde bien plus qu’elle nous à fait subir. Zin-al-Teldrassil. »
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Neuvième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
« Notre première journée de repos fut des plus agréables, car il n’y avait pas cet instinct paranoïaque que tout pouvait venir nous chercher pour nous tirer du repos et nous tuer avec moult violence. Bien entendu, en zone de guerre, même la sécurité des domaines fortifiées est relative à la brutalité de l’assaut reçu de la part du camp adversaire. Mais dans l’heure, après la douloureuse défaite engendrant la mort de la quasi-totalité des Danse-fourrure, nous avions bien besoin de prendre le temps pour que notre moral revienne après cette dizaine de jour à parcourir les forêts et à assaillir l’ennemi depuis le Bosquet d’Odoh.
Maintenant, nous sommes prêts à recevoir nos ordres, mais les rapports offerts affirmaient que certaines tâches nous incomberait plus aisément que des envoies de troupes massives. Pendant que Cirmo organisait la chute de la Scierie gobeline proche du bosquet d’Odoh, nous avions de notre côté à nous occupés des affaires plus proches et peut-être plus inquiétante encore depuis que nous n’avions pu nous en charger jadis. Un de ses objectifs concerne les corps des Danse-Fourrure, dont ceux n’ayant pas pu être brûlés ont fini par disparaître au moment où les patrouilles de la Lune noire ce sont rendue à l’emplacement de l’ancien campement Réprouvés pour faire en sorte qu’il ne soit plus qu’un lointaine souvenir. Quelque chose avait récupérer ses corps, et par respect pour Olgen et le destin des siens, il était de notre devoir d’agir pour récupérer ceux qui ont disparut, pour leur épargné une vie de vile corruption.
Néanmoins, il y avait autre chose à faire, et il était certains que les Treants retrouvés allaient joué un rôle dans les problèmes des environs. La dizaine de protecteurs avaient disparut du lieu où la peste les avait envahit, des traces de pas bien plus massifs avaient été retrouvés non loin des lieux où ils étaient, signifiant que quelque chose était venu les chercher, les autorités de la Lune Noire pour ceux s’occupant des occupations de notre veille craignant clairement la présence d’une sorte de meute d’entités corrompues allant traquer d’autres treants survivants pour les faire grossir leur rang, et dévasté ceux des loyaux défenseurs de la Nature. Il fallait donc connaître notre priorité une fois l’exposé de nos tâches confiées par le Druide Cirmo, une fois que tout ceux prêts à partir en mission avaient fini par nous rejoindre.
Les Druides Umbriel Murmétoile et Thaerlen étaient présent, ainsi que Brumefeuille devenue initiée Guetteuse sous notre tutelle. Carïn Grise-Lune était là, tout comme nos camarades habituels, Len’drys et Serya Lamétoile. La veille était réunie, et la Veille avait parlée. Tout le monde souhaitait venir en aide rapidement à Olgen, chef des survivants des Danse-Fourrure après ce que nous avons vécu ensemble, et nous sommes parti à sa rencontre. Ou du moins, nous devions, mais il était parti en laissant les siens derrière. Menant vaguement l’enquête, il y avait comme un mystère sur sa disparition qui débuta par l’inspection de la tombe de son fils. Sans savoir quel problème grandiose nous allions découvrir au début de cette histoire.
Les environs de la tombe étaient vivant, des animaux errants enfin comme un véritable bout de nature de Sombrivage. Olgen n’était pas là, mais la tombe étrange s’y trouvait, alors que tous se mirent à inspecter les lieux. Il n’y avait pas de traces de batailles ni de combat, mais au moins des traces du passage du Sombrelance ayant laissé au moins une emprunte derrière lui. Nous étions sur le point de nous lancer sur une enquête, pratiquement sur le point de nous mettre en route, mais s’occuper de la tombe fit apparaître quelque chose qui aurait du rester sous terre : Le Tiki troll semblait presque nous observer dans des flammes tournoyants dans son regard, et disparut aussi-tôt, lui et l’horizon entier.
Lentement, comme prit dans les ténèbres, nous sommes réapparus en Orneval dans un territoire encore magnifique, sublime, mais couvert de cadavres de bien-nés. Rapidement, nous avons été rejoint par Cirmo et une Prêtresse de la Déesse majestueuse mais dont la voix était remplie de poison – Elle rejetait grandement Lamétoile en l’accusant de trahison, une Guetteuse s’écroulant contre Serya en s’effondrant lourdement par terre. Perdant la vie contre la Gardienne, pendant son accusation : Nous étions en train d’être accusés de la mort de nos dirigeants à cause de la fureur de Dame Chantelombre, et il fallait répondre de tels crimes. Serya fout prise dans les sarments, et nous avons prit le soin de vérifier les environs en reconnaissant la présence d’un maléfice, Thaerlen avait déclaré avoir ressentit ce lien entre le Tiki et Serya. Mais ce fut trop tard pour le frapper, Carïn était prit de folie quand elle fit les deux Kaldorei devenir des non-vivants, ainsi que notre propre peau, mais tout se brisa dans une intense douleur mental alors que Brumefeuille inspectait la Guetteuse. Qui était finalement, le Tiki.
Celui ci disparue en ramenant les ombres pour une nouvelle scène, passant d’un esprit à un autre pour essayer de nous briser psychiquement. La suite nous mena à Eldre’Thalas, dans les limbes de la conscience de Len’drys, alors qu’un enfant se rua vers nous pour se caché derrière notre Bien-né pour fuir les Ogres nous fonçant dessus en rugissant. Désormais, notre groupe cherchait des lueurs bleutés brillantes signifiant sa présence, mais il commença à jouer de pièges pour nous empêcher de le trouver : L’Ogre de tête portait un collier luisant de telles lueurs, et nous nous sommes concentrés dessus, pour mieux découvrir que le Tiki était l’enfant, et que la souffrance mentale de la fin de l’illusion ressurgir plus brutalement encore.
Ensuite, ce fut le tour d’un souvenir d’Umbriel quand nous fûmes amenés aux pieds de Nordrassil avant son ravage à la troisième guerre. Un enfant riant et jouant avec des papillons autours de la Druidesse, pendant qu’une vieille femme s’occupait tranquillement. Le hurlement de l’Eredar rugissant se fit audible, et il était temps de partir en vitesse avant de subir de nouveau une atroce douleur. La vieille femme plus éloignée avec son bâton était plus suspecte, et fut la cible de l’ire de Lamétoile et Thaerlen, mais Len’drys avait vu juste dans le petit jeu du Tiki : Il tira un trait de feu sur le bâton, et celui ci émit un hurlement de souffrance quand l’esprit du Tiki fut blessé.
La dernière scène apparue en laissant Umbriel un bref instant avec cet enfant qui disparue en dernier, nous laissant dans une version de Darnassus dévorée par le Cauchemar. Dans une sphère d’énergie, dernière résistance là où tout était détruit, rongé par les énergies entraînées par ce traître heureusement défunt qu’était Xavius. Brumefeuille passa outre tout les pièges – Car la plus part des choses brillaient de cette lumière bleuté autours de nous. Brisant le Tiki en le fendant en deux, quand lui avait prit forme du jouet d’une petite fille inconsciente au sol. Nous libérant enfin de ce sortilège infernal.
Malgré notre piteuse état mental due aux deux premiers échecs, il fallait retrouver plus rapidement encore Olgen, les feu-follets avaient déjà découvert la piste pour Thaerlen que Len’drys pouvait suivre en direction du Chasseur des ombres. Brumefeuille et Grise-Lune furent envoyé dans les arbres autours de nous, pendant que nous surveillons les environs avec Lamétoile. Le druide devait protéger l’esprit du bien-né poursuivant les ombres, car comme un phare dans les ténèbres, il se mit à attirer les esprits environnant d’âme rongée par la folie qui vinrent l’assaillir sans cesse. Ce fut difficile pour eux d’avancer, surtout que les environs été recouvert des corps des Furbolgs animés par des esprits malsain liés au Chasseur des Ombres.
Deux nous barrèrent la route, et les autres furent éloignés par les combattantes dans les forêts ayant été rejointe par une jeune Kaldorei des nôtres du nom de « Moineau ». Pour elles, ce furent une véritable bataille dans les forêts en passant d’arbre en arbre pour fuir le surnombre de ceux qui n’avaient pas pu être consumés par les flammes pour Len’drys. Mais le cri de Carin nous laissa une suggestion d’aide appréciable – Viser la tête, ce qui devenait logique pour de telles entités, suggérait aussi peut-être la présence d’un totem interne pour les eveillés à un tel état de conscience morbide. Les deux Furbolg nous faisant face furent massacrés rapidement en ouvrant le passage quand ceux suivant la piste des ombres durent se hâté devant les assauts répétés des esprits ne cessant de les assaillir. Je hurlais le départ, mais ceux dans les forêts n’eurent sûrement pas le temps ni la chance de pouvoir se désengagé. La situation pour elles étaient désastreuse car tout n’était que fuite et assaut rapide finissant rapidement en danger de mort violente quand les furbolg parviendraient à les rattrapés.
Il n’était plus question de se détourné de la cible pour les secourir, elles étaient livrés à elle même dans les bois où comme des Kaldorei, elles feront montre de l’expertise des forêts pour affronter un ennemi enragé. De notre côté, nous avons rejoint finalement Olgen installé auprès de son fils, bien debout qu’il l’observait, les lueurs bleutés dans le regard. Une lame tournoyant et frappa brusquement Serya alors que les Sombrelances furent surface en engageant la conversation. Après une courte discussion, Thaerlen se ruant sur Olgen pour l’attraper et le sonner le temps d’abattre les maudits Trolls. Le combat fut déchaîné, les compagnons du chasseurs des ombres tombèrent lentement alors que Len’drys bondissait sous la forme d’une petite grenouille. Rapidement, il se retrouva isolé en déchaînant les forces des esprits autours de lui. Lamétoile s’écroula lourdement au sol, inconsciente en fumant encore alors que Tharlen gisaient par terre plus loin, prit par les ombres d’un serpent obscure l’ayant emporté.
Mais en guise de punition, il fut brusquement executé en frappant pour l’abattre, gisant au sol en s’élevant légèrement ensuite dans des rires hystériques, saluant son Loa qu’il voulait désormais retrouver. Les Furbolg dans la forêt, se dissipèrent en poussière autant que l’enfant. Grâce à la discussion entre notre Druide et Olgen, le vieux Furbolg reprit ses esprits et se pardonna pour sa folie. Enfin, le Troll nous pourchassant depuis le camp des prisonniers restait mort. Nous rentrions lentement vers les forces de l’Armée de la Lune noire, en me demandant quels seront nos prochains adversaires, tout en ayant une légère pensée pour la Graine de l’Enfant-Monstre usé par les perfides Naga. »
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Re: [Rapport d'animations] - Journal de Chantegivre
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Dixième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
« Notre dernière mission avant de partir de la sécurité relative du domaine principale de l’Armée de la Lune noire. Au profil de ce lieu paisible, nous avons pu au moins savourer le repos agréable en vertu de la Fête Lunaire, pour honorer nos ancêtres. La soirée fut confortable, des bonnes boissons se mêlèrent aux rations nourrissantes et de bon goût, surtout des spécialités Kaldorei à laquelle se mêlent quelques denrées typiquement Naine, ou Gilnéenne. Ceux de la Veille furent rejoint de quelques personnes de passage venant célébrer en notre compagnie lors d’une unique et paisible soirée. C’est donc avec le cœur léger que cette nuit passa pour laisser une journée de repos toute aussi confortable avant notre prochaine et dernière mission avant que l’Armée de la Lune noire ne nous renvoie explorer les terres pour une nouvelle mission incluant un voyage parmi le danger, et un rôle dans cette guerre. Cette fois, la mission concernant les Treants souillés par la peste, ceux ayant été découvert au campement réprouvé ayant volé tant de vie ayant disparut, d’autres avaient été malheureusement signalés de part des d’autres de la forêt sur le chemin emprunté pour mettre les réfugiés en sécurité. Il était de notre devoir de les retrouvés pour les détruire avant qu’ils ne souillent d’autres protecteurs éparpillés et cachés dans ce qu’il reste de nos terres.
C’est un groupe ayant reposé leurs blessures qui se retrouva au Hall des Chasseresses pour parler de notre objectif actuel, tout en discutant des derniers projets qu’il était possible de mené en ce lieu. Bientôt, nous serons loin des protections et des demeures plus tranquilles, et il faudrait s’adapter en délaissant derrière nous les habituelles occupations mais aussi les petits projets de vies possibles. Pour l’heure, la conversation était compliquée car il opposait deux visions des choses pour atteindre les treants souillés – Certains désiraient partir à sa traque en utilisant les forces de la nature pour remonter la source du mal, en interrogeant les treants encore pure ou les esprits, et d’autres désiraient menés une chasse plus terre à terre en partant vers le campement dévasté où se trouvait les treants souillés que nous avions abandonnés lors de la route des rescapés du camp des prisonniers. Tranchant la question pour ne pas tourner en rond, j’ai déclaré l’envoie de notre veille vers l’ancien piège bien que cela me remémorait amèrement le massacre des Danse-Fourrure et de quelques rescapés.
Notre groupe quittant Bashal’aran avait été bien constitué, notre Veille prenait forme avec ses alliés habituels, mais l’absence de nos druides aura été une tare pour cette tâche, mais nous devons aussi nous habitués à apprendre à nous battre sans que le pouvoir de la Nature nous assiste. Sidhia Brumefeuille, les sentinelles Elyndia Tyran’del, Carïn Grise-Lune et Naiev Murmétoile, ainsi que la jeune « Moineau » formeraient à elles cinq des combattantes efficaces pour agir rapidement dans les ombres de la forêt. Serya Lamétoile et moi étions habituellement celles marchant de front, auprès de Len’drys Molothress. C’est toute cette équipe qui fit marche en direction de l’ancien campement, prenant le temps de vivre les quelques heures de routes tout en ignorant que cette histoire serait bien plus complexe qu’une simple élimination dans les forêts.
Notre chemin nous mena sans problème après quelques heures de route jusqu’au campement abandonné lors de notre dernière ligne droite. Les tentes étaient encore écroulées et il n’y avait pas de signe d’activité si ce n’est deux treants cherchant quelque chose, tout à fait sain de corps, et il se dégageait de ce lieu un véritable plaisir, nous attirant là bas en nous laissant espérer que ce lieu avait été comme nourrie et soignée par la Nature même. Bien entendu, nous avions déjà fait une erreur une fois, hors de question d’être suffisamment sot pour le faire souvent, malgré la franchise de ce sentiment de quiétude. Toutes nos guerrières s’éparpillèrent, entres les hauteurs, les fourrés et les arbres, en un instant autours de nous se trouvait un véritable cordon de surveillance Kaldorei. Lamétoile relevé la terre d’une motte en découvrant un piège à l’intérieur. Ce n’était pas une mine gobeline, mais bien une sorte de mécanisme réprouvé contenant une fiole de peste, il y en avait plusieurs le long de la route. Nous avons donc prit soigner de progresser en faisant bien attention à nos pas, mais un trait fusa pour s’écraser contre un piège dont la fumée s’éleva d’un coup.
Esquivant les contraintes de la Peste, nous avons réagit aussi tôt, une explosion arcanique fit s’écraser une apothicaire paniquée rapidement récupérée par les mains de Moineau sortant de nulles part, qui sauva la vie de cette source d’information avant que la témérité excessive ne l’atteigne, Lamétoile blessant Moineau dans ce vent de volonté à punir bien trop hâtivement. Le bouclier arcanique de Len’drys se dressa autours de la jeune guerrière et de sa prisonnière pendant que de toute part, des Réprouvés sortaient de leurs fourrés pour nous assaillir. Certains étaient cachés dans les tentes, allongés au sol et furent dénichés par Carïn quand y s’extirpa avec une flèche dans la hanche. Partout, des combats s’entamèrent entre les nécrogardes et nos combattantes infiltrés de tout les côtés, Len’drys jouant de sa magie au milieu de la foule combattante pour soutenir et abattre.
Plusieurs des nôtres furent blessés pendant l’affrontement, Elyndia toussait encore à cause d’un relent de peste et Sidhia avait reçu de la mixture acide. Pour ma part, je m’installais après l’affrontement contre une caisse en prenant soin de m’occuper de mon épaule ayant reçu un carreau que j’ai eu la bétise d’arracher au lieu de cassé. Dans la fureur de l’instant, on est parfois confrontés à des erreurs basiques. Les deux prisonniers nous observèrent de deux façons bien différentes – Un seul nécrogarde survécu, et l’Apothicaire, installés les deux par terre en nous fixant avec peur, ou avec haine pure en serrant les mâchoires.
Face à son hostilité et ses menaces, il fut exécuté sommairement par Lamétoile pour laisser l’Apothicaire poursuivre son récit, pendant que Moineau discutait avec les deux treants ayant reprit leurs esprits. Ceux ci révélèrent que les Réprouvés attiraient les treants et autres esprits de la nature ici pour les capturés, grâce à la Branche d’un ancien pulsant d’une énergie pure et agréable que nous avions ressentit plus tôt. Et l’interrogatoire révéla que les treants souillés étaient usés par la « Dame des Rauques esprits », un commandant Réprouvé ayant mené l’opération de souillure. Si nous voulions sauvés l’Ancien, il fallait d’urgence le rejoindre avant sa contamination, et c’est guidé par l’énergie de la branche que nous avons pu nous mettre à parcourir le terrain en direction de son lieu de refuge.
Le voyage fut rapide, à travers une forêt qui semblait avoir été traversée par une entités si infusée par cette écœurante peste qu’elle laissait des passages putrides le long de sa route comme un chemin à suivre à travers des restes suintants de cette corruption. Définitivement, les Réprouvés devenaient semblable à leurs maudits créateurs du Fléau si bien que je me demandais si ils ne voulaient pas faire de nos terres, des nouvelles Maleterres. Progressant jusqu’à notre cible, l’Ancien était comme figé dans le temps par les émanations chaotiques de cette infâme peste ne cessant de le harceler comme une fumée verdâtre glissante le long de son écorce. Nous n’avons pas fait attention à ce qui pouvait se trouver dans les environs proches, si pressés que nous étions à le secourir, il était visible que la dizaine de Treant serait aussi difficile à abattre que impossible à déplacé.
Ce qui changea la donne, fut l’instant où Len’drys isola l’ancien en générant une barrière arcanique sur laquelle s’écrasait la peste, et petit à petit les Treants reprirent conscience et se mirent à nous considérer comme la menace que nous incarnions pour eux. Les affronter et les détruire restait possible mais dangereux, en absence de notre Prêtresse Rêvelune ou de nos druides, les protections étaient mitigés pour pouvoir frapper de toutes nos forces sans recevoir des parties de pestes intégrés à l’intérieur de leurs carcasses. Ce fut grâce aux eaux des puits de Lune acquise, bien que cela en dépensa une malheureuse et grande réserve, que nous avons pu les purgés de ce mal les maintenant en vie, pour les laissés dépérir au sol tragiquement. Suite à l’usage des eaux, et à la récupération de la Branche, l’Ancien s’éveilla lentement et reprit conscience en piétinant deux des treants assaillants restant pendant que nous aidions Grise-Lune ayant été écrasée contre une souche. Les plaies pouvaient maintenant être refermées et le repos bien mérité, débuté.
L’éphorie d’une victoire gagnait peu à peu les esprits de tous, car malgré la réussite face au Sombrelance dernièrement, il n’y avait rien à y gagner, uniquement à nous empêcher de tout perdre. Cette fois, nous pouvions revenir la tête haute en accompagnant ce nouveau protecteur qui rejoindrait la force de la Lune noire, mais nous étions trop centralisé sur cet évènement. L’Apothicaire avait été tuée par un carreau d’arbalète proche, alors qu’elle restait attachée à un arbre non loin de l’ancien, ce fut seulement Lamétoile qui s’intéressa au fait de sécurité les environs proche en cas d’embuscades. Et elle nous observait, depuis le début, elle regardait notre troupe s’enorgueillir de son triomphe en préparant sa propre victoire – Si Serya ne nous avait pas alerté, il aurait été trop tard pour agir. Mais avertit à temps, le tonneau étrange fusant dans les cieux fut interceptés en même temps que Len’drys leva un bouclier arcanique pour protéger l’Ancien.
Si il s’était prit le tonneau, il n’y aurait pas eu de souillure, pas de corruption. Il serait mort, face au déferlement d’énergie Azéritique libéré par la déflagration qui nous laissa tous à terre. Lentement au loin, nous pouvions voir la Dame des Rauques Esprit dans son apparat sinistre, comme un monstre n’ayant jamais pu naître humaine, disparaître avec son chariot lanceur et ses nécrogardes. Plusieurs des nôtres étaient épuisés par ce fracas, étalés au sol dans la poussière et la douleur. Les Réprouvés ne se tenteraient pas à sacrifier trop de leurs guerriers face à l’Ancien qui aurait pu les piétinés sans vergogne. Elle reviendrait, de nouveau, le moment venu, et c’est sur cette frustrante finalement que nous avons tout de même pu rentrer chez nous avec celui que nous avons sauvé. Elle payera, le moment venu, mais ce ne sera pas cette nuit. Cette nuit, nous rentrons auprès des nôtres triomphant, en pensant déjà à notre prochaine mission. »
Vastelys- Personnages Joués : Vastelys Douxfeuillage
Re: [Rapport d'animations] - Journal de Chantegivre
Journal de Linël Chantegivre, Gardienne, et Maîtresse de la Veille des étoiles.
Onzième entrée – Territoires elfiques de Kalimdor, en Sombrivage. "La Gangrène au cœur du combat. "
«Le voyage débute. Ainsi notre mission nous à été confié, et il est temps de partir de la sécurité du camp de l’Armée de la Lune noire pour parvenir à comprendre ce que signifie précisément l’objectif de notre enquête : des traces de corruptions gangrenées retrouvées plus au nord. L’Alliance comme la Horde s’interroge quant à sa signification et les deux camps risquent d’être affectés si cela s’aggrave, et pire encore si la Horde parvient à dominer ce que nous voulions découvrir. Que cela soit des traces d’invocations ou bien d’un sortilège, il y avait donc des démonistes renégats ou bien même un démon errant pouvant être manipulés, et il était hors de question qu’il soit asservit par la Horde pour être utilisé face à nos sœurs en tant que machine de guerre.
Réunissant nos affaires, nous nous sommes retrouvés au Hall des Chasseresses en discutant ensemble tout en profitant de la paix du lieu. C’était la dernière fois, car la suite serait des voyages le long des forêts, toujours dénués de vies pour la plus part, depuis que cette guerre bouscule tout. Sous la bénédiction de la Prêtresse Yorae, convoquant les bien-faits de la Déesse en nous regardant partir sans même savoir si nous reviendrons ici, ou bien, pas avant bien longtemps. Notre groupe lors du voyage était constitué de la Sentinelle Carïn Grise-Lune, ainsi que de notre Druidesse, Umbriel Murmétoile. Len’drys était présent, tout comme Serya Lamétoile. S’y ajoutant cette nuit, un allié pour notre Veille ayant fait vœux de nous suivre pour défendre les terres elfiques : Le Gilnéen, Crizis Hargo, ayant déjà guerroyer pendant la Guerre des épines auprès des Kaldorei. Mais celle qui provoquait le plus de doute était bien la présence de l’Illidari Praedam, inquiétant quelque peu l’ensemble du groupe. Rares sont aussi habitués que moi à la présence des Chasseurs de Démons, depuis que je combattais dos à dos avec Yldaros Dorlan, « Les serres du corbeaux. »
Faire avec ce que nous avions été la clé pour le triomphe, tout en espérant que ça ne scinderait pas la Veille face à la colère qu’incarne de tels êtres. Notre voyage fut long, et débuta par des longues heures de marches à travers bois et routes brisés pour atteindre notre destination à des jours de là. Y aller dans les cieux était nettement trop dangereux, le mieux était un voyage lent et discret là où personne n’irait nous causer des problèmes.
Le regard de l’Illidari ne fut toute fois pas dupe quand quelqu’un fut découvert caché sur la route. Len’drys identifia bien la magie arcanique pendant qu’Hargo veillait à ce qu’il n’y avait personne dans les environs. Les multiples inspections confirma qu’il n’y avait personne d’autre que nous et cette personne dont le sort fut brisé par l’anti-magie de Len’drys. Dans un instant de panique, il voulu fuir, mais Lamétoile la plaqua brutalement au sol sans cette fois lui faire le moindre mal autre que son écrasement. Un Sacrenuit, un jeune Shal’dorei totalement paniqué expliquant que son maître l’avait envoyé ici pour une prophétie inquiétante qui avait fait frémir Blanc-Poil aussi quand il l’entendit plus tard. Une courte conversation fit comprendre que ce Elthien n’était clairement pas là pour guerroyer, mais la tyrannie de celui l’amenant ici l’avait mêlé à des batailles. « Lorgnefer » avait prévu de massacrer nos sœurs plus au nord, et nous partions rapidement à sa rencontre après avoir abattue un Aigle qui espionnait la zone. Ce qui provoquerait un conflit qui fut difficilement apaisé avant même que le combat ne débute. Mais ça, nous n’avions pas encore le temps de le comprendre.
Fonçant à travers les terres, Len’drys fini par parvenir à nous téléporté grâce à la compétence du jeune Sacrenuit ayant prit l’illusion d’un Kaldorei en tenue très … atypique, ayant voulu imité les habits druidiques de Umbriel. Carïn et Crizis ayant continués leurs ruées vers la position, nous arrivions directement avant eux sur une plage au nord pour y voir l’étendue d’un champs de bataille en court. Une Chasseresse en autours de bataille noble criait des ordres à des Sentinelles luttant contre des Orcs essayant de prendre place sur ce terrain.
Une ligne de guerre défendait un Chaman concentré sur une tâche inconnue, aux côtés d’un Haut-Roc l’air haineux, courroucé par la perte de son aigle, les deux Taurens restant côtes à côtes auprès d’un Pandaren concentré sur les brumes qu’il générait dans les flots derrière lui, inspirant et restant concentré sur sa tâche. Des Grunts autours de lui, comme si leurs missions était importante, le plus problématique dans l’instant restait l’immense Troll Berserker gorgé de muscle et de déchaînement qui frappait dans tout les sens un estimé Druide sous sa forme d’ours qui avait visiblement déjà succombé depuis longtemps. Ils ne tiendraient pas, et nous nous sommes rués à leur aide de toutes les directions. Praedam œuvrait pour récupérer le Druide ours agonisant sur la ligne pendant que je m’efforçais de la défendre de mes lames sur le front de guerre.
Len’drys aidait Serya et Umbriel leur de ce combat déchaîné face au Troll immense qui ne fut vaincu qu’à partir du moment où ils luttèrent en coopérant. Les assauts étaient impossibles seuls, résistant et se régénérant bien trop vite pour tomber facilement, il ne fut néanmoins pas de taille à subir le pique de givre enfoncé dans son torse par Serya après que Len’drys l’ait généré, hissant un mur de glace dans lequel Umbriel l’encastra pendant sa ruée. Il perit en voyant son corps transpercé de part en part, quand nos combattantes essayaient de reculer : Crizis et Carïn étaient apparue dans le dos de l’ennemi, le Worgen ayant tué plusieurs Grunts pour atteindre le Pandaren, avec l’aide de Len’drys, celui ci fini par perdre sa concentration et les brumes disparurent, laissant apparaître le cuirassé orc immense et la présence de Lorgnefer. L’Ogre en armure de fer gargantuesque et comme enflammé riait en nous voyant le contemplé sur son navire de mort. Le combat était déjà difficile et trop coûteux, là, cela devenait du suicide de rester ici.
Et tout les cors de retraites furent sonnés surtout en voyant son canon préparer une étoile de fer pour nous tirer dessus. Nos deux alliés partaient rapidement en quittant les arrières de l’ennemi, poursuivit par des Grunts et le Haut-Roc déchaîné par sa haine de ce qu’il s’est passé. Pendant que nous repoussions la Horde pour permettre la fuite, il était visible que nous n’y arriverions pas à temps. La mort enflammée approchait, et tous se rassemblèrent autours de Len’drys. Elthien était totalement paniqué, apaisé lentement par Umbriel alors que tous se préparaient à recevoir l’énorme tir en pleine figure. Le sifflement énorme, le projectile de mort partant dans les cieux. Tout était vraisemblablement perdu alors que tous perdaient espoir.
Dans les forêts, Crizis et Carïn durent se battre en combat de forêt, les trois Grunts ne firent pas le poids face à eux dans un environnement bien plus contrôlé alors qu’ils avaient été malmenés sur les sables de la plage. Épargnés de la présence du Haut-Roc, ils ne pensaient pas à cet instant à quel point il irait loin pour en finir et nous pourchasser aveuglé par sa colère, tout en subissant les caprices de Lorgnefer. Isolés et perdu dans la forêt, ils purent au moins se repérer comme tout le monde sur une vaste étendue à la ronde, au claquement puissant de l’énergie arcanique mêlé à la vision éphémère mais puissante d’un éclair mauve symbolique de la téléportation. Reconnaissant là, la marque de Len’drys, les menant directement vers nous qui avions atterrir plus loin de la plage hors de portée des canons et des ruées bestiales, nous nous occupions des Sentinelles dont certaines vomissaient au sol devant la brutalité et la vitesse de transfert les ayant malmenés. Nous nous regroupions, mais la clé de cette fuite était de partir rapidement vers nos objectifs respectifs pour informés notamment la Lune noire de la défaite de nos forces sur cette plage où s’installeront les forces de l’Ogre enragé.
Mais avant que nos camarades ne nous soient revenue, un bruit lourd et puissant de moteur crachant de la fumée s’éveilla, laissant voir dans les cieux la machine volante gobeline où était installé deux guerriers envieux de plus de sang, mené par le Tauren de Haut Roc nous fixant avec une colère sourde depuis que son désirs de vengeance n’était pas assouvit. Le missile de la machine explosa sous le rayonnement lunaire de notre Druidesse, rapidement celle ci fut assaillie de toute part quand elle se bloqua dans le câble elfique l’empêchant de se mouvoir, dans des bruits de machineries gémissantes. L’énorme oiseau sorti de nulles part, Blanc-Poil sous cet aspect attrapa la gobeline en la sortant de sa relative sécurité un instant avant qu’elle ne reçoive une flèche de Grise-Lune en plein torse. La machine était sur le point de s’écraser, un Orc bondissant de celle ci frappa quelque chose et elle se mit brusquement à avancer en tirant de toutes ses armes, crachant des nimbes de fumées en essayant d’être retenue par Len’drys, mais ce fut l’intervention rapide de Sidhia Brumefeuille bondissant hors de sa cachette pour frapper dans les moteurs et la faire explosée en l’air. Elle fut secourue par Umbriel qui la récupéra d’un coup dans les airs et pendouillait dans les branchages, soulevée par la nature malgré le passage des flammes l’ayant maltraitée.
Les Orcs firent un baroud d’honneur, mais pas suffisant pour ne pas être écrasé par nos lames, quelques blessures gagnées pour Serya et Carïn un instant avant la fin de l’affrontement – Crizis avait été écrasé par le Tauren de Haut-Roc, mais Blanc-Poil réussi à l’apaiser avant de discuter avec. Prenant le temps de le comprendre, de voir quel maux pouvait bien l’avoir mené jusqu’ici, et surtout, quels regrets pouvait bien le renvoyer vers ses montagnes. La conversation se passa sous la tension, jusqu’à ce que le calme revienne doucement en nous épargnant une nouvelle exécution. Il désirait autant que nous abattre Lorgnefer, et nous le menions vers la tombe de son aigle qu’il honora en mettant cette mort sur le compte de celle qui avait voulu cette guerre. Tous ne pourront pas être convaincu de la sorte, loin de là, mais si il était possible d’évité le plus de massacres possibles des races les plus sensibles. Alors Justice sera rendue. Et alors que nous sombrons dans le repos, au milieu de la nature dans cette première halte lors de notre voyage, je m’interrogeais sur le nombre de fois où il faudrait faire de tels choix. »
Vastelys- Personnages Joués : Vastelys Douxfeuillage
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