[Alliance] Les chevaliers d'Uther

~Les Chevaliers d'Uther sont une très ancienne guilde roleplay de WoW, fondée dès le lancement du jeu le 24 novembre 2004 sur le serveur "Conseil des Ombres". La guilde est née de l'union de trois guildes : celle de sire Amandil "les Chevaliers d'Uther", d'une guilde naine et de la guilde de Matmarann. Quelques jours après arrivera la guilde d'Alghur.

Au début, elle a dû trouver ses marques, même si l'axe principal était la foi en la Lumière et une discipline militaro-guerrière. Dans un premier temps, l'Ordre des CDU ne comptait que des membres Paladins et Prêtres. Puis, dans une logique d'extension, sont venus se rajouter les guerriers, qu'ils nommeront Templiers, ainsi que les Mages, qu'ils appelleront Chambellan.

Cette guilde avait pour objectif de protéger et de défendre les valeurs de la Lumière, inspirées par Uther le Porteur de Lumière, l'un des plus grands Paladins de l'histoire d'Azeroth. Les Chevaliers d'Uther étaient réputés pour leur abnégation, leur dévouement et leur fidélité envers leur guilde et envers l'Alliance.

Au cours des années, les Chevaliers d'Uther ont participé à de nombreux combats épiques contre les forces du mal, que ce soit en PVE ou en PVP. Leur présence sur le serveur "Conseil des Ombres" était remarquée et respectée, et leur nom était associé à l'excellence et à l'honneur.

Malgré les hauts et les bas de l'aventure, les Chevaliers d'Uther ont su rester unis et fidèles à leur cause. Ils ont su accueillir de nouveaux membres, former de nouvelles générations de Paladins, Prêtres, Guerriers et Mages, tous animés par la même flamme de la Lumière.

C'est à cette époque que des discordance arrivèrent et Amandil parti et laissa le flambeau à Sire Matmarann et Sire Ethann.

La deuxième époque des Chevaliers d'Uther était né !~


~ Quelques temps après, repartis à deux, les chevaliers d'Uther regagnèrent leur lettre de noblesse et les rangs ne finissaient pas d'augmenter. Ce fut une très belle époque pour les chevaliers. On peut même dire que c'était l'apogée de cet ordre de paladins, prêtres et templiers.

Fortifiés par leur dévotion et leur courage, ils décidèrent de s'établir à Theramore, bien avant sa destruction, et continuèrent de porter secours aux démunis du peuple de l'Alliance, tout en protégeant ses frontières contre la Horde.

Les chevaliers d'Uhter étaient respectés et admirés de tous. Leurs exploits et leurs valeurs exemplaires étaient des sources d'inspiration pour les jeunes aspirants chevaliers. C'était une époque de prospérité et de fraternité, où la justice et l'honneur régnaient en maître.

Leurs compétences martiales étaient sans égal, mais ce qui faisait la force de cet ordre résidait avant tout dans la force de leur unité. Ils étaient unis par des liens indéfectibles, comme une véritable famille. Sous leur bannière, se tenaient des combattants aguerris et dévoués, prêts à donner leur vie pour défendre les valeurs de l'Alliance et protéger les plus faibles.

Les chevaliers d'Uther étaient réputés pour leur générosité et leur empathie envers ceux qui souffraient. Ils se faisaient les gardiens des opprimés et des sans-voix, apportant aide et réconfort à tous ceux qui en avaient besoin. Leurs actions étaient guidées par l'adage "Servir et protéger", qui devenait leur mantra quotidien.

Les jours passaient paisiblement à Theramore, les chevaliers organisaient des tournois, des joutes et des entraînements pour continuer à parfaire leurs techniques de combat. La population les adorait et le respect qu'elle leur témoignait était sans limite. Les chevaliers d'Uhter étaient devenus de véritables héros de légende.

Cependant, le temps ne tarde jamais à changer le cours des choses. La destruction de Theramore par la Horde marqua un tournant dans l'histoire des chevaliers d'Uther. Malgré les tragédies et les pertes subies, leur courage ne faiblit pas, au contraire, il se renforça.

Les chevaliers d'Uther décidèrent de reconstruire leur ordre et de poursuivre leur mission, même si le chemin serait semé d'embûches. Ils n'étaient pas prêts à abandonner leur engagement envers l'Alliance et la protection des plus faibles. Leur détermination était inébranlable.

Ainsi, les chevaliers d'Uther continuèrent de parcourir les terres, répandant justice et espérance sur leur passage. Leur nom était devenu légendaire, chanté dans les tavernes et transmis de génération en génération.

L'histoire des chevaliers d'Uther est celle d'un ordre noble et fidèle à ses valeurs, qui a su résister à l'adversité et rester au service des plus démunis. Ils sont devenus l'incarnation de la bravoure et de la loyauté, une inspiration pour tous ceux qui aspirent à suivre leur exemple. ~

Rapport de Patrouille (de ce mercredi 31/01/24):
La patrouille s'est lancée avec une détermination renouvelée vers le village de Conte d'Or dès que le templier Cyrno a rejoint nos rangs. À notre arrivée, la place du village était animée d'une vie colorée, et c'est là que le destin a joué en notre faveur : nous avons eu le privilège de rencontrer une figure remarquable, une ancienne Chevalier d'Uther, dame Prisme. Ses paroles résonnaient comme des échos du passé, et après des échanges empreints de sagesse, elle a généreusement offert son concours pour retrouver le Commandant Matamarann.

Peu après, dame Hearsk s'est jointe à nous. Nous avons pris la route en direction de la capitale, notre esprit empli de détermination et d'espoir.

Au fil de nos discussions, nous avons décidé de marquer une pause devant la caserne des gardes, décidant d'initier dame Hearsk aux subtilités de la défense, une tâche que Cyrno a assumée avec une grâce remarquable.

Alors que le temps s'écoulait, nous avons trouvé refuge dans l'ambiance chaleureuse de la taverne locale, échangeant des récits et des rires dans l'attente d'une prochaine étape.

Bien que notre chemin ne nous ait pas menés jusqu'à la majestueuse cathédrale, nous savions que ce n'était que partie remise, car nos patrouilles ne faisaient que commencer.

Hier soir, et depuis une décennie révolue, les ombres dansantes et les lueurs vacillantes des torches illuminaient les murs ancestraux de l'abbaye de Conté d'Or. C'était le théâtre sacré où se déroulait, une fois encore, la réunion solennelle des vénérables chevaliers d'Uther. Dans cet halo mystique, imprégné de l'histoire glorieuse de notre ordre, nous nous sommes réunis pour renouveler notre engagement, pour célébrer l'alliance séculaire entre courage et dévouement, et pour perpétuer l'héritage sacré que nos ancêtres nous ont légué.

Hier, les CDUs étaient en mission en Kalimdor pour secourir un tauren fermier en difficulté. Après des heures de recherche et de combats contre les ennemis qui menaçaient sa ferme, ils réussirent à le sauver et le ramener sain et sauf.

La mission fut une réussite, mais il était clair que cette affaire n'était pas aussi simple qu'elle n'y paraissait. Le tauren fermier leur confia qu'il était régulièrement harcelé par des bandits sans scrupules, qui semblaient avoir des intentions bien plus sombres que de simples vols de récoltes.

Les CDUs réalisèrent alors que cette affaire allait les emmener bien plus loin qu'ils ne l'avaient imaginé initialement. Ils étaient prêts à affronter tous les dangers pour protéger ce fermier et mettre fin aux agissements des bandits. La situation était loin d'être résolue, mais ils étaient déterminés à aller jusqu'au bout pour rétablir la paix dans la région.

Hiers soir, alors que les derniers rayons du soleil tombaient sur la cité d'Hurlevent, la cathédrale s'emplissait d'une lumière dorée, éclairant les visages des nobles présents.

Les Chevaliers d'Uther se tenaient en rangs serrés, leurs armures étincelantes reflétant la solennité de l'occasion. Au centre de la nef, sire Percifal se tenait droit, le regard empli de détermination et d'humilité. Les chants sacrés résonnaient dans les voûtes anciennes, enveloppant l'assemblée d'une atmosphère sacrée et solennelle.

À la fin de la cérémonie, les Chevaliers d'Uther, d'une voix grave et unie, remercièrent chaleureusement tous les invités pour avoir partagé ce moment empreint de noblesse et de tradition.

Hier soir, après avoir quitté l'abbaye et chevauché des griffons depuis Comté d'Or vers la Baie du Butin, notre groupe s'est aventuré dans une mission périlleuse.

L'arrivée à Kalimdor ne fut pas de tout repos, mais notre rencontre avec le gobelin Grizzleu a marqué un tournant. Son attitude peu amène et la remise du tabard de messire Barnübas maculé de sang ont semé le doute parmi nous.

Une fois arrivés près du navire recherché, un individu mystérieux nous a barré la route, refusant obstinément notre accès. Même les tentatives de persuasion de sire Clovius et Cyrno se sont avérées vaines. Alors que la tension montait et que des menaces commençaient à être proférées, l'homme s'est évanoui dans la nuit, nous laissant perplexes.

L'exploration de la cale du navire a révélé une découverte surprenante : le Tauren Rucrain enfermé dans une caisse. Après lui avoir prodigué les soins nécessaires, nous avons décidé de faire une pause pour reprendre nos esprits et élaborer la suite de notre aventure.

Dans la lueur vacillante des torches, les chevaliers rassemblés autour de messire Cyrno se préparaient pour leur mission périlleuse. Leur objectif était clair : retrouver leur compagnon d'armes Barnübas, capturé par des forces obscures. Armés de courage et de détermination, ils s'engagèrent dans les brumes de l'inconnu.

Après une traversée tumultueuse, leur navire atteignit enfin l'île de la dispute, théâtre de leur confrontation imminente. Là, face à un chevalier sombre du Norfendre et ses sinistres acolytes, la bataille fit rage. Les épées s'entrechoquaient, les sorts s'entrelaçaient, mais la détermination des chevaliers ne faiblit pas.

Grâce à leur bravoure et leur unité, ils triomphèrent finalement de leurs adversaires, sauvant Barnübas des griffes de la noirceur. Inconscient mais préservé par la magie de la Lumière, Barnübas fut ramené en sécurité à l'abbaye de Comté du nord pour y recevoir les soins nécessaires.

Alors que la mission touchait à sa fin et que la victoire était leur alliée, un voile d'incertitude planait sur leur avenir. Les chevaliers savaient que d'autres épreuves les attendaient, mais forts de leur fraternité et de leur vaillance, ils étaient prêts à affronter l'obscurité qui se profilait à l'horizon.

Hier soir, les chevaliers d'Uther étaient en patrouille, voyageant de Elwynn aux Marchés de l'Ouest, pour finalement arriver à la cité d'Hurlevent.

Sous la direction du Protecteur Benübas, la patrouille s'élança à la tombée de la nuit jusqu'à Conté d'or, où une halte fut nécessaire.
Le village, inhabituellement calme, avait ses prostituées enfermées dans leur auberge.

Après avoir traversé la forêt, ils atteignirent la ferme près de la colline des Sentinelles. Là, le Protecteur autorisa une pause, et un repas préparé par sire Cyrno et dame Dozla fut dégusté.
Avec l'aide des Ecuyers Sire Gabriel et Sire Rewan, les chevaliers vinrent en aide aux fermiers locaux.

Alors que la patrouille reprit son chemin vers la place de la cathédrale, une explosion retentit derrière le bâtiment saint à leur arrivée. Ils se hâtèrent pour secourir les blessés, sachant que c'était leur devoir.

Déterminés à découvrir les responsables de cet acte, le Protecteur appela tous les chevaliers à enquêter et à rendre justice aux victimes innocentes.

Hier soir, alors que nous étions en faction sur la place de la Cathédrale d'Hurlevent, la tension était palpable. Une atmosphère pesante régnait, le danger rôdait une nouvelle fois. Malgré nos boucliers divins, nous étions tous sur le qui-vive, prêts à défendre la cité et ses habitants.

Soudain, un homme sur les marches de l'édifice religieux a déclenché une explosion sous nos yeux. Le souffle de l'explosion nous a secoués, mais grâce à nos protections, nous avons survécu. La Cathédrale a subi de graves dommages, les flammes menaçaient de la consumer entièrement. Sans perdre une seconde, nous nous sommes précipités pour éteindre l'incendie, aidés par quelques personnes courageuses présentes sur la place.

Une fois le feu maîtrisé, un sentiment de tristesse et de colère nous envahit. La cité avait encore saigné, la secte des "Pendus" avait encore frappé. Jusqu'à quand allions nous devoir endurer ces attaques ? Jusqu'où allaient elles nous mener ? Autant de questions sans réponses, mais une détermination inébranlable à protéger le peuple de notre cité, coûte que coûte.

Nous avons soigné nos blessures, pansé nos plaies, et repris notre place. Nous restions en faction, prêts à affronter l'adversité, la lumière à nos cotés et nous n'allions pas faiblir devant l'obscurité qui menaçe de nous engloutir.

L'expédition avait mené les chevaliers d'Uther et leurs alliés des Carmines jusqu'aux portes de l'ancienne cité de Theramor. Les troupes s'étaient divisées pour élargir leurs champs d'action, cherchant des réponses dans des marais périlleux. Le commandeur Ethänn avait échappé de justesse à des sables mouvants, des crocodiles et un serpent avaient mis en péril les chevaliers. Les marais se révélaient être un défi redoutable.

Dans l'obscurité de la nuit, le groupe rencontra Dame Prisme, puis, plus loin, Matmaran, provoquant une discussion intense entre les deux frères retrouvés, avant de décider de retourner à l'abbaye de Comté du Nord. Épuisés par les épreuves et les émotions, chacun regagna ses quartiers pour se ressourcer.

Hier soir, au sein de l'abbaye majestueuse du Comté du Nord, l'atmosphère était empreinte de solennité lors du jugement de Sire Matmarann, vénéré père de Dame Eléonor, devant l'assemblée de ses pairs.

Après de longues heures de débat, le verdict tant redouté résonna dans les murs de pierre ancestraux : Matmarann devrait réaffirmer sa valeur en reprenant humblement le chemin de l'écuyer au sein de l'Ordre qu'il avait lui-même érigé.

Acceptant cette sentence avec une noblesse inébranlable, le nouvel écuyer se leva courageusement à l'heure où le soleil effleurait l'horizon, prêt à renouer avec son destin, avec foi en l'avenir.

Après une longue réunion, les membres de L'Ordre des chevaliers, préoccupés par le bien-être du peuple, ont décidé de ne pas répondre aux injonctions de la Brigade des Carmines.

L'Ordre reconnaît pleinement les actes commis et insiste pour que justice soit rendue aux victimes d'Hurlevent, exigeant que les responsables se présentent devant les autorités d'Hurlevent sans tarder.

Ayant une garantie plus que fragile que plus d'attentats dans la cité Blanche seraient commis, L'Ordre, dans sa neutralité, s'engage à demeurer aux côtés des plus démunis, offrant aide et soutien en ces moments difficiles.

En cette journée, l'Ordre des Chevaliers d'Uther informe que, à la nuit passée, il s'est mis en marche vers les Carmines, au comté du Lac, pour rencontrer la Coalition d'Hurlevent.

L'objectif était d'informer ladite coalition que les Chevaliers d'Uther avaient l'intention de se rendre au sombre comté pour éliminer la menace des morts-vivants qui sévissaient là-bas. Sur place, de nombreuses personnes étaient présentes, et le commandant Kharn a réuni des représentants dans sa caserne pour discuter des rumeurs circulant dans la Forêt d'Elwynn. Il est apparu clairement que les abominations perpétrées étaient le fait d'un chevalier de la mort placé dans le comté pour surveiller la frontière avec la marche de l'Ouest.

Une troupe composée de chevaliers d'Uther, de quelques de croisés ,du sire Leonem et de quelques nobles s'est mise en marche vers le sombre comté, escortée par sa comtesse, pour trouver le chevalier déchu et ses troupes.

Arrivés sur place, ils ont affronté des goules ramenées à la vie par une sombre magie, éliminant chaque créature avec détermination. Après une recherche minutieuse, le chevalier de la mort s'est rendu de lui-même sur un pont proche, affirmant qu'il n'était pas directement responsable des actes, mais qu'un subordonné avait agi de sa propre initiative.

Il a été escorté vers le comté du Lac pour répondre de ses actes devant le commandant Kharn et la chancelière Brekenridge de la Coalition.

Il est treize heure trente quand dans toute la forêt d'Elwynn sonne le glas de l'abbaye de Comté d'Or. L'un des Chevaliers d'Uther est mort ... Paix au Protecteur Barnübas.

Dans l'enceinte sacrée des Chevaliers d'Uther, une atmosphère lourde de chagrin enveloppait les cœurs des fidèles. Malgré le deuil qui pesait sur leurs âmes, une cérémonie des plus importantes était sur le point de débuter ce soir. Les regards empreints de détermination, les chevaliers s'étaient rassemblés pour assister à la purification de l'Ecuyer Rewan, espérant que les Ombres qui le tourmentaient laisseraient enfin place à la lumière.

Les flammes des torches dansaient, éclairant les visages marqués par la douleur et la résolution. Les prières résonnaient dans le temple, mêlées aux murmures des esprits bienveillants invoqués pour assister à ce rituel crucial. Les mains unies, les cœurs unis dans un même dessein, les Chevaliers d'Uther firent face à l'obscurité qui menaçait d'engloutir l'âme tourmentée de leur frère.

Les chants sacrés emplissaient l'air, vibrant d'une puissance ancestrale alors que l'Ecuyer Rewan était soumis aux épreuves de la purification. Chacun des chevaliers sentait le poids de la responsabilité qui reposait sur leurs épaules, mais dans leurs yeux brûlait la détermination de voir leur frère retrouver la paix intérieure.

Après des heures d'efforts acharnés, de lutte contre les forces sombres qui tentaient de s'accrocher à l'Ecuyer, enfin, une lueur d'espoir perça les ténèbres. La lumière de la purification éclaira le visage de Rewan, apaisant les tourments qui le hantaient. Un soupir collectif de soulagement s'éleva parmi les chevaliers, témoignant de leur victoire sur les Ombres.

Cette soirée resterait gravée dans leur mémoire pour l'éternité, symbole de leur unité et de leur détermination face à l'adversité. Pour leur frère d'armes, la lumière avait triomphé, et c'était là la seule chose qui importait aux yeux des Chevaliers d'Uther en cette nuit mémorable.

En cette soirée solennelle, les Chevaliers d'Uther et leurs honorables invités se sont réunis pour rendre un dernier hommage à Sire Barnubas. Cet homme, dont la bravoure et la générosité ont été le pilier de notre fraternité, est maintenant porté par la lumière éternelle vers un nouveau destin. Que ses actes héroïques et sa noble conduite le conduisent vers l'au-delà, où il veillera sur nous tous pour l'éternité. Que son âme repose en paix et que sa mémoire reste gravée à jamais dans nos cœurs, tel un phare guidant notre chemin dans l'obscurité.

Les valeureux Chevaliers d'Uther se sont lancés dans une quête vers les terres inhospitalières des Malterres, où des phénomènes sinistres terrorisent les habitants et les récoltes. Munis de leurs armes affûtées et de leur bravoure inébranlable, ils s'apprêtent à élucider ces mystères qui ensanglantent les Malterres, prêts à affronter tous les périls pour protéger les âmes innocentes qui y résident.

La route qui mène aux Malterres est jonchée de villages désertés et de campagnes ravagées, témoins silencieux de la malédiction qui pèse sur ces contrées maudites. L'air y est chargé de désespoir et de mort, annonciateur des horreurs qui attendent nos courageux chevaliers à leur destination.

Arrivés aux confins des Malterres, les chevaliers font face à des créatures cauchemardesques qui hantent les ténèbres de la nuit, semant terreur et désolation parmi les habitants terrifiés. Les Malterres sont devenues un véritable enfer où le mal prospère en maître absolu, gouvernant sur un royaume de chaos et de destruction.

Déterminés à combattre les forces armées du mal, les Chevaliers d'Uther se dressent courageusement contre l'adversité, prêts à risquer leur vie pour sauver les Malterres de leur implacable destin funeste, UN NECROMANCIEN !. Leur courage et leur abnégation sont mis à rude épreuve, mais leur détermination demeure inébranlable face à l'obscurité qui s'abat sur ces terres tourmentées.

Les habitants des Malterres trouvent en ces nobles chevaliers des protecteurs dévoués, prêts à tout sacrifier pour rétablir la paix et la sérénité dans ce royaume assiégé par les ténèbres. Les Chevaliers d'Uther se tiennent en première ligne pour défendre les innocents et repousser les forces obscures qui menacent de détruire ces terres jadis florissantes, offrant leur bras vaillant pour restaurer la lumière là où règne l'ombre.

Les valeureux Chevaliers d'Uther se sont lancés dans une quête vers les terres inhospitalières des Malterres, où des phénomènes sinistres terrorisent les habitants et les récoltes. Munis de leurs armes affûtées et de leur bravoure inébranlable, ils s'apprêtent à élucider ces mystères qui ensanglantent les Malterres, prêts à affronter tous les périls pour protéger les âmes innocentes qui y résident.

La route qui mène aux Malterres est jonchée de villages désertés et de campagnes ravagées, témoins silencieux de la malédiction qui pèse sur ces contrées maudites. L'air y est chargé de désespoir et de mort, annonciateur des horreurs qui attendent nos courageux chevaliers à leur destination.
Arrivés aux confins des Malterres, les chevaliers font face à des créatures cauchemardesques qui hantent les ténèbres de la nuit, semant terreur et désolation parmi les habitants terrifiés. Les Malterres sont devenues un véritable enfer où le mal prospère en maître absolu, gouvernant sur un royaume de chaos et de destruction.
Déterminés à combattre les forces armées du mal, les Chevaliers d'Uther se dressent courageusement contre l'adversité, prêts à risquer leur vie pour sauver les Malterres de leur implacable destin funeste, UN NECROMANCIEN !. Leur courage et leur abnégation sont mis à rude épreuve, mais leur détermination demeure inébranlable face à l'obscurité qui s'abat sur ces terres tourmentées.

Les habitants des Malterres trouvent en ces nobles chevaliers des protecteurs dévoués, prêts à tout sacrifier pour rétablir la paix et la sérénité dans ce royaume assiégé par les ténèbres. Les Chevaliers d'Uther se tiennent en première ligne pour défendre les innocents et repousser les forces obscures qui menacent de détruire ces terres jadis florissantes, offrant leur bras vaillant pour restaurer la lumière là où règne l'ombre.

Hier, l'abbaye majestueuse de Comté-du-Nord vibrait d'une tension palpable alors que les Chevaliers d'Uther se réunissaient pour une rencontre de la plus haute importance. Cependant, la quiétude des lieux fut brusquement interrompue par des perturbations dans les communications, suivies de l'apparition inattendue d'un mort-vivant. Son message lugubre résonna dans la salle, annonçant l'attaque imminente sur Andorhal.

Dans un geste héroïque, Altred, l'écuyer dévoué de Cyrno, se porta volontaire en se téléportant sur le champ de bataille. Les autres chevaliers, galvanisés par son courage, le rejoignirent promptement en chevauchant des griffons à travers un portail magique.

Pendant ce temps, Cyrno, accompagné de son écuyer et de dame Eléonor, faisait face à une marée de morts-vivants, défendant la cité avec une détermination sans faille. Leurs armes étincelaient dans l'obscurité, repoussant les assaillants avec intrépidité malgré le danger croissant.

Simultanément, au camp de Noroit, se déroulait un autre affrontement sanglant. L'Éxécuteur, un chevalier noir énigmatique, fit une entrée fracassante en défiant le Haut Commandeur Ethann, le chevalier protecteur Percifal et l'écuyer Rewan. Avec une agilité impressionnante, il parvint à infliger de graves blessures au Haut Commandeur, le laissant saigner abondamment, et manqua de peu de sectionner le bras de Percifal. Dédaigneux et impitoyable, l'Éxécuteur laissa le groupe pour mort, laissant derrière lui un spectacle de dévastation et de chaos.

Pendant de longues heures interminables, Cyrno, son fidèle écuyer et la vaillante Dame Eléonor luttaient sans relâche, repoussant les vagues incessantes d'ennemis qui s'abattaient sur eux. Leurs forces s'amenuisaient à chaque instant, mais leur résolution demeurait inébranlable alors qu'ils se battaient ardemment pour protéger la cité assiégée.

La nuit s'étirait, mais leur combat demeurait intense. Malgré la fatigue et les blessures, ils tenaient bon, prêts à affronter chaque nouvelle attaque avec bravoure et détermination. Pendant ce temps, Rewan mettait tout en œuvre pour soigner les blessés, ne relâchant ses efforts que lors de l'arrivée d'Eileen, une guérisseuse renommée.

Finalement, Cyrno décida d'envoyer Eléonor chercher des renforts à l'abbaye la plus proche, afin de renforcer la défense de la ville assiégée.

Dans le majestueux enceinte d'Âtreval, la nouvelle de la guérison de Cyrno se répandit telle une lumière flamboyante, réchauffant les cœurs et dissipant les sombres nuages de la peur et de l'incertitude qui avaient enveloppé la cité. Les Chevaliers, rassemblés autour de leur camarade affaibli mais vaillant, écoutèrent avec une attention captivée son récit des événements passés, réalisant l'horreur qui s'était tramée sournoisement parmi eux.
Soudain, une explosion résonna, brisant la quiétude de la cour. Une fumée toxique d'un vert malsain monta dans les airs, révélant l'apparition du sinistre mage squelette, chef des sectateurs du culte des damnés. Son plan maléfique de propager la peste à travers la ville par le biais d'un effondrement dans la mine était clair, jetant une ombre de terreur sur les valeureux Chevaliers.

Débuta alors un affrontement d'une intensité remarquable, où les lames étincelèrent, les sorts fusèrent, et la détermination des Chevaliers fut mise à l'épreuve. Mais face à l'adversité implacable du mage squelette, ils firent preuve d'un courage et d'une détermination sans faille. C'est dans cet élan héroïque que Kenthan, invoquant les mystères des sables du temps, parvint à immobiliser temporairement le mage, offrant à ses compagnons une brève opportunité d'attaquer.
Les noms des Chevaliers s'inscrivirent dans la légende ce jour-là, alors qu'ils se dressaient ensemble contre l'ennemi impitoyable. Le Haut Commandeur Ethann, l'écuyer Altred, Dame Eileen, Galend, matmarann, le pélerin Kenthan et Rewan se distinguèrent par leur bravoure et leur sens du devoir sur le champ de bataille, incarnant l'honneur et l'héroïsme dans leur lutte contre les forces des ténèbres.

Épuisé par le combat acharné, le mage squelette lutta jusqu'à son dernier souffle. Dans un dernier acte de désespoir, il tenta d'appeler son maître à son secours, en vain. Ainsi abandonné, il prit la décision désespérée de sacrifier sa propre vie en ingérant ses dernières fioles de peste, menaçant de faire exploser les valeureux chevaliers qui l'affrontaient.
Malgré tout, la solidarité et la détermination des Chevaliers triomphèrent une fois de plus. D'un élan commun, ils repoussèrent le serviteur des ténèbres dans la mine d'où il était surgi. Seul, il explosa sans causer de victimes.
Cependant, une tâche cruciale restait à accomplir: éteindre les explosifs et contenir la peste. Avec l'aide précieuse d'Eileen et Rewan, Kenthan trouva la force nécessaire pour invoquer un blizzard puissant, neutralisant ainsi la menace définitivement.

La victoire, bien que salvatrice, laissa des traces. Kenthan, épuisé par les épreuves et malgré sa lutte incessante contre la maladie, s'effondra sous le poids de la fatigue. Ses compagnons le portèrent jusqu'au refuge du Fort d'Âtreval, déterminés à le soigner et à le protéger des ténèbres qui menaçaient de l'emporter.
Ainsi, Âtreval fut préservée de la menace intérieure, mais les Chevaliers savaient que de nouveaux défis les attendaient dans leur quête pour protéger la tombe d'Uther et sauver Andorhal. Bien que leur cœur était lourd, leur détermination demeurait inébranlable, car c'est dans l'adversité que les véritables héros se révèlent.
Plus tard, lors de l'exploration de la mine, les autorités découvrirent que les deux autres sectateurs s'étaient sacrifiés pour propager la peste. À proximité, ils trouvèrent l'armure de Cyrno, confiée à son écuyer pour être nettoyée et purifiée de toute trace de peste.

Dans les sombres Malterres, où deux lunes projetaient leur lumière pâle sur le champ de bataille, la violence faisait rage. Alertés par une elfe mystérieuse, les Chevaliers d'Uther se lancèrent à la poursuite d'un sinistre Chevalier de la mort qui avait capturé des innocents de la région, y compris des hommes de la croisade d'Argent. Déterminés à mettre fin à ses sombres agissements, ils affrontèrent le redoutable Worgen, responsable de la mort de leur frère d'armes, le sire Barnubas.

Lorsque les épées croisèrent les sorts, l'air résonnait de magie et de métal, et les Chevaliers luttaient vaillamment contre un adversaire d'une puissance effroyable. Alors qu'ils semblaient prendre l'avantage, le Worgen s'échappa vers le tombeau d'Uther, attirant les Chevaliers à sa suite.

Les regards froids et menaçants du Worgen reflétaient sa malice et sa cruauté tandis qu'il les défiait. Un frisson glacial parcourut l'échine de Sire Clovius lorsque le monstre le saisit avec une force surnaturelle, le piégeant dans un dôme de magie impie aux côtés de ses compagnons. Le Nécromancien émergea des ombres, orchestrant le destin funeste des Chevaliers avec une satisfaction malsaine.

Le Worgen, animé d'une rancœur impie, trancha la vie de Sire Clovius dans un éclair de violence, plongeant ses compagnons dans l'horreur. La lame sombre s'abattit, scellant le destin tragique du Chevalier, tandis que le sang souillait le sol sacré du tombeau. Le Worgen se poignarda lui-même, renversant les Chevaliers dans un dernier acte désespéré.

Alors que le silence morbide enveloppait les héros brisés, des Chevaliers de la mort sinistres apparurent, prêts à achever leur sombre besogne et enlevèrent le haut commandeur de l'Ordre.

Les Chevaliers restants, ébranlés par la perte de leur frère d'armes, se voyaient confrontés à un avenir incertain.

Dans le tumulte de la bataille, la Lumière devrait guider les Chevaliers d'Uther à travers les ténèbres qui menacent de les engloutir. Leur foi vacillante, leur cœur meurtri, ils devraient trouver la force et la détermination pour affronter les jours sombres qui se profilent à l'horizon. Que la Lumière vienne en aide aux Chevaliers d'Uther, pour qu'ils puissent continuer à défendre la justice et la paix dans ce monde tourmenté par le chaos.

Un mois, il aura fallu un mois après son départ, ainsi que celui de sa fille, pour que les Chevaliers d'Uther atteignent leur point le plus bas ...

Comme il ne suffit pas de vouloir, il faut savoir ...

Chaque jour qui passait creusait un peu plus la cicatrice de leur absence, laissant derrière eux un vide glacial. Matmarann avait redouté ce moment, le cœur lourd d'angoisse et de mélancolie, malgré son désir ardent de voir son compagnon, celui en qui il croyait temps, prendre la relève avec éclat. L'idée que son fidèle camarade puisse un jour porter le poids de leur héritage le réconfortait, mais il ne pouvait s'empêcher de ressentir une douce frustration. Après tout, n’était-ce pas l'un des vœux des Chevaliers, un objectif partagé entre eux tous ?

Mais il avait échoué si vite ... Ils avaient échoué.



Pourtant, alors que le temps s'écoulait, sa fierté en tant que chevalier ne lui permettait pas de tourner la page aussi facilement.

Sa fille, attentive et dévouée, jouait un rôle essentiel dans cette histoire. Elle lui tenait le fil de la réalité à jour, l'informant des déboires et des luttes de ces anciens Chevaliers.
Chaque mot qu’elle partageait soulignait le désespoir de leur quête et l’urgence d’un retour à la prospérité. Matmarann ne pouvait se résoudre à abandonner ces souvenirs, qu'ils soient lointains ou récents. Ils étaient tissés dans le grand canevas de son existence, des fils d'or d'amitié et de dévotion.

Ainsi, le voilà qui arpente à nouveau les rues de la cité blanche, le regard déterminé, son tabard drapé avec fierté sur son torse comme une armure contre l'adversité. Les murs de cette cité, témoins de ses luttes passées et de ses triomphes, semblaient vibrer de son retour. Il ne pouvait se permettre une autre défaite, et le poids de son héritage l'incitait à agir.

Les Chevaliers d'Uther n'étaient pas destinés à s’éteindre ainsi. Matmarann leva la tête, prêt à retrouver son rôle et à rallier ceux qui croyaient encore en leurs idéaux.

Il n'était pas question d'abandonner les Chevaliers ! Matmarann était de retour, déterminé à redonner un souffle de vie à leur noble cause, prêt à rassembler ceux qui, comme lui, refusaient de laisser la flamme de la chevalerie s’éteindre. Le vent frais soulevait son tabard, un présage de renouveau. Les temps seraient durs, mais avec courage et détermination, il allait prouver que l’héritage des Chevaliers d’Uther pouvait, et devait, perdurer.

LES CHEVALIERS D'UTHER SONT TOUJOURS LÀ !! REJOIGNEZ-NOUS !!

LES CHEVALIERS D'UTHER RECRUTENT !!