Récit d'une vie : Maedrhoss SunRising
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Récit d'une vie : Maedrhoss SunRising
J'ai renoncé au sommeil il y a déjà plus d'un millénaire. Le sommeil n'apporte rien de bon, il fait perdre à tous un temps précieux dans la contemplation de notre splendeur.
Je me suis élevé dans la plénitude de mon être ... un Haut Elfe dans sa majesté et sa puissance. Rien ne me résistait. La magie était à mes pieds et je la dominait ...du moins je le pensais.
Du jour où le fléau est apparu je n'ai eu de cesse de le combattre. J'ai perdu énormément en ces temps là, ma famille et certains de mes amis. Je n'ai survécu que par un miracle. Pour me rendre compte qu'il manquait quelque chose.
J'étais comme une coquille vide ! Je n'avais plus de contact avec ce qui faisait ma gloire ....
Je n'étais plus rien....
Il m'a fallu cinq longues années pour me faire une raison... et au bout de ces cinq ans j'ai compris. Nous avons tout perdu .... mais ce n'était pas notre faute....c'était la leur avec leur soi-disant Alliance... ils n'étaient pas là pour nous aider nous avons tout perdu par leur faute... Je les méprises tous.
Quand notre bien aimé Prince nous à fait rejoindre le Horde plein de ces Bêtes répugnantes j'ai commencé à le mépriser lui aussi. La seule chose que nous partageons avec ces bêtes c'est notre haine de l' Alliance .
Mais je n'ai rien fait là encore....
Quand notre Prince bien aimé a révélé sa perfide trahison... sa soif de puissance en se soumettant a un démon : Kil'Jaeden le trompeur. Je me suis levé et j'ai entrepris un voyage je suis un Sin'Dorei... Ma gloire renaitra....
Le jour se lève sur le bosquet des chants éternels, apportant ce matin son lot de nouvelles...
Un messager s'avance vers moi une missive dans la main, Assis sur mon siège entouré du reste des conseillers de ma famille je l'accueille.
"Quelles nouvelles ?
-Les voici noble Maître." il me tend la missive,
Je renvoie le messager aux cuisines qu'il puisse se restaurer et reprendre sa route.
"-Alors ? votre demande est acceptée ?" me demande mon Intendant.
-oui je suis invité à me présenter dès que possible devant le conseil des Chevaliers de Sang pour avaliser mon accession au titre d'initié Chevalier de Sang."
Mes conseillers me félicitent et je les laisse à leurs compliments creux et vides de sens. Seul la perspective d'avenir chez les Chevaliers de Sang m'intérresse.
Je me tourne vers mon conseiller et je veille à ne pas laisser transparaître mes sentiments comme toujours.
"Faites préparer mes affaires je pars sur l'heure !"
Voici comment à débuté mon voyage.
Je me suis élevé dans la plénitude de mon être ... un Haut Elfe dans sa majesté et sa puissance. Rien ne me résistait. La magie était à mes pieds et je la dominait ...du moins je le pensais.
Du jour où le fléau est apparu je n'ai eu de cesse de le combattre. J'ai perdu énormément en ces temps là, ma famille et certains de mes amis. Je n'ai survécu que par un miracle. Pour me rendre compte qu'il manquait quelque chose.
J'étais comme une coquille vide ! Je n'avais plus de contact avec ce qui faisait ma gloire ....
Je n'étais plus rien....
Il m'a fallu cinq longues années pour me faire une raison... et au bout de ces cinq ans j'ai compris. Nous avons tout perdu .... mais ce n'était pas notre faute....c'était la leur avec leur soi-disant Alliance... ils n'étaient pas là pour nous aider nous avons tout perdu par leur faute... Je les méprises tous.
Quand notre bien aimé Prince nous à fait rejoindre le Horde plein de ces Bêtes répugnantes j'ai commencé à le mépriser lui aussi. La seule chose que nous partageons avec ces bêtes c'est notre haine de l' Alliance .
Mais je n'ai rien fait là encore....
Quand notre Prince bien aimé a révélé sa perfide trahison... sa soif de puissance en se soumettant a un démon : Kil'Jaeden le trompeur. Je me suis levé et j'ai entrepris un voyage je suis un Sin'Dorei... Ma gloire renaitra....
Le jour se lève sur le bosquet des chants éternels, apportant ce matin son lot de nouvelles...
Un messager s'avance vers moi une missive dans la main, Assis sur mon siège entouré du reste des conseillers de ma famille je l'accueille.
"Quelles nouvelles ?
-Les voici noble Maître." il me tend la missive,
Je renvoie le messager aux cuisines qu'il puisse se restaurer et reprendre sa route.
"-Alors ? votre demande est acceptée ?" me demande mon Intendant.
-oui je suis invité à me présenter dès que possible devant le conseil des Chevaliers de Sang pour avaliser mon accession au titre d'initié Chevalier de Sang."
Mes conseillers me félicitent et je les laisse à leurs compliments creux et vides de sens. Seul la perspective d'avenir chez les Chevaliers de Sang m'intérresse.
Je me tourne vers mon conseiller et je veille à ne pas laisser transparaître mes sentiments comme toujours.
"Faites préparer mes affaires je pars sur l'heure !"
Voici comment à débuté mon voyage.
Dernière édition par Maedrhoss/Zuljen le Lun 16 Nov 2009, 15:18, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Récit d'une vie : Maedrhoss SunRising
Résurrection
Chapitre 1
Cela fait deux mois que le Zeppelin au départ de la Capitale de la Horde m'a laissé au Bastion Chanteguerre. En deux mois passé dans cette partie du Norfendre, il s'est passé énromément de choses.
Je me suis battu pour restaurer davantage la Gloire de mon Peuple et sa place dans la Horde, en combattant les légions de morts du Roi-Liche.
Demain, je quitterais Taunka'le un village de cousins primitifs des Taurens, les individus mâles de cette race ont la face plate, les femelles elles resemblent aux Taurènes que l'on peu voir dans les pâturages de Mulgore.
Mon ordre de mission m'indique que je dois rallier le Marteau d'Agmar à l'est, des rapports indiquent que la capitales des Vaches du Nord à été prise d'assaut par des troupes nérubiennes d'Arthas.
J'irais donc dans cette régions perpétuellement enneigé appelée Désolation des Dragons. D'après, les légendes c'est dans cette endroit désert que serait situé l'antre des Aspect Draconniques veillant sur notre monde.
J'utiliserai une des tortues géantes de ce peuple inférieur que sont les kaluaks, peuplade arriérée d'hommes phoques aux canines démeusurées, ces choses sont utiles mais sans plus. Je passerai par Port Moa'ki ensuite je ferai route au nord-ouest. D'après les cartes et indications que j'ai recu cela devrait me prendre 4 jours tout au plus.
Je finis d'attacher et de sangler mes dernières possessions à la selle de mon Destrier. une fois cette tâche accomplit, je plie la lumière pour protéger mes rations des intempéries. je vérifie une dernière fois mes provisions et j'inspecte mes armes. Durant ma préparation les taunka me regarde faire l'oeil appréciateur, mais ces primitifs ne peuvent pas savoir ce qu'est un grand combattant. Je vérifie méticuleusement chaques sangles et plaques de l'armure et note qu'il faudra faire réparer cette épaulette qui se fissure, et qui risque de mettre mon épaule droite à nu si elle se brise durant un combat.
J'enfonce mon pied dans l'étrier et enfourche ma monture. les poids pourtant important ne semble pas incommoder mon destrier fier représentant des chevaux de Quel'Thalas.
Je prend les rennes, j'entame mon trajet en sortant lentement de Taunka'le, j'oblique au sud vers le Village des hommes phoques.
Les Gorlocs du Champ des Geysers se tiennent à l'écart depuis que j'ai tué leurs "Rois". on fait des merveilles en soumettant la Lumière, nous, les chevaliers de Sang.
Il m'aura fallu une demi journée pour traverser le champ de gayser, deux ou trois Gorlocs ont dûe êtres jugés, mis à part ceci tout s'est bien passé.
En arrivant au village des primitifs, les kaluaks sont impréssionnés pas l'aura imposante de ma monture, je les dédaigne royalement et je m'enfonce dans le "village" vers les quais, devant cet amas de bicoques, oh combien Gwendolïne me manque....
Le phoque du quais m'indique que la Tortue n'arrivera que demain.
Je devrais donc passer une nuit dans ce taudis, ce voyage commence bien....
Chapitre 1
Cela fait deux mois que le Zeppelin au départ de la Capitale de la Horde m'a laissé au Bastion Chanteguerre. En deux mois passé dans cette partie du Norfendre, il s'est passé énromément de choses.
Je me suis battu pour restaurer davantage la Gloire de mon Peuple et sa place dans la Horde, en combattant les légions de morts du Roi-Liche.
Demain, je quitterais Taunka'le un village de cousins primitifs des Taurens, les individus mâles de cette race ont la face plate, les femelles elles resemblent aux Taurènes que l'on peu voir dans les pâturages de Mulgore.
Mon ordre de mission m'indique que je dois rallier le Marteau d'Agmar à l'est, des rapports indiquent que la capitales des Vaches du Nord à été prise d'assaut par des troupes nérubiennes d'Arthas.
J'irais donc dans cette régions perpétuellement enneigé appelée Désolation des Dragons. D'après, les légendes c'est dans cette endroit désert que serait situé l'antre des Aspect Draconniques veillant sur notre monde.
J'utiliserai une des tortues géantes de ce peuple inférieur que sont les kaluaks, peuplade arriérée d'hommes phoques aux canines démeusurées, ces choses sont utiles mais sans plus. Je passerai par Port Moa'ki ensuite je ferai route au nord-ouest. D'après les cartes et indications que j'ai recu cela devrait me prendre 4 jours tout au plus.
Je finis d'attacher et de sangler mes dernières possessions à la selle de mon Destrier. une fois cette tâche accomplit, je plie la lumière pour protéger mes rations des intempéries. je vérifie une dernière fois mes provisions et j'inspecte mes armes. Durant ma préparation les taunka me regarde faire l'oeil appréciateur, mais ces primitifs ne peuvent pas savoir ce qu'est un grand combattant. Je vérifie méticuleusement chaques sangles et plaques de l'armure et note qu'il faudra faire réparer cette épaulette qui se fissure, et qui risque de mettre mon épaule droite à nu si elle se brise durant un combat.
J'enfonce mon pied dans l'étrier et enfourche ma monture. les poids pourtant important ne semble pas incommoder mon destrier fier représentant des chevaux de Quel'Thalas.
Je prend les rennes, j'entame mon trajet en sortant lentement de Taunka'le, j'oblique au sud vers le Village des hommes phoques.
Les Gorlocs du Champ des Geysers se tiennent à l'écart depuis que j'ai tué leurs "Rois". on fait des merveilles en soumettant la Lumière, nous, les chevaliers de Sang.
Il m'aura fallu une demi journée pour traverser le champ de gayser, deux ou trois Gorlocs ont dûe êtres jugés, mis à part ceci tout s'est bien passé.
En arrivant au village des primitifs, les kaluaks sont impréssionnés pas l'aura imposante de ma monture, je les dédaigne royalement et je m'enfonce dans le "village" vers les quais, devant cet amas de bicoques, oh combien Gwendolïne me manque....
Le phoque du quais m'indique que la Tortue n'arrivera que demain.
Je devrais donc passer une nuit dans ce taudis, ce voyage commence bien....
Invité- Invité
Re: Récit d'une vie : Maedrhoss SunRising
Résurrection
Chapitre 2
J'ai mal au coeur,
Voyager sur le dos des tortues de mer géates est désagréable, je n'avais pas déjà le pied marin mais là.
Je me dois cependant de n'en rien montrer, je suis un elfe après tout, ce genre de choses ne doit pas m'atteindre.
Les kalua'ks me regardent de loin, avec un sourire amusé que je ne saisi pas. Bien que je fasse comme si ils n'étaient pas là, ce sourire m'intrigue, je vérifie discrétement tout mon équipement et apparence.
Finalement, c'est sans doute leur ignorance qui les amuse ....
°°°
Je récupère les renes que me tend un homme phoque et j'emmène mon destrier à ma suite.
Port Moa'ki est un village d'une belle taille, et visiblement un grand centre de transit et commerces en tout genre pour ce peuple inférieur que sont les Kalu'aks.
La grande taille du marché sur le bord des quais confirme ce point de vue, ce marché aussi vaste qu'un quart du Bazar de Lune d'Argent, m'impressione de par la quantité de produits différents, certains produits me sont même inconnus tandis que j'en reconnais d'autres.
J'en profite pour refaire le plein de provisions que je purifie en pliant la lumière afin d'éviter tout empoisonnement.
°°°
Cela va faire environ une semaine que j'ai quitté le port des phoques, un de ces phoques m'avait dit d'attendre un peu avant de partir et je lui ai répondu qu'il ne devait pas savoir de quoi il parlait et que je ne risquais rien.
Quel imbécile que ce phoque de n'avoir pas insisté. Cela fait 2 jours que la tempète s'est levée et que je lutte contre le froid a pieds pour dégager le neige et que mon destrier ne se blesse pas sur des congères trompeuses.
Ne dormant jamais, je ne souffre pas la nuit du froid quand je devrais, mais pas besoin de dormir pour souffrir de ce froid, les plaques de mon armures ont déjà gelées depuis longtemps et la félure de l'epaulette droite semble s'être agrandie, si ce n'était que ca.... le froid entrave la flexibilité de mon armure et celle ci resiste a certains de mes mouvements. Même l'huile à gelée. Vu l'ampleur de cette tempète je doute avoir à me défendre, ce n'est donc pas un soucis.
°°°
J'essaye d'ouvrir les yeux mais ils me font mal et je ne peux pas les ouvrir, quand avais-je perdu connaissance ?....
Etrange, il fait presque chaud et je ne sens pas le froid de mon armure... mon armure !!! Je ne me souviens pas l'avoir enlevé, j'ai si mal, je dois avoir une ou deux cotes cassées, ma jamabes droite me fait mal et ma tête aussi, en analysant la sitiuation j'ai une entaille à la tête qui bien que peu profonde a du abondament saignée car je sens du sang recouvrir mon aile gauche.
l'autre oeil est trop douloureux pour tenté de l'ouvrir.
°°°
Une ombre dans la tempête, cela fait une heure ou deux jours que ces ombres snt apparues, je reste sur mes gardes, ma hache lourde à la main, et je continue à avancer, luttant contre le froid et les éléments, trébuchant sur des obstacles invisibles sous la neige.
Mon destrier est mort de froid la nuit dernière, j'ai ramassé autant de vivres que je pouvais porter sans que cela me gène et j'ai repris la route laissant le cadavre de la bête aux glaces.
L'ombre sur ma gauche s'est immobilisée et semble me fixer, malgré le froid, la neige et le vent je peux voir les deux petits yeux rouges qui me fixe, deux petits yeux rouges.
L'enfer, ca a bougé sur ma droite, j'abats ma hache avec un mouvement rapide et le tranchant de celle-ci rencontre le dos d'une créature humanoide a fourrure avec un gueule de renard et des crocs protégée par une armure de cuir légère, un pas sur la gauche et ma hache continue en tranchant la tête de la créature suivante, d'un léger quart de tour tout en me baissant j'évite une lame qui frôle mon oreille et je juge l'importun d'un geste vif, la force du sort l'envoi voler sur plusieurs mètres, je saute en arrière d'un bon mètre pour éviter une nouvelle lame mortelle.
Ma hache décrit un magnifique arc de cercle et tout en jugeant coupe en deux le porteur de cette arme, une douleur fulgurante me fait comprendre mon erreur, une créature vient d'enfoncer sa lame dans la jointures des plaques qui protége ma cuisse. je lance un jugement qui n'atteind pas sa cible, mais ma hache si, je tente de me relever et je me retrouve face a une dizaine de monstres tout crocs et poils bardés de lames tranchantes, je m'apprete à juger quand au moment de lancer le sort rien ne se passe ! j'ai toujours manié la lumière avec facilité sans même y penser, je tente de plier à nouveau la lumière mais rien ne se passe !
Devant l'immobilité résultant de ma stupéfaction, les créatures se jettent sur moi, j'en tue deux ou trois, me prend un coup à la tête et commence à saigner , et je tue encore une ou deux créatures puis dans un déluge de fourrures, de morsures et de sang tout devient noir...une dernière pensée je ne reverrai plus la jolie prêtresse de mes débuts et je n'ai plus de pouvoirs ....
Chapitre 2
J'ai mal au coeur,
Voyager sur le dos des tortues de mer géates est désagréable, je n'avais pas déjà le pied marin mais là.
Je me dois cependant de n'en rien montrer, je suis un elfe après tout, ce genre de choses ne doit pas m'atteindre.
Les kalua'ks me regardent de loin, avec un sourire amusé que je ne saisi pas. Bien que je fasse comme si ils n'étaient pas là, ce sourire m'intrigue, je vérifie discrétement tout mon équipement et apparence.
Finalement, c'est sans doute leur ignorance qui les amuse ....
°°°
Je récupère les renes que me tend un homme phoque et j'emmène mon destrier à ma suite.
Port Moa'ki est un village d'une belle taille, et visiblement un grand centre de transit et commerces en tout genre pour ce peuple inférieur que sont les Kalu'aks.
La grande taille du marché sur le bord des quais confirme ce point de vue, ce marché aussi vaste qu'un quart du Bazar de Lune d'Argent, m'impressione de par la quantité de produits différents, certains produits me sont même inconnus tandis que j'en reconnais d'autres.
J'en profite pour refaire le plein de provisions que je purifie en pliant la lumière afin d'éviter tout empoisonnement.
°°°
Cela va faire environ une semaine que j'ai quitté le port des phoques, un de ces phoques m'avait dit d'attendre un peu avant de partir et je lui ai répondu qu'il ne devait pas savoir de quoi il parlait et que je ne risquais rien.
Quel imbécile que ce phoque de n'avoir pas insisté. Cela fait 2 jours que la tempète s'est levée et que je lutte contre le froid a pieds pour dégager le neige et que mon destrier ne se blesse pas sur des congères trompeuses.
Ne dormant jamais, je ne souffre pas la nuit du froid quand je devrais, mais pas besoin de dormir pour souffrir de ce froid, les plaques de mon armures ont déjà gelées depuis longtemps et la félure de l'epaulette droite semble s'être agrandie, si ce n'était que ca.... le froid entrave la flexibilité de mon armure et celle ci resiste a certains de mes mouvements. Même l'huile à gelée. Vu l'ampleur de cette tempète je doute avoir à me défendre, ce n'est donc pas un soucis.
°°°
J'essaye d'ouvrir les yeux mais ils me font mal et je ne peux pas les ouvrir, quand avais-je perdu connaissance ?....
Etrange, il fait presque chaud et je ne sens pas le froid de mon armure... mon armure !!! Je ne me souviens pas l'avoir enlevé, j'ai si mal, je dois avoir une ou deux cotes cassées, ma jamabes droite me fait mal et ma tête aussi, en analysant la sitiuation j'ai une entaille à la tête qui bien que peu profonde a du abondament saignée car je sens du sang recouvrir mon aile gauche.
l'autre oeil est trop douloureux pour tenté de l'ouvrir.
°°°
Une ombre dans la tempête, cela fait une heure ou deux jours que ces ombres snt apparues, je reste sur mes gardes, ma hache lourde à la main, et je continue à avancer, luttant contre le froid et les éléments, trébuchant sur des obstacles invisibles sous la neige.
Mon destrier est mort de froid la nuit dernière, j'ai ramassé autant de vivres que je pouvais porter sans que cela me gène et j'ai repris la route laissant le cadavre de la bête aux glaces.
L'ombre sur ma gauche s'est immobilisée et semble me fixer, malgré le froid, la neige et le vent je peux voir les deux petits yeux rouges qui me fixe, deux petits yeux rouges.
L'enfer, ca a bougé sur ma droite, j'abats ma hache avec un mouvement rapide et le tranchant de celle-ci rencontre le dos d'une créature humanoide a fourrure avec un gueule de renard et des crocs protégée par une armure de cuir légère, un pas sur la gauche et ma hache continue en tranchant la tête de la créature suivante, d'un léger quart de tour tout en me baissant j'évite une lame qui frôle mon oreille et je juge l'importun d'un geste vif, la force du sort l'envoi voler sur plusieurs mètres, je saute en arrière d'un bon mètre pour éviter une nouvelle lame mortelle.
Ma hache décrit un magnifique arc de cercle et tout en jugeant coupe en deux le porteur de cette arme, une douleur fulgurante me fait comprendre mon erreur, une créature vient d'enfoncer sa lame dans la jointures des plaques qui protége ma cuisse. je lance un jugement qui n'atteind pas sa cible, mais ma hache si, je tente de me relever et je me retrouve face a une dizaine de monstres tout crocs et poils bardés de lames tranchantes, je m'apprete à juger quand au moment de lancer le sort rien ne se passe ! j'ai toujours manié la lumière avec facilité sans même y penser, je tente de plier à nouveau la lumière mais rien ne se passe !
Devant l'immobilité résultant de ma stupéfaction, les créatures se jettent sur moi, j'en tue deux ou trois, me prend un coup à la tête et commence à saigner , et je tue encore une ou deux créatures puis dans un déluge de fourrures, de morsures et de sang tout devient noir...une dernière pensée je ne reverrai plus la jolie prêtresse de mes débuts et je n'ai plus de pouvoirs ....
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