Revolte !!
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Revolte !!
Comté-de-l'Or, 25eme jour d'Octobre, debut de journée
La place du village est jonchée des cadavres des zombies et de ceux des habitants tombés sous leurs coups. Le sang s'est incrusté jusqu'aux interstices entre les pavés et une horrible odeur de putréfaction et de bois brûlé émane dans l'air. Les bâtiments sont abimés, visiblement victimes de nombreux projectiles enflammés éteints dans la hâte. Le Cavalier sans Tête était retourné au Monastère pour encore une petite demi-heure et son prochain assaut serait aussi devastateur que les précédents. Des cafards infestés par les microbes de la Peste des non-morts grouillaient partout dans les réserves de nourriture et des nuages verdâtre planaient au-dessus de certains habitants affalés au sol, malades.
Les gardes de la Cité d'Hurlevent, armes au poing, patrouillaient dans le village et éventraient tous les civils sur le point de se transformer sans chercher de remède moins radical que la mort. Soudain, une clameur sourde retentit, venant de l'Est et du camp des bûcherons. Les quelques gardes en faction sur la route distinguèrent une nuée de civils avançant en criant vers le Comté, prendissant des pancartes et des armes improvisées, ainsi que d'armes bien réelles, lorsqu'il s'agissait d'aventuriers venus soutenir les habitants humains. Fermiers, forgerons, habitants et même gardes des autres villes du royaume s'étaient rassemblé pour protester contre la crise qui ravagait le royaume. A la tête des rebelles, un homme en haillons, ne prendissant qu'une planche dans laquelle avait été planté un clou, hurlait des paroles remplies de haine en brandissant son arme improvisée. Les gardes formèrent un mur de bouclier sur la route et l'officier le plus gradé de la garnison hurla aux habitants quis 'étaient arrêté devant l'obstacle formé par les boucliers des soldats d'Hurlevent :
"- Pauvres idiots ! Que faites-vous !! Ne pensez-vous pas que nous avons assez de travail avec la Peste et le Cavalier sans qu'n plus, vous autre, paysans, vous veniez protester sans raison ?!"
Les gens dans la foule s'offusquèrent de se voir ainsi insultés et se remirent à hurler en brandissant leurs pancartes et leurs armes de fortune, avant que le chef de la révolte ne s'avance, un peu ridicule avec son arme minable et ses habits déchiquetés. Cependant, lorsqu'il fit signe à ses camarades de se tairent, ce fut immédiat. Il se retourna vers l'officier et cria :
"- Ce que nous faisons ? Nous vous montrons que nous existons toujours, bande de sauvages !! La peuple en a assez de voir leurs maisons brûlées par un taré sans tête que vous n'êtes pas foutu d'attrapé alors qu'il traine dans le coin depuis près d'une semaine !! La population en a plus qu'assez de cette famine que vous n'êtes pas fichus de stopper ! Nous mourrons de faim !!! Et lorsque nous avons accès à la nourriture, nous nous retrouvons empoisonnés et nous tombons sous les coups de ceux qui sont censés nous protegez à moins de devenir des monstres assoifés de sang ! Cela suffit !!! Mes amis, à l'aaaaaattaque !!!!"
Les paysans se jetèrent sur les gardes avec une sauvagerie sans nom, bien que rendus faibles à cause de la famine et de la fatigue, ce qui obligea ceux-ci à sonner la retraitre et à rallier Hurlevent. La revolte avait commencé !
[ Voilà, pour rajouter encore plus de chaos à la situation, voilà les paysans qui s'y mettent ! Je crée la guilde "La Colère du Peuple" pour donner encore plus de réalisme à la situation. La guilde n'a pas réellement de but à long terme, c'est juste pour rigoler un coup et pour mettre le bordel ! ^^ N'hésitez pas à me contacter IG avec un reroll bas niveau pour rejoindre la guilde, car il faut que nous soyons très nombreux pour que ce soit réaliste ! Une fois que nous compterons un gros effectif de membres, nous pourrons commencer à protester devant les sièges du pouvoir d'Hurlevent ! N'hésitez surtout pas à nous rejoindre, quel que soit le personnage ( fermier, aventurier, garde renégat... ) pour passer un bon moment ! ^^ ]
La place du village est jonchée des cadavres des zombies et de ceux des habitants tombés sous leurs coups. Le sang s'est incrusté jusqu'aux interstices entre les pavés et une horrible odeur de putréfaction et de bois brûlé émane dans l'air. Les bâtiments sont abimés, visiblement victimes de nombreux projectiles enflammés éteints dans la hâte. Le Cavalier sans Tête était retourné au Monastère pour encore une petite demi-heure et son prochain assaut serait aussi devastateur que les précédents. Des cafards infestés par les microbes de la Peste des non-morts grouillaient partout dans les réserves de nourriture et des nuages verdâtre planaient au-dessus de certains habitants affalés au sol, malades.
Les gardes de la Cité d'Hurlevent, armes au poing, patrouillaient dans le village et éventraient tous les civils sur le point de se transformer sans chercher de remède moins radical que la mort. Soudain, une clameur sourde retentit, venant de l'Est et du camp des bûcherons. Les quelques gardes en faction sur la route distinguèrent une nuée de civils avançant en criant vers le Comté, prendissant des pancartes et des armes improvisées, ainsi que d'armes bien réelles, lorsqu'il s'agissait d'aventuriers venus soutenir les habitants humains. Fermiers, forgerons, habitants et même gardes des autres villes du royaume s'étaient rassemblé pour protester contre la crise qui ravagait le royaume. A la tête des rebelles, un homme en haillons, ne prendissant qu'une planche dans laquelle avait été planté un clou, hurlait des paroles remplies de haine en brandissant son arme improvisée. Les gardes formèrent un mur de bouclier sur la route et l'officier le plus gradé de la garnison hurla aux habitants quis 'étaient arrêté devant l'obstacle formé par les boucliers des soldats d'Hurlevent :
"- Pauvres idiots ! Que faites-vous !! Ne pensez-vous pas que nous avons assez de travail avec la Peste et le Cavalier sans qu'n plus, vous autre, paysans, vous veniez protester sans raison ?!"
Les gens dans la foule s'offusquèrent de se voir ainsi insultés et se remirent à hurler en brandissant leurs pancartes et leurs armes de fortune, avant que le chef de la révolte ne s'avance, un peu ridicule avec son arme minable et ses habits déchiquetés. Cependant, lorsqu'il fit signe à ses camarades de se tairent, ce fut immédiat. Il se retourna vers l'officier et cria :
"- Ce que nous faisons ? Nous vous montrons que nous existons toujours, bande de sauvages !! La peuple en a assez de voir leurs maisons brûlées par un taré sans tête que vous n'êtes pas foutu d'attrapé alors qu'il traine dans le coin depuis près d'une semaine !! La population en a plus qu'assez de cette famine que vous n'êtes pas fichus de stopper ! Nous mourrons de faim !!! Et lorsque nous avons accès à la nourriture, nous nous retrouvons empoisonnés et nous tombons sous les coups de ceux qui sont censés nous protegez à moins de devenir des monstres assoifés de sang ! Cela suffit !!! Mes amis, à l'aaaaaattaque !!!!"
Les paysans se jetèrent sur les gardes avec une sauvagerie sans nom, bien que rendus faibles à cause de la famine et de la fatigue, ce qui obligea ceux-ci à sonner la retraitre et à rallier Hurlevent. La revolte avait commencé !
[ Voilà, pour rajouter encore plus de chaos à la situation, voilà les paysans qui s'y mettent ! Je crée la guilde "La Colère du Peuple" pour donner encore plus de réalisme à la situation. La guilde n'a pas réellement de but à long terme, c'est juste pour rigoler un coup et pour mettre le bordel ! ^^ N'hésitez pas à me contacter IG avec un reroll bas niveau pour rejoindre la guilde, car il faut que nous soyons très nombreux pour que ce soit réaliste ! Une fois que nous compterons un gros effectif de membres, nous pourrons commencer à protester devant les sièges du pouvoir d'Hurlevent ! N'hésitez surtout pas à nous rejoindre, quel que soit le personnage ( fermier, aventurier, garde renégat... ) pour passer un bon moment ! ^^ ]
Layyr
Re: Revolte !!
Le maréchal Dughan, le plus haut gradé des gardes de faction du Goldshire, alors qu’il tentait de rallier la ville, après avoir subit l’ire des révoltés, ainsi qu’une cuisante humiliation, fut soulagé de voir enfin les remparts.
A peine fût-il arrivé près du guet aux portes, qu’il se retourna prestement, l’attention attirée par le roulement sourd d’une cavalerie au galop.
La fine fleur de la Garde revenait des Marches, où un début d’invasion de ces goules puantes venait de s’empaler sur leurs épées, et s’écraser contre leurs boucliers.
Gold menait la course de vingt gardes en armures lourdes, disposés en deux rangs ordonnés faisant gronder la forêt du tonnerre sourd de leurs galops.
Depuis deux jours, les gardes étaient sur le pied de guerre, envoyés à chaque alerte, traquant sans relâche toute source de peste pour la détruire impitoyablement.
Il est des situations d’urgence où la diplomatie n’a plus loisir de parole, où les dangers se réduisent par l’estoc et la taille des lames affutées.
Et le Fléau n’est pas le moindre de ces urgences.
Lorsque la troupe atteignit les remparts, dépassant par la droite la foule en colère, le major Gold fit cabrer sa jument et ordonna l’arrêt d’une voix puissante.
L’attroupement de la foule arrivait au bas des murs, et le guet poussa un soupir de soulagement en voyant l’élite investir le lieu.
Finduiläs remonta la colonne, et rejoignant Gold, ordonna la mise à pied.
Chaque garde de la troupe d’intervention connaissait la routine.
Pied-à-terre, armes au poings, rang serré, ils se répartirent d’eux-même en ligne de garde.
Dans la foule en colère, l’effet fût ressenti comme un doute un peu soudain, accompagné d’un bref flottement.
Alors qu’à leur arrivée au Goldshire, ils furent à peine freinés par une poignée de gardes peu entraînés, maintenant, ils étaient confrontés à un mur solide, dont les égides, étincelantes, paraissaient autant d’écailles de la peau d’un dragon.
Derrière la ligne, la commandant et le major toisaient la révolte.
Pour sûr, ils cherchaient du regard le meneur, car il y a toujours un meneur.
Gold savait par cœur ce qu’il convenait de faire : éliminer la menace du meneur, et le reste s’égaillera comme moineaux devant le matou.
Les gardes en rang froncèrent les sourcils sous leurs heaumes.
Quand on sert à la Garde, on ne discute pas les ordres, et certainement moins ceux de Gold, le poing d’action de la ville, celui qu’on envoyait lorsque les parlotes n’avaient pas rempli leurs objectifs.
Finduiläs piqua des talons pour cabrer l’étalon qui hennit bruyamment, en guise d’un dernier appel au calme avant la curée.
Pendant quelques secondes, même les moineaux se turent…
[Tout cela pour dire que se révolter en période d'état d'urgence n'est pas très prudent ^^ j'espère que vous, révoltés, avez les tripes bien accrochées!]
A peine fût-il arrivé près du guet aux portes, qu’il se retourna prestement, l’attention attirée par le roulement sourd d’une cavalerie au galop.
La fine fleur de la Garde revenait des Marches, où un début d’invasion de ces goules puantes venait de s’empaler sur leurs épées, et s’écraser contre leurs boucliers.
Gold menait la course de vingt gardes en armures lourdes, disposés en deux rangs ordonnés faisant gronder la forêt du tonnerre sourd de leurs galops.
Depuis deux jours, les gardes étaient sur le pied de guerre, envoyés à chaque alerte, traquant sans relâche toute source de peste pour la détruire impitoyablement.
Il est des situations d’urgence où la diplomatie n’a plus loisir de parole, où les dangers se réduisent par l’estoc et la taille des lames affutées.
Et le Fléau n’est pas le moindre de ces urgences.
Lorsque la troupe atteignit les remparts, dépassant par la droite la foule en colère, le major Gold fit cabrer sa jument et ordonna l’arrêt d’une voix puissante.
L’attroupement de la foule arrivait au bas des murs, et le guet poussa un soupir de soulagement en voyant l’élite investir le lieu.
Finduiläs remonta la colonne, et rejoignant Gold, ordonna la mise à pied.
Chaque garde de la troupe d’intervention connaissait la routine.
Pied-à-terre, armes au poings, rang serré, ils se répartirent d’eux-même en ligne de garde.
Dans la foule en colère, l’effet fût ressenti comme un doute un peu soudain, accompagné d’un bref flottement.
Alors qu’à leur arrivée au Goldshire, ils furent à peine freinés par une poignée de gardes peu entraînés, maintenant, ils étaient confrontés à un mur solide, dont les égides, étincelantes, paraissaient autant d’écailles de la peau d’un dragon.
Derrière la ligne, la commandant et le major toisaient la révolte.
Pour sûr, ils cherchaient du regard le meneur, car il y a toujours un meneur.
Gold savait par cœur ce qu’il convenait de faire : éliminer la menace du meneur, et le reste s’égaillera comme moineaux devant le matou.
Les gardes en rang froncèrent les sourcils sous leurs heaumes.
Quand on sert à la Garde, on ne discute pas les ordres, et certainement moins ceux de Gold, le poing d’action de la ville, celui qu’on envoyait lorsque les parlotes n’avaient pas rempli leurs objectifs.
Finduiläs piqua des talons pour cabrer l’étalon qui hennit bruyamment, en guise d’un dernier appel au calme avant la curée.
Pendant quelques secondes, même les moineaux se turent…
[Tout cela pour dire que se révolter en période d'état d'urgence n'est pas très prudent ^^ j'espère que vous, révoltés, avez les tripes bien accrochées!]
Ériane
Re: Revolte !!
[ L'avenir de mon pauvre révolutionnaire semble bien compromis ! ^^ Je n'ai pas le courage de réécrire tout un texte maintenant, mais je vais faire un tour à la garde ce soir pour gueuler !! ^^ ]
Layyr
Re: Revolte !!
(n'hésite surtout pas un instant! je crois qu'on a en tout cas bien posé les choses. Roulez jeunesse donc maintenant )
Ériane
Re: Revolte !!
Entre deux claquement de dents, la mort-vivante terré dans les fin-fonds de Fossoyeuse réfléchissait à haute voix
Tu as entendus ?.. Oui.. Ces idiots ce sont enfin révolté.. Ils sont si.. pathétique, si fragile, ils veulent tout controler alors qu'ils ne savent pas se controler eux-même..
La guerre civile est.. frémis ca a.. commencé.. reprend son souffle et pioche dans une poudre blanchâtre Jolie plan que de
tuer ici et là les orphelins, les pères de famille en se mélangeant au chaos imposé par la peste..
Elle jeta la poudre graineuse sur un humain captif apparement de bonnes carrure, les yeux arrachés et la machoire récemment broyé
Il ne suffira plus que d'une légère pichenette pour ouvrir la porte d'Hurlevent à l'anarchie.
Un dernier mot messieur "Je fais la révoltution" ?.. Ah oui.. J'avais oublié votre récente incapacité à parler..
Dans un immense éclat de rire Känjy égorga le prisonnier
Tu as entendus ?.. Oui.. Ces idiots ce sont enfin révolté.. Ils sont si.. pathétique, si fragile, ils veulent tout controler alors qu'ils ne savent pas se controler eux-même..
La guerre civile est.. frémis ca a.. commencé.. reprend son souffle et pioche dans une poudre blanchâtre Jolie plan que de
tuer ici et là les orphelins, les pères de famille en se mélangeant au chaos imposé par la peste..
Elle jeta la poudre graineuse sur un humain captif apparement de bonnes carrure, les yeux arrachés et la machoire récemment broyé
Il ne suffira plus que d'une légère pichenette pour ouvrir la porte d'Hurlevent à l'anarchie.
Un dernier mot messieur "Je fais la révoltution" ?.. Ah oui.. J'avais oublié votre récente incapacité à parler..
Dans un immense éclat de rire Känjy égorga le prisonnier
Kundalinis- Personnages Joués : Neutre
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