Les Cavernes sous les Tarides : rapport du Salon
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Les Cavernes sous les Tarides : rapport du Salon
- Informations HRP:
- Voici une étude publiée par le Salon pouvant se retrouver dans plusieurs bibliothèques de l'Alliance. Tout personne intéressée par le sujet pourrait être amené à tomber dessus.
Elle fait suite à l'event suivant.
Cette recherche est le fruit d'un travail commun qui a mis du temps -et c'est peu de le dire- pour déboucher à ce qui peut être lu ci-dessous. Malgré ça, cela restera imparfait.
Il ne s'agit pas de la plus passionnante des lectures, mais ça peut changer des textes narratifs. Qui sait, vous apprendrez peut-être des choses ! : D
Les commentaires (positifs et négatifs) sont les bienvenus !
LES CAVERNES SOUS LES TARIDES :
Rapport commun de l'expédition sous les Tarides
Rapport commun de l'expédition sous les Tarides
Par le Salon
Par les professeurs K. Fracassor et R. Stornfeld
le docteur T. Hewert
et l'assistante G. Picoseille
le docteur T. Hewert
et l'assistante G. Picoseille
TABLE DES MATIÈRES :
Introduction Générale
Titre I : L’expédition sous les Tarides
1.1) Remise en contexte
1.2) Déroulement de l’expédition
1.3) Remerciements
Titre II : Étude de la faune et de la flore
2.1) Faune
2.2) Flore
2.3) Rapport toxicologique
Titre III : Étude de géologie
3.1) La Cartographie
3.2) Le patrimoine Lithologique et Minéralogique
3.3) L'Archéologie
3.4) L'Hydrogéologie
3.5) le Lexique
Titre IV : Conclusion
Titre V : Sources
INTRODUCTION GÉNÉRALE :
Dans ce rapport sur l’expédition réalisée le 02/02/33 par le Salon dans un complexe souterrain des Tarides seront présentés les rapports d’expertise de quatre membres du Salon : Fracassor Kolben, Hewert Tyrick, Picoseille Ghyllian et Stornfeld Raedric.
Dans le premier titre de ce rapport seront repris le contexte de l’étude, les acteurs de l’expédition et les remerciements, le tout rédigé par le Professeur Raedric Stornfeld.
Le second titre sera consacré d’une part à l’étude de la faune et de la flore des cavernes visitées et sera rédigé conjointement par le Professeur Raedric Stornfeld et l’Assistante Ghyllian Picoseille. D’autre part, le Docteur Tyrick Hewert apportera son expertise dans un rapport toxicologique aux échantillons de venins récoltés suite aux dissections réalisées sur place.
Le troisième titre aura pour thème la géologie des cavernes visitées et sera réalisé par le Professeur Kolben Fracassor.
Le quatrième titre sera l’occasion de conclure ce premier travail en commun d’envergure réalisé par les membres du Salon et sera écrite par Ghyllian Picoseille.
Titre 1 : L’EXPÉDITION SOUS LES TARIDES
1.1) Remise en contexte :
Il est important de repréciser que bon nombre de grottes sous les Tarides ont vu leur écosystème se détériorer suite aux expériences de Shan’do l’archidruide Naralex visant à rendre aux Tarides leur aspect d’antan.
En agissant imprudemment sur le rêve d’Emeraude au point de convergence des sources d’eau souterraines (ce qu’on a plus tard appelé les « Cavernes des Lamentations »), l’archidruide a créé une faille qui a entrainé la folie de ses disciples (devenus les druides du croc) et la mutation de la faune et de la flore.
Les malheureux effets de ce drame se voient davantage de jour en jour, avec une flore et une faune en expansion démesurée aux abords des oasis des Tarides. En guise d’exemple, le Caporal Teegan déclara lors de sa mission aux tarides du Sud «Cette jungle est sortie de nulle part ! ».
C’est pour évaluer l’effet des expériences de l’archidruide Naralex sur un complexe souterrain connexe aux fameuses Cavernes des Lamentations que l’expédition a eu lieu. Ainsi, plusieurs années après les premières explorations avons-nous pu observer l’évolution des mutations dont j’ai parlé précédemment.
Cette expédition n’était pas sans vouloir rappeler la dangerosité d’une volonté des êtres dits intelligents de vouloir modifier leur environnement.
À titre plus personnel, cela me permet également de rappeler que les druides ne sont pas en reste de détériorer Azeroth, et ce même s’ils prétendent en être les gardiens inconditionnels depuis plusieurs milliers d’années.
1.2) Déroulement de l’Expédition
Cette expédition a été initiée par Ghyllian Picoseille qui souhaitait remettre un jeune raptor déviant en liberté dans son milieu « naturel » (cette notion de milieu naturel étant à revoir étant donné le contexte dans lequel vivent les raptors déviants, voir point précédent).
Le Professeur Raedric Stornfeld, son ancien mentor, a souhaité l’aider dans cette œuvre en organisant une expédition du Salon aux Tarides. La première de la sorte pour le Quatrième Salon.
De fil en aiguille, les membres du Salon se sont emparés du projet et se sont joint à l’expédition pour y apporter leur concours. C’est ainsi que le Chancelier faisant fonction lors de l’expédition, Kolben Fracassor, et le Docteur Tyrick Hewert ont pris part au départ vers les Tarides.
Sur place, les membres du Salon se sont séparés en deux équipes de deux chercheurs (Kolben et Raedric d’une part et Ghyllian et Tyrick d’autre part) adjoints de mercenaires engagés pour l’occasion assurant ainsi leur sécurité sur un territoire majoritairement contrôlé par la Horde et une faune et flore des plus meurtrières.
Ces équipes se sont séparés dans le complexe souterrain et ont réalisé leurs observations séparément.
Une fois le temps imparti, les groupes se sont retrouvés en lieux sûr pour partager leurs impressions. C’est à ce moment que l’idée de réaliser un rapport complet sur l’expédition est née.
Le projet de rédaction d’une recherche en commun a débuté de là et s’est évidemment bien terminée, en atteste le présent document.
Note amusante, le jeune raptor n’a pas été relâché sur place, un oubli de la part d’une communauté scientifique qui une fois centrée sur des objectifs en oublie les initiateurs.
1.3) Remerciements :
Il y a lieux de remercier en premier lieux l’équipe de mercenaire qui a bien voulu accompagner les membres du Salon durant l’expédition et assurer leur sécurité avec un professionnalisme des plus respectables.
Remercions ensuite le Salon qui a permis en définitive à ce projet de voir le jour. Un grand merci aux quatre chercheurs qui ont participé à la rédaction de ce rapport.
Finalement, remercions le cartel Gentepression pour avoir permis à cette expédition, par le transport de chevaux et de matériel, de se dérouler aussi loin des Royaumes de l’est.
Titre 2 : ETUDE DE LA FAUNE ET DE LA FLORE
2.1) La FAUNE:
De G. Picoseille et R. Stornfeld
Bien que très surprenante, la faune locale n'est pas très diversifiée. Outre les raptors, les cavernes que nous avons visitées abritent des serpents des vents, des crocilisques, des serpents et autres crapauds.
C’est également l’occasion de rappeler que cette faune n’est pas dans un état naturel strict. Il s’agit pour rappel du triste résultat des expériences imprudentes de Shan’do l’Archidruide Naralex, tombé dans le Cauchemar alors qu’il tentait d’influer sur le Rêve d’Emeraude pour redonner aux Tarides leur verdure d’antan.
Ce qu’on nomme généralement « les déviants » sont le résultat de cet échec du druidisme intrusif. Ces créatures sont, aux dernières sources, corrompues par le Cauchemar de Naralex et s’attaquent à toute forme de vie ayant l’imprudence de s’approcher. Ce malheureux sort est également arrivé à l’équipe expéditionnaire de l’Archidruide, qui ont pour la plupart ont été éliminés depuis.
Il est à noter que plusieurs théories au sujet des déviants et des druides du croc existent et s’opposent. Les faits sont encore trop proches que pour permettre aux certitudes de voir le jour.
Les paragraphes suivants reprendront plusieurs espèces que l’ont peut retrouver dans les cavernes souterraines des Tarides.
LES RAPTORS
Les raptors sont de gros reptiles présents dans diverses régions d'Azeroth. Ils se présentent sous diverses couleurs. On trouve dans les Tarides des raptors roses et bleu violet. Cette race présente un collier doré, des yeux jaunes typiques des reptiles (étroite pupille allongée barrant un iris jaune). Ils possèdent en outre trois grandes griffes jaunes. Ce sont les femelles; fortement représentées. Ensuite, on y trouve également des raptors mâles, en moins grand nombre, bleu rayés d'un bleu plus sombre. Les uns comme les autres possèdent trois cornes de taille décroissante sur le bout du museau. Ils possèdent trois lignes de dents très blanches. Celles-ci, de par leur forme pointue acérée, indiquent un régime principalement carnivore. Le poisson, d'après les restes trouvés à proximité des nids, semble leur convenir.
Les raptors sont ovipares; c'est à dire qu'ils pondent des œufs. Ils les couvent dans des nids visiblement fabriqués à l'aide de branchettes. Ceux-ci présentent une couleur rose identique à celle de la mère. Il ne peut pas être conclu que l'œuf soit toujours de la couleur de la mère, bien que ceci soit fortement probable.
Les raptors se maintiennent sur leurs pattes postérieures qui sont extrêmement musclées. Celles-ci sont extraordinairement puissantes et lui permettent d'atteindre des vitesses très élevées. Ils peuvent également bondir. L'utilisation de leurs pattes arrière contre un ennemi est courante et souvent très dommageable pour la cible. Les membres antérieurs du raptor sont courts et présentent trois doigts positionnées en pinces.
Image : Illustration par Ghyllian Picoseille d'un raptor.
LES BATTRODONS
Aussi connus sous le nom de « Batteur des mers/rivières» Les battrodons sont des reptiles marins que l’ont retrouve un peu partout en Azeroth. Leur teinte varie en fonction des races et de leur niche écologique en s’adaptant à cette dernière. Comme tous les reptiles, ils pondent des œufs.
Dans le cas des Tarides, on pourra facilement les reconnaître par leurs petites écailles plates de couleur rouille sur le haut du corps et beige sur l’intérieur. Ces couleurs et leur infinie patience leur ont valu le nom de rôdeurs. Effectivement, ces brillants prédateurs sont difficiles à apercevoir dans les eaux troubles des grottes des Tarides, si bien qu’il est souvent trop tard lorsqu’on aperçoit leur tête sortir hors de l’eau. Leurs crocs d’une quinzaine de centimètres, connus pour leur tranchant et leur solidité, traversent sans l’ombre d’une résistance tant la chair que les os de leurs victimes. Ils disposent également de trois griffes pointues au bout de leurs membres antérieurs leur permettant d’asséner des coups mortels même hors de l’eau.
On les décrit souvent comme une tortue sans carapace traversée en son long par un serpent. La comparaison s’arrête bien là, puisque ce reptile n’a au-delà de cette vague ressemblance aucun lien avec l’une ou l’autre de ces espèces. On notera également une crête cartilagineuse qui surplombe le haut de leurs crânes, ainsi que deux excroissances osseuses sur le milieu de son dos, prolongation naturelle des vertèbres dorsales. Comme évoqué précédemment, ce reptile se sert de ses quatre membres comme des nageoires, qui se sont adaptées à cette fonction par un aplatissement.
Le régime alimentaire des Battrodons est exclusivement carnivore, ils se nourrissent effectivement de poissons de toute taille, de reptiles aventureux et –moins souvent- d’explorateurs imprudents. Leur cou solide et puissant leur permet d’attraper leurs victimes hors de l’eau, principalement au niveau des membres inférieurs.
Image : Illustration par Ghyllian Picoseille du battrodon.
LES CROCILISQUES :
Espèce de reptiles bien connue d’Azeroth, on en retrouve différentes races sur tous les continents connus à ce jour. Ils peuplent exclusivement les eaux douces des lacs, marécages et autres fleuves (bien que de très rares exceptions aient été répertoriées). Ils sont ovipares et pondent donc des œufs.
Dans les grottes des Tarides, la race de crocilisque y est des plus particulières. L’ensemble des spécimens rencontrés montraient des signes d’albinisme oculo-cutané indiquant donc une absence de pigmentation des écailles et un iris de couleur rouge. Cette particularité ne serait vraisemblablement pas due à la corruption mais plutôt à l’évolution de son mode de prédation. Se nourrissant exclusivement de poissons apportés par les crues et les décrues des eaux souterraines ainsi que par les chutes d’autres animaux, ces crocilisques ont perdu l’intérêt de leur semblable pour la dissimulation pour pouvoir attraper leurs proies. Ces dernières étant déjà mortes ou en phase de l’être au moment de la consommation par le crocilisque. L’absence prolongée à une source naturelle de lumière a également pu jouer dans ce développement, mais les théories à ce sujet ne sont pas abouties.
Outre ce trait particulier, ces reptiles sont aisément reconnaissables à leurs six pattes faiblement palmées composées chacune de trois doigts prolongées par de petites griffes noires, leurs crocs jaunis, leur museau rectangulaire et leur relative lenteur. Proches de l’eau sans êtres loin de la terre, ces reptiles attraperont leurs proies pour les emmener dans l’eau où leurs chances de survies sont minimes.
Comme évoqué précédemment, les crocilisques sont exclusivement carnivores et se nourrissent de poissons échoués, de reptiles tombés à l’eau ou s’en approchant de trop près.
Image : Illustration par Ghyllian Picoseille d’un spécimen rencontré.
CRAPAUD-BILE :
Cette race d’amphibien que l’ont retrouve à ce jour qu’aux Tarides et au Bassin de Sholazar a récemment fait l’objet d’un trafic malsain dû à de prétendues vertu médicinales qu’il ne possède même pas.
Leur épiderme orange sur le dessus et bleu sur le dessous est recouvert d’une muqueuse toxique entrainant des fièvres et des accès de fatigues. Il est évident qu’il est préférable de ne pas s’y risquer en milieu hostile.
Comme tous les crapauds ces amphibiens ont le museau court et les pattes avant incurvées vers l’intérieur. Cette particularité ne les empêche toutefois pas de se déplacer en de petits bonds. Ils se nourrissent essentiellement de petits insectes dont des mouches et des moustiques.
Il ne semble pas établi que la race de crapaud-bile des grottes des Tarides ait été corrompue par le cauchemar de Naralex.
La mauvaise qualité de le gnomographie est due à l'effet de la chaleur et de l'humidité sur le gnomographe utilisé durant l'expédition.
RACES DE SERPENTS :
Les serpents sont des reptiles rampants de forme cylindrique pondant des œufs. Il existe bien peu d’endroits où leur présence n’a pas été signalée à ce jour.
Ils sont universellement craints à juste titre pour leurs tendances à sécréter des puissants poisons et à les utiliser fréquemment. Leur langue fourchue, caractéristique immuable de cette race, inquiète également les humanoïdes qui en sont dépourvus. La plupart des serpents possèdent de nombreuses petites dents mais certains ont des crocs proéminents.
SERPENTS DES VENTS :
Contrairement aux serpents traditionnels, ces serpents possèdent deux ailes qui leur permettent de voler. On les retrouve à plusieurs endroits en Azeroth et ils seraient, selon une théorie à laquelle je me rattache, les descendants de l’Ancien vénéré comme un dieu par les trolls Gurubashi : Hakkar le sanglant. De récentes découvertes ont permis d’établir un lien spirituel entre ces animaux et le Dieu.
Outre leurs ailes comportant autant d’écailles que de plumes, on peut les reconnaître par une houppette de plumes qui se prolonge à l’arrière de son crâne. On en retrouve de plusieurs coloris dans les grottes de Tarides, si bien qu’il est fort à penser que plusieurs sous-races y résident. Certains seraient d’ailleurs venimeuses alors que d’autres ne le seraient pas.
Ils se nourrissent de petites proies de toutes sortes. Ils guettent généralement longuement leur proie avant de s’attaquer à elles lorsqu’elles ont le moins de chance de se défendre.
Image : Illustration par Ghyllian Picoseille d’un spécimen rencontré.
PYTHON :
Ces serpents de grande taille sont présents sur tous les continents. Les plus gros spécimens ayant été découverts il y a peu dans la forêt de Jade en Pandarie.
Sous les Tarides, deux races ont pu être observées. L’une se caractérise par son zhevrage vert clair et noir tandis que l’autre est albinos (oculo-cutané). Les pythons sont généralement assez peu agressifs et s’attaquent à leurs proies en les entourant pour finir par les étouffer. Cette technique particulière fait de cette espèce un serpent constricteur.
Ils se nourrissent exclusivement de petits reptiles et de petits rongeurs. Il semble assez peu probable qu’il soit intéressé par la consommation d’humanoïdes.
VIPÈRE :
La vipère sont des serpents venimeux que l’ont retrouve pratiquement partout à ce jour. Leurs toxines sont parmi les plus dangereuses du règne animal.
Les vipères des grottes des Tarides ont développé un élargissement de leur cou si bien que ce dernier forme un ovale hérissé avec pour sommet la tête du serpent. Ce développement physique est sans doute dû à la nécessité pour ce serpent de paraître plus dangereux auprès des raptors et autres prédateurs que l’ont peut retrouver sur place. Il s’agirait donc d’une stratégie avant tout défensive. On peut également la reconnaître par ses tons violets et ses zhevrages blancs.
Les vipères se nourrissent essentiellement de petits reptiles et de batraciens. Il semble assez peu probable qu’elles soient intéressées par la consommation d’humanoïdes.
Image : Illustration par Ghyllian Picoseille d'une vipère.
MOCASSIN D’EAU :
On retrouve des mocassins d’eau un peu partout à ce jour, des races ont d’ailleurs été récemment découvertes en Pandarie.
Ces serpents ressemblent à s’y méprendre aux vipères et s’en différencient par son milieu de développement. En effet, contrairement aux vipères, les mocassins d’eau se développent et vivent principalement autour ou en milieu aquatique. Ils arborent de somptueuses couleurs bleutées.
Cela indique évidemment une consommation de poissons, petits reptiles et autres petits batraciens. Il semble assez peu probable qu’ils soient intéressés par la consommation d’humanoïdes.
Comme la vipère de ces grottes, le mocassin d’eau a développé un élargissement de son cou.
AUTRES ESPÈCES :
Nous avons pu faire la rencontre de lézards-tonnerre. D’imposants reptiles capables de cracher de la foudre. Toutefois leur présence semble assez faible dans les grottes visitées lors de l’expédition, si bien qu’il ne nous a pas semblé utile d’en faire davantage la description.
Une tortue de grosse taille a pu être rencontrée. N’étant visiblement pas corrompue, il m’a été possible de l’approcher de très près. La comparaison est saisissante, il semblerait qu’elle appartienne à la race que l’ont retrouve sur les rivages de Tanaris. Etant le seul spécimen rencontré, il y a fort à penser qu’elle s’est retrouvée là par hasard après avoir été déplacée aux Tarides de force par des braconniers en vue d’être achetée pour sa grosse carapace ou sa viande.
Petits reptiles. De nombreux petits reptiles pouvaient être observés sur les parois des grottes ou à même le sol. L’expédition étant limitée dans le temps, il ne nous a pas été possible d’en répertorier les différentes espèces.
De nombreux ossements de Kodo ont été retrouvés dans les grottes sous les Tarides, indiquant la migration de ces derniers vers ces grottes. Il n’a toutefois pas été possible d’en rencontrer de vivants durant l’expédition.
2.1) LA FLORE :
De G. Picoseille et R. Stornfeld
À première vue, la flore des cavernes sous les Tarides ne possède pas les stigmates des mutations dues au druidisme intrusif. Il reste que ce point est difficile à estimer, puisque l’expédition réalisée ne comptait aucun botaniste digne de ce nom.
Dans les grandes lignes, la flore dans les cavernes est riche et colorée. Elle bénéficie des bienfaits de la chaleur et de l’humidité qui caractérise cet environnement bien particulier.
Les lignes qui suivent présenteront certaines variétés de plantes et de champignons observées durant l’expédition du Salon.
CHAMPIGNONS À POIS ROUGE :
Définis comme un « inconditionnel de la gastronomie » par Monsieur S. Kromann dans son ouvrage sur les champignons comestibles, les champignons à pois rouge peuvent être trouvés un peu partout en Azeroth.
Comme tous les champignons, on les retrouvera dans les milieux humides. Plusieurs variétés existent, évidemment, mais on remarque une forte adaptabilité de l’espèce aux conditions climatiques. Dans le cas des Tarides, on notera qu’il s’est adapté à un milieu souterrain chaud et humide comportant une bonne quantité de soufre volatile.
Ce champignon est relativement petit, possédant un chapeau convexe de couleur rouge terne avec des pois blancs clairsemés. Son pied quant à lui est beige et ses alvéoles seront bien souvent de couleur brun clair. Je renvois également aux écrits de Monsieur S. Kromann.
Bien que généralement comestibles, l’ensemble des variétés n’ont pas encore pu être testées (les découvertes de nouvelles terres étant à la mode), je recommande donc la prudence. Dans le cas des Tarides, il n’a pas été possible de vérifier si la variété était ou non comestible.
Il est courant de confondre les champignons à pois rouges avec des amanites tue-mouche, plus gros et potentiellement allergène.
CHAMPIGNONS DES CAVERNES :
Selon les écrits de Monsieur Kromann, les champignons des cavernes sont présents partout en Azeroth et en Draenor. Appréciant les lieux sombres et humides, ainsi qu’un sol pauvre, ces champignons sont les premiers habitants des grottes en tout genre.
Dans le cas des Tarides, la taille de ce champignon atteignait des proportions plus qu’étonnantes. Certains pouvant atteindre la moitié d’un homme adulte. Cette variété de champignons des cavernes se distingue donc principalement par sa taille.
Ce champignon possède un chapeau convexe de couleur jaunâtre avec un pied et des alvéoles de couleur beige. Si on s’en réfère aux écrits de Monsieur S. Kromann.
On le confond parfois avec l’amanite fumante, que l’ont retrouve en extérieur près des eaux troublées de Sombrerivage et qui possède des propriétés cicatrisantes une fois préparé en onguent. Ne tentez pas l’expérience avec ce champignon, vous n’en obtiendrez rien de tel.
CHAMPIGNONS JACINTHE :
Le champignon Jacinthe est un favori des forêts du nord de Kalimdor. On le retrouve principalement dans les forêts de Tel’drassil, Orneval, Mont Hyjal, Gangrebois et sombrerivage. L’espèce semble s’être déplacée jusqu’aux fin fond des grottes des Tarides, à en croire nos observations.
Selon Monsieur S. Kromann, l’espèce des champignons jacinthe se distingue en de multiples variétés. Celle des Tarides semble s’être adaptée à la chaleur et l’humidité de la zone, si peu caractéristiques des forêts plus au nord.
On décrit ce champignon comme possédant un chapeau ovale d’une couleur à mi chemin entre le bleu et le mauve. Certains y verront plutôt une sorte de rouge. Le pied et les alvéoles porteront les même traits en plus clair.
La variété de champignon jacinthe de Tel’drassil est connu pour ses propriétés médicales. Il entrerait en effet dans la composition de plusieurs antidotes prévenant des venins d’araignées. La variété des Tarides n’est pas connue pour posséder de telles propriétés et déterminer ce trait demanderait de longues recherches en soi.
CHAMPIGNONS DES CHAPEAUX :
Ces champignons élisent domicile, tel des parasites, sur le chapeau de leurs congénères de plus grande taille. Cette particularité leur on valu le nom affectueux de « champignon des chapeaux ».
On les retrouve bien souvent sur les champignons des cavernes formant visiblement l’hôte pas excellence.
Dans le cas des Tarides, on notera que ce champignon se développe de la même manière que partout ailleurs. Il serait donc aisé de penser qu’il n’a pas de différences avec les variétés retrouvées en d’autres lieux. L’expédition n’a pas permit de lever le voile.
On peut le décrire comme étant un champignon de très petite taille possédant un chapeau convexe et un pied de couleur blanchâtre.
FOUGÈRES :
Plante commune par excellence, les fougères peuvent être trouvées à de nombreux points d’Azeroth. D’une teinte verte, cette plante est constituée de tiges droites desquelles partent –perpendiculairement- d’autres tiges garnies de petites feuilles vertes.
La fougère est bien connue des archéologues en herbe, car on peut aisément en retrouver des spécimens fossilisés, vieux de plusieurs centaines de milliers d’années. Les botanistes, quant à eux, rencontrent régulièrement des fougères durant leurs expéditions, tant elles s’acclimatent facilement à leur environnement.
Des archéo-botanistes estiment que les fougères ont un jour recouvert l’ensemble du continent unique de Kalimdor.
Certaines variétés, notamment en Strangleronce sont vénéneuses mais la plupart restent inoffensives pour les humanoïdes.
GRAINITIERS À PALMES BLEU :
Les grainitiers à palmes bleus ne poussent que sous les Tarides et dans les marais des chagrins. De récentes expéditions en Sholazar ont toutefois permis la découverte de grainitiers à palmes rouges faisant donc partie de la même espèce.
Cette plante se présente sous la forme d’une tige verte surplombée par un plateau contenant des graines bleu entouré de feuilles allongées ressemblant à des palmes. Cette description est la source même de son nom de « Grainitier à palmes bleu ».
Il va de soi, en fonction des lieux où on peut la retrouver, qu’elle se développe exclusivement dans un environnement chaud et humide présentant des traces de soufre volatiles (dues aux geysers).
Très rare, il va de soi qu’une telle plante pourrait faire fureur dans un jardin privé. Toutefois, rassembler les conditions nécessaires à sa survie semble ardu.
FLEURS DU SERPENT :
Les fleurs du serpent sont endémique des cavernes des Tarides. On ne les retrouve qu’à cet endroit d’Azeroth, profondément enfuies dans les galeries sombres et humides de cette zone.
Elles se présentent sous la forme de feuilles aux bords rougeoyants entourant une fleur allant de l’orange au pourpre à mesure où l’ont s’approche de son centre. Elles poussent à même le sol et ne se déploie pratiquement pas. Elles ne tolèrent que peu la présence de leurs congénères si bien qu’il est rare d’en trouver deux à moins d’un ou deux mètre de distance.
Ces fleurs sont connues des druides Cénarien pour combattre les cauchemars qui, parfois, dérangent les druides lors de leurs profonds sommeils méditatifs. Ces plantes entraient dans la composition de la potion qui sortit Naralex du cauchemar qui changera à jamais l’apparence des Tarides.
La mauvaise qualité de l'image est due à l'effet de la chaleur et de l'humidité sur le gnomographe utilisé durant l'expédition.
2.1) RAPPORT TOXICOLOGIQUE :
De T. Hewert
Ayant extrait les crocs des différents animaux et récolté les poisons naturels (venins) qu'ils contenaient, il m'est venu à l'idée de transformer le poison en son contraire. Pour ce faire, il convient de comprendre indépendamment les effets de chaque venin.
LES VENINS :
Les grottes visitées durant l’expédition du Salon étaient littéralement remplies de reptiles connus pour leur dangerosité. Certaines espèces rencontrées possédaient en effet des venins particulièrement redoutables, et c’est ces derniers qui seront présentés ici.
Les vipères
Le poison des vipères agit directement sur les muscles de l'animal (ou de tout autre victime,...). Lorsqu’un animal se voit par exemple injecter une dose de ce poison dans les jambes, celui-ci tomberait sur le sol; incapable de mouvoir ses membres inférieurs. Evidemment, la corpulence de la victime et la dose de poison reçue influe grandement sur le résultat final.
Il ne nous a pas été possible de déterminer si les vipères fabriquent ce poison en permanence et le stockent ou s’il est produit que dans les situations anxiogènes.
Les serpents des vents
De nombreuses races de serpents des vents sont venimeuses.
Nous avons eu l’occasion d’apercevoir l’un d’eux, un serpent des vents vert, connu pour cracher du venin à distance sur ces victimes. Ce venin, s’il entre dans le sang ou l’organisme, causerait des hémorragies pouvant être fatales aux plus petites espèces. Et dangereuses pour l’homme sans traitement rapide.
Il parait évident que ces serpents des vents stockent une grande quantité de ce venin dans une glande à l’intérieur de leur bouche, étant donné la quantité qu’ils sont à même d’éjecter sur leurs victime.
Déterminer les doses
Il est difficile de déterminer précisément la dose de venin injectée au cours d’une morsure dans l’organisme d’une victime. Les secouristes apprennent à reconnaître les morsures et à mesurer la quantité d’anti venin nécessaire pour sauver une victime. Au jour d’aujourd’hui, cela se fait malheureusement que trop souvent à « la chance ».
Il est à noter que la plupart des venins nécessitent la même quantité d’anti venin pour être annihilés.
Il serait intéressant de remettre à jour la liste des espèces venimeuses, les doses de venin injectées et la quantité d’anti venin nécessaire. De même, pour ces anti venin, préciser le rapport de dilution et la méthode d’administration.
LES ANTI VENIN:
Il existe plusieurs méthodes pour réaliser des anti-venins. N’étant pas le sujet de ce rapport, je ne m’attarderai pas sur ces dernières.
Vipères :
J’ai réalisé un anti venin pour vipère par l’inoculation d’une dose diluée de venin dans un cheval en bonne santé. Après plusieurs heures, j’ai extrait une quantité définie de sang à proximité du foyer d’inoculation. Une fois le résultat purifié, on obtient théoriquement un anti venin fonctionnel.
L'anti-venin Vipère que j'ai réalisé n'agit qu'en quelques minutes mais restitue l'ensemble des capacités à la victime. Il est cependant vital d'administrer l'antidote au plus vite. En effet, ayant testé différentes doses, je me suis aperçu que si le poison atteint les muscles vitaux tels que le cœur; ceux-ci sont anesthésiés et l'animal meurt en quelques instants.
L'intérêt d'utiliser un croc afin de donner l'antipoison est, dans ce cas, intéressant. En effet, si l'individu est mordu au cœur le croc permet d'administrer directement l'antidote dans le muscle, là où il est nécessaire. Un antidote par breuvage devrait tout d'abord transiter par le système digestif et le système sanguin avant d'arriver en dose réduite à destination. En plantant délicatement le croc dans la plaie et en instillant l’anti venin, vous pourrez augmenter les chances de survie de la victime.
Les serpents des vents
Le même procédé a été utilisé pour réaliser l’anti venin serpent des vents. À ceci près qu’il a été inoculé dans un mouton, dont l’organisme est plus à même de réagir à une quantité de venin qui lui serait dangereuse.
L’ensemble du procédé reste en définitive le même.
À noter qu’en cas d’ingestion du venin du serpent des vents, ce qui peut arriver puisqu’il le crache à distance (même si il faut bien l’avouer, ça ne serait vraiment pas de chance) une méthode moins complexe pourrait sauver une vie.
Je conseille dans ce cas de rapidement ingérer deux à trois morceaux moyens de charbon de bois activé. Une fois fait, il suffira de faire sentir un extrait de champignon de Kahet (devenus rares, mais toujours utiles) qui entrainera des vomissements. Assurez-vous que la victime se vide l’estomac avant d’arrêter le processus. Vous économiserez un antidote.
Titre 3 : ÉTUDE DE GÉOLOGIE
De K. Fracassor
La recherche ci-dessous se centre sur la partie géologie de l'étude "Expédition sous les Tarides" menée par le Salon.
Elle sera divisée en 4 parties :
3.1) La Cartographie*
3.2) Le patrimoine Lithologique* et Minéralogique*
3.3) L'Archéologie
3.4) L'Hydrogéologie*
3.5) le Lexique
Un lexique se trouvant à la fin de ce titre viendra compléter l'étude.
3.1) La CARTOGRAPHIE
Ce chapitre présentera les cartes du complexe sous-terrain, et le nom de ses secteurs.
Les cavernes explorées par notre expédition sont divisées tout d'abord en deux zones principales que l'on nommera simplement la Zone Supérieure (Z.S) et la Zone inférieure (Z.I). Choix fait pour des raisons géographiques, la première étant plus au nord que la seconde.
La Z.S correspond à la zone de l'entrée de la caverne. Elle forme un demi-cercle relativement tassé. Elle se compose de la Galerie Principale (secteur nord-ouest de la carte) et la Caverne au geyser (secteur est de la carte).
La Caverne au Geyser. La mauvaise qualité de le gnomographie est due à l'effet de la chaleur et de l'humidité sur le gnomographe utilisé durant l'expédition.
La Z.I est un demi-cercle relativement allongé et parsemé de plusieurs gouffres. Elle est divisée en 5 secteurs : son Entrée (moitié nord de la carte), la Ravine Centrale (tout le bras central de la carte), l'Abîme oriental (secteur est de la carte), la grotte septentrionale (secteur sud de la carte) et la Combe occidentale (secteur nord-ouest de la carte).
Carte de la zone supérieure
Carte de la zone inférieure
3.2) LE PATRIMOINE LITHOLOGIQUE ET MINÉRALOGIQUE
Ce chapitre présentera les différents minéraux et pierres notables que l'on peut trouver dans les cavernes, sous forme de liste suivie, après une prospection documentée et une analyse visuelle des lieux.
Métaux :
Cuivre : quantité moyenne dans la Z.S, rare dans la Z.I. Présence de filons et de strates rosées.
Etain : quantité moyenne à rare dans la Z.S, rare dans la Z.I. Présence de filons de couleur gris/argentés.
Argent : quantité rare à très rare, dans la Z.S, très-rare à inexistant dans la Z.I.
Fer : petite quantité dans la Caverne au geyser.
Pierres :
Roche calcaire : Dans tout le complexe. Ce qui est assez logique, puisque cette roche est l'un des principaux agents formateurs des grottes, avec l'eau venant des rivières, de la pluie, ...
Roche magmatique : petite quantité, dans la Caverne au geyser et au bout d'un gouffre dans la Ravine centrale. Présence de pierre de couleur rougeoyante.
Ardoise : petite quantité de part et d'autre des grottes. Amas de pierres grises/noires en couches.
Autres :
Souffre : petite à très petite quantité à proximité du geyser. Un oeil/nez connaisseur et habitué des milieux volcaniques peut-être nécessaire, mais l'odeur particulière et la présence du geyser peut venir confirmer sa présence dans cette partie de la caverne.
Bon à savoir :
Bien souvent, comme c'est le cas dans la majeure partie d'Azeroth, la présence de métaux tels que le cuivre ou l'étain peut aussi indiquer la présence de gemmes. Selon le tableau gemmologique* de Madame Theresa Denman, maîtresse de joaillerie de Hurlevent, les gemmes que l'on peut trouver couramment dans le cuivre et l'étain sont la malachite, l'œil de tigre, l'œil ténébreux, la pierre de lune (inférieure) et l'agate mousse.
3.3) ARCHÉOLOGIE
Après les découvertes effectuées et des analyses personnelles, je peux conclure que la principale catégorie archéologique rencontrée dans ces cavernes est la fossile.
On peut y trouver des ossements, mais également des morceaux de végétaux conservés ça et là.
Les principaux végétaux fossilisés découverts sont quelques morceaux de bois pétrifiés ou des fougères préservées, surtout dans la Ravine centrale et l'Abîme orientale. Au vu de mes observations personnelles.
Un crâne de Kodo assez ancien a été découvert lors de l'expédition. En tant qu'archéologue, il m'a été plutôt facile d'en venir à la conclusion qu'il s'agissait d'un fossile, après mes quelques années d'expérience dans le domaine. J'en viens à cette conclusion principalement après avoir constaté la couleur de l'os, le nombre de fissures sur celui-ci et aussi la présence d'autres substances, principalement minérales.
Bien sûr, je ne peux uniquement me baser sur cette brève « analyse ». Aussi ai-je pris un échantillon de l'os (ici, une dent) en vue de le faire analyser par la Ligue*, de retour à Forgefer.
Le résultat fût assez satisfaisant, vu qu'il s'agissait bel et bien d'un fossile, et ce daté d'environ 750 ans.
La mauvaise qualité de l'image est due à l'effet de la chaleur et de l'humidité sur le gnomographe utilisé durant l'expédition.
3.4) HYDROGÉOLOGIE
Après réflexion, il m'est venu comme conclusion que les cavernes que nous avons pu visiter constituent, comme les cavernes des Lamentations, non loin, un important passage d'eau souterrain pour les Tarides (du Nord).
Le manque de précipitations dans les Tarides me permet de penser que la quantité assez impressionnante d'eau dans le complexe provient de sources ou de nappes phréatiques plus profondes, ou par un système de galeries du Fleuve Furie-du-Sud coulant à l'autre bout des plaines.
Des fouilles plus poussées permettraient de confirmer cette théorie.
Cependant, le flux des eaux dans le secteur et la constitution de ce-dernier fait que l'eau se regroupe bien souvent en plusieurs lieu des cavernes, formant diverses poches. Une quantité moins importante arrive à remonter à la surface des Tarides pour aller alimenter les quelques oasis, aidé par des compléments venant du fleuve non loin.
Les courants passants par les grottes participent notamment à leur formations, et aussi, au vu de la faune et de la flore, au transport de graines et de limons (fertilisants les cavernes) depuis la surface à l'intérieur des lieux.
La mauvaise qualité de l'image est due à l'effet de la chaleur et de l'humidité sur le gnomographe utilisé durant l'expédition.
3.5) LE LEXIQUE
Gemmologique : Relatif à la gemmologie. Science qui étudie les différentes gemmes.
Cartographie : Réalisation et étude des cartes géographiques et géologiques.
Lithologique : Relatif à la lithologie. Science qui étudie les différentes roches et pierres.
Minéralogique : Relatif à la minéralogie. Science qui étudie les différents minéraux.
Hydrogéologie : Science qui étudie l'eau souterraine. Plus précisément la distribution et la circulation de l'eau souterraine dans le sol et dans les roches.
Ligue : Ligue des Explorateurs
Titre IV : CONCLUSION :
On peut aisément énoncer à la suite de notre expédition que, comme attendu, ces grottes sont principalement peuplées par des reptiles de plusieurs espèces et même de plusieurs races.
La dangerosité de ces prédateurs à sang froid à l’état naturel s’est vu être revue à la hausse suite à la corruption due au druidisme intrusif de Shan’do l’Archidruide Naralex. Pris d’accès de colères et de violence, des animaux qui d’ordinaires auraient fuit à l’approche d’humanoïdes s’y attaquent désormais ouvertement. Cela fait de ces lieux un endroit à vivement déconseiller.
Il est important que cette corruption sur la faune se remarque essentiellement par ce fait et non, comme on pourrait le penser, par une mutation physique quelconque.
La flore, quant à elle, n'a semble t-il pas ou peu subi les effets de la déviance entrainée par l'Archidruide. Bien qu'elle soit luxuriante, il ne nous appartient pas de conclure que cela est le fait des expériences ratées du druide.
Les rapports du Docteur Hewert auront permis de mettre en évidence la dangerosité des différentes espèces vivant dans les grottes des Tarides. Ces dernières possèdent en effet des toxines puissantes pouvant aisément entrainer la mort.
La partie géologie, après avoir présenté les lieux visités durant l'expédition, aura démontré l'existence de matières premières diverses (minerais, roches, ...). Il aura également pu donner une idée des facteurs qui auront entrainé la création des grottes explorées.
L'ensemble de l'expédition, et du rapport qui en est né, donne une idée assez complète des complexes souterrains des Tarides et de la dangerosité pour l'homme de ces derniers.
À l'avenir, de pareilles recherches -menées par le Salon- pourraient voir le jour sur d'autres contrées.
Titre V : SOURCES :
Gnomographies de l'expédition
Notes personnelles d'expédition du Professeur Stornfeld
Notes personnelles d’expédition de l’Assistante Picoseille
Notes personnelles d'expédition du Professeur Fracassor
«Les Cavernes des Lamentations» et «En territoire ennemi» de A. Deklimmer
«Cartes des Tarides du Nord» du Cartel Gentepression
«Les champignons : introduction et généralités» de S. Kromann
«Traité sur les milieux souterrains» de la Ligue des Mineurs de Forgefer
«Tableau gemmologique de T. Denman» Joaillerie Denman
«La faune endémique des Tarides» J-P Rollings
«La flore de la côte est de Kalimdor» V. Kragston
Septimus Kromann
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