E'kan Val'ar, Soldat depuis sa naissance.
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E'kan Val'ar, Soldat depuis sa naissance.
Rapport de mission du troisième jour du premier mois de l'an 521 du calendrier des rois.
Objectif : Sécurisation de la ferme de la famille Granier à coté de Val-nord.
Cible : Humain s’attellent à de sombres rituels de sang.
Soldats en fonction : Lieutenant James Crowford, Major Blake O'connor, Sergent E'kan Val'ar et Recrue Akil Flèche-lumière.
Rapport établie par le Lieutenant James Crowford.
C'est après plusieurs plaintes de fermiers de la région, et des rumeurs toute plus étranges les unes que les autres, que nous eûmes l'ordre d’enquêter sur cette histoire de sacrifice d'animaux. Nous nous somme diriger en premier lieu vers les premiers témoins de l'affaire, le couple Barth. Ils nous ont expliqués avoir retrouvé deux de leurs cochons et une poule pendu et égorgé dans leurs granges avec en dessous des marques de rituel dessiné avec le sang de leurs animaux. Perplexes, nous avons ensuite suivi la piste en interrogeant toutes les personnes concernées et ils nous ont tous dis des choses similaires. Des animaux égorgés et pendu.
Le problème cette fois, c'est que le fils du couple Granier, Edouard, âgé de seulement huit ans, avait disparut dans la nuit de la veille. J'ai envoyé le Major O'connor et la recrue Flèche-lumière, enquêter dans la grange pendant que j'interrogeais le couple Granier avec le sergent Val'ar. D'après eux, leur fils avait l'habitude de se lever la nuit pour boire un peu d'eau. Le sergent Val'ar supposa qu'il avait dû voir quelque chose dehors qu'il l'a poussé à sortir. Nous avons donc terminé le témoignage et j'ai envoyé le sergent aller au rapport du Major et de la Recrue pendant que j'examiné de potentielle trace de pas autour de la maison.
La maison était sans la moindre trace et je suis donc partie voir la grange et rejoindre l'escouade. Le major m'expliqua qu'il n'y avait pas le moindre animal sacrifié ou marque au sol. En fouillant un peu dans la grange, le Sergent Val'ar trouva une petite chaîne en métal appartenant au fils Granier. Il fouilla un peu autour et découvrit une trace de pas. Il s'agissait d'une trace de botte profonde, un homme était là cette nuit.
Le Major O'connor pista la trace qui se dirigeait vers la forêt derrière la ferme. Arrivée à la lisière, Flèche-lumière trouva un morceau de tissu sur une branche. Nous nous somme donc enfoncée dans la forêt et après une heure de marche, nous avons trouvé des traces de sang. J'ai envoyé le Major en éclaireur pendant que nous observions la zone. Le major revint quelques minutes plus tard en nous rapportant avoir entendu un cri lointain vers le nord-ouest. Nous sommes partie dans cette direction et avons trouvé après plusieurs minutes de courses une vieille cabane abandonnée. J'ai donné l'ordre de ce dispersé pour encercler la cabane. Le major à gauche, le sergent derrière, la recrue a droite et moi devant. Nous nous somme approchée à pas feutré avant que je n'entende une vitre brisé derrière la cabane. Val'ar tenta d'intercepter le fuyard, mais la masse qui le chargeait l'envoya dans les ronces. J'ai envoyé le Major et le sergent a la poursuite de cet homme pendant que j'inspecté la cabane et que la recrue fit le guet. À l'intérieur, j'ai retrouvé l'enfant des Granier, égorgé dans un coin, son sang utilisé pour dessiner un rituel. J'eu le souffle coupé un instant par la vision avant d'entendre le Major revenir en courant. Il m'expliqua que la cible avait fui dans le sous-bois, mais que le Sergent Val'ar était encore à sa poursuite. Les Quel'doreis peuvent être parfois plus téméraires que nous autres humains.
J'ai envoyé le Major et la recrue ramasser le corps pour le rapporter aux parents pendant que je partais à la poursuite du sergent et de la cible. Après dix minutes de courses aux travers des arbres et des ronces, je retrouvai le sergent, sonné contre un arbre. Je fis un bref balayage du regard avant de m'approcher du sergent pour lui demander ce qu'il s’était passé. Il m'expliqua qu'au moment de le rattraper, la cible se retourna pour le prendre à la gorge et l'envoyer contre cet arbre. Il fut surpris par une telle puissance physique, les yeux rouge du tueur et la rage aux dents qu'avait vue Val'ar lui faisait penser a un berserker troll. Après cet échec nous sommes retournés à la caserne pour nous reposer et essayer de comprendre.
Pour l'heure le tueur court encore dans la nature, mais les forces de l'ordre ont placardé des affiches d'après la description faite par le sergent. Nous l'aurons, ce n'est qu'une question de temps.
Lieutenant James Crowford de la 3emes infanterie de Stratholme.
Objectif : Sécurisation de la ferme de la famille Granier à coté de Val-nord.
Cible : Humain s’attellent à de sombres rituels de sang.
Soldats en fonction : Lieutenant James Crowford, Major Blake O'connor, Sergent E'kan Val'ar et Recrue Akil Flèche-lumière.
Rapport établie par le Lieutenant James Crowford.
C'est après plusieurs plaintes de fermiers de la région, et des rumeurs toute plus étranges les unes que les autres, que nous eûmes l'ordre d’enquêter sur cette histoire de sacrifice d'animaux. Nous nous somme diriger en premier lieu vers les premiers témoins de l'affaire, le couple Barth. Ils nous ont expliqués avoir retrouvé deux de leurs cochons et une poule pendu et égorgé dans leurs granges avec en dessous des marques de rituel dessiné avec le sang de leurs animaux. Perplexes, nous avons ensuite suivi la piste en interrogeant toutes les personnes concernées et ils nous ont tous dis des choses similaires. Des animaux égorgés et pendu.
Le problème cette fois, c'est que le fils du couple Granier, Edouard, âgé de seulement huit ans, avait disparut dans la nuit de la veille. J'ai envoyé le Major O'connor et la recrue Flèche-lumière, enquêter dans la grange pendant que j'interrogeais le couple Granier avec le sergent Val'ar. D'après eux, leur fils avait l'habitude de se lever la nuit pour boire un peu d'eau. Le sergent Val'ar supposa qu'il avait dû voir quelque chose dehors qu'il l'a poussé à sortir. Nous avons donc terminé le témoignage et j'ai envoyé le sergent aller au rapport du Major et de la Recrue pendant que j'examiné de potentielle trace de pas autour de la maison.
La maison était sans la moindre trace et je suis donc partie voir la grange et rejoindre l'escouade. Le major m'expliqua qu'il n'y avait pas le moindre animal sacrifié ou marque au sol. En fouillant un peu dans la grange, le Sergent Val'ar trouva une petite chaîne en métal appartenant au fils Granier. Il fouilla un peu autour et découvrit une trace de pas. Il s'agissait d'une trace de botte profonde, un homme était là cette nuit.
Le Major O'connor pista la trace qui se dirigeait vers la forêt derrière la ferme. Arrivée à la lisière, Flèche-lumière trouva un morceau de tissu sur une branche. Nous nous somme donc enfoncée dans la forêt et après une heure de marche, nous avons trouvé des traces de sang. J'ai envoyé le Major en éclaireur pendant que nous observions la zone. Le major revint quelques minutes plus tard en nous rapportant avoir entendu un cri lointain vers le nord-ouest. Nous sommes partie dans cette direction et avons trouvé après plusieurs minutes de courses une vieille cabane abandonnée. J'ai donné l'ordre de ce dispersé pour encercler la cabane. Le major à gauche, le sergent derrière, la recrue a droite et moi devant. Nous nous somme approchée à pas feutré avant que je n'entende une vitre brisé derrière la cabane. Val'ar tenta d'intercepter le fuyard, mais la masse qui le chargeait l'envoya dans les ronces. J'ai envoyé le Major et le sergent a la poursuite de cet homme pendant que j'inspecté la cabane et que la recrue fit le guet. À l'intérieur, j'ai retrouvé l'enfant des Granier, égorgé dans un coin, son sang utilisé pour dessiner un rituel. J'eu le souffle coupé un instant par la vision avant d'entendre le Major revenir en courant. Il m'expliqua que la cible avait fui dans le sous-bois, mais que le Sergent Val'ar était encore à sa poursuite. Les Quel'doreis peuvent être parfois plus téméraires que nous autres humains.
J'ai envoyé le Major et la recrue ramasser le corps pour le rapporter aux parents pendant que je partais à la poursuite du sergent et de la cible. Après dix minutes de courses aux travers des arbres et des ronces, je retrouvai le sergent, sonné contre un arbre. Je fis un bref balayage du regard avant de m'approcher du sergent pour lui demander ce qu'il s’était passé. Il m'expliqua qu'au moment de le rattraper, la cible se retourna pour le prendre à la gorge et l'envoyer contre cet arbre. Il fut surpris par une telle puissance physique, les yeux rouge du tueur et la rage aux dents qu'avait vue Val'ar lui faisait penser a un berserker troll. Après cet échec nous sommes retournés à la caserne pour nous reposer et essayer de comprendre.
Pour l'heure le tueur court encore dans la nature, mais les forces de l'ordre ont placardé des affiches d'après la description faite par le sergent. Nous l'aurons, ce n'est qu'une question de temps.
Lieutenant James Crowford de la 3emes infanterie de Stratholme.
E'kan
Re: E'kan Val'ar, Soldat depuis sa naissance.
Rapport de mission du septième jour du premier mois de l'an 521 du calendrier des rois.
Objectif : Traquer et éliminer le meurtrier humain surnommé "le Ritualiste".
Cible : Humain meurtrier surnommé "Le Ritualiste".
Soldats en fonction : Lieutenant James Crowford, Major Blake O'connor, Sergent E'kan Val'ar et le Soldat Marcus Crown.
Rapport établie par le Major Blake O'connor,
Cela faisait cinq jours que nous traquions cet homme et c'est après une plainte d'un officier de la milice de la croisé de Corin que nous avons pu avancer dans notre enquête. En effet, plusieurs villageois ont aperçu un homme de grande stature rôder non loin de la périphérie du village. Nous nous somme rendue sur place avec notre équipe pour mener l'enquête avec la milice locale. Le chef de la milice Johnson nous a mis sur la piste vers le comté de Darrow. Le sergent Val'ar, encore rageur d'avoir perdu le suspect aussi proche, fut le plus impatient de suivre la piste. Le Lieutenant Crowford nous guida et c'est a l'approche d'un sous-bois non loin du comté que nous avons vue une silhouette suspecte en travers des branches. Le sergent Val'ar senti que l'on nous épiait. Le lieutenant nous fit signe d'attendre avant de se mettre en marche d'un pas méfiant vers le sous-bois. C'est en approchant que le suspect tenta de s'échapper. Le sergent Val'ar ce précipita presque aussi tôt entre les arbres pour tenter de poursuivre la cible, suivie par nous quelques mètres plus loin.
Après quelques minutes de course effrénée nous vîmes le sergent essoufflé, le suspect l'avait échappé. Le sergent nous expliqua qu'il n'avait jamais vu un homme courir aussi vite, pour lui ca course et sa façon de traverser la forêt lui faisait pensé à un troll venant de plus au nord vers Zul'aman. Il était peu vraisemblable qu'u troll rode aussi loin de ses terres. Le lieutenant envoya Crown et moi-même chercher des pisteur et des chasseur au comté de Darrow pour tenter de pister la trace du fuyard.
Quand nous somme revenue a l'endroit ou nous avions quitter le Lieutenant et le Sergent, ils n'étaient plus là. Les chasseurs emmené avec nous ont assez rapidement remarqué que l'endroit a était saccagé, un combat a eu lieu et des traces de sang couvrais certains feuillages. Plus loin entre deux buissons nous avons retrouvé le sergent Val'ar, légèrement blessé, mais quelque peu sonné.
Après un temps pour reprendre ses esprits le sergent nous expliqua que le suspect les avait attaqués par surprise. Il décrira une force brut incroyable et des colifichets très étrange. Il s'agissait bel et bien, d'un troll Amani. Le troll a renvoyé le sergent dans les vapes d'un simple revers de l'avant-bras avant d'enlever le Lieutenant au travers de la forêt bordant la chaîne de montagne du sud des Maletèrres. Les chasseurs on pister la trace du troll et ont parfaitement reconnue les pas de ces monstres. Les trolls sont sûrement la pire plaie du royaume (avec les murlocs).
Nous sommes arrivées à remonter la piste jusqu'à une grotte au pied de la montagne, non loin au sud de la croisé de Corin. Des têtes pendu au mur, des os mâchonné, du sang séché un peu partout, vraiment rien d'accueillant. À y repenser, j'en ai encore des nausées. En voyant ca, le sergent s'avança en premier sans peur, ou par folie suicidaire... Je ne saurais pas encore le dire, je n'arrive pas à cerner le sergent correctement, il est assez impulsif et très peu compatissant envers les autres, c'est dérangeant par moment.
Nous nous somme enfoncée dans la grotte et avons senti une odeur désagréable de nécrose ainsi que des bruits répété en rythme de martèlement léger. En avançant nous avons vue avec horreur que le troll n'ai pas du genre à prendre son temps. Il se tenait droit au centre d'un nouveau cercle rituel dessiné avec du sang, celui du Lieutenant. Le pauvre homme a était égorgé et vider comme un porc, son corps laissé la tel un détritus. Val'ar, sous mes ordres, approcha du troll dans l'ombre de la caverne, là ou le feu des torches n'éclairaient pas, Crown se mit en position avec les chasseurs avec leurs armes de tire. J'approchai de l'autre coté, profitant qu'il me tourne le dos. Au moment de frapper, le troll termina son incantation macabre et se retourna vers moi. Les tireurs l'ont criblé de balles et de flèches, mais ses blessures se sont régénérées. Il s'approcha de moi et m'attrapa par le cou en me soulevant, ce troll immonde me fixa dans les yeux alors qu'il me broya la trachée. Val'ar intervint en lui tranchant le tendons droit avec sa dague. Le troll me lâcha et j'ai toussé en tentant de reprendre ma respiration alors que je vis le Sergent s'éclater, dans un vol plané, contre le mur. Il chargea Val'ar qui n'avaient pas encore dis son dernier mot, c'est bien une chose que j'accorde a cette elfe, c'est sa motivation a ne jamais se rendre. Le Sergent évita son coup-de-poing et lui trancha le second tendon dans une roulade maîtrisé. Cependant, ce troll régénéra ses blessures sans la moindre difficulté. J'ai ordonné un nouveau tire pendant que la créature se redressât. Encore une fois, les balles, ont était inefficace face a ce monstre gorgé de sang. Il fit un bond qui défia toute logique et écrasa ses deux pieds contre l'un des chasseurs qui mourut sur le coup totalement fracassé. Il attrapa la tête d'un second chasseur et l'envoyer sur le soldat Crown. Les deux hommes furent sonnés jusqu'à la fin de la bataille. J'ai attrapé ma claymore et me suis approché du troll avec toute ma détermination et lui ai tranché l'avant-bras gauche. Il eu quelques seconde de blanc quand le troll comprit qu'il avait perdu son bras, il me regarda et me hurla dessus a m'en briser les tympans, le tout accompagné de la résonnance naturel de cette caverne. Val'ar s'interposa une nouvelle fois pour sauver mon ouïe en sautant sur le dos du monstre pour tenter de le décapiter avec sa dague. Il passa sa dague sous la gorge du monstre et de l'autre main l'attrapa de l'autre coté et tira de toutes ses forces pour en détacher la tête du troll qui se débattit avec férocité. Le bestiau avait la peau dur, mais Val'ar a réussi après un ultime effort à lui arracher la tête. Le monstre tomba lourdement dans la poussière de la caverne, sa tête à coté, le visage figé dans une expression de rage.
À l'heure ou j'écris ce rapport, le Sergent Val'ar a était missionné aux terres elfiques pour enquêter sur ce troll solitaire sortie de Zul'aman. La mission fut un succès, mais les pertes furent terribles pour les familles, en particulier le Lieutenant Crowford. J'irai moi-même annoncer sa mort à sa femme et ses enfants.
Major Blake O'connor de la 3ème infanterie de Stratholme.
Objectif : Traquer et éliminer le meurtrier humain surnommé "le Ritualiste".
Cible : Humain meurtrier surnommé "Le Ritualiste".
Soldats en fonction : Lieutenant James Crowford, Major Blake O'connor, Sergent E'kan Val'ar et le Soldat Marcus Crown.
Rapport établie par le Major Blake O'connor,
Cela faisait cinq jours que nous traquions cet homme et c'est après une plainte d'un officier de la milice de la croisé de Corin que nous avons pu avancer dans notre enquête. En effet, plusieurs villageois ont aperçu un homme de grande stature rôder non loin de la périphérie du village. Nous nous somme rendue sur place avec notre équipe pour mener l'enquête avec la milice locale. Le chef de la milice Johnson nous a mis sur la piste vers le comté de Darrow. Le sergent Val'ar, encore rageur d'avoir perdu le suspect aussi proche, fut le plus impatient de suivre la piste. Le Lieutenant Crowford nous guida et c'est a l'approche d'un sous-bois non loin du comté que nous avons vue une silhouette suspecte en travers des branches. Le sergent Val'ar senti que l'on nous épiait. Le lieutenant nous fit signe d'attendre avant de se mettre en marche d'un pas méfiant vers le sous-bois. C'est en approchant que le suspect tenta de s'échapper. Le sergent Val'ar ce précipita presque aussi tôt entre les arbres pour tenter de poursuivre la cible, suivie par nous quelques mètres plus loin.
Après quelques minutes de course effrénée nous vîmes le sergent essoufflé, le suspect l'avait échappé. Le sergent nous expliqua qu'il n'avait jamais vu un homme courir aussi vite, pour lui ca course et sa façon de traverser la forêt lui faisait pensé à un troll venant de plus au nord vers Zul'aman. Il était peu vraisemblable qu'u troll rode aussi loin de ses terres. Le lieutenant envoya Crown et moi-même chercher des pisteur et des chasseur au comté de Darrow pour tenter de pister la trace du fuyard.
Quand nous somme revenue a l'endroit ou nous avions quitter le Lieutenant et le Sergent, ils n'étaient plus là. Les chasseurs emmené avec nous ont assez rapidement remarqué que l'endroit a était saccagé, un combat a eu lieu et des traces de sang couvrais certains feuillages. Plus loin entre deux buissons nous avons retrouvé le sergent Val'ar, légèrement blessé, mais quelque peu sonné.
Après un temps pour reprendre ses esprits le sergent nous expliqua que le suspect les avait attaqués par surprise. Il décrira une force brut incroyable et des colifichets très étrange. Il s'agissait bel et bien, d'un troll Amani. Le troll a renvoyé le sergent dans les vapes d'un simple revers de l'avant-bras avant d'enlever le Lieutenant au travers de la forêt bordant la chaîne de montagne du sud des Maletèrres. Les chasseurs on pister la trace du troll et ont parfaitement reconnue les pas de ces monstres. Les trolls sont sûrement la pire plaie du royaume (avec les murlocs).
Nous sommes arrivées à remonter la piste jusqu'à une grotte au pied de la montagne, non loin au sud de la croisé de Corin. Des têtes pendu au mur, des os mâchonné, du sang séché un peu partout, vraiment rien d'accueillant. À y repenser, j'en ai encore des nausées. En voyant ca, le sergent s'avança en premier sans peur, ou par folie suicidaire... Je ne saurais pas encore le dire, je n'arrive pas à cerner le sergent correctement, il est assez impulsif et très peu compatissant envers les autres, c'est dérangeant par moment.
Nous nous somme enfoncée dans la grotte et avons senti une odeur désagréable de nécrose ainsi que des bruits répété en rythme de martèlement léger. En avançant nous avons vue avec horreur que le troll n'ai pas du genre à prendre son temps. Il se tenait droit au centre d'un nouveau cercle rituel dessiné avec du sang, celui du Lieutenant. Le pauvre homme a était égorgé et vider comme un porc, son corps laissé la tel un détritus. Val'ar, sous mes ordres, approcha du troll dans l'ombre de la caverne, là ou le feu des torches n'éclairaient pas, Crown se mit en position avec les chasseurs avec leurs armes de tire. J'approchai de l'autre coté, profitant qu'il me tourne le dos. Au moment de frapper, le troll termina son incantation macabre et se retourna vers moi. Les tireurs l'ont criblé de balles et de flèches, mais ses blessures se sont régénérées. Il s'approcha de moi et m'attrapa par le cou en me soulevant, ce troll immonde me fixa dans les yeux alors qu'il me broya la trachée. Val'ar intervint en lui tranchant le tendons droit avec sa dague. Le troll me lâcha et j'ai toussé en tentant de reprendre ma respiration alors que je vis le Sergent s'éclater, dans un vol plané, contre le mur. Il chargea Val'ar qui n'avaient pas encore dis son dernier mot, c'est bien une chose que j'accorde a cette elfe, c'est sa motivation a ne jamais se rendre. Le Sergent évita son coup-de-poing et lui trancha le second tendon dans une roulade maîtrisé. Cependant, ce troll régénéra ses blessures sans la moindre difficulté. J'ai ordonné un nouveau tire pendant que la créature se redressât. Encore une fois, les balles, ont était inefficace face a ce monstre gorgé de sang. Il fit un bond qui défia toute logique et écrasa ses deux pieds contre l'un des chasseurs qui mourut sur le coup totalement fracassé. Il attrapa la tête d'un second chasseur et l'envoyer sur le soldat Crown. Les deux hommes furent sonnés jusqu'à la fin de la bataille. J'ai attrapé ma claymore et me suis approché du troll avec toute ma détermination et lui ai tranché l'avant-bras gauche. Il eu quelques seconde de blanc quand le troll comprit qu'il avait perdu son bras, il me regarda et me hurla dessus a m'en briser les tympans, le tout accompagné de la résonnance naturel de cette caverne. Val'ar s'interposa une nouvelle fois pour sauver mon ouïe en sautant sur le dos du monstre pour tenter de le décapiter avec sa dague. Il passa sa dague sous la gorge du monstre et de l'autre main l'attrapa de l'autre coté et tira de toutes ses forces pour en détacher la tête du troll qui se débattit avec férocité. Le bestiau avait la peau dur, mais Val'ar a réussi après un ultime effort à lui arracher la tête. Le monstre tomba lourdement dans la poussière de la caverne, sa tête à coté, le visage figé dans une expression de rage.
À l'heure ou j'écris ce rapport, le Sergent Val'ar a était missionné aux terres elfiques pour enquêter sur ce troll solitaire sortie de Zul'aman. La mission fut un succès, mais les pertes furent terribles pour les familles, en particulier le Lieutenant Crowford. J'irai moi-même annoncer sa mort à sa femme et ses enfants.
Major Blake O'connor de la 3ème infanterie de Stratholme.
E'kan
Re: E'kan Val'ar, Soldat depuis sa naissance.
Rapport de mission du premier jour du troisième mois de l'an 525 du calendrier des rois.
Objectif : Patrouille de routine entre Stratholme et Val-nord.
Soldats en fonction : Sergent E'kan Val'ar, Soldat Marcus Crown, Recrue E'lah Vive-Flèche et Recrue Edouard Tomson.
Rapport établie par le Sergent E'kan Val'ar.
Cela faisait déjà quelques heures nous étions partie loin de Stratholm et la nuit était encore froide de l'hiver. Nous nous somme retournée de Val-nord pour rentrer quand nous entendîmes un cri de détresse d'une femme provenant du village non loin. Nous nous sommes précipité vers l'appel a l'aide et avons rencontré sur place la milice déjà sur place. Après de brefs échanges avec les garde locaux, nous avons compris qu'il s'agissait d'une chasse au loup qui avait mal tourné. Un des deux hommes, partie a la chasse, n’était pas revenue, nous avons laissé les garde procéder à une battue alors que j'ordonnais le retour en ville, ce n'était pas la peine de perdre du temps dans une bête chasse au disparu...
Après une heure de marche, aux milieux des arbres et des buissons, Vive-flèche me fit remarquer des bruits étranges venant de notre gauche. Je tendis l'oreille et en effet une bête rodait non loin grognant en nous observant. J'ai préféré reprendre notre marche toutefois avec nos armes sortie, question de précaution. La bête nous a suivi sur bien quelques kilomètres avant de s'enfuir, nous avions dû atteindre la limite de son territoire, enfin, c'est ce que je pensais. Quelques minutes plus tard nous avons entendu un hurlement animal qui n'avait rien de très animal. Un bruit sourd d'une bête, semblait-elle massive face à nous, au loin. Juste après plusieurs hurlements de loup ont résonné un peu partout, autour de nous. Une chose est sur cette fois, je n'allais pas faire preuve de relâchement. J'ai ordonné la mise en position prêt à se défendre d'une attaque.
L'atmosphère avait radicalement changé, devenant beaucoup plus oppressante, le tout accompagné de bruit de pas rapide tout autour de nous. Je n'ai rien dis à Crown et Tomson, inutile de les stresser plus que de raison, ce n’était que des bleus. Vive-flèche, elle, n'était pas dupe, elle regardait autour d'elle, son arc en main prêt atirer à la moindre alerte. Ces animaux ont voulu jouer sur nos nerfs, mais j'ai su rassurer ma troupe avant l'assaut.
Et c'est là qu'il est apparu, un loup immense au poil blanc d'un bon quatre mètres de long pour une hauteur dépassant la mienne. Il se tenait la, nous barrant la route en grognant a notre vue. Vive-Flèche s'apprêtait à tirer quand je lui ai dit d'attendre, j'avais bien senti l'entourloupe. J'ai échangé de place avec Crown, son bouclier allait être plus utile sur notre flanc qu'en face, et j'avais bien fait, car immédiatement, une dizaine de loups nous sont tombé dessus venant de tout les cotés. Ils étaient acharnés comme des chiens que l'on affame exprès. Ils étaient si hargneux que Tomson se fit déborder sur la gauche... Sa claymore n'a pas su le protéger comme il l'espérait. Les loups l'ont littéralement massacré, j'entends encore son cri de souffrance alors que ses os craquaient sous la mâchoire de ces loups. J'en ai des frissons rien qu'à l'évoquer...
Crown repoussa les loups du cadavre de Tomson, mais il était trop tard. Nous étions désormais trois et démoralisée face à un loup géant et cinq adultes. Crown se positionna devant Vive-flèche pour la protéger et moi, je me mis sur le coté avec mes deux épées courtes. Mon arc n'allait pas me servir pour l'heure. J'ai fixé longuement ce loup alpha dans les yeux, il me parlait presque du regard. Je ne sus pourquoi, mais j'ai compris ce qu'il voulait dire trop tard. J'ai tourné la tête sur ma droite et vis deux loups sortir de la forêt comme des furies, j'ai cru voir le temps s'arrêter un instant quand j'ai compris ce qu'il allait se passer. En un battement de cils, ma vision fut troublée et mes gestes bloqués quand, ces deux embusqués, on bondit sur Vive-flèche pour la déchiqueter avec une fureur que je n'avais jamais vue. Elle hurla de l'aide, mais je n'ai pas su réagir, mon corps était comme paralysé. J'ai tenté de bouger, mais je ne pouvais bouger que la tête, ce n'étais pas normal, j'en suis sur à présent, ce loup m'avais fait quelque chose. Il m'a empêché de bouger pour que je puisse voir ensuite Crown se faire dévorer vivant par les sept loups restant. L'alpha restant la a nous observer mourir les uns après les autres. J'ai bien cru que mon heure allait venir. Cette créature m'avait arraché ma troupe entière et je ne pouvais plus rien y faire.
Il s'est approché de moi d'un pas assuré et lent, comme s'il prenait son temps. J'étais encore bloqué, mes yeux dans les siens, je ne pouvais plus rien faire, j'étais terrifié, et je le suis encore. Cependant, par une chance, non par un miracle inouï, une diligence remplit d'hommes armée a déboulé de Val-nord. Ils ont repoussé les loups à grand coup de latte et de plombs, j'étais sauvé. Après avoir mis les bêtes en fuite, j'ai pu retrouver le contrôle de mon corps et me suis écroulé au sol. L'un des humains me releva et se présenta comme Arnold Delsham, il m'expliqua qu'ils ont retrouvé le corps du disparu totalement déchiqueté et qu'après-enquête et pistage, ils ont compris que les loups nous avaient suivie. Surtout dû au hurlement terrifiant de cet alpha. À l'heure ou j'écris ce rapport Val-nord doit être en pleine chasse pour débusquer cette bête gigantesque. On ignore encore comment un tel animal a pu voir le monde.
Une chose est sur, elle n'en verra plus la lumière du jour d'ici peu. Val-nord est réputé pour ses chasseurs hors pair. Ma troupe a était décimé et je dois encore annoncer leurs morts à leurs proches... Je déteste ça.
Sergent E'kan Val'ar de la 3ème infanterie de Stratholm.
Objectif : Patrouille de routine entre Stratholme et Val-nord.
Soldats en fonction : Sergent E'kan Val'ar, Soldat Marcus Crown, Recrue E'lah Vive-Flèche et Recrue Edouard Tomson.
Rapport établie par le Sergent E'kan Val'ar.
Cela faisait déjà quelques heures nous étions partie loin de Stratholm et la nuit était encore froide de l'hiver. Nous nous somme retournée de Val-nord pour rentrer quand nous entendîmes un cri de détresse d'une femme provenant du village non loin. Nous nous sommes précipité vers l'appel a l'aide et avons rencontré sur place la milice déjà sur place. Après de brefs échanges avec les garde locaux, nous avons compris qu'il s'agissait d'une chasse au loup qui avait mal tourné. Un des deux hommes, partie a la chasse, n’était pas revenue, nous avons laissé les garde procéder à une battue alors que j'ordonnais le retour en ville, ce n'était pas la peine de perdre du temps dans une bête chasse au disparu...
Après une heure de marche, aux milieux des arbres et des buissons, Vive-flèche me fit remarquer des bruits étranges venant de notre gauche. Je tendis l'oreille et en effet une bête rodait non loin grognant en nous observant. J'ai préféré reprendre notre marche toutefois avec nos armes sortie, question de précaution. La bête nous a suivi sur bien quelques kilomètres avant de s'enfuir, nous avions dû atteindre la limite de son territoire, enfin, c'est ce que je pensais. Quelques minutes plus tard nous avons entendu un hurlement animal qui n'avait rien de très animal. Un bruit sourd d'une bête, semblait-elle massive face à nous, au loin. Juste après plusieurs hurlements de loup ont résonné un peu partout, autour de nous. Une chose est sur cette fois, je n'allais pas faire preuve de relâchement. J'ai ordonné la mise en position prêt à se défendre d'une attaque.
L'atmosphère avait radicalement changé, devenant beaucoup plus oppressante, le tout accompagné de bruit de pas rapide tout autour de nous. Je n'ai rien dis à Crown et Tomson, inutile de les stresser plus que de raison, ce n’était que des bleus. Vive-flèche, elle, n'était pas dupe, elle regardait autour d'elle, son arc en main prêt atirer à la moindre alerte. Ces animaux ont voulu jouer sur nos nerfs, mais j'ai su rassurer ma troupe avant l'assaut.
Et c'est là qu'il est apparu, un loup immense au poil blanc d'un bon quatre mètres de long pour une hauteur dépassant la mienne. Il se tenait la, nous barrant la route en grognant a notre vue. Vive-Flèche s'apprêtait à tirer quand je lui ai dit d'attendre, j'avais bien senti l'entourloupe. J'ai échangé de place avec Crown, son bouclier allait être plus utile sur notre flanc qu'en face, et j'avais bien fait, car immédiatement, une dizaine de loups nous sont tombé dessus venant de tout les cotés. Ils étaient acharnés comme des chiens que l'on affame exprès. Ils étaient si hargneux que Tomson se fit déborder sur la gauche... Sa claymore n'a pas su le protéger comme il l'espérait. Les loups l'ont littéralement massacré, j'entends encore son cri de souffrance alors que ses os craquaient sous la mâchoire de ces loups. J'en ai des frissons rien qu'à l'évoquer...
Crown repoussa les loups du cadavre de Tomson, mais il était trop tard. Nous étions désormais trois et démoralisée face à un loup géant et cinq adultes. Crown se positionna devant Vive-flèche pour la protéger et moi, je me mis sur le coté avec mes deux épées courtes. Mon arc n'allait pas me servir pour l'heure. J'ai fixé longuement ce loup alpha dans les yeux, il me parlait presque du regard. Je ne sus pourquoi, mais j'ai compris ce qu'il voulait dire trop tard. J'ai tourné la tête sur ma droite et vis deux loups sortir de la forêt comme des furies, j'ai cru voir le temps s'arrêter un instant quand j'ai compris ce qu'il allait se passer. En un battement de cils, ma vision fut troublée et mes gestes bloqués quand, ces deux embusqués, on bondit sur Vive-flèche pour la déchiqueter avec une fureur que je n'avais jamais vue. Elle hurla de l'aide, mais je n'ai pas su réagir, mon corps était comme paralysé. J'ai tenté de bouger, mais je ne pouvais bouger que la tête, ce n'étais pas normal, j'en suis sur à présent, ce loup m'avais fait quelque chose. Il m'a empêché de bouger pour que je puisse voir ensuite Crown se faire dévorer vivant par les sept loups restant. L'alpha restant la a nous observer mourir les uns après les autres. J'ai bien cru que mon heure allait venir. Cette créature m'avait arraché ma troupe entière et je ne pouvais plus rien y faire.
Il s'est approché de moi d'un pas assuré et lent, comme s'il prenait son temps. J'étais encore bloqué, mes yeux dans les siens, je ne pouvais plus rien faire, j'étais terrifié, et je le suis encore. Cependant, par une chance, non par un miracle inouï, une diligence remplit d'hommes armée a déboulé de Val-nord. Ils ont repoussé les loups à grand coup de latte et de plombs, j'étais sauvé. Après avoir mis les bêtes en fuite, j'ai pu retrouver le contrôle de mon corps et me suis écroulé au sol. L'un des humains me releva et se présenta comme Arnold Delsham, il m'expliqua qu'ils ont retrouvé le corps du disparu totalement déchiqueté et qu'après-enquête et pistage, ils ont compris que les loups nous avaient suivie. Surtout dû au hurlement terrifiant de cet alpha. À l'heure ou j'écris ce rapport Val-nord doit être en pleine chasse pour débusquer cette bête gigantesque. On ignore encore comment un tel animal a pu voir le monde.
Une chose est sur, elle n'en verra plus la lumière du jour d'ici peu. Val-nord est réputé pour ses chasseurs hors pair. Ma troupe a était décimé et je dois encore annoncer leurs morts à leurs proches... Je déteste ça.
Sergent E'kan Val'ar de la 3ème infanterie de Stratholm.
E'kan
Re: E'kan Val'ar, Soldat depuis sa naissance.
Rapport de mission du vingt-huitième jour du quatrième mois de l'an 522 du calendrier des rois.
Objectif : Escorte d’un convoi privé de Stratholme à Stromgarde.
Soldats en fonction : Major Blake O'connor, Sergent E'kan Val'ar, Caporal Halfred O’connor, Soldat Frédéric Fandal, Soldat Clark Tomson, Soldat Martin Sarios et Soldat Héléna Mc’Gold.
Rapport établie par le Sergent E'kan Val'ar.
C’est à l’aube que le régiment se mit en marche. Le Caporal O’connor conduisait le convoi accompagné du soldat Tomson. Tous les autres se sont positionnés autour pour assurer une protection optimale de la marchandise. Le major en tête de pont pour guider les hommes, le soldat Fandal sur l’avant gauche, le soldat Sarios sur l’avant droit, le soldat Mc’Gold sur l’arrière gauche et moi sur l’arrière droit. La route s’annonçait longue, mais le major décida de couper plus court par un raccourci en passant par le manoir de la famille Barov puis emprunter une route vers les Hinterland pour gagner quelques jours de voyage. Ce malgré les quelques rapports d’activité troll dans la région.
Pour ne pas perturber le trafic et que la population ne se pose trop de question, nous sommes sortie par la porte du mur d’est et avons rejoins la route pour commencer notre périple. Il nous a fallu une journée et demi de marche pour contourner les hautes falaises de la région et atteindre le pont faisant la jonction avec les Malterres de l’Ouest. La route fut calme, quelques bêtes nous observaient quitter la région. Une rivalité commença à doucement s’installer entre le soldat Mc’Gold et le soldat Fandal, ce dernier semblait avoir un léger problème de virilité avec Mc’Gold, ce qui lui valu des moqueries du reste du régiment.
Comme préciser plus haut, pour gagner du temps, le convoi bifurqua par un petit chemin de terre dans la forêt juste avant le pont des Malterres de l’Ouest. Nous avons longé le grand lac Darrowmere au travers des arbres par ce chemin étroit et sinueux. La route cassée nous ralentit et c’est arrivé aux abords du manoir Barov que le Major demanda l’hospitalité pour la nuit au non de Lordaeron. La famille Barov accepta sans trop de résistance et nous purent passer une nuit plus douce que la veille, dans une chambre personnelle.
Je dois admettre que le manoir est très grand et son nombre de pièce est presque incalculable. Cependant, il y régnait une atmosphère très étrange, un frisson me pris le dos et je suis donc resté méfiant. La soirée fut assez reposante dans l’ensemble, la cadette des Barov tentait en vin de s’approprier l’un de nos soldats pour la nuit. Ça doit être ce qu’ont appel « L’appel de l’uniforme », mais le Major veillait au grain.
À l’heure du coucher, je pris un peu de retard et m’attarda dans la salle d’eau pour me passer un peu d’eau sur le visage. Le manoir fut plongé dans le noir et le silence en moins d’une minute, ce fut un peu déstabilisant autant de vie puis d’un coup plus rien. Je m’en retournai dans ma chambre, mais je me suis arrêté en sentant une présence dans mon dos. Il n’y avait rien, mais un froid étrange me vint avant de disparaître rapidement. J’entendis le plancher craqué et le vent souffler à l’extérieur. Je ne me sentais vraiment pas à l’aise. Je repris mon chemin jusqu'à ma chambre ou je vis la bougie que j’avais allumée avant de partir, éteinte. Ce fut étrange, car il n’y avait pas le moindre courant d’air dans le manoir. En me posant dans mon lit, j’ai entend un grattement à ma porte. Je ne suis pas allé voir, pensant qu’il s’agissait du chien domestique de la cadette de la famille.
Je m’endormis quand j’entendis le Major tenter de fracasser ma porte en tapant dessus au milieu de la nuit. J’ouvris rapidement et il m’expliqua que le soldat Fandal avait disparu de ses quartiers. J’émis l’hypothèse qu’il devait être avec la cadette qui avait tenter toute la soirée de l’avoir pour elle. Le major me dit qu’il avait déjà vérifié, et en effet, je n’avais pas vu miss Barov derrière lui, ainsi que le régiment en tenue légère avec leurs armes à la ceinture. J’attrapai mon arme et sortis pour partir a la recherche du soldat. Sieur et Dame Barov nous ont rejoint avec quelques domestiques pour nous prêter main forte et nous avons chercher sur tout le domaine pendant une bonne demi-heure en équipe de deux. Je fis part de mes étranges sensations au Major, c’est pour ça que nous étions par deux.
Alors que nous cherchions le Soldat, un cri résonna dans le jardin du manoir. Nous nous sommes précipiter pour voir Mc’Gold contre un mur, sonné et le caporal a ses côtés. Le caporal nous expliqua rapidement qu’une bête rodait dans l’ombre dans le manoir. Ils n’ont pas eu le temps de voir ce que c’était, mais ca semblait très rapide.
Le major ordonna le rassemblement dans la grande salle à manger pour s’assurer que personne ne manque à l’appel. Les serviteurs furent réveillés pour ceux dormant encore et tous se réunirent. Après un compte des deux coté, il s’est avéré qu’a part Fandal personne n’avait disparut. Un grondement sourd et lourd résonna dans les couloirs du manoir suivit du cri de Fandal au loin. Le major appela aux armes et ordonna aux civils de rester dans la salle a manger. Sieur Barov insista pour nous accompagner, armé de son glaive. Nous nous sommes rapprocher des cris, mais nous n’avons rien trouvé, mais nous avons encore entendu les grognements. C’était terrifiant, nous n‘y voyions rien et l’ennemi pouvais surgir de partout.
Après une dizaine de minutes de course-poursuite, nous avons retrouvé Fandal, blessé, mais encore en vie. Le caporal et Sarios se sont chargé de ramener le soldat à la salle à manger avec les autres pour le mettre en sécurité. Notre course nous a conduits dans les écuries et c’est là que nous avons vu cette étrange bête noire dévorer le cadavre d’un cheval fraîchement égorgé. Ses yeux rouges injectés de sang et ses crocs beaucoup trop longs, pour un tel animal, lui donnait un air très agressif. Le major leva son bouclier face au monstre alors que je refermai un peu plus la poigne sur mes lames. La bête s’élança sur nous et fut d’une force et d’une sauvagerie que je n’ai vue que très rarement. Le combat fut difficile et les pointes sur son dos n’aidaient pas à pouvoir le blesser. Mc’Gold acheva la créature d’un geste ample et précis de sa claymore d’où elle lui trancha la carotide. La bête se vida de son sang à mes pieds. Le Sieur Barov s’en sortie avec une simple morsure a l’avant-bras, le Major un mal de tête, Tomson une épaule déboîte et moi avec une griffure au torse.
Une fois tout ceci terminé et une inspection du domaine, Sieur Barov ne put nous expliquer d’où sortait un tel monstre, mais son hypothèse étaient qu’il s’agissait d’une invocation qui a mal tourné. Il allait mener l’enquête en interne alors que le Soleil pointé a l’horizon. La nuit fut loin d’être reposante et nous devions reprendre la route. Malgré les blessures et la fatigue nous avons reprit la route vers les Hinterlands, le moral bas.
Objectif : Escorte d’un convoi privé de Stratholme à Stromgarde.
Soldats en fonction : Major Blake O'connor, Sergent E'kan Val'ar, Caporal Halfred O’connor, Soldat Frédéric Fandal, Soldat Clark Tomson, Soldat Martin Sarios et Soldat Héléna Mc’Gold.
Rapport établie par le Sergent E'kan Val'ar.
C’est à l’aube que le régiment se mit en marche. Le Caporal O’connor conduisait le convoi accompagné du soldat Tomson. Tous les autres se sont positionnés autour pour assurer une protection optimale de la marchandise. Le major en tête de pont pour guider les hommes, le soldat Fandal sur l’avant gauche, le soldat Sarios sur l’avant droit, le soldat Mc’Gold sur l’arrière gauche et moi sur l’arrière droit. La route s’annonçait longue, mais le major décida de couper plus court par un raccourci en passant par le manoir de la famille Barov puis emprunter une route vers les Hinterland pour gagner quelques jours de voyage. Ce malgré les quelques rapports d’activité troll dans la région.
Pour ne pas perturber le trafic et que la population ne se pose trop de question, nous sommes sortie par la porte du mur d’est et avons rejoins la route pour commencer notre périple. Il nous a fallu une journée et demi de marche pour contourner les hautes falaises de la région et atteindre le pont faisant la jonction avec les Malterres de l’Ouest. La route fut calme, quelques bêtes nous observaient quitter la région. Une rivalité commença à doucement s’installer entre le soldat Mc’Gold et le soldat Fandal, ce dernier semblait avoir un léger problème de virilité avec Mc’Gold, ce qui lui valu des moqueries du reste du régiment.
Comme préciser plus haut, pour gagner du temps, le convoi bifurqua par un petit chemin de terre dans la forêt juste avant le pont des Malterres de l’Ouest. Nous avons longé le grand lac Darrowmere au travers des arbres par ce chemin étroit et sinueux. La route cassée nous ralentit et c’est arrivé aux abords du manoir Barov que le Major demanda l’hospitalité pour la nuit au non de Lordaeron. La famille Barov accepta sans trop de résistance et nous purent passer une nuit plus douce que la veille, dans une chambre personnelle.
Je dois admettre que le manoir est très grand et son nombre de pièce est presque incalculable. Cependant, il y régnait une atmosphère très étrange, un frisson me pris le dos et je suis donc resté méfiant. La soirée fut assez reposante dans l’ensemble, la cadette des Barov tentait en vin de s’approprier l’un de nos soldats pour la nuit. Ça doit être ce qu’ont appel « L’appel de l’uniforme », mais le Major veillait au grain.
À l’heure du coucher, je pris un peu de retard et m’attarda dans la salle d’eau pour me passer un peu d’eau sur le visage. Le manoir fut plongé dans le noir et le silence en moins d’une minute, ce fut un peu déstabilisant autant de vie puis d’un coup plus rien. Je m’en retournai dans ma chambre, mais je me suis arrêté en sentant une présence dans mon dos. Il n’y avait rien, mais un froid étrange me vint avant de disparaître rapidement. J’entendis le plancher craqué et le vent souffler à l’extérieur. Je ne me sentais vraiment pas à l’aise. Je repris mon chemin jusqu'à ma chambre ou je vis la bougie que j’avais allumée avant de partir, éteinte. Ce fut étrange, car il n’y avait pas le moindre courant d’air dans le manoir. En me posant dans mon lit, j’ai entend un grattement à ma porte. Je ne suis pas allé voir, pensant qu’il s’agissait du chien domestique de la cadette de la famille.
Je m’endormis quand j’entendis le Major tenter de fracasser ma porte en tapant dessus au milieu de la nuit. J’ouvris rapidement et il m’expliqua que le soldat Fandal avait disparu de ses quartiers. J’émis l’hypothèse qu’il devait être avec la cadette qui avait tenter toute la soirée de l’avoir pour elle. Le major me dit qu’il avait déjà vérifié, et en effet, je n’avais pas vu miss Barov derrière lui, ainsi que le régiment en tenue légère avec leurs armes à la ceinture. J’attrapai mon arme et sortis pour partir a la recherche du soldat. Sieur et Dame Barov nous ont rejoint avec quelques domestiques pour nous prêter main forte et nous avons chercher sur tout le domaine pendant une bonne demi-heure en équipe de deux. Je fis part de mes étranges sensations au Major, c’est pour ça que nous étions par deux.
Alors que nous cherchions le Soldat, un cri résonna dans le jardin du manoir. Nous nous sommes précipiter pour voir Mc’Gold contre un mur, sonné et le caporal a ses côtés. Le caporal nous expliqua rapidement qu’une bête rodait dans l’ombre dans le manoir. Ils n’ont pas eu le temps de voir ce que c’était, mais ca semblait très rapide.
Le major ordonna le rassemblement dans la grande salle à manger pour s’assurer que personne ne manque à l’appel. Les serviteurs furent réveillés pour ceux dormant encore et tous se réunirent. Après un compte des deux coté, il s’est avéré qu’a part Fandal personne n’avait disparut. Un grondement sourd et lourd résonna dans les couloirs du manoir suivit du cri de Fandal au loin. Le major appela aux armes et ordonna aux civils de rester dans la salle a manger. Sieur Barov insista pour nous accompagner, armé de son glaive. Nous nous sommes rapprocher des cris, mais nous n’avons rien trouvé, mais nous avons encore entendu les grognements. C’était terrifiant, nous n‘y voyions rien et l’ennemi pouvais surgir de partout.
Après une dizaine de minutes de course-poursuite, nous avons retrouvé Fandal, blessé, mais encore en vie. Le caporal et Sarios se sont chargé de ramener le soldat à la salle à manger avec les autres pour le mettre en sécurité. Notre course nous a conduits dans les écuries et c’est là que nous avons vu cette étrange bête noire dévorer le cadavre d’un cheval fraîchement égorgé. Ses yeux rouges injectés de sang et ses crocs beaucoup trop longs, pour un tel animal, lui donnait un air très agressif. Le major leva son bouclier face au monstre alors que je refermai un peu plus la poigne sur mes lames. La bête s’élança sur nous et fut d’une force et d’une sauvagerie que je n’ai vue que très rarement. Le combat fut difficile et les pointes sur son dos n’aidaient pas à pouvoir le blesser. Mc’Gold acheva la créature d’un geste ample et précis de sa claymore d’où elle lui trancha la carotide. La bête se vida de son sang à mes pieds. Le Sieur Barov s’en sortie avec une simple morsure a l’avant-bras, le Major un mal de tête, Tomson une épaule déboîte et moi avec une griffure au torse.
Une fois tout ceci terminé et une inspection du domaine, Sieur Barov ne put nous expliquer d’où sortait un tel monstre, mais son hypothèse étaient qu’il s’agissait d’une invocation qui a mal tourné. Il allait mener l’enquête en interne alors que le Soleil pointé a l’horizon. La nuit fut loin d’être reposante et nous devions reprendre la route. Malgré les blessures et la fatigue nous avons reprit la route vers les Hinterlands, le moral bas.
Dernière édition par E'kan Val'ar le Dim 21 Avr 2019, 17:43, édité 1 fois
E'kan
Re: E'kan Val'ar, Soldat depuis sa naissance.
Le convoi passa par le ravin de Pestebrume, et descendit lentement avec prudence. Le major envoya Mc’Gold et Sarios en éclaireurs pour s’assurer de la sécurité du colis. Nous avons établi un petit campement le temps de la pause et admirer les étendu verdoyante couverte d’arbres des Hinterland. Au loin, une tempête semblait approchée, nous l’avions vue par-delà les anciennes ruines troll qui monte sur les flancs de montagne au loin. Il allait nous falloir une journée pour descendre du manoir Barov aux Donjon de Fort-de-Durn avant d’arriver à la frontière des Haute-terres Arathies.
Notre chemin nous envoya aux abords de Nid-de-l’Aigle, ce fortin nain construit a la croisée des chemins des contreforts de Hautebrande et des Malterres de l’Ouest. Nous n’avons, cependant, pas quitter la route et avons continuer en empruntant le col menant aux contreforts. Le soleil commençait à doucement s’estomper et une pluie légère nous annonça l’approche imminente de la tempête. Nous n’étions plus qu’a quelques dizaines de minutes du fort quand une meute de loup nous chargea et nous passa a travers pour fuir vers les hinterlands. Méfiant, je conseillai le Major d’arrêter le convoi et d’attendre de voir quelque chose de suspect. Le vent monta doucement et la pluie devint plus pesante. Au travers du bruit du souffle du vent, un rugissement lointain, mais puissant résonna dans le col, accompagné d’un éclair. La provenance fut impossible à déterminer sur l’instant, mais juste après ce cri de rage, un éboulement tomba du côté droit du convoi et manqua de nous tuer. Cependant, le chariot fut fragilisé et la roue arrière droite fut brisée. Impossible de faire avancer correctement le chariot, surtout que nos chevaux étaient pris de panique et il nous a fallu bien quatre d’entre nous pour les maîtriser.
À peine avions nous pu calmer les chevaux qu’un monstre gigantesque sauta du haut de la falaise et atterrit lourdement en faisant trembler le sol pour nous barrer la route. La créature était massive d’au moins vingt pieds de haut, tout en muscle et en fourrure. Il se tenait sur ces quatre pattes, mais les deux de devant étaient plus proches de bras musclé que de réel pattes animales. Une tête au nez plat, de petits yeux et une machoir puissante et assez grande pour faire passer un homme. Des croc de la taille d’un avant-bras et des cornes d’au moins six pieds de long.
Voyant ce monstre bavant de colère et sûrement de faim, le Major étaient déterminé à ne pas devenir son repas. Mc’Gold chargea le monstre, bouclier en avant, mais la créature l’envoya se briser contre la falaise d’un simple revers de la main, des os et des organes brisés, elle en mourra en moins d’une minute, sûrement dans une douleur difficile à imaginer. Sarios et Tomson sortirent deux fusils du chariot et se mirent a tirer sur la créature qui sembla sensible aux balles et au bruit de coup de feu. Je pris un fusil à mon tour et tirai aussi. À nous six nous purent la repousser de quelques pas en arrière en l’harcelant de balles. Le monstre sembla s’exciter encore plus et chargea le chariot du convoi avec une force et une vélocité incroyable. J’eu pu à peine sauter dans la boue à côté pour esquiver le monstre que je le vis ravager notre convoi et attraper Tomson, qui était encore blessé de la veille. Il le fixa un instant et je sus à ce moment que le soldat allait rejoindre Mc’Gold. Il le dévora en commençant par lui arracher le haut du corps avec les crocs et termina le reste du corps en une deuxième bouché. Il recracha seulement quelques pièces d’armures mâchouillées et percé avant de se retourné sur le reste du groupe.
Il approcha du Caporal, mais le Major s’interposa pour sauver son frère, mais aussi son soldat. Le major, d’un coup d’épée brutal, entailla la main du monstre avant de se faire éjecter à son tour sur le côté, mais il n’atterrit que sur de la terre avec une côte fragilisé. J’attrapai mon arc pendant que ce monstre agrippa le caporal de sa main touffu et gigantesque. Je chargeai mon tir et lui décocha une flèche dans son œil gauche juste avant qu’il ne dévore le caporal. La créature hurla de douleur, signe que mon coup avait était efficace. Mais ma victoire fut de courte durée. Il retira la flèche de son œil crevé et me fixa de son second valide.
J’était dos au mur et je le vit me charger, la pluie et le vent m’empêcher de trop bouger. Il ouvrit grand sa gueule pour tenter de me gober d’un coup, je sentis l’odeur de la mort venir de sa gueule béante. J’ai sauté sur le côté maladroitement au dernier moment et il s’éclata le crâne contre la pierre. S’en était si puissant qu’on en sentit la montagne trembler, le tout alors que l’orage grondait pour ne rien arranger. Le major n’était plus en état de se battre, il ne restait que moi, le caporal, Fandal et Sarios en quatre contre un. En l’absence du major pour diriger les troupes, j’organisai la contre-attaque. J’ordonnai au Caporal et à Fandal de faire feu a volonté sur le monstre pendant que Sarios et moi allions le prendre sur le flanc. J’attrapai une lance dans les ruines du chariot et chargeai le monstre de toute ma rage. Je lui sectionnai le tendon gauche en profitant des tirs qui l’aveuglait. Sarios lui trancha le flanc en faisant attention et toujours reculer après chaque coup pour ne pas subir un coup aléatoire.
Il chargea de nouveau, mais cette fois, visant Fandal et le caporal. Fandal chuta et se foula la cheville et le caporal s’en sortit au mieux. Malgré sa chute, le soldat Fandal garda la rage de vaincre et envoya une nouvelle balle frapper le second œil du monstre, il loupa de peu la crevaison de l’œil, mais la douleur aveugla pendant quelque temps la créature. J’en profitai, armée de ma lance, pour lui monter sur le dos via sa jambe gauche boitant. Je m’agrippai à la fourrure et escaladai son dos pour lui arriver sur la tête en redescendant la bosse. Je pris place entre les deux cornes et lui planta ma lance dans son œil droit avec toute la force qu’il me restait. Il se calma d’un coup et chuta quelques secondes après, mort.
J’envoyai le caporal s’enquérir de l’état du major, Sarios voir l’état de Mc’Gold et j’approchai de Fandal pour en savoir plus sur sa blessure a la cheville. Le major était encore en vie, mais avait besoin d’aide pour marcher. Mac’Gold était morte, du sang coagulé coulant de sa bouche et Fandal allait marcher avec une béquille après que je lui ai fabriqué une attelle rudimentaire avec des morceau de bois et du tissu provenant du chariot de convoi. Je m’en retournai par la suite vers les restes du chariot pour voir l’état de notre colis. Les trois des quatre caisses étaient encore intactes, la quatrième était ouverte et son contenu déversé sur le sol. Les fioles brisées pour la plupart.
Je donnai une caisse au Caporal, une a Sarios et je gardai la dernière pour la transportée jusqu'à Stromgarde. Nous avons laissé les morts sur place et avancé difficilement sous la pluie. Nous avons péniblement atteint le donjon de Fort-de-Durn tenue par un régiment de Stromgarde et le jeune seigneur Landenoire. Nous avons demandé aide et hospitalité pour nos blessé et un toit où nous abriter. Le seigneur accepta en voyant nos insignes de Lordaeron et le calvaire put enfin s’arrêter pour ce jour-ci.
À l’heure ou j’écris ce rapport nous sommes rester quatre jours à Stromgarde pour que nos blessés puissent guérir convenablement. À l’heure ou j’écris ce rapport nous sommes rester quatre jours à Stromgarde pour que nos blessés puissent guérir convenablement. Notre départ pour Stratholm est prévu pour dans deux jours. Mais cette fois, nous prendrons la route habituelle de la forêt des Pins-Argentées.
Sergent E'kan Val'ar de la 3ème infanterie de Stratholm.
Notre chemin nous envoya aux abords de Nid-de-l’Aigle, ce fortin nain construit a la croisée des chemins des contreforts de Hautebrande et des Malterres de l’Ouest. Nous n’avons, cependant, pas quitter la route et avons continuer en empruntant le col menant aux contreforts. Le soleil commençait à doucement s’estomper et une pluie légère nous annonça l’approche imminente de la tempête. Nous n’étions plus qu’a quelques dizaines de minutes du fort quand une meute de loup nous chargea et nous passa a travers pour fuir vers les hinterlands. Méfiant, je conseillai le Major d’arrêter le convoi et d’attendre de voir quelque chose de suspect. Le vent monta doucement et la pluie devint plus pesante. Au travers du bruit du souffle du vent, un rugissement lointain, mais puissant résonna dans le col, accompagné d’un éclair. La provenance fut impossible à déterminer sur l’instant, mais juste après ce cri de rage, un éboulement tomba du côté droit du convoi et manqua de nous tuer. Cependant, le chariot fut fragilisé et la roue arrière droite fut brisée. Impossible de faire avancer correctement le chariot, surtout que nos chevaux étaient pris de panique et il nous a fallu bien quatre d’entre nous pour les maîtriser.
À peine avions nous pu calmer les chevaux qu’un monstre gigantesque sauta du haut de la falaise et atterrit lourdement en faisant trembler le sol pour nous barrer la route. La créature était massive d’au moins vingt pieds de haut, tout en muscle et en fourrure. Il se tenait sur ces quatre pattes, mais les deux de devant étaient plus proches de bras musclé que de réel pattes animales. Une tête au nez plat, de petits yeux et une machoir puissante et assez grande pour faire passer un homme. Des croc de la taille d’un avant-bras et des cornes d’au moins six pieds de long.
Voyant ce monstre bavant de colère et sûrement de faim, le Major étaient déterminé à ne pas devenir son repas. Mc’Gold chargea le monstre, bouclier en avant, mais la créature l’envoya se briser contre la falaise d’un simple revers de la main, des os et des organes brisés, elle en mourra en moins d’une minute, sûrement dans une douleur difficile à imaginer. Sarios et Tomson sortirent deux fusils du chariot et se mirent a tirer sur la créature qui sembla sensible aux balles et au bruit de coup de feu. Je pris un fusil à mon tour et tirai aussi. À nous six nous purent la repousser de quelques pas en arrière en l’harcelant de balles. Le monstre sembla s’exciter encore plus et chargea le chariot du convoi avec une force et une vélocité incroyable. J’eu pu à peine sauter dans la boue à côté pour esquiver le monstre que je le vis ravager notre convoi et attraper Tomson, qui était encore blessé de la veille. Il le fixa un instant et je sus à ce moment que le soldat allait rejoindre Mc’Gold. Il le dévora en commençant par lui arracher le haut du corps avec les crocs et termina le reste du corps en une deuxième bouché. Il recracha seulement quelques pièces d’armures mâchouillées et percé avant de se retourné sur le reste du groupe.
Il approcha du Caporal, mais le Major s’interposa pour sauver son frère, mais aussi son soldat. Le major, d’un coup d’épée brutal, entailla la main du monstre avant de se faire éjecter à son tour sur le côté, mais il n’atterrit que sur de la terre avec une côte fragilisé. J’attrapai mon arc pendant que ce monstre agrippa le caporal de sa main touffu et gigantesque. Je chargeai mon tir et lui décocha une flèche dans son œil gauche juste avant qu’il ne dévore le caporal. La créature hurla de douleur, signe que mon coup avait était efficace. Mais ma victoire fut de courte durée. Il retira la flèche de son œil crevé et me fixa de son second valide.
J’était dos au mur et je le vit me charger, la pluie et le vent m’empêcher de trop bouger. Il ouvrit grand sa gueule pour tenter de me gober d’un coup, je sentis l’odeur de la mort venir de sa gueule béante. J’ai sauté sur le côté maladroitement au dernier moment et il s’éclata le crâne contre la pierre. S’en était si puissant qu’on en sentit la montagne trembler, le tout alors que l’orage grondait pour ne rien arranger. Le major n’était plus en état de se battre, il ne restait que moi, le caporal, Fandal et Sarios en quatre contre un. En l’absence du major pour diriger les troupes, j’organisai la contre-attaque. J’ordonnai au Caporal et à Fandal de faire feu a volonté sur le monstre pendant que Sarios et moi allions le prendre sur le flanc. J’attrapai une lance dans les ruines du chariot et chargeai le monstre de toute ma rage. Je lui sectionnai le tendon gauche en profitant des tirs qui l’aveuglait. Sarios lui trancha le flanc en faisant attention et toujours reculer après chaque coup pour ne pas subir un coup aléatoire.
Il chargea de nouveau, mais cette fois, visant Fandal et le caporal. Fandal chuta et se foula la cheville et le caporal s’en sortit au mieux. Malgré sa chute, le soldat Fandal garda la rage de vaincre et envoya une nouvelle balle frapper le second œil du monstre, il loupa de peu la crevaison de l’œil, mais la douleur aveugla pendant quelque temps la créature. J’en profitai, armée de ma lance, pour lui monter sur le dos via sa jambe gauche boitant. Je m’agrippai à la fourrure et escaladai son dos pour lui arriver sur la tête en redescendant la bosse. Je pris place entre les deux cornes et lui planta ma lance dans son œil droit avec toute la force qu’il me restait. Il se calma d’un coup et chuta quelques secondes après, mort.
J’envoyai le caporal s’enquérir de l’état du major, Sarios voir l’état de Mc’Gold et j’approchai de Fandal pour en savoir plus sur sa blessure a la cheville. Le major était encore en vie, mais avait besoin d’aide pour marcher. Mac’Gold était morte, du sang coagulé coulant de sa bouche et Fandal allait marcher avec une béquille après que je lui ai fabriqué une attelle rudimentaire avec des morceau de bois et du tissu provenant du chariot de convoi. Je m’en retournai par la suite vers les restes du chariot pour voir l’état de notre colis. Les trois des quatre caisses étaient encore intactes, la quatrième était ouverte et son contenu déversé sur le sol. Les fioles brisées pour la plupart.
Je donnai une caisse au Caporal, une a Sarios et je gardai la dernière pour la transportée jusqu'à Stromgarde. Nous avons laissé les morts sur place et avancé difficilement sous la pluie. Nous avons péniblement atteint le donjon de Fort-de-Durn tenue par un régiment de Stromgarde et le jeune seigneur Landenoire. Nous avons demandé aide et hospitalité pour nos blessé et un toit où nous abriter. Le seigneur accepta en voyant nos insignes de Lordaeron et le calvaire put enfin s’arrêter pour ce jour-ci.
À l’heure ou j’écris ce rapport nous sommes rester quatre jours à Stromgarde pour que nos blessés puissent guérir convenablement. À l’heure ou j’écris ce rapport nous sommes rester quatre jours à Stromgarde pour que nos blessés puissent guérir convenablement. Notre départ pour Stratholm est prévu pour dans deux jours. Mais cette fois, nous prendrons la route habituelle de la forêt des Pins-Argentées.
Sergent E'kan Val'ar de la 3ème infanterie de Stratholm.
E'kan
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