Les Réflexions de Velrem
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Les Réflexions de Velrem
Observant le ciel arcanique qui surplombait Suramar, adossé au rebord de la fenêtre de ce qu’il considérait comme son chez lui, Velrem était une fois de plus, songeur, ayant une grande réflexion sur le monde qui l’entoure et ce que cachait ce dôme. Ce voile protecteur qui existe bien avant son existence… 750 ans, certains le prenait de haut, ils trouvaient qu’il était trop jeune. 750 ans, quand un animal de la ménagerie peut en vivre 30 ans, cela signifie donc qu’un animal a la fin de sa vie est partie trop tôt ? Qu’il n’a pas assez vécu ? Est qu’un quotidien inchangé pendant 10 000 ans est aussi remplie que celle d’un sabre de mana qui n’a pas cette espérance de vie ?
La plupart des gens de son âge recherchait à être des champions des arcanes, des maîtres de la magie ou voyait les Lames comme modèle, capable de manipulez le temps.
Lui ne s’y intéressait pas, il ne faisait que penser et réfléchir. L’on se demandait parfois quel est l’utilité d’une telle personne dans la société sacrenuit, mais il a fini par se faire une place.
Oh, il n’était pas dans les quartiers de la haute société, il n’avait qu’une seule pièce pour maison, avec quatre étagères remplies de livres et un secrétaire, il avait tellement de livres que d’autres étaient posés à même le sol, mais sa vie lui satisfaisait, même si son esprit s’égarait souvent sur le monde extérieur.
La théorie de la plupart des sacrenuits qu’il a côtoyé disaient que le monde était sûrement en ruine, détruit par les démons.
Il n’y croyait pas. Mais il fut interrompu dans ses rêveries quand on lui toqua à la porte. Un valet bien habillé était devant lui, l’invité s’éclairci la gorge avant de dire.
Valet-Salutation, pardonnez-moi, je viens à votre porte réclamer le texte de Monsieur Nathorn.
Velrem hoche la tête, puis ouvrit son secrétaire d’un geste de la main pour y prendre dix pages manuscrites et le restitua au valet.
Valet-Merci, je ne doute pas que Monsieur Nathorn sera satisfait de votre travail.
Velrem sourit.
Velrem-Tout dépendra si la lecture les émerveille aussi bien que quand j’ai eu l’inspiration. En tout cas, J’espère que ma prose sera capable de pimentez ces soirées.
Valet-Je n’en doute point. Au revoir, Monsieur.
Le valet se retira et Velrem referma doucement la porte derrière lui.
Il soupire. C’était le même valet qui était venu chez lui, demandez de faire une prose sur le dôme protecteur au nom de ce « Nathorn »
Ce n’était pas la première fois qu’on utilisé un faux nom pour la rédaction d’un poème ou d’un discours. Surtout chez les nobles, si on apprenait qu’ils sont incapables de le faire soi-même, ce serait ridicule. Il se doutait que ce « Nathorn » était un faux nom. Ou alors pris d’un passant qui a croisé le chemin du dit noble.
Il se posa sur son lit et fit le vide dans son esprit pendant 30 minutes, cela lui permettait à chaque fois d’aller à sa rencontre avec une noble qui faisait souvent appel à lui.
Une fois ceci fait, Il sortit de chez lui. Ignorant les enfants qui jouaient, les habitants qui véhiculaient des ragots. Il se rappela l’immense joie qu’il a eu une fois en ayant une demande d’Elisandre en personne… Et sa déception que c’était un faux nom et la personne qui l’a utilisé l’a chèrement payé.
Il arriva à la maison familiale de la noble qui l’occupait, le valet l’ouvrir, il pénétra à l’intérieur et alla dans le jardin intérieur. Comme il s’en doutait, elle était installée à la terrasse : Dame Nathandra, en compagnie de sa fille Nijidra.
Nathandra- Ah ! Mon cher Velrem, cela faisait longtemps que nous ne vous avions vu.
Nijidra fit un rire hauntain comme elle seul sait le faire avant d’ajoutez
Nijidra- Oh oh oh ! Je suis sûr que vous allez encore nous épatez avec votre maîtrise du verbe.
Nathandra- Ne soyez pas timide, allez-y, nous avons préparez un siège.
Velrem s’incline
Velrem- J’attendais votre permission, madame.
Puis il s’assit. Il fixe les deux nobles souriantes à tour de rôle avant d’ajouter.
Velrem- Quel que soit vos humeurs aujourd’hui, je suis à votre disposition, mes dames, mais permettez-moi d’introduire la soirée.
Tandis que les pétales de lys s’envolent aux grés du vent, je songe à une idée, tandis que l’arbre se penche vers nous d’un souffle, elle me susurre une autre, quoi qu’il en soit le thème est votre.
Nathandra se met à sourire en fixant l’homme.
Nathandra- J’ai toujours adorée vos introductions, mon cher Velrem ! Un de ces jours, nous devrions vous invitez à nos réceptions du jeudi soir, je suis sûr que vous adorerez !
Nijidra- Oh oh oh ! Mais mère, voyons, tu sais bien qu’il nous faut un mâle musclé !
Nathandra mis la main droite devant sa bouche l’air de dire « oups » en regardant sa fille.
Nathandra- Ah ! C’est vrai que c’est plutôt embêtant, quel dommage, vous devriez vous étoffer un jour, mon cher Velrem !
Elles avaient l’habitude le jeudi soir de rameutez des femmes sacrenuits d’autres maisons pour leurs « réceptions du jeudi soir ». A chacune de ces soirées, elles ramenaient un sacrenuit robuste pour « parfaire la soirée ». Un homme pour en général dix femmes ou plus, bien qu’il n’ai jamais imaginé regardez l’après soirée, il se doute que ce ne doit pas être tellement plaisant pour… l’invité. Il hausse alors les épaules.
Velrem- Hélas, devoir me consacrez a l’art des mots ne me permet pas de consacrez du temps aux exercices du corps, Dame Nathandra.
Puis la soirée continua avec de nombreuses proses et réflexions de Velrem sous les regards intéressées des deux nobles. Et que le ciel observe caché par un dôme violet, promis à rester pour l’éternité...
…Tandis qu’un temple interdit s’éveille de nouveau…
La plupart des gens de son âge recherchait à être des champions des arcanes, des maîtres de la magie ou voyait les Lames comme modèle, capable de manipulez le temps.
Lui ne s’y intéressait pas, il ne faisait que penser et réfléchir. L’on se demandait parfois quel est l’utilité d’une telle personne dans la société sacrenuit, mais il a fini par se faire une place.
Oh, il n’était pas dans les quartiers de la haute société, il n’avait qu’une seule pièce pour maison, avec quatre étagères remplies de livres et un secrétaire, il avait tellement de livres que d’autres étaient posés à même le sol, mais sa vie lui satisfaisait, même si son esprit s’égarait souvent sur le monde extérieur.
La théorie de la plupart des sacrenuits qu’il a côtoyé disaient que le monde était sûrement en ruine, détruit par les démons.
Il n’y croyait pas. Mais il fut interrompu dans ses rêveries quand on lui toqua à la porte. Un valet bien habillé était devant lui, l’invité s’éclairci la gorge avant de dire.
Valet-Salutation, pardonnez-moi, je viens à votre porte réclamer le texte de Monsieur Nathorn.
Velrem hoche la tête, puis ouvrit son secrétaire d’un geste de la main pour y prendre dix pages manuscrites et le restitua au valet.
Valet-Merci, je ne doute pas que Monsieur Nathorn sera satisfait de votre travail.
Velrem sourit.
Velrem-Tout dépendra si la lecture les émerveille aussi bien que quand j’ai eu l’inspiration. En tout cas, J’espère que ma prose sera capable de pimentez ces soirées.
Valet-Je n’en doute point. Au revoir, Monsieur.
Le valet se retira et Velrem referma doucement la porte derrière lui.
Il soupire. C’était le même valet qui était venu chez lui, demandez de faire une prose sur le dôme protecteur au nom de ce « Nathorn »
Ce n’était pas la première fois qu’on utilisé un faux nom pour la rédaction d’un poème ou d’un discours. Surtout chez les nobles, si on apprenait qu’ils sont incapables de le faire soi-même, ce serait ridicule. Il se doutait que ce « Nathorn » était un faux nom. Ou alors pris d’un passant qui a croisé le chemin du dit noble.
Il se posa sur son lit et fit le vide dans son esprit pendant 30 minutes, cela lui permettait à chaque fois d’aller à sa rencontre avec une noble qui faisait souvent appel à lui.
Une fois ceci fait, Il sortit de chez lui. Ignorant les enfants qui jouaient, les habitants qui véhiculaient des ragots. Il se rappela l’immense joie qu’il a eu une fois en ayant une demande d’Elisandre en personne… Et sa déception que c’était un faux nom et la personne qui l’a utilisé l’a chèrement payé.
Il arriva à la maison familiale de la noble qui l’occupait, le valet l’ouvrir, il pénétra à l’intérieur et alla dans le jardin intérieur. Comme il s’en doutait, elle était installée à la terrasse : Dame Nathandra, en compagnie de sa fille Nijidra.
Nathandra- Ah ! Mon cher Velrem, cela faisait longtemps que nous ne vous avions vu.
Nijidra fit un rire hauntain comme elle seul sait le faire avant d’ajoutez
Nijidra- Oh oh oh ! Je suis sûr que vous allez encore nous épatez avec votre maîtrise du verbe.
Nathandra- Ne soyez pas timide, allez-y, nous avons préparez un siège.
Velrem s’incline
Velrem- J’attendais votre permission, madame.
Puis il s’assit. Il fixe les deux nobles souriantes à tour de rôle avant d’ajouter.
Velrem- Quel que soit vos humeurs aujourd’hui, je suis à votre disposition, mes dames, mais permettez-moi d’introduire la soirée.
Tandis que les pétales de lys s’envolent aux grés du vent, je songe à une idée, tandis que l’arbre se penche vers nous d’un souffle, elle me susurre une autre, quoi qu’il en soit le thème est votre.
Nathandra se met à sourire en fixant l’homme.
Nathandra- J’ai toujours adorée vos introductions, mon cher Velrem ! Un de ces jours, nous devrions vous invitez à nos réceptions du jeudi soir, je suis sûr que vous adorerez !
Nijidra- Oh oh oh ! Mais mère, voyons, tu sais bien qu’il nous faut un mâle musclé !
Nathandra mis la main droite devant sa bouche l’air de dire « oups » en regardant sa fille.
Nathandra- Ah ! C’est vrai que c’est plutôt embêtant, quel dommage, vous devriez vous étoffer un jour, mon cher Velrem !
Elles avaient l’habitude le jeudi soir de rameutez des femmes sacrenuits d’autres maisons pour leurs « réceptions du jeudi soir ». A chacune de ces soirées, elles ramenaient un sacrenuit robuste pour « parfaire la soirée ». Un homme pour en général dix femmes ou plus, bien qu’il n’ai jamais imaginé regardez l’après soirée, il se doute que ce ne doit pas être tellement plaisant pour… l’invité. Il hausse alors les épaules.
Velrem- Hélas, devoir me consacrez a l’art des mots ne me permet pas de consacrez du temps aux exercices du corps, Dame Nathandra.
Puis la soirée continua avec de nombreuses proses et réflexions de Velrem sous les regards intéressées des deux nobles. Et que le ciel observe caché par un dôme violet, promis à rester pour l’éternité...
…Tandis qu’un temple interdit s’éveille de nouveau…
Vorkshar- Personnages Joués : Rasanar/Keldus
Re: Les Réflexions de Velrem
Un mois, cela fait un mois que le dôme n’est plus présent. Ce jour-là, l’émerveillement était présent, il s’imaginait que les shaldorei pourraient enfin parcourir le monde. Quel était le monde d’aujourd’hui ? Des autochtones étaient-ils encore là ? Dans cette Azeroth dévastée ?
Tel fut les questions qu’il se posait, mais elles volèrent en éclat quand il vit le ciel s’obscurcir de créatures sombres et ailés, les nuages qu’il avaient vu pour la première fois se gorgèrent d’une énergie verte.
Puis l’actualité lui retira encore plus goût à l’exploration. C’était la Légion, la même armée qui avait forcé le peuple de Suramar à se protéger sous ce dôme qui a duré si longtemps.
Des traîtres furent expulsés, dont la première arcaniste Thalyssra. Un flétri c’est engouffré une fois dans la cité, montrant involontairement le sort à ceux qui quitte le confort du Puits de la nuit.
La tristesse se lisait sur les visages, mais lui ne l’affichait pas. Il avait eu la conviction que la peur, la colère, la confusion pouvait altérer ses pensées, ses réflexions. Il a eu des siècles pour perfectionner ses méditations. Imperturbable, on lui donnait souvent cet adjectif.
Il regardait la rue depuis sa fenêtre, constatant le changement qui est survenu à cette douce cité.
Des créatures grandes et rouges sang, affublés d’une armure patrouillaient au loin et s’éloignaient. Des gangregardes, tel est le nom qu’on leurs donnent. L’inquiétude grandissait dans la cité à chaque démarche de leurs pas pesants.
Les yeux dans le vague, il réfléchissait à ce que pouvait donnez l’avenir. Un hurlement d’un des gangregardes retentit, il regarda attentivement. Il vit la patrouille attaqué, l’agresseur masqué par les bâtiments, tout ce qu’il vit était des éclats de glace se fracassant sur le corps d’un des gangregardes puis qui tomba a terre. Les lames étaient maintenant visibles tailladant les deux autres démons restants.
Il contempla alors le vainqueur qui venait de sortir de la pénombre, se mettant à courir dans la rue.
C’était une créature verte musclés aux oreilles comme des elfes et a la bouche ornée de croc. Ces yeux luisaient d’un bleuté surnaturelle et son armure noire était particulièrement sinistre. Et que dire de ces deux lames qui luise d’une aura glacé.
Le monstre fit l’inverse de la patrouille. Il ne s’inquiétait toutefois pas. La garde va surement lui tomber dessus et s’occuper de ce cas inquiétant.
Confiant, il se replongea dans une méditation avant de se mettre à écrire des nouvelles proses, avec les actualités récentes, son éventail de thème s’était prodigieusement élargi.
Plusieurs minutes passèrent. Puis il entendit un bruit. Il ouvrit les yeux et les écarquilla en voyant le verrou arcanique de sa porte se geler. Le verrou craqua et tomba en miette et la créature ouvra la porte, ces deux lames à la main. Toujours sous le coup de l’étonnement, plus que le coup de la peur. Il vit le monstre regardé derrière lui et fermer la porte, puis lui dit avec une voix portante avant de fixer la porte en l’ayant entrebâillé
???- TOI ! TU TE TAIT ! J’AI LA GARDE AUX TROUSSES ! ALORS SI TU VEUX QUE JE LIBERE TA VILLE, TU AS INTERET A TE TAIRE !
Velrem commençait à sentir une odeur de pourri et l’air se refroidir, il garda son calme habituel et lui répondit
Velrem- J’ignore de quel espèce vous êtes monsieur… Mais vous êtez ici chez moi et vous venez de fracturer ma por…
Le monstre se mit à regarder le sacrenuit avec ces yeux bleutés et froid, il vit alors que son visage était légèrement décomposé, mais c’était surtout l’expression qui poussa Velrem à reculer. Une colère contenue. Il hurla laissant complétement tomber l’inspection de la porte.
???- JE T’ES DIT DE TE TAIRE ! TU SAIS QUI JE SUIS ? JE SUIS DKFEINE, CHAMPION D’ACHERUS ! ET JE VAIS MASSACRER LA LEGION ! ET TOI T’ES QUOI ? RIEN ! ALORS TU LA FERME !
Il montra ses lames, semblant être fier
Dkfeiné- SA A ETE FAIS AVEC DEUILLEGIVRE CA ! ALORS TU VOIS JE VAIS LE TRANSFORMER EN TAS DE VIANDE LE PETIT GUL’DAN !
Si cette créature n'était pas aussi menaçante, il aurait sûrement demander ce qu'était tout ces mots, mais là il se contenta de ne rien dire. On entendit au loin
Garde- Il est là ! Il est là !
Dkfeiné – Hein ?! Comment ils m’ont repéré ?
Il se retourna et ouvrit la porte, des gardes étaient réunis, Dkfeiné se mit à rire
Dkfeiné- Ahah ! C’est pas aujourd’hui que je vais connaître la faim sans fin ! VENEZ VOUS BATTRE !
Le combat fit rage entre le monstre et la garde crépusculaire. Velrem lui, ne pouvait que se plaqué contre le mur en attendant que ça passe. L’air était de plus en
plus froid à mesure que l’affrontement continuait.
Dkfeiné- BON VOUS FINISSEZ PAR ME GONFLEZ ! ON VA FINIR CA RAPIDEMENT !
Dkfeiné se mit à émir de froid une aura de glace se mit à l’englober, elle se mit à se déchainé par un vent froid surnaturelle.
Ces livres se mit à balloter et se déchirer par la force de ce pouvoir, les bibliothèques se gelèrent puis se cassèrent, il voyait 750 ans de vie partir en fumée.
Velrem vit alors que c’était ses mains qui commençaient à géler, une épaisse couche de glace se formait, il tentait de plonger dans la fenêtre avant qu’il soit trop tard, mais le gel colla une de ces jambes au mur.
Tandis que l’autre jambe se gelait progressivement, il ferma les yeux, est-ce ainsi qu’il allait mourir ? En étant un dommage collatéral de la première créature qu’il croisa ? Il ouvrit les yeux et vit son corps se gelé lui aussi sous la puissance de ce sort infernale. Il n’y avait plus que sa tête qu’il pouvait bouger, il hurla.
Velrem- ARRETEZ ! ARRETEZ ! VOUS ETES EN TRAIN DE ME TUEZ !
Mais le monstre décidément trop plongé dans le combat, ne semblait pas l’entendre. Alors il resta là à voir son corps se paralysé et il pleura. Ses larmes se cristallisèrent eux aussi. Et c’est là qu’il vit Dkfeiné finir son sort et sortir de la pièce, laissant au bas de sa porte. Il entendit vaguement une femme de la garde crépusculaire hurler
Garde- POURSUIVEZ LE ! NE LE LAISSEZ PAS S’ENFUIR !
Et il s'évanouis, en ayant comme dernière vision la garde qu'il vit vaguement.
Tel fut les questions qu’il se posait, mais elles volèrent en éclat quand il vit le ciel s’obscurcir de créatures sombres et ailés, les nuages qu’il avaient vu pour la première fois se gorgèrent d’une énergie verte.
Puis l’actualité lui retira encore plus goût à l’exploration. C’était la Légion, la même armée qui avait forcé le peuple de Suramar à se protéger sous ce dôme qui a duré si longtemps.
Des traîtres furent expulsés, dont la première arcaniste Thalyssra. Un flétri c’est engouffré une fois dans la cité, montrant involontairement le sort à ceux qui quitte le confort du Puits de la nuit.
La tristesse se lisait sur les visages, mais lui ne l’affichait pas. Il avait eu la conviction que la peur, la colère, la confusion pouvait altérer ses pensées, ses réflexions. Il a eu des siècles pour perfectionner ses méditations. Imperturbable, on lui donnait souvent cet adjectif.
Il regardait la rue depuis sa fenêtre, constatant le changement qui est survenu à cette douce cité.
Des créatures grandes et rouges sang, affublés d’une armure patrouillaient au loin et s’éloignaient. Des gangregardes, tel est le nom qu’on leurs donnent. L’inquiétude grandissait dans la cité à chaque démarche de leurs pas pesants.
Les yeux dans le vague, il réfléchissait à ce que pouvait donnez l’avenir. Un hurlement d’un des gangregardes retentit, il regarda attentivement. Il vit la patrouille attaqué, l’agresseur masqué par les bâtiments, tout ce qu’il vit était des éclats de glace se fracassant sur le corps d’un des gangregardes puis qui tomba a terre. Les lames étaient maintenant visibles tailladant les deux autres démons restants.
Il contempla alors le vainqueur qui venait de sortir de la pénombre, se mettant à courir dans la rue.
C’était une créature verte musclés aux oreilles comme des elfes et a la bouche ornée de croc. Ces yeux luisaient d’un bleuté surnaturelle et son armure noire était particulièrement sinistre. Et que dire de ces deux lames qui luise d’une aura glacé.
Le monstre fit l’inverse de la patrouille. Il ne s’inquiétait toutefois pas. La garde va surement lui tomber dessus et s’occuper de ce cas inquiétant.
Confiant, il se replongea dans une méditation avant de se mettre à écrire des nouvelles proses, avec les actualités récentes, son éventail de thème s’était prodigieusement élargi.
Plusieurs minutes passèrent. Puis il entendit un bruit. Il ouvrit les yeux et les écarquilla en voyant le verrou arcanique de sa porte se geler. Le verrou craqua et tomba en miette et la créature ouvra la porte, ces deux lames à la main. Toujours sous le coup de l’étonnement, plus que le coup de la peur. Il vit le monstre regardé derrière lui et fermer la porte, puis lui dit avec une voix portante avant de fixer la porte en l’ayant entrebâillé
???- TOI ! TU TE TAIT ! J’AI LA GARDE AUX TROUSSES ! ALORS SI TU VEUX QUE JE LIBERE TA VILLE, TU AS INTERET A TE TAIRE !
Velrem commençait à sentir une odeur de pourri et l’air se refroidir, il garda son calme habituel et lui répondit
Velrem- J’ignore de quel espèce vous êtes monsieur… Mais vous êtez ici chez moi et vous venez de fracturer ma por…
Le monstre se mit à regarder le sacrenuit avec ces yeux bleutés et froid, il vit alors que son visage était légèrement décomposé, mais c’était surtout l’expression qui poussa Velrem à reculer. Une colère contenue. Il hurla laissant complétement tomber l’inspection de la porte.
???- JE T’ES DIT DE TE TAIRE ! TU SAIS QUI JE SUIS ? JE SUIS DKFEINE, CHAMPION D’ACHERUS ! ET JE VAIS MASSACRER LA LEGION ! ET TOI T’ES QUOI ? RIEN ! ALORS TU LA FERME !
Il montra ses lames, semblant être fier
Dkfeiné- SA A ETE FAIS AVEC DEUILLEGIVRE CA ! ALORS TU VOIS JE VAIS LE TRANSFORMER EN TAS DE VIANDE LE PETIT GUL’DAN !
Si cette créature n'était pas aussi menaçante, il aurait sûrement demander ce qu'était tout ces mots, mais là il se contenta de ne rien dire. On entendit au loin
Garde- Il est là ! Il est là !
Dkfeiné – Hein ?! Comment ils m’ont repéré ?
Il se retourna et ouvrit la porte, des gardes étaient réunis, Dkfeiné se mit à rire
Dkfeiné- Ahah ! C’est pas aujourd’hui que je vais connaître la faim sans fin ! VENEZ VOUS BATTRE !
Le combat fit rage entre le monstre et la garde crépusculaire. Velrem lui, ne pouvait que se plaqué contre le mur en attendant que ça passe. L’air était de plus en
plus froid à mesure que l’affrontement continuait.
Dkfeiné- BON VOUS FINISSEZ PAR ME GONFLEZ ! ON VA FINIR CA RAPIDEMENT !
Dkfeiné se mit à émir de froid une aura de glace se mit à l’englober, elle se mit à se déchainé par un vent froid surnaturelle.
Ces livres se mit à balloter et se déchirer par la force de ce pouvoir, les bibliothèques se gelèrent puis se cassèrent, il voyait 750 ans de vie partir en fumée.
Velrem vit alors que c’était ses mains qui commençaient à géler, une épaisse couche de glace se formait, il tentait de plonger dans la fenêtre avant qu’il soit trop tard, mais le gel colla une de ces jambes au mur.
Tandis que l’autre jambe se gelait progressivement, il ferma les yeux, est-ce ainsi qu’il allait mourir ? En étant un dommage collatéral de la première créature qu’il croisa ? Il ouvrit les yeux et vit son corps se gelé lui aussi sous la puissance de ce sort infernale. Il n’y avait plus que sa tête qu’il pouvait bouger, il hurla.
Velrem- ARRETEZ ! ARRETEZ ! VOUS ETES EN TRAIN DE ME TUEZ !
Mais le monstre décidément trop plongé dans le combat, ne semblait pas l’entendre. Alors il resta là à voir son corps se paralysé et il pleura. Ses larmes se cristallisèrent eux aussi. Et c’est là qu’il vit Dkfeiné finir son sort et sortir de la pièce, laissant au bas de sa porte. Il entendit vaguement une femme de la garde crépusculaire hurler
Garde- POURSUIVEZ LE ! NE LE LAISSEZ PAS S’ENFUIR !
Et il s'évanouis, en ayant comme dernière vision la garde qu'il vit vaguement.
Vorkshar- Personnages Joués : Rasanar/Keldus
Re: Les Réflexions de Velrem
Son sommeil sans rêve se finit quand ses yeux s’ouvrirent sur une couleur blanche, il tourna la tête avec difficulté vers la droite, sentant un vent léger. Il vit qu’il était dans une clinique, un nettoyeur était en train de diffuser du vent chaud sur son bras droit. Son corps était encore paralysé, pratiquement pris dans un bloc de glace.
Une sacrenuit en robe blanche arriva dans la pièce et sembla surprise. Elle s’approcha de lui
Soigneuse- Ah ! Vous êtes réveillé ! Comment allez-vous ?
Le poète se contenta, le plus calme possible d’essayer de faire un sourire.
Velrem- Je vous remercie de vos soins, je me sens mieux que dans l’état où vous m’avez trouvez
Soigneuse- Nous faisons ce que nous pouvons, au moins cela change des désagréments liés à la famine
Elle hausse les épaules avant de continuer, l’air préoccupée.
Soigneuse- En tout cas, votre situation nous laisse perplexe, en général quand des personnes sont congelés… à cause d’apprentis inattentifs notamment, nous n’avons qu’a le dissiper… Mais la glace qui vous entoure est enveloppé d’une aura ténébreuse, elle n’est pas d’une source arcanique.
Velrem se regarde en grimaçant, une partie avait fondu sur son torse. Elle afficha un regard triste.
Soigneuse- ça risque de prendre du temps de vous soigner… Enfin ça dépend si on arrive à savoir ce que c’est. Bon je dois vous laissez, vous avez besoin de repos et j’ai d’autres patients !
Il acquiesa puis il se replongea dans ces pensées les heures qui suivirent. Il a bien cru mourir ce jour-là, c’était la première fois qu’il se retrouvait ainsi au proie à une personne qui lui faisait du mal au point d’être résolu à trépasser ainsi.
Il se remémorait le regard perçant et sinistre de cette créature, sa chair décomposée, son armure noire fait avec un métal étrange et inquiétant. Ces lames à l’énergie bleuté, froides et tranchantes.
Azeroth est décidément un monde dangereux. Entre de tels créatures et les exilés qui deviennent fous…
On toqua à la porte de sa chambre, un garde crépusculaire entra, le casque entre ses mains, a la grande surprise de Velrem.
Garde- On m’a signalé votre réveil il y a quelque heures, désolé si je ne suis pas venu plus tôt, la Garde Crépusculaire a beaucoup d’occupation.
Velrem- Eh bien… Je ne m’attendais point a voir la garde s’inquiétait de mon état.
Le Garde sourit
Garde- La Garde est là pour protéger Suramar et ces habitants, il est naturel que nous veillons sur les victimes, bien que nous ayons des ordres d’en haut pour restreindre l’arquevin en vue des conquêtes, nous ne pouvons ignorer toutes les détresses.
Puis il prit un air sinistre
Garde- Ce jour-là, ça a été une catastrophe, cet orc a tué six gardiens et trois gangregardes. C’est une chance qu’il ne vous a pas achevé !
Le poète pris une inspiration et regarda le plafond un instant.
Velrem- Cet ‘orc’, première fois que j’en vois un, ne m’a même pas calculé et ne savais peut être même pas que j’allais subir son sort…
Le garde grimace
Garde- Au nom de la Garde Crépusculaire… Je suis désolé, nous aurions dû l’arrêtez. Maintenant vous savez ce qu’est un orc, une créature sauvage et sanguinaire qui n’a pas sa place dans une ville civilisée comme la notre…
???- Ah ? Alors comme ça on critique les orcs ? Tiens tiens…
C’était une voix familière, le garde se retourna et alors Velrem vit Nathandra et Nijidra à l’entrée. Sa fille ne put s’empêcher de faire son rire hautain habituel.
Nijidra- Oh oh oh ! On dirait bien que la garde n’est pas très attentive ces temps-ci, mère.
Nathandra- Vous semblez assez critique envers la race de Gul’dan qui nous a tant apporté et notre politique sur l’arquevin, mon cher Garde Crépusculaire Malnarin. Peut-être que je devrais en parlé à la prochaine réception à la Cour des Etoiles.
Malnarin essaye de rester stoîque, mais on sent la panique dans sa voix.
Malnarin- Dame Nathandra ! Je vous assure que je suis entièrement au service de Dame Elisandre et…
Nathandra- Mmh, oui oui, mais j’ai quand même un doute… Néanmoins je suis sûr que mon doute pourrait être dissipez en discutant plus longuement, mais nous le feront dans le couloir dans quelqu’un instant.
Malnarin- Je vois… Je vous attendrais alors dans le couloir… Pour que nous puissions discutez…
Le garde se leva et sortie de la pièce, sous le regard de Nijidra qui se mordit la lèvre. Puis Nathandra ferma derrière lui avant de s’avancer doucement vers Velrem.
Nathandra- Mon cher Velrem… Je suis déçue par votre convalescence, selon les soigneurs, cela risque de prendre plusieurs mois. C’est beaucoup trop long pour moi ! Mais pas d’inquiétude…
Elle fit danser les doigts de sa main droite, une boule de feu émeraude se forma.
Nathandra- … Nos nouveaux alliés nous fournissent des meilleurs moyens pour soigner.
Velrem- Dame Nathandra, je vous remercie de votre aide, mais je pense que les soigneurs seraient plus a même de…
Elle mit un doigt sur la bouche de Velrem
Nathandra- Teuh teuh teuh. Ne dites rien avant d’avoir essayez.
Elle posa alors la boule de feu sur la table de chevet qui resta statique. Velrem regarda avec les yeux écarquillés. Il se doutait de l’énergie néfaste des démons, mais il ne pouvait dire non à Dame Nathandra, il risquerait de perdre ces faveurs… voir pire l’exile. Elle s’en alla en souriant tandis que sa fille lâchant un
Nijidra- Bon rétablissement ! Oh oh oh !
Durant les heures qui suivirent, il ignora ce feu qui couvait près de lui. Malnarin allait sûrement être le prochain « invité » des réceptions de Nathandra… Mais il dériva ces pensées vers l’exile… Avant c’était quelque chose qu’il rêvait, mais il ne connaissait pas les flétris… Et surtout les orcs, si la plupart des habitants de ce monde sont aussi barbare comment contemplez les merveilles d’Azeroth sans risquer une mort certaine ?
Puis progressivement il se sentit agresser par cette flamme. Le feu avait une odeur nauséabonde, il avait l’impression que sa tête brûlait, puis l’ensemble du corps. C’était une sensation horrible, alors il fit régulièrement ces méditations, oubliant le monde qui l’entoure. Il avait pris l’habitude de boire peu d’arquevin, de se contenter du minimum. D’être le plus calme possible, alors il arriva à résister à cette épreuve.
Il ne sait pas combien de temps, il subissait ce cycle entre ce feu gangréné qui le tourmentait et ces méditations. Il révait souvent de cette couleur émeraude, il avait l’impression qu’il était vivant et voulait le tenter. Mais Velrem résista, puis un beau jour il vit la soigneuse éteindre le feu émeraude. Il plissa les yeux et essaya de comprendre. Il leva sa main droite. Ce qui le surprit un instant après. Il pouvait bouger ! Il se regarda, plus aucune trace de cette glace corrompue.
Soigneuse- Fiuu, je dois avouez que votre état m’inquiétez, vous aviez l’air fiévreux et de lutter intérieurement régulièrement durant ces trois jours, mais on dirait que le remède de Dame Nathandra était particulièrement efficace.
Elle plisse les yeux en voyant l’arquevin à moitié plein.
Soigneuse- En tout cas vous ne buvez pas beaucoup, vous n’avez pas peur de flétrir ?
Velrem- Non… ça va allez… J’ai mes habitudes.
Il resta encore un jour en observation. Mais il n’eut au final qu’une semaine de convalescence. Il revient alors chez lui. Et vit le désastre.
Sa pièce était à moitié ravagé par le sort dévastateur, la plupart des livres étaient complétement fichus, seul le lit semblait ne pas avoir trop souffert.
Il vit au sol une feuille récente. C’était une invitation de Dame Nathandra.
« Je suis sûr que vous serez bientôt d’aplomb, mon cher Velrem, je sais que mon cadeau vous aura fait du plus grand bien, je vous proposerai bien de fêtez votre rétablissement samedi avec mes invitées régulières. Si vous êtes encore souffrant, ce qui serait fort dommage, nous serions capables de faire d’autres activités. »
Il sourit, ses flammes l’avaient bien affaibli, mais il pouvait paraître en bonne santé en faisant attention.
Le samedi, il se rendit chez Dame Nathandre comme convenu, dans le jardin intérieur il vit qu’une dizaine de jeunes femmes nobles étaient en train de discuter en compagnie de Nathandra et sa fille. L’hôtesse sourit en le voyant
Nathandra- Ah ! Mon cher Velrem ! Vous voilà, vous avez de la chance ! Nous avions eu une activité qui nous a été proposés entretemps, mais cela a été annulée plus tard, heureusement que vous êtes là pour nous abreuvez de votre maîtrise du verbe.
Velrem sourit, ignorant les douleurs sur plusieurs parties de son corps.
Velrem- Je suis là pour rendre votre soirée plaisante, mesdames.
Les femmes se mirent en place tandis que lui alla sur une estrade, il allait faire une introduction quand une succube fit irruption dans le jardin par la porte du domaine. Elle parla avec un accent sensuel
Succube- Eh ! Les filles ! Finalement je suis libre pour vous faire cours ! Alors qui veut des leçons de la Légion Ardente ? Vous allez voir, la soirée va être fun !
Les nobles se précipitèrent tous vers la succube, il avais même l'impression que certaines caressais la démone, Nijidra haussa les épaules en regardant Velrem, Nathandra s’accorda un instant pour lui dire.
Nathandra- Je crains fort que notre occupation initiale est revenue, je suis sincèrement désolée de devoir vous laissez. A notre prochaine rencontre, mon cher Velrem et pensez-y…
Elle fit un clin d’œil
Nathandra- La mode est au vert !
Une sacrenuit en robe blanche arriva dans la pièce et sembla surprise. Elle s’approcha de lui
Soigneuse- Ah ! Vous êtes réveillé ! Comment allez-vous ?
Le poète se contenta, le plus calme possible d’essayer de faire un sourire.
Velrem- Je vous remercie de vos soins, je me sens mieux que dans l’état où vous m’avez trouvez
Soigneuse- Nous faisons ce que nous pouvons, au moins cela change des désagréments liés à la famine
Elle hausse les épaules avant de continuer, l’air préoccupée.
Soigneuse- En tout cas, votre situation nous laisse perplexe, en général quand des personnes sont congelés… à cause d’apprentis inattentifs notamment, nous n’avons qu’a le dissiper… Mais la glace qui vous entoure est enveloppé d’une aura ténébreuse, elle n’est pas d’une source arcanique.
Velrem se regarde en grimaçant, une partie avait fondu sur son torse. Elle afficha un regard triste.
Soigneuse- ça risque de prendre du temps de vous soigner… Enfin ça dépend si on arrive à savoir ce que c’est. Bon je dois vous laissez, vous avez besoin de repos et j’ai d’autres patients !
Il acquiesa puis il se replongea dans ces pensées les heures qui suivirent. Il a bien cru mourir ce jour-là, c’était la première fois qu’il se retrouvait ainsi au proie à une personne qui lui faisait du mal au point d’être résolu à trépasser ainsi.
Il se remémorait le regard perçant et sinistre de cette créature, sa chair décomposée, son armure noire fait avec un métal étrange et inquiétant. Ces lames à l’énergie bleuté, froides et tranchantes.
Azeroth est décidément un monde dangereux. Entre de tels créatures et les exilés qui deviennent fous…
On toqua à la porte de sa chambre, un garde crépusculaire entra, le casque entre ses mains, a la grande surprise de Velrem.
Garde- On m’a signalé votre réveil il y a quelque heures, désolé si je ne suis pas venu plus tôt, la Garde Crépusculaire a beaucoup d’occupation.
Velrem- Eh bien… Je ne m’attendais point a voir la garde s’inquiétait de mon état.
Le Garde sourit
Garde- La Garde est là pour protéger Suramar et ces habitants, il est naturel que nous veillons sur les victimes, bien que nous ayons des ordres d’en haut pour restreindre l’arquevin en vue des conquêtes, nous ne pouvons ignorer toutes les détresses.
Puis il prit un air sinistre
Garde- Ce jour-là, ça a été une catastrophe, cet orc a tué six gardiens et trois gangregardes. C’est une chance qu’il ne vous a pas achevé !
Le poète pris une inspiration et regarda le plafond un instant.
Velrem- Cet ‘orc’, première fois que j’en vois un, ne m’a même pas calculé et ne savais peut être même pas que j’allais subir son sort…
Le garde grimace
Garde- Au nom de la Garde Crépusculaire… Je suis désolé, nous aurions dû l’arrêtez. Maintenant vous savez ce qu’est un orc, une créature sauvage et sanguinaire qui n’a pas sa place dans une ville civilisée comme la notre…
???- Ah ? Alors comme ça on critique les orcs ? Tiens tiens…
C’était une voix familière, le garde se retourna et alors Velrem vit Nathandra et Nijidra à l’entrée. Sa fille ne put s’empêcher de faire son rire hautain habituel.
Nijidra- Oh oh oh ! On dirait bien que la garde n’est pas très attentive ces temps-ci, mère.
Nathandra- Vous semblez assez critique envers la race de Gul’dan qui nous a tant apporté et notre politique sur l’arquevin, mon cher Garde Crépusculaire Malnarin. Peut-être que je devrais en parlé à la prochaine réception à la Cour des Etoiles.
Malnarin essaye de rester stoîque, mais on sent la panique dans sa voix.
Malnarin- Dame Nathandra ! Je vous assure que je suis entièrement au service de Dame Elisandre et…
Nathandra- Mmh, oui oui, mais j’ai quand même un doute… Néanmoins je suis sûr que mon doute pourrait être dissipez en discutant plus longuement, mais nous le feront dans le couloir dans quelqu’un instant.
Malnarin- Je vois… Je vous attendrais alors dans le couloir… Pour que nous puissions discutez…
Le garde se leva et sortie de la pièce, sous le regard de Nijidra qui se mordit la lèvre. Puis Nathandra ferma derrière lui avant de s’avancer doucement vers Velrem.
Nathandra- Mon cher Velrem… Je suis déçue par votre convalescence, selon les soigneurs, cela risque de prendre plusieurs mois. C’est beaucoup trop long pour moi ! Mais pas d’inquiétude…
Elle fit danser les doigts de sa main droite, une boule de feu émeraude se forma.
Nathandra- … Nos nouveaux alliés nous fournissent des meilleurs moyens pour soigner.
Velrem- Dame Nathandra, je vous remercie de votre aide, mais je pense que les soigneurs seraient plus a même de…
Elle mit un doigt sur la bouche de Velrem
Nathandra- Teuh teuh teuh. Ne dites rien avant d’avoir essayez.
Elle posa alors la boule de feu sur la table de chevet qui resta statique. Velrem regarda avec les yeux écarquillés. Il se doutait de l’énergie néfaste des démons, mais il ne pouvait dire non à Dame Nathandra, il risquerait de perdre ces faveurs… voir pire l’exile. Elle s’en alla en souriant tandis que sa fille lâchant un
Nijidra- Bon rétablissement ! Oh oh oh !
Durant les heures qui suivirent, il ignora ce feu qui couvait près de lui. Malnarin allait sûrement être le prochain « invité » des réceptions de Nathandra… Mais il dériva ces pensées vers l’exile… Avant c’était quelque chose qu’il rêvait, mais il ne connaissait pas les flétris… Et surtout les orcs, si la plupart des habitants de ce monde sont aussi barbare comment contemplez les merveilles d’Azeroth sans risquer une mort certaine ?
Puis progressivement il se sentit agresser par cette flamme. Le feu avait une odeur nauséabonde, il avait l’impression que sa tête brûlait, puis l’ensemble du corps. C’était une sensation horrible, alors il fit régulièrement ces méditations, oubliant le monde qui l’entoure. Il avait pris l’habitude de boire peu d’arquevin, de se contenter du minimum. D’être le plus calme possible, alors il arriva à résister à cette épreuve.
Il ne sait pas combien de temps, il subissait ce cycle entre ce feu gangréné qui le tourmentait et ces méditations. Il révait souvent de cette couleur émeraude, il avait l’impression qu’il était vivant et voulait le tenter. Mais Velrem résista, puis un beau jour il vit la soigneuse éteindre le feu émeraude. Il plissa les yeux et essaya de comprendre. Il leva sa main droite. Ce qui le surprit un instant après. Il pouvait bouger ! Il se regarda, plus aucune trace de cette glace corrompue.
Soigneuse- Fiuu, je dois avouez que votre état m’inquiétez, vous aviez l’air fiévreux et de lutter intérieurement régulièrement durant ces trois jours, mais on dirait que le remède de Dame Nathandra était particulièrement efficace.
Elle plisse les yeux en voyant l’arquevin à moitié plein.
Soigneuse- En tout cas vous ne buvez pas beaucoup, vous n’avez pas peur de flétrir ?
Velrem- Non… ça va allez… J’ai mes habitudes.
Il resta encore un jour en observation. Mais il n’eut au final qu’une semaine de convalescence. Il revient alors chez lui. Et vit le désastre.
Sa pièce était à moitié ravagé par le sort dévastateur, la plupart des livres étaient complétement fichus, seul le lit semblait ne pas avoir trop souffert.
Il vit au sol une feuille récente. C’était une invitation de Dame Nathandra.
« Je suis sûr que vous serez bientôt d’aplomb, mon cher Velrem, je sais que mon cadeau vous aura fait du plus grand bien, je vous proposerai bien de fêtez votre rétablissement samedi avec mes invitées régulières. Si vous êtes encore souffrant, ce qui serait fort dommage, nous serions capables de faire d’autres activités. »
Il sourit, ses flammes l’avaient bien affaibli, mais il pouvait paraître en bonne santé en faisant attention.
Le samedi, il se rendit chez Dame Nathandre comme convenu, dans le jardin intérieur il vit qu’une dizaine de jeunes femmes nobles étaient en train de discuter en compagnie de Nathandra et sa fille. L’hôtesse sourit en le voyant
Nathandra- Ah ! Mon cher Velrem ! Vous voilà, vous avez de la chance ! Nous avions eu une activité qui nous a été proposés entretemps, mais cela a été annulée plus tard, heureusement que vous êtes là pour nous abreuvez de votre maîtrise du verbe.
Velrem sourit, ignorant les douleurs sur plusieurs parties de son corps.
Velrem- Je suis là pour rendre votre soirée plaisante, mesdames.
Les femmes se mirent en place tandis que lui alla sur une estrade, il allait faire une introduction quand une succube fit irruption dans le jardin par la porte du domaine. Elle parla avec un accent sensuel
Succube- Eh ! Les filles ! Finalement je suis libre pour vous faire cours ! Alors qui veut des leçons de la Légion Ardente ? Vous allez voir, la soirée va être fun !
Les nobles se précipitèrent tous vers la succube, il avais même l'impression que certaines caressais la démone, Nijidra haussa les épaules en regardant Velrem, Nathandra s’accorda un instant pour lui dire.
Nathandra- Je crains fort que notre occupation initiale est revenue, je suis sincèrement désolée de devoir vous laissez. A notre prochaine rencontre, mon cher Velrem et pensez-y…
Elle fit un clin d’œil
Nathandra- La mode est au vert !
Vorkshar- Personnages Joués : Rasanar/Keldus
Re: Les Réflexions de Velrem
L’atmosphère de la cité était en train de changer, bon nombre de personnes se faisaient exilés. Velrem resta pensif sur sa chambre plus ou moins remis en état depuis la catastrophe qui s’était passée trois mois auparavant avec cet « orc chevalier de la mort » comme on le décrit
Pour lui, le quotidien n’avait pas trop changé, après sa convalescence, les commandes de textes étaient aussi nombreux qu’avant, comme si cette congélation n’avait pas vraiment provoqué un véritable remous dans sa vie.
Mais les demandes étaient différentes, la plupart du temps, c’était maintenant des odes aux démons ou des discours poignants rappelant la nécessité de rester solidaire malgré la faim.
Personnellement, il n’avait rien contre les démons, au début il avait peur qu’ils finissent
Cela faisait d’ailleurs un moment qu’il n’y a pas eu de livraison d’arquevin… Vu sa faible consommation, cela ne le gênait pas trop et il trouvait toujours le moyen de se faire payez en arquevin plutôt qu’avec de l’or.
Certains le considérait comme un privilégié. Il entendait les rumeurs sur lui, « il ne reçoit pas d’arquevin et pas de trace de manque » « il doit avoir un stock d’arquevin avant que les restrictions arrivent, le coquin ! » « Il doit avoir les nobles dans sa poche ! »
Il voyait que peu de gens l’appréciaient à cause de ça, mais il les ignore, cela ne le dérange pas, ça ne l’a jamais dérangé. La solitude lui permet de consacrer son temps à réfléchir.
Mais il ne doutait pas que sa vie allait changer dans les heures qui viennent. Nathandra l’avait convoqué. Durant ces trois mois, elle n’avait pas trop changé physiquement, mais quelque chose le dérangeait de plus en plus en sa présence, comme si la moindre de ses paroles étaient envoutante, au début il ne ressentait pas ce désagrément, mais maintenant, il commençait à craindre la plupart de ses rencontres, même si elle semblait toujours appréciée ce qu’il racontait. Quand a sa fille… Elle a fini par disparaître du jour au lendemain, il y a deux mois de cela.
Il arriva devant le manoir, une odeur caractéristique de corruption en émanait. Il toqua à la porte, le plus sereinement que possible, dissipant au mieux ces peurs.
C’était une succube qui l’ouvrit, cela faisait un mois qu’elle avait remplacé ces valets par ces créatures.
Succube- Oh ? C’est vous ? Décidément Dame Nathandra a l’air de vous portez dans son cœur. Elle est dans le jardin intérieur, c’est dommage, elle n’a pas voulu se joindre à la fête.
La succube hausse les épaules, comme d’habitude maintenant, il fallait qu’il traverse ce manoir devenu infernal.
Il vit des femmes avec des traces de fouet en train de se faire caresser par des succubes, riant et se vautrant dans la luxure. Certains hommes étaient attachés au mur, le torse nue et couvert de cicatrices. Il resta calme, comme il l’a toujours fait, rien ne doit le décontenancé.
Il arriva dans le jardin intérieur, Nathandra était au centre du jardin, souriant de toutes ces dents.
Nathandra- Ah ! Mon cher Velrem, quel plaisir de vous revoir !
Il s’incline.
Velrem- Dame Nathandra, le plaisir est de même, que voulez-vous que je vous conte aujourd’hui ?
Son sourire s’étira
Nathandra- Aujourd’hui, je ne vous ait pas convoqué pour m’abreuver de votre art… Mais pour vous montrer quelque chose et vous faire un cadeau !
Velrem- Un cadeau ?
Elle allait dire quelque chose, mais elle regarda derrière elle et se mit à rire, elle se retourna.
Nathandra- Je crois bien qu’il y a des indésirables ici, allez-y montrez-vous, je sais être une hôtesse respectable même envers ceux que je n’ai pas invités.
Derrière des buissons qui constellaient le jardin, deux sacrenuits, un homme et une femme, tout deux habillés en assassins avec les dagues qui vont avec. Qui sont dégainés d’ailleurs. Velrem a eu le reflexe de faire deux pas en arrière
Femme Assassin- Comment avez-vous ?... Peu importe ! Vous allez payez pour votre déviance et pour tous les hommes que vous avez torturés ici dans ce manoir sordide ! Vous êtes devenue une démone à force de cotoyez les démons !
Nathandra soupire
Nathandra- Des rebelles de Thalyssra, quel surprise…
Elle se tourne vers l’homme et se met à parler d’une voix envoutante et sensuel. Velrem commençait à sentir une sensation désagréable. L’homme semble plus affecté
Nathandra- Et toi que pense tu de ce qu’elle dit ? Suis-je si terrible que ça ?
Homme assassin- Je…
Nathandra- C’est les hommes qui viennent à moi, n’ai-je pas tort ? Ne suis-je pas désirable ?
Homme assassin- Et bien vous êt… Je… Je dois résister.
L’homme lâcha ses dagues semblant tremblé et se mis à se maintenir la tête, la noble pouffe de rire.
Femme assassin- NATHANDRA ! Immonde vermine !
L’assassin se jeta sur Nathandra qui ne bougea pas, mais un fouet enflammé s’étirant de derrière Velrem jusqu’à elle la stoppa. Elle se mit à brûlez en hurlant de douleur puis mourra. Le poète regarda derrière lui avec étonnement.
Une sacrenuit… Ou plutôt qui en était une, était derrière lui. La peau entièrement rouge et deux fois plus grande que la plus grande des sacrenuit, les yeux luisant d’une énergie gangréné, des mains griffus tenant deux grands fouets enflammés et ses jambes se terminaient pas des sabots.
???- Oh oh oh ! Trop fragile ! Je n’ai pas eu le temps de m’amuser !
Il réalisa tout de suite qui s’était en entendant ce rire, devenue démoniaque avec cette nouvelle apparence. Nathandra pointa du doigt l’homme qui hurlait.
Nathandra- Tu peux le tuer lui aussi, ma chérie, il ne nous serra pas utile, il tente trop de résister.
Elle tira son fouet vers l’homme qui s’effondra sans avoir pu réagir.
Velrem ne pouvait que rester bouche bée face à ce démon, qui répondit en faisant un rire caractéristique.
???- Oh oh oh ! Alors, ma nouvelle forme vous plait ? Les succubes ont mis du temps à appliquer l’idée de mère, j’avoue que moi, j’adore !
Nathandra se retourna à nouveau et écarta les bras. Le poète regarda les deux femmes tour à tour.
Nathandra- Voila le cadeau que je compte vous faire ! Pour toutes ces années de loyaux services !
Velrem- Je… Je… Mais…
Nathandra- Oh ? C’est la première fois que j’arrive à vous décontenancer ! Mon cher Velrem !
Il inspira, il repris son calme, dévisagea un instant Nijidra dans sa nouvelle forme, puis il fixa la noble, le plus sérieusement du monde.
Velrem- Je vous pris de m’excusez Dame Nathandra, mais ça ne m’intéresse pas.
Elle perdit son sourire
Nathandra- Pardon ? Vous refusez mon cadeau ?
Velrem- J’en suis fort désolé, mais rester ainsi me permet de réfléchir mieux à de nouvelles idées. Le pouvoir ne m’a jamais intéressé.
La noble en est devenue déconfite pendant plusieurs minutes, avant de dire avec fureur.
Nathandra- COMMENT POUVEZ VOUS OSEZ REFUSEZ MON CADEAU !
Le sacrenuit continua à fixer Nathandra. Celle-ci se calma.
Nathandra- Je…Vous êtes différents des autres hommes Velrem, vous êtes le seul qui êtes pratiquement imperturbable. Je me suis exercer durant ces trois mois, vous avez traversés ce manoir tant de fois qu’en les succubes sont présentes et je n’ai sentis aucun changement en vous, je ne sais pas comment vous faites, c’est pour ça que je vous…
Nijidra l’interrompit, cette fois sérieusement… Et surtout sans rire.
Nijidra- C’est peine perdu mère, tu le sais, il n’acceptera jamais notre cadeau.
Nathandra regarda le sol, dépitée.
Nathandra- Nous sommes face à un dilemme, Velrem. Les démons vont sûrement connaître votre refus. Je ne peux que vous jetez en pâture pour nourrir les armes de la Légion ou…
Velrem- … L’exile.
Nathandra hocha la tête positivement
Nathandra- Ce sera sans doute la dernière fois que nous nous reverrons. Adieu, mon cher Velrem
Pour lui, le quotidien n’avait pas trop changé, après sa convalescence, les commandes de textes étaient aussi nombreux qu’avant, comme si cette congélation n’avait pas vraiment provoqué un véritable remous dans sa vie.
Mais les demandes étaient différentes, la plupart du temps, c’était maintenant des odes aux démons ou des discours poignants rappelant la nécessité de rester solidaire malgré la faim.
Personnellement, il n’avait rien contre les démons, au début il avait peur qu’ils finissent
Cela faisait d’ailleurs un moment qu’il n’y a pas eu de livraison d’arquevin… Vu sa faible consommation, cela ne le gênait pas trop et il trouvait toujours le moyen de se faire payez en arquevin plutôt qu’avec de l’or.
Certains le considérait comme un privilégié. Il entendait les rumeurs sur lui, « il ne reçoit pas d’arquevin et pas de trace de manque » « il doit avoir un stock d’arquevin avant que les restrictions arrivent, le coquin ! » « Il doit avoir les nobles dans sa poche ! »
Il voyait que peu de gens l’appréciaient à cause de ça, mais il les ignore, cela ne le dérange pas, ça ne l’a jamais dérangé. La solitude lui permet de consacrer son temps à réfléchir.
Mais il ne doutait pas que sa vie allait changer dans les heures qui viennent. Nathandra l’avait convoqué. Durant ces trois mois, elle n’avait pas trop changé physiquement, mais quelque chose le dérangeait de plus en plus en sa présence, comme si la moindre de ses paroles étaient envoutante, au début il ne ressentait pas ce désagrément, mais maintenant, il commençait à craindre la plupart de ses rencontres, même si elle semblait toujours appréciée ce qu’il racontait. Quand a sa fille… Elle a fini par disparaître du jour au lendemain, il y a deux mois de cela.
Il arriva devant le manoir, une odeur caractéristique de corruption en émanait. Il toqua à la porte, le plus sereinement que possible, dissipant au mieux ces peurs.
C’était une succube qui l’ouvrit, cela faisait un mois qu’elle avait remplacé ces valets par ces créatures.
Succube- Oh ? C’est vous ? Décidément Dame Nathandra a l’air de vous portez dans son cœur. Elle est dans le jardin intérieur, c’est dommage, elle n’a pas voulu se joindre à la fête.
La succube hausse les épaules, comme d’habitude maintenant, il fallait qu’il traverse ce manoir devenu infernal.
Il vit des femmes avec des traces de fouet en train de se faire caresser par des succubes, riant et se vautrant dans la luxure. Certains hommes étaient attachés au mur, le torse nue et couvert de cicatrices. Il resta calme, comme il l’a toujours fait, rien ne doit le décontenancé.
Il arriva dans le jardin intérieur, Nathandra était au centre du jardin, souriant de toutes ces dents.
Nathandra- Ah ! Mon cher Velrem, quel plaisir de vous revoir !
Il s’incline.
Velrem- Dame Nathandra, le plaisir est de même, que voulez-vous que je vous conte aujourd’hui ?
Son sourire s’étira
Nathandra- Aujourd’hui, je ne vous ait pas convoqué pour m’abreuver de votre art… Mais pour vous montrer quelque chose et vous faire un cadeau !
Velrem- Un cadeau ?
Elle allait dire quelque chose, mais elle regarda derrière elle et se mit à rire, elle se retourna.
Nathandra- Je crois bien qu’il y a des indésirables ici, allez-y montrez-vous, je sais être une hôtesse respectable même envers ceux que je n’ai pas invités.
Derrière des buissons qui constellaient le jardin, deux sacrenuits, un homme et une femme, tout deux habillés en assassins avec les dagues qui vont avec. Qui sont dégainés d’ailleurs. Velrem a eu le reflexe de faire deux pas en arrière
Femme Assassin- Comment avez-vous ?... Peu importe ! Vous allez payez pour votre déviance et pour tous les hommes que vous avez torturés ici dans ce manoir sordide ! Vous êtes devenue une démone à force de cotoyez les démons !
Nathandra soupire
Nathandra- Des rebelles de Thalyssra, quel surprise…
Elle se tourne vers l’homme et se met à parler d’une voix envoutante et sensuel. Velrem commençait à sentir une sensation désagréable. L’homme semble plus affecté
Nathandra- Et toi que pense tu de ce qu’elle dit ? Suis-je si terrible que ça ?
Homme assassin- Je…
Nathandra- C’est les hommes qui viennent à moi, n’ai-je pas tort ? Ne suis-je pas désirable ?
Homme assassin- Et bien vous êt… Je… Je dois résister.
L’homme lâcha ses dagues semblant tremblé et se mis à se maintenir la tête, la noble pouffe de rire.
Femme assassin- NATHANDRA ! Immonde vermine !
L’assassin se jeta sur Nathandra qui ne bougea pas, mais un fouet enflammé s’étirant de derrière Velrem jusqu’à elle la stoppa. Elle se mit à brûlez en hurlant de douleur puis mourra. Le poète regarda derrière lui avec étonnement.
Une sacrenuit… Ou plutôt qui en était une, était derrière lui. La peau entièrement rouge et deux fois plus grande que la plus grande des sacrenuit, les yeux luisant d’une énergie gangréné, des mains griffus tenant deux grands fouets enflammés et ses jambes se terminaient pas des sabots.
???- Oh oh oh ! Trop fragile ! Je n’ai pas eu le temps de m’amuser !
Il réalisa tout de suite qui s’était en entendant ce rire, devenue démoniaque avec cette nouvelle apparence. Nathandra pointa du doigt l’homme qui hurlait.
Nathandra- Tu peux le tuer lui aussi, ma chérie, il ne nous serra pas utile, il tente trop de résister.
Elle tira son fouet vers l’homme qui s’effondra sans avoir pu réagir.
Velrem ne pouvait que rester bouche bée face à ce démon, qui répondit en faisant un rire caractéristique.
???- Oh oh oh ! Alors, ma nouvelle forme vous plait ? Les succubes ont mis du temps à appliquer l’idée de mère, j’avoue que moi, j’adore !
Nathandra se retourna à nouveau et écarta les bras. Le poète regarda les deux femmes tour à tour.
Nathandra- Voila le cadeau que je compte vous faire ! Pour toutes ces années de loyaux services !
Velrem- Je… Je… Mais…
Nathandra- Oh ? C’est la première fois que j’arrive à vous décontenancer ! Mon cher Velrem !
Il inspira, il repris son calme, dévisagea un instant Nijidra dans sa nouvelle forme, puis il fixa la noble, le plus sérieusement du monde.
Velrem- Je vous pris de m’excusez Dame Nathandra, mais ça ne m’intéresse pas.
Elle perdit son sourire
Nathandra- Pardon ? Vous refusez mon cadeau ?
Velrem- J’en suis fort désolé, mais rester ainsi me permet de réfléchir mieux à de nouvelles idées. Le pouvoir ne m’a jamais intéressé.
La noble en est devenue déconfite pendant plusieurs minutes, avant de dire avec fureur.
Nathandra- COMMENT POUVEZ VOUS OSEZ REFUSEZ MON CADEAU !
Le sacrenuit continua à fixer Nathandra. Celle-ci se calma.
Nathandra- Je…Vous êtes différents des autres hommes Velrem, vous êtes le seul qui êtes pratiquement imperturbable. Je me suis exercer durant ces trois mois, vous avez traversés ce manoir tant de fois qu’en les succubes sont présentes et je n’ai sentis aucun changement en vous, je ne sais pas comment vous faites, c’est pour ça que je vous…
Nijidra l’interrompit, cette fois sérieusement… Et surtout sans rire.
Nijidra- C’est peine perdu mère, tu le sais, il n’acceptera jamais notre cadeau.
Nathandra regarda le sol, dépitée.
Nathandra- Nous sommes face à un dilemme, Velrem. Les démons vont sûrement connaître votre refus. Je ne peux que vous jetez en pâture pour nourrir les armes de la Légion ou…
Velrem- … L’exile.
Nathandra hocha la tête positivement
Nathandra- Ce sera sans doute la dernière fois que nous nous reverrons. Adieu, mon cher Velrem
Vorkshar- Personnages Joués : Rasanar/Keldus
Re: Les Réflexions de Velrem
Le trajet fut assez humiliant. Des gardes étaient en train de l’escortez, pieds et poings liées par les arcanes. Dans la rue, sous les regards des habitants. Ce qui le surpris, c’était leur réaction. Il s’attendait a voir des moqueries ou des injures, on le prenait souvent pour le chouchou de Nathandra et ils n’avaient pas tort. De nombreuses fois, elle lui avait rendu service en retour de ces prestations.
Mais ce qu’il vit c’était de la tristesse, des regards détournés, comme si c’était désormais une habitude
Vers les jardins extérieurs, a un embranchement à droite et à gauche il entendit une voix démoniaque.
??-Halte !
De la droite, un garde funeste s’approcha avec deux gangregardes.
Garde-funeste- Que signifie ceci ? Je croyais qu’on avait dit dorénavant que les rebelles devaient être conduits par la mer, vers le sud-ouest !
Un des gardes dégluti, tentant de garder son calme face à l’imposant démon.
Garde- C’est… C’est Dame Nathandra qui nous a dit de l’exilé ! On… On a fait que suivre ces ordres !
Le garde-funeste regarda d’un œil circonspect Velrem.
Garde-funeste- Ah ? Vraiment ? Mmh…
Il semble prendre son temps pour réfléchir, la tension est palpable.
Garde-funeste- Nathandra va devoir donner des explications… Pff… Elle converti des sacrenuits à la magie gangrèné, elle nous est utile, alors j’ai pas envie d’avoir des ennuis avec mes chefs, on va dire que ça passe !
Il fait signe aux gardes crépusculaires de partir et ceci inclinent la tête, puis plusieurs centaines de mètres plus loin ils soupirèrent
Arrivè aux vestiges du dôme, ils poussèrent Velrem et dirent
Garde- Ainsi commence ton nouveau voyage… Et ton flétrissement.
Ces menottes se retirèrent et il regarda les ruines au loin, se demandant quel serait son avenir.
Mais ce qu’il vit c’était de la tristesse, des regards détournés, comme si c’était désormais une habitude
Vers les jardins extérieurs, a un embranchement à droite et à gauche il entendit une voix démoniaque.
??-Halte !
De la droite, un garde funeste s’approcha avec deux gangregardes.
Garde-funeste- Que signifie ceci ? Je croyais qu’on avait dit dorénavant que les rebelles devaient être conduits par la mer, vers le sud-ouest !
Un des gardes dégluti, tentant de garder son calme face à l’imposant démon.
Garde- C’est… C’est Dame Nathandra qui nous a dit de l’exilé ! On… On a fait que suivre ces ordres !
Le garde-funeste regarda d’un œil circonspect Velrem.
Garde-funeste- Ah ? Vraiment ? Mmh…
Il semble prendre son temps pour réfléchir, la tension est palpable.
Garde-funeste- Nathandra va devoir donner des explications… Pff… Elle converti des sacrenuits à la magie gangrèné, elle nous est utile, alors j’ai pas envie d’avoir des ennuis avec mes chefs, on va dire que ça passe !
Il fait signe aux gardes crépusculaires de partir et ceci inclinent la tête, puis plusieurs centaines de mètres plus loin ils soupirèrent
Arrivè aux vestiges du dôme, ils poussèrent Velrem et dirent
Garde- Ainsi commence ton nouveau voyage… Et ton flétrissement.
Ces menottes se retirèrent et il regarda les ruines au loin, se demandant quel serait son avenir.
Vorkshar- Personnages Joués : Rasanar/Keldus
Re: Les Réflexions de Velrem
Velrem se retrouva ainsi sur un sol qui n'a pas été foulé depuis des millénaires, c'était une sensation agréable au touché certes... Mais il regarda derrière lui. Il avait maintenant les pieds à l'extérieur de la cité. Les gardes qui l'avaient emmenez repartaient à leur poste, s'enfonçant dans la ville de Suramar qu'il a trop souvent vu. Un garde arcanique était à la bordure, observant Velrem. Il est programmé pour le tuer s'il tentait de franchir le seuil. Il n'allait pas lui offrir ce plaisir.
Il regarda derrière lui, voyant des ruines de ce qui était autrefois une partie de leur cité, détruit par le ravages du temps. Il s'y enfonça après avoir jeter un dernier regard à Sura-mar.
Après plusieurs heures de marche, il commençait à ressentir une sérénité. La fraîcheur du vent et les brises étaient revigorants. Pas de ville avec son brouhaha continuelle. Enfin, la tranquillité. Il fini par arriver à une ruine envahie par le lierre. L'endroit semblait paisible au milieu des arbres. Alors il se mit à s'asseoir sur un fragment de pilier et se dit que c'était un magnifique moment pour méditer.
Une fois ces trente minutes habituelle, il n'ouvrit pas tout de suite les yeux, profitant de cet instant de quiétude pour réfléchir.
Il a toujours vécu à Suramar, maintenant qu'il était sur des terres autres, lui donnait un sen-timent étrange... Il a toujours rêvé d'aller au-delà du dôme, mais maintenant qu'il y est...
Son attrait pour l'extérieur étaient pour narrer de quoi conter, mais dans la situation ac-tuel... A qui comptez ces histoires ? Suramar l'a rejeté. Il n'y a plus qu'un monde ravagée, sûrement sans habitants humanoïdes. Enfin c'est ce qu'on lui avait dit avant l'ouverture du dôme... Mais quand il vit cet orc et son regard sombre il y a quelques mois... Il savait que la vérité était encore plus terrifiante rien qu'à avoir croiser le premier spécimen.
Mais il sentait qu'il y avait des problèmes plus pressants... Avec lui même
Il avait vu les flétris et les souffrenuits, il ne sait pas en combien de temps arrive le proces-sus, mais il est rapide...
Sa reflexion fut troublé par un mouvement dans un buisson à proximité, il ouvrit les yeux et regarda autour de lui.
Velrem- Qui est là ?
Il attendit une réaction de la personne, au lieu de ça, un sabre sauvage se jeta sur lui, il ne s’attendait pas à voir une telle bête arriver sur lui
Il se retrouva à terre en train de se défendre, présentant ces bras aux assauts effrénés de la bête. Il se concentra lançant un unique projectile des arcanes, seul chose qu'il arrivait a bien faire a part allumez des bougies à distances.
Quoi qu'il en soit, le projectile arrivera dans les yeux de la bête qui eut un geste de recul qui lui permit de s'échapper de son emprise. Hélas cela ne semblait qu'être une gêne pour la bête. Ses bras étaient couverts de traces de griffures
Alors il tenta de prendre la fuite, la bête sauta sur son dos, le mettant ventre à terre.
Il attendait sa mort arriver, mais il entendit un bruit sifflant et la bête se mit à hurler, puis relâcha la pression. Il regarda derrière lui, il vit le sabre s'enfuir... Puis il sentit un souffle devant lui. Il se releva brusquement et recula en voyant un sabre blanc... Il vit alors qu'il était monté par une elfe qui était semblables aux portraits des sacrenuits avant leurs méta-morphoses. Mais elle était habillée différemment et avec un arc...
Une sauvage.
Celle-ci grommela.
Chasseresse- Décidément ! Vous les sacrenuits n'êtes que des touristes incapables de vous débrouillez hors de votre cité !
Velrem- Je vous remer...
Elle sauta du sabre et pris des bandages dans un sac, puis les enroula autour des bras du sacrenuit.
Chasseresse- Je ne fait que mon travail, laissez-moi soignez vos blessures, je vous emmène auprès des vôtres et vous vous débrouillez avec eux, compris ?
Velrem- Compris.
Il ne prit pas la peine de répondre, il voyait qu'elle n'était pas... disposée à discuter. Elle re-monta sur son sabre après lui avoir appliquer les premiers soins, puis elle lui indiqua de monter derrière elle. Il obéit sans discutez.
Le sabre se mit à courir à travers la forêt. Après trente minutes, il sentait qu'elle était moins énervée.
Chasseresse- Vous êtes beaucoup plus calme que les autres, tous ce que j’ai sauvés c’est des drogués hystériques qui voulait absolument revenir à leur “glorieuse” civilisation. Ah! S'ils étaient comme vous, je ne vous aurais pas accueilli comme ça.
Velrem- Hum... Oui, on m’a toujours parlez de ma nature calme. Je dois être une exception parmi les miens.
Chasseresse- Tsss... En tout cas vous êtes aussi orgueilleux que les autres, bien-nés.
Le reste du voyage fut silencieux, elle le ramena à côté de ruines, il vit au milieu de celle-ci au loin une sorte de fissure dans la roche. La chasseresse l’indique la fissure.
Chasseresse- Descend, les souffrenuit sont là, qu’ils voient comment gérer ton cas, mainte-nant ça ne me concerne plus, j’ai d’autres patrouilles à faire.
Elle fit signe de la tête de descendre, il s’exécuta et elle partit aussitôt.
Il regarda les ruines, puis la fissure. L’endroit semblait désert, mais il se doutait que c’était en apparence.
Il s’avança calmement et a proximité de l’entrée de la caverne, deux sacrenuits en armures le réceptionna des deux côtés de la fissure, armes dégainés
Garde 1- Halte ! Qui êtes-vous ?
Le sacrenuit leva les mains à la hauteur de sa tête.
Velrem- Mon nom est Velrem, je viens d’être expulsez de Suramar et emmenez ici par une kaldorei.
Une des gardes soupire
Garde 2- Ces sauvages pourraient être plus discrètes pour nous emmenez des civils…
Garde 1- Peut importe, ce nom ne me dit rien, vous pouvez ren…
???- Attendez !
La voix était celle d’un homme et familière. Les deux gardes tournèrent la tête et il baissa les bras, le sacrenuit sortit de l’entrée.
Il reconnu le visage, c’était Malnarin… Mais des traces de brûlures et des cicatrices parsemaient son corps.
Malnarin- Velrem a une liaison avec Nathandra, une noble gangrenuit, il n’a pas sa place ici.
Il écarquilla les yeux, ne s’attendant pas à une telle réaction.
Velrem- Mais… Elle n’était qu’une de mes clientes… De plus c’est elle qui m’a expu…
Le sacrenuit torturé serre le poing.
Malnarin- Ce jour-là je n’aurai pas dû vous sauvez ! Regardez ce qu’elle m’a fait !
Le poète ne pouvait que reconnaître que si c’était elle qui a fait ça, elle n’a pas été tendre avec lui… Il ne lui fallut que quelques secondes pour comprendre, mais Malnarin le devança.
Malnarin- Vous n’étiez pas au courant de ces réceptions n’est-ce pas ? Et bien en voici un survivant ! Ceux qui survivent à cette épreuve d’un soir sont expulsés ! Et vous êtes le favori de cette démente !
Velrem- Mais pas du tout je…
Malnarin- Arrêtez votre manège ! Elle vous a même fait un remède pour vous, le jour où je vous ait sauvé…
Garde 1- Mmh… Je crois que c’est clair à présent.
Les trois sacrenuits le regardèrent en fronçant les sourcils. Il hocha la tête
Velrem-Très bien, si vous ne voulez pas de moi, je vais donc vous laissez. J’espère que l’avenir sera meilleur pour Suramar.
Il s’en alla sans dire un mot de plus, il marcha une demi-heure au loin. Il vit une ruine à son goût, il s’asseoit au pied d’un mur à moitié détruit par le temps. D’ici il avait une vue sur la caverne des rebelles. Puis il ferma les yeux, comme toutes autres méditations, mais il savait que ce serait parmi les dernières.
Il allait flétrir, c’est une certitude, a quoi bon mourir dans un endroit désert pour devenir une bête sauvage ? Alors qu’il pouvait flétrir ici et les leurs qui le verrait pourrait mettre fin à son tourment. Une façon bien poétique de finir sa vie
Les jours passèrent, il resta la majeure partie de la journée, assit, à se remémorer le passé. Quand le besoin s’en était fait sentir, il alla chercher des fruits et des baies, pour se sustenter. Mais ce qui lui restait, il le consacrait à réfléchir.
Nathandra… Il n’éprouve rien pour elle, mais décidément, tout le monde croyaient dur comme fer à sa liaison avec elle.
Cependant il devait avouer que des ces premiers poèmes, elle était fascinée par lui, ça ne fait aucun doute qu’elle l’aimait. Hélas, il n’a jamais essayé de la lui dire, après tout il profitait bien du salaire qu’elle offrait.
Jour après jour, il sentit une soif qu’il ne chercha pas à assouvir : le mana. Mais il n’en prenait pas compte, il souffrait en silence. Il n’avait au bout d’un moment, plus aucune force de se lever. Alors il resta là, assis à méditer sur sa mort proche.
Il finit par entendre un bruit. Il ouvrit les yeux et vit Malnarin qui soupira, un fruit à la main.
Malnarin- Je ne sais pas pourquoi je fais ça, mais tenez, mangez ça.
Il s’exécuta, il se surpris à avoir des bras frèles, mais il empoigna le fruit et le mangea. Puis il ne ressentit plus le besoin de se sustentez en mana. Le sacrenuit s’en alla aussitôt tout en disant.
Malnarin- Quoi qu’il arrive dans les mois qui vienne, considérez-vous comme exilé de Suramar. Maintenant partez, vous n’avez plus rien à faire ici, poète.
Il regarda derrière lui, voyant des ruines de ce qui était autrefois une partie de leur cité, détruit par le ravages du temps. Il s'y enfonça après avoir jeter un dernier regard à Sura-mar.
Après plusieurs heures de marche, il commençait à ressentir une sérénité. La fraîcheur du vent et les brises étaient revigorants. Pas de ville avec son brouhaha continuelle. Enfin, la tranquillité. Il fini par arriver à une ruine envahie par le lierre. L'endroit semblait paisible au milieu des arbres. Alors il se mit à s'asseoir sur un fragment de pilier et se dit que c'était un magnifique moment pour méditer.
Une fois ces trente minutes habituelle, il n'ouvrit pas tout de suite les yeux, profitant de cet instant de quiétude pour réfléchir.
Il a toujours vécu à Suramar, maintenant qu'il était sur des terres autres, lui donnait un sen-timent étrange... Il a toujours rêvé d'aller au-delà du dôme, mais maintenant qu'il y est...
Son attrait pour l'extérieur étaient pour narrer de quoi conter, mais dans la situation ac-tuel... A qui comptez ces histoires ? Suramar l'a rejeté. Il n'y a plus qu'un monde ravagée, sûrement sans habitants humanoïdes. Enfin c'est ce qu'on lui avait dit avant l'ouverture du dôme... Mais quand il vit cet orc et son regard sombre il y a quelques mois... Il savait que la vérité était encore plus terrifiante rien qu'à avoir croiser le premier spécimen.
Mais il sentait qu'il y avait des problèmes plus pressants... Avec lui même
Il avait vu les flétris et les souffrenuits, il ne sait pas en combien de temps arrive le proces-sus, mais il est rapide...
Sa reflexion fut troublé par un mouvement dans un buisson à proximité, il ouvrit les yeux et regarda autour de lui.
Velrem- Qui est là ?
Il attendit une réaction de la personne, au lieu de ça, un sabre sauvage se jeta sur lui, il ne s’attendait pas à voir une telle bête arriver sur lui
Il se retrouva à terre en train de se défendre, présentant ces bras aux assauts effrénés de la bête. Il se concentra lançant un unique projectile des arcanes, seul chose qu'il arrivait a bien faire a part allumez des bougies à distances.
Quoi qu'il en soit, le projectile arrivera dans les yeux de la bête qui eut un geste de recul qui lui permit de s'échapper de son emprise. Hélas cela ne semblait qu'être une gêne pour la bête. Ses bras étaient couverts de traces de griffures
Alors il tenta de prendre la fuite, la bête sauta sur son dos, le mettant ventre à terre.
Il attendait sa mort arriver, mais il entendit un bruit sifflant et la bête se mit à hurler, puis relâcha la pression. Il regarda derrière lui, il vit le sabre s'enfuir... Puis il sentit un souffle devant lui. Il se releva brusquement et recula en voyant un sabre blanc... Il vit alors qu'il était monté par une elfe qui était semblables aux portraits des sacrenuits avant leurs méta-morphoses. Mais elle était habillée différemment et avec un arc...
Une sauvage.
Celle-ci grommela.
Chasseresse- Décidément ! Vous les sacrenuits n'êtes que des touristes incapables de vous débrouillez hors de votre cité !
Velrem- Je vous remer...
Elle sauta du sabre et pris des bandages dans un sac, puis les enroula autour des bras du sacrenuit.
Chasseresse- Je ne fait que mon travail, laissez-moi soignez vos blessures, je vous emmène auprès des vôtres et vous vous débrouillez avec eux, compris ?
Velrem- Compris.
Il ne prit pas la peine de répondre, il voyait qu'elle n'était pas... disposée à discuter. Elle re-monta sur son sabre après lui avoir appliquer les premiers soins, puis elle lui indiqua de monter derrière elle. Il obéit sans discutez.
Le sabre se mit à courir à travers la forêt. Après trente minutes, il sentait qu'elle était moins énervée.
Chasseresse- Vous êtes beaucoup plus calme que les autres, tous ce que j’ai sauvés c’est des drogués hystériques qui voulait absolument revenir à leur “glorieuse” civilisation. Ah! S'ils étaient comme vous, je ne vous aurais pas accueilli comme ça.
Velrem- Hum... Oui, on m’a toujours parlez de ma nature calme. Je dois être une exception parmi les miens.
Chasseresse- Tsss... En tout cas vous êtes aussi orgueilleux que les autres, bien-nés.
Le reste du voyage fut silencieux, elle le ramena à côté de ruines, il vit au milieu de celle-ci au loin une sorte de fissure dans la roche. La chasseresse l’indique la fissure.
Chasseresse- Descend, les souffrenuit sont là, qu’ils voient comment gérer ton cas, mainte-nant ça ne me concerne plus, j’ai d’autres patrouilles à faire.
Elle fit signe de la tête de descendre, il s’exécuta et elle partit aussitôt.
Il regarda les ruines, puis la fissure. L’endroit semblait désert, mais il se doutait que c’était en apparence.
Il s’avança calmement et a proximité de l’entrée de la caverne, deux sacrenuits en armures le réceptionna des deux côtés de la fissure, armes dégainés
Garde 1- Halte ! Qui êtes-vous ?
Le sacrenuit leva les mains à la hauteur de sa tête.
Velrem- Mon nom est Velrem, je viens d’être expulsez de Suramar et emmenez ici par une kaldorei.
Une des gardes soupire
Garde 2- Ces sauvages pourraient être plus discrètes pour nous emmenez des civils…
Garde 1- Peut importe, ce nom ne me dit rien, vous pouvez ren…
???- Attendez !
La voix était celle d’un homme et familière. Les deux gardes tournèrent la tête et il baissa les bras, le sacrenuit sortit de l’entrée.
Il reconnu le visage, c’était Malnarin… Mais des traces de brûlures et des cicatrices parsemaient son corps.
Malnarin- Velrem a une liaison avec Nathandra, une noble gangrenuit, il n’a pas sa place ici.
Il écarquilla les yeux, ne s’attendant pas à une telle réaction.
Velrem- Mais… Elle n’était qu’une de mes clientes… De plus c’est elle qui m’a expu…
Le sacrenuit torturé serre le poing.
Malnarin- Ce jour-là je n’aurai pas dû vous sauvez ! Regardez ce qu’elle m’a fait !
Le poète ne pouvait que reconnaître que si c’était elle qui a fait ça, elle n’a pas été tendre avec lui… Il ne lui fallut que quelques secondes pour comprendre, mais Malnarin le devança.
Malnarin- Vous n’étiez pas au courant de ces réceptions n’est-ce pas ? Et bien en voici un survivant ! Ceux qui survivent à cette épreuve d’un soir sont expulsés ! Et vous êtes le favori de cette démente !
Velrem- Mais pas du tout je…
Malnarin- Arrêtez votre manège ! Elle vous a même fait un remède pour vous, le jour où je vous ait sauvé…
Garde 1- Mmh… Je crois que c’est clair à présent.
Les trois sacrenuits le regardèrent en fronçant les sourcils. Il hocha la tête
Velrem-Très bien, si vous ne voulez pas de moi, je vais donc vous laissez. J’espère que l’avenir sera meilleur pour Suramar.
Il s’en alla sans dire un mot de plus, il marcha une demi-heure au loin. Il vit une ruine à son goût, il s’asseoit au pied d’un mur à moitié détruit par le temps. D’ici il avait une vue sur la caverne des rebelles. Puis il ferma les yeux, comme toutes autres méditations, mais il savait que ce serait parmi les dernières.
Il allait flétrir, c’est une certitude, a quoi bon mourir dans un endroit désert pour devenir une bête sauvage ? Alors qu’il pouvait flétrir ici et les leurs qui le verrait pourrait mettre fin à son tourment. Une façon bien poétique de finir sa vie
Les jours passèrent, il resta la majeure partie de la journée, assit, à se remémorer le passé. Quand le besoin s’en était fait sentir, il alla chercher des fruits et des baies, pour se sustenter. Mais ce qui lui restait, il le consacrait à réfléchir.
Nathandra… Il n’éprouve rien pour elle, mais décidément, tout le monde croyaient dur comme fer à sa liaison avec elle.
Cependant il devait avouer que des ces premiers poèmes, elle était fascinée par lui, ça ne fait aucun doute qu’elle l’aimait. Hélas, il n’a jamais essayé de la lui dire, après tout il profitait bien du salaire qu’elle offrait.
Jour après jour, il sentit une soif qu’il ne chercha pas à assouvir : le mana. Mais il n’en prenait pas compte, il souffrait en silence. Il n’avait au bout d’un moment, plus aucune force de se lever. Alors il resta là, assis à méditer sur sa mort proche.
Il finit par entendre un bruit. Il ouvrit les yeux et vit Malnarin qui soupira, un fruit à la main.
Malnarin- Je ne sais pas pourquoi je fais ça, mais tenez, mangez ça.
Il s’exécuta, il se surpris à avoir des bras frèles, mais il empoigna le fruit et le mangea. Puis il ne ressentit plus le besoin de se sustentez en mana. Le sacrenuit s’en alla aussitôt tout en disant.
Malnarin- Quoi qu’il arrive dans les mois qui vienne, considérez-vous comme exilé de Suramar. Maintenant partez, vous n’avez plus rien à faire ici, poète.
Vorkshar- Personnages Joués : Rasanar/Keldus
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