[Aventures] - Carnet de voyage d'Aestria Lunsilf.
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Carnet de voyage d’Aestria Lunsilf
Première entrée – Un bien vif départ en mer.« Le début de ma péripétie avec ses gens que j’ai pu rencontrer est loin d’avoir commencé comme je m’y attendais. Il y avait potentiellement un trajet sur les terres de Kul’Tiras vers une étendue mystérieuse, mais à la place, j’écris ses notes sur un navire voguant vers un point sur les mers. Pour présenté à de qui vous lirez ses notes, je suis Aestria Lunsilf. Voilà que je parcours les horizons afin de réglé quelques affaires depuis que l’Archimage Tallas à décidé que ce serait un bienfait pour mon parcours et mon expérience. C’est cela qui me mena à la citée surprenante de Boralus où la vie reprenait doucement depuis les derniers troubles de la Quatrième guerre qui désormais se tarît. Et c’est entre les miséreux et les voleurs que j’ai pu rencontrer mes compagnons.
Excepté Gimdal Fortepanse que j’ai pu retrouver sur le port de la citée de Hurlevent avant de partir, le Sombrefer jurant poursuivre la route à mes côtés pour y trouver peut-être quelques élixirs aidant à ses breuvages alcoolisés. Les autres furent autours du cabinet de soin gratuit du Docteur Vesanie Hudson qui s’occupa de Sorne Lavellan, un chercheur des étendu de Telogrus, ainsi que le vétéran devenu mercenaire Ben Iskander ayant jadis vécu à Theramore et à son image mais plus jeune, la Stromgardienne Roslyn Talbot. Nous étions sur le point d’accomplir quelques tâches en ville jusqu’à ce que nous tombe dessus la disparition de la sœur et le fils du Docteur Hudson parti en mer essayer de retrouver le navire du Père de Vesanie qui à jadis sombré pendant une expédition pour son rôle archéologique.
C’est sur cette tâche qui commence notre histoire, à la recherche de la mémoire du père Hudson, tout en laissant pour l’instant les affaires qui nous mèneront un jour vers Drustvar. Bien que peu envieuse de devoir parcourir si hâtivement une telle distance, la stratégie fut de passer une faille de Telogrus menant directement à Valgarde à la manière des méthodes de la Septième Légion grâce aux talents du chercheur des étendus Sorne. Cela serait épuisant, lessivant, mais peut être notre seul moyen d’atteindre le navire « L’Aurore Boréale » à temps. Nous sommes tous allés de nos préparations, jusqu’au jour où il était grand temps de partir.
Nous sommes retrouvés à la cave du Docteur Hudson, dont la demeure archéologique était sans-dessus-dessous à cause de la peur intense d’une mère dont l’avenir de son fils devenait de plus en plus incertains. Des affaires éparpillés un peu partout et une personne si sûre d’elle devenue alors une incarnation du doute tremblotant. Après quelques temps de retard pour nous retrouver, Ben arriva avec un Eaugure du nom de Joseph qui à défaut d’être un vieil ami était surtout soucieux de la méthode de déplacement. Valgarde avait à peine été prévenu puisque le Capitaine Stanislas Kortovin à bord de « l’Imperturbable Fortune » nous attendait au port local pour un voyage rapide sur les flots.
La faille du Vide jaillit, déchirant l’espace comme une plaie dans la réalité même qui nous fit tous horreur. Il était presque impossible à comprendre comment ils avaient bien pu parvenir à dompter une telle force tout en permettant aux troupes de l’Alliance et leurs attirails de bataille pouvaient bien être maniés. Fermant les yeux, avant de littéralement foncer dedans en laissant l’espace aux milliers d’étoiles apparaître le temps d’un clignement d’yeux. Le second clignement, c’était à cause du vent froid porté par l’étendu du Norfendre ayant perdu ses senteurs salés et l’absent de l’odeur forte de thé d’Hudson. A la place, il y avait l’activité habituel des locaux traînant leurs bottes ici et là dans le froid du Fjord où soldats et occupants finissaient leurs travaux du jour.
Moi qui pensait que notre voyage serait uniquement à pieds, le début commençait fort mal, mais après cette affaire nous pourrons revenir à Boralus et reprendre notre route. On ne peut pas dire que les locaux furent très joyeux de voir ça, une myriade de différentes armes entres fusils et arbalètes furent levés par les jeunes soldats en faction. Montrant rapidement que nous n’étions pas là pour leur faire quoi que ce soit de mal, l’officier en charge soupira d’agacement quant à la méthode utilité pour apparaître ici – ce en quoi je le comprenais amplement. Les badauds retournant à leurs occupations, nous nous sommes dirigés directement vers le pont où Stanislas attendant aux côtés d’un petit groupe de noble. Visiblement, il y à eu une dispute à cet instant car il avait détourné la croisière pour la noblesse Hurleventoise afin d’accomplir notre mission en se mettant quand même plein les poches. Définitivement, il ne perdait vraiment pas le nord.
Ainsi peut commencer notre premier jour de traversée sur les mers. Il était agréable, plus que je ne m’attendais à le vivre puisque habituée à une certaine solitude dans mes études et autres recherches, j’appréhendais un peu une vie auprès d’autant de personne avec tant de proximité. Lors d’un voyage sur la grand route, on peut se mettre un peu à l’écart, mais ce passage en navire aussi soudain qu’inattendu avait brisé ce code en se marchant un peu dessus sur le navire de Stanislas dont le pont était retrouvé ridiculement d’une moquette trempée par les vagues rendant très difficile les mouvements sur le pont. C’était pour plaire à la Noblesse, le navire de corsaire reconvertit en navire de luxe, parvenait à peine à faire en sorte qu’on ne pense pas que ce soit une coque de noix prompt à être brisée à la moindre tempête.
Joseph, l’Eaugure compagnon de Ben, fit hissé les eaux en avant dans une déferlante qui scinda le passage à toute vitesse en décuplant les capacités navales du bâtiment. Ce qui était au final notre projet initial pour parvenir à rattraper facilement l’Aurore Boréale qui devait jouir de ce genre de privilège, mais ayant prit un point de départ plus lointains. La journée sur les flots fut mouvementé d’un sauvetage de Sorne et Gimdal d’une jeune noblesse ayant jouer à la plus maligne en tournoyant sur une corde avant d’avoir faillit tomber dans les flots dans un petit cri de surprise. C’était presque distrayant, autant que devoir récupéré une poule dans les cuisines dont le chef, Barthimus, offrait un tonnelet de rhum contre qui parvenait à l’attraper. Le jeu cessa quand je l’attira là où Gimdal pu l’attraper grâce à quelques graines bien placées, cachés dans un coin où on ne pouvait qu’entendre les grognements forts puissants du cuisinier sur les marins de Kortovin ayant foutu des tables partout au sol.
La soirée s’acheva tranquillement à tablée auprès de Sorne et le Docteur Hudson qui reprenait des forces, on nous avait servit des pots de viande écrasée de différentes sortes faites pour tenir au corps et coupé la faim à défaut d’être vraiment goutu. Prenant à peine quelques cuillerées, Hudson alla dormir pendant que Sorne méditait dans un recoin. J’observais le long de la soirée ce navire depuis une hauteur, sous les vagues ronflement éloigné de Gimdal installé dans la vigie, Ben et Roslyn devaient avoir trouver un hamac quelque part pour dormir eux aussi j’imagine. Le calme d’un premier voyage en fendant les eaux vers notre destination. Je ne pouvais que me demander après tant de calme, discussions, préparations simples, qu’est-ce qui pouvait bien nous attendre une fois là-bas ? Car là où était tombé le navire du père Hudson, d’autres l’avaient rejoint à cause d’un problème habitant les lieux. C’était notre première épreuve en tant qu’équipe nouvellement formée. Et je ferais tout pour assister ceux que je dois parvenir à nommer naturellement « mes compagnons. » Jusqu’au bout. »
- Aestria Lunsilf
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Deuxième entrée – Malheurs sous les flots.« Le premier jour de voyage passa en laissant une grande nuit étoilée apparaître au dessus de nous, le plaisir de voir ce ciel étoilé naître au dessus de nous avant qu’une nouvelle journée n’apparaisse. L’imperturbable fortune , notre navire, continuant sa route jusqu’au triangle en espérant parvenir à atteindre l’Aurore Boréal avant qu’il n’atteigne sa destination. Quelques temps de repos et de conversations paisible, alors que nous étions tous sur le pont à des occupations différentes à bord, tandis que lentement l’obscurité prenait place sur les eaux mais aussi dans les cieux. Il était peut-être un peu tôt pour que la nuit tombe à vrai dire, et ce n’était pas une saine nuit agréable où on pouvait se permettre de commencer un repérage avec les étoiles, car dans les cieux ne se trouvait qu’une obscurité profonde où on ne voyait simplement, absolument, plus rien. Ça n’augurait rien de bon, tout le monde discutaient en se mettant en position de bataille, venant chercher rapidement leurs affaires de combat pour être prêt à la moindre problématique.
Toujours auprès de Joseph à la proue du navire, de la brume vint s’installer au milieu de l’obscurité nous empêchant d’y voir à distance, créant un véritable espace de non-vue angoissant qui avec Ben nous fit réalisé que le pire approchait. Des Kvaldir, des créatures hideuses issues des enfers où les massifs Vrykul du nord finissent à la mort pour revenir en harde maudite incarné par des algues puantes. Un puissant choc avait arrêté net le navire, cessant totalement de bougé en m’envoyant paître presque par dessus bord. Au début le calme était présent, c’était à la cale que l’ennemi frappait là où Sorne et Gimdal foncèrent pour repousser quelques Kvaldir massif sans armes. Je tirais à l’eau devant, pensant essayer de découvrir un Drakkar avec un de leurs sorciers de la brume, mais à la place hurla brusquement une créature des profondeurs qui s’était accroché à notre navire dans un cri de la malchance incarnée. Le pont était assaillit par les côtés, des montées d’algue créant des guerriers massifs braillant à la bataille à venir.
Mais ils furent autant opposés aux marins paniqués qu’à deux combattants habitués par les affrontements de la sorte, Ben était aussi habile sur un navire qu’un Tirassien bien entraîné, tandis que Roslyn strict et droite, les deux repoussant les Kvaldir avec quelques unes de mes aides en quelques tirs ajustés vers leurs adversaires jusqu’à les faire choir. Dans le navire, tout ne se passa pas comme prévu, si Sorne acheva les assaillants avec quelques effets de magie, c’est Gimdal qui découvrit que les nobles avaient été enlevés. Retrouvant la fenêtre de la cabine de Stanislas Kortovin ouverte et celui ci tout tremblant au sol en criant qu’ils sont sorti avec les nobles. La bête immense qui était responsable de notre arrêt essayait maintenant de faire passé ses tentacules sur le pont. Me voilà en train de tout faire pour que le navire fasse un mouvement sec sur le côté, afin de nous libéré de son emprise, puisque le Capitaine était parti tandis que les autres repoussaient ses hideuses tentacules par l’épée et les flammes. Un gémissement résonnant, elle céda, non sans recevoir l’ancre balancée par Roslyn en pleine poire avant de partir blessée et sonnée vers les profondeurs. Nous venions de perdre une partie de l’équipage, les innocentes victimes de la noblesse Hurleventoise. Et nous devions les retrouvés, surtout si cela nous menait à où la famille d’Husdon pouvait avoir été amené. La magie de Joseph autant que la lumière de Vesanie cessant d’être bloqué par la vieille malédiction suivant les Kvaldir, l’Eaugure prit quelques heures pour retracer la piste du jeune Kraken.
Le temps était long, lourd, la tension palpable surtout que dans un lieu aussi isolé il était improbable de trouver efficacement l’Aurore Boréale. Il était même possible à ce moment là qu’il fut sombré, et le prendre quelque chose à manger, de nous requinquer, avant que Joseph n’ait pu clairement tracer un lien. Ce n’était pas si loin que ça, et il accéléra encore plus ce qui faillit nous balancer à la mer au passage tant le navire fut envoyé en vitesse vers la bonne position. C’était soudain, net, et nous voilà au milieu de nulle part. Pour être franche, j’espérais au moins me retrouver face à un vieux temple au dessus des eaux, une île, mais rien. L’horizon, et la certitude que tout ce qui nous attendait se trouverait en bas. La seule raison pour laquelle ça nous était accessible, fut la bonne idée de Ben de faire venir son ami l’Eaugure Joseph qui pu nous bénir afin de pouvoir respirer dans les flots, et nous mouvoir bien plus aisément.
Les plus envieux d’y aller furent Ben et Gimdal sautant rapidement en nous laissant plus hésitant derrière avant de commencer à plonger vers les eaux. C’était fort peu visible, mais au fur et à mesure de l’habitude et des lueurs lointaines, on commençait à apercevoir au milieu de tout ça quelques roches, des algues immenses, et des vieilles ruines à perte de vue. Notre destination était entre deux demeures, un Parle-Tempête Kvaldir se concentrait en laissant jaillir un véritable tourbillon autours de lui le protégeant des intrusions. Six Kvaldir sortirent d’une demeure en constatant qu’un navire était maintenant au dessus d’eux. Le plan fut rapide et simple : J’assisterais Vesanie en arrière garde pour nous assurer que personne ne parviendrait jusqu’en haut pendant que Roslyn et Ben s’opposeraient à eux. Gimdal et Sorne quant à eux avait pour mission de retrouver les disparut, et partirent dans les flots en vitesse. De notre côté, la fureur des Kvaldir se déversant en vitesse vers les deux combattants préparés, je profitais de cette ruée aveugle pour offrir l’initiative à mes camarades : Même si je n’avais pas accès à mon fusil, les runes telluriques maniées marchèrent et la nova de givre fut particulièrement efficace sous l’eau. Les Kvaldir coincés tentèrent de s’échapper du givre glacial, et mes camarades purent néanmoins en profiter pour les abattre très efficacement. Le plus fort et massif doté d’une énorme hache se libéra dans le dos de Roslyn, qui venait de pourfendre celui qui jetait des harpons en se préparant à la trancher en morceau.
Trop tard pour les runes, et ne pouvant pas tirer, je me mis sur le même chemin en sacrifiant mon fusil pour parer le choc. La douleur apparut dans mes bras, et je pus lui gelé le visage d’un légère effet suffisamment longtemps pour que Roslyn le décapite. Mon fusil était en piteuse état, mais ce n’était pas fini. Ben luttait contre le Parle-Tempête en essayant de traverser son bouclier tourbillonnant, profitant de l’instant pour créer suffisamment de rune pour préparer une dissipation autours des effets d’énergie autours de lui. Sa puissance fut ôtée, il fut percé par Ben et Roslyn de toute part, le casque et une partie de la tête défoncée. Propulsant Ben ailleurs, et luttant avec Roslyn, les deux combattants subirent bien des chocs jusqu’à ce que le canon de mon arme ne se trouve dans la fissure de la lame de mon camarade avant de tirer. Le canon éclata, avec la tête, la munition Fendre-Foudre surchargée dévastant l’adversaire en piteuse état en condamnation mon arme à une réparation difficile. L’adversité vaincue, Vesanie s’occupait de Ben inconscient étalé au fond de l’eau contre le sable en venant le soutenir. Le combat avait été éreintant, et je fis Gimdal sortir et foncer en direction d’un navire en ruine plus loin. Sorne et lui avaient découvert les nobles et avaient pu les transposés vers le navire rapidement au dessus de nous, ayant défait leurs geôlier efficacement ayant l’effet de surprise. Mais la famille Hudson manquait à l’appel.
Le navire écrasé au fond de l’eau était de facture Tirassienne, ses flancs avaient été ravagés par les tentacules massifs du Kraken, un peu plus loin des ruines. Ma première réaction en urgence fut d’aller rapidement observer le flanc du navire pour y voir le nom que je ne souhaitais y découvrir, et qui pourtant ornait le flanc du bateau : « L’Aurore Boréale. » Il était déjà au fond de l’eau, brisé, les corps des courageux marins étaient au milieu des débris dans la carcasse du bâtiment. Recherchant avec Gimdal et rapidement rejoint par les autres, j’ai pu directement atteindre la cabine du Capitaine où je pensais qu’il y aurait au moins des traces en m’attachant à l’espoir de trouver une malice pour les avoir laissés vivant. Quelque chose, quoi que ce soit, je priais que la logique élémentaire ait été que les Hudson soient vivant. La réalité me frappa amèrement, découvrant leurs corps enlacés dans une dernière étreinte maternelle si paisible.
Il y avait de la paix, dans la réalisation ultime où elle le prit contre elle comme son propre fils avant que les hideuses créatures ne se déchaînent sur eux avec leurs lances. J’ai pu récupéré leurs médaillons afin de les remettre à Vesanie, brisée par ce que nous venions de découvrir. Roslyn la fit remonté pendant que Gimdal sortait les corps afin qu’ils aient un enterrement décent, tous rejoignaient de nouveau l’embarcation en s’occupant de la fatigue, des blessures subies, je laissais pour ma part choir au sol mon fusil brisé par l’affrontement contre les Kvaldir avec une forte amertume ayant perdu un précieux compagnon de combat pour une quête déjà perdue d’avance. Ben se disputait avec le Capitaine Kortovin, il avait récupéré une corne d’appel et Gimdal se tenait plus loin avec celle ci, prêt à la faire sonner pour faire venir le jeune Kraken blessé afin d’en découdre définitivement. La conversation était difficile, l’Eaugure était clairement du côté de Ben qui ne voulait pas que la mort des Hudson soit vaine tout en laissant ce fléau, cette malchance incarnée, continuer ses meurtres dans les mers.
Mais Gimdal trancha, sans signal, il fit soufflé la corne et vint vers le navire. Le grondement déchirant de la créature nautique résonna avant qu’elle n’apparaisse au loin. J’étais déjà en train de préparer d’innombrables runes telluriques dans les airs en vu d’un sort puissant alors que les bordées de canons ne cessèrent de frapper. Tous s’appliquaient à défendre le navire. Sorne était à la cale en train de protéger le bateau grâce à un bouclier des arcanes minutieusement préparée. Les chocs des canons, du sort que je déployais et des efforts déployés laissant une faille pour que Ben et Gimdal se ruent dans la plaie béante pour l’achevé. Les cris de victoires résonnèrent au milieu de la fatigue des marins, la peur s’échappant lentement, ne laissant que le goût de la victoire sur les profondeurs. Il était temps de partir, après le pillage de la bête par les marins et mes camarades, avant de faire route vers Boralus pour quelque jour sur les mers supplémentaires. Puisse l’âme des Hudson être apaisée maintenant, mais je ne peux que me demander encore ce qu’était le « Sang du Père » dont parlait les Kvaldir, et si ceux ci n’essayeraient pas de nous retrouver pour se venger maintenant. »
- Aestria Lunsilf.
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Troisième entrée – La volonté d’une Tempête.« Une journée de repos sur les mers ne fut pas suffisante pour apaiser entièrement la peine subie par ce que nous avions découvert dans les ruines de l’Aurore Boréale. Vesanie resta dans sa chambre en mangeant à peine, si ce n’est pas du tout, et il était impossible de parvenir réellement à apaisé son chagrin. Cela dit, ce n’était de toute façons pas en une journée sur la mer en destination de Boralus qui allait la remettre d’aplomb, et nous traversions à peine la deuxième sur trois jours de route plus rapide encore grâce à Joseph, l’eaugure ayant hâte de retrouver le Monastère Chantorage. Et après la rencontre avec les Kvaldir, c’était compréhensible. Cependant, tout ne fut pas aussi aisé qu’attendu, alors que la journée petit à petit s’achevait alors que tout le monde discutait sur le pont, un vent inattendu souffla. Les voiles furent ramenés au grand étonnement de Ben qui alla directement discuter avec le Navigateur, assurant que nous pourrions prendre les vents en notre faveur en détournant un peu notre route.
Mais là où la tactique des marins aurait pu permettre de ne pas devoir presque faire halte à cause de la fureur des vents, il y avait là l’assurance de quelque chose de parfaitement surnaturel. Les nuages sombres s’étendant à l’horizon étaient loin d’être due aux caprices de la Terre Mère sur les étendues célestes, l’Eaugure y percevant clairement l’ouvrage d’un maléfice fait pour serrer le piège : Les vents menaient vers une destination toute autre, comme une invitation à suivre, et sans cela nous serions balancés à l’intérieur d’une tempête déchaînée en ayant perdu l’avantage des vents pour nous fracasser à la moindre vague. Notre coque de noix n’y résisterait pas. Mais Ben était bien volontaire à accepté l’invitation et brailla quelques ordres pendant que Gimdal grimpait en vitesse sur le nid de pie tremblant où le jeune vigile semblait parfaitement paniqué. Le mouvement puissant du navire changeant d’orientation fit quelque peu naître le chaos ici et là, Sorne essayant de se déplacer sans choir dans les flots alors que Roslyn se tenait comme elle pouvait.
Le mât principal chutant brusquement entièrement là où Ben demanda qu’une partie de la voile dans un grand craquement du tissu. Nous voilà avec une de nos voiles en piteuse état, plus une gène maintenant qu’autre chose. Une mer énervée est une adversaire des plus redoutables pour un vaisseau fragile, les nobles hurlant furent mit en sécurité avec le Capitaine Kortovin qui, j’espère, ne s’amuserait pas à les livrés une deuxième fois pour sa propre survie. Les dizaines de minutes passèrent à fendre les flots, Gimdal hurlant à chaque fois que la houle montait dangereusement tandis que Roslyn amenait des blessés ou s’en occupait d’elle même tant la mer était agitée. Sorne préparait quelques gravures pour que sa magie soit tissée rapidement. Nous nous préparions alors au pire. Et le pire arriva à nous.
La balise de lumière visible au loin fut découverte en premier lieu par Gimdal. L’invitation des vents furieux nous menaient droit vers une destination encore vague qui se rapprochait néanmoins petit à petit. En avançant vers notre cible, le Sombrefer annonça qu’à sa grande joie de nain de sous la montagne, terre était en vue. Ce n’était pas là l’avant d’un continent ou d’une des vastes îles, mais plutôt un peu de terre au dessus de l’eau avec quelques hauteurs rocheuses et un peu de forêt après le sable. C’est au dessus que la lumière, qui était alors décrite comme une sphère blanche d’une pureté incroyable attirant les vents avant que cela ne monte vers les airs comme un chant montant vers les nuages. Un des navires se tenait sur l’île, mais il ne fut pas annoncé rapidement, et pendant les dernières manœuvres et les soins de ceux bien atteins par les chocs à force de subir la mer. Et c’est alors, qu’une pleine préparation à une manœuvre vers la position lointaine, sortirent des flots deux Drakkar.
Les vaisseaux n’étaient pas bien grand, quittant les eaux comme des âmes hantant les mers recouvrant d’algues et autres déchets des fonds marins. Les Kvaldir hurlaient et riaient en agitant des haches et des harpons déjà projetés vers nous, rattachés à des chaînes d’aciers pour se tracter à nous et aborder notre embarcation. Cette fois, ce fut une attaque navale directement, Ben restait à la barre pour poursuivre les manœuvres tandis que Sorne se trouvait à ses côtés. Roslyn quittait l’intérieur alors que Vesanie était en train de soigner les blessés, Gimdal bondit rapidement de là haut afin de retirer les harpons nous agrippant déjà. A vrai dire, un des navires ne fut pas long feu, puisqu’il se fit littéralement passé dessus par une manœuvre audacieuse brisant le Drakkar en deux en progressant à l’intérieur de lui. Les survivants parmi les spectres des algues bondirent pour essayer d’atteindre le pont et surtout leur cible : Joseph. Essayant de continuer sa manœuvre pour mettre l’autre Drakkar en ligne, ceux ci s’étaient harponnés au dos du navire et nous suivaient à la trace. Notre bateau fonçant vers l’île, un Harpon pu étrangement parvenir à se planter contre la barre du gouvernail en nous empêchant de nous mouvoir.
Quel précision ! Mais le vent soufflait étrangement, et Ben très agacé bondit à l’eau, ou du moins, utilisa une des chaînes pour se faire glisser jusqu’au Drakkar qui venait de recevoir une grande explosion d’un sort enflammé de Sorne. Il taillait son chemin à coup d’épée alors que je tirais vers ceux attaquant Joseph, Roslyn parvenant à terrassé ses adversaires plus ou moins efficace. Les Kvaldir fut vaincu rapidement, même à l’intérieur, et Joseph pu faire revenir d’un coup Ben du Drakkar brisé après qu’il ait affronté étrangement un élémentaire des vents qui avait pu apparaître face à lui. Notre navire avançait trop vite vers le rivage, Gimdal retirant le harpon brusquement pour permettre à Ben de faire tourner le navire rapidement pour qu’il s’écrase dessus un peu moins fort. Nous y étions arrivés, néanmoins, c’était pour atteindre le comité d’accueil.
La sphère était d’une matière que je n’avais jusque là jamais vu, comme si des nuages eux même l’avaient formés, et l’élémentaire au bracelet brisé se tenait devant en agitant doucement les bras comme si il canalisait quelque chose à travers la sphère. Un puissant Kvaldir se tenait devant, deux de ses camarades portant comme lui des armures anciennes se collant aux algues comme des ajouts de peau les rendant encore plus massif. Tout le monde descendait petit à petit, même Vesanie qui avait quelque chose d’inquiétant dans le regard. Comme une cruauté prononcée extirpant toute tristesse de ses traits. Le Kvaldir hurla, parlant de sa vengeance pour ce qu’il s’était passé dans les eaux où les siens préparaient un rite pour obtenir le Sang du Père, sûrement aussi pour le fils d’Ozumath qui fut tué pour libéré la contrée navale de ses assauts. J’ignore ce qui à bien pu se produire, mais il avait pu en quelque sorte pactisé avec une entité dont la voix résonnait en échos comme du ciel depuis la percée produite par la sphère, évoquant le nom de qui était destiné à être chassé par les Kvaldir avant tout : Ben Iskander.
Le pauvre avait visiblement deux faction entière derrière lui, Gimdal essayait d’assaillir directement les opposants en se fichant de la palabre et fut renvoyé brutalement par terre dans le sable. La seconde fois où il chargea avec beaucoup trop de témérité à mon goût, puisqu’il manquait la concordance avec les actes de ses alliés, cette fois la plus part suivirent. Ben alla frapper de l’épée contre celui avec un fléau d’arme pendant que Roslyn luttait face à celui que Gimdal combattait, les deux opposants le prenant de deux revers, il fini par être égorgé après avoir bien malmené les deux compagnons. Personne n’ayant été s’opposer à celui dont la Tempête répondait à son appel, la foudre s’écrasa sur Sorne et Vesanie, en les envoyant brusquement au sol. Je paralysais d’une couche de givre l’opposant que Ben avait mit au sol, ce dernier fonçait vers la sphère en essayant de comprendre ce qui pouvait être produit avec le lien possédé entre ses bracelets, l’héritage de son père, et la dite sphère.
La voix fut nommée par le Kvaldir, Lentrefakt, un élémentaire des vents désireux de mettre la main sur l’héritage des Iskander : Les bracelets d’Yshran. Quelque soit la nature de cet héritage, de ce lien, ils parvinrent à empêcher la sphère d’invoquer celui qui souhaitait descendre ici même alors que les élémentaires ayant voulu la défendre furent révoqués pour la plus part. Partant en vitesse dans les cieux, disparaissant au firmament, il ne restait que Vesanie qui se déchaînait. Usant des pouvoirs de l’ombre d’une intensité si brutale que cela m’inquiéta moi même, mais la mort des Kvaldir apaisa au moins cette envie de faire souffrir pour qu’elle reprenne son calme. Stanislas nous attendait pour reprendre la mer, et nous nous sommes hâtés de remonter maintenant que les signes du vent et de la Tempête s’atténuaient petit à petit. Finalement, nous pourrons rejoindre Boralus sous peu, et peut-être que bientôt notre voyage vers Drustvar pourra commencer. »
- Aestria Lunsilf.
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Quatrième entrée – Le mensonge de Lapierre« La ville, les locaux errants un peu partout, la vie commune des habitants de Boralus ne ressemble vraiment pas à toutes les autres citées et la grandeur de Dalaran en viendrait presque à me manqué. Notre navire à accosté la citée principale de Kul’Tiras il y à peu et rapidement nous sommes retournés à nos activités. Sorne est rentré à la Faille de Telogrus pour y rester afin de continuer ses études, tandis que Gimdal se mettait rapidement au travail sur mon fusil. Pour ma part, j’ai continuer à travaillé le livre que je dois écrire sur les Runes telluriques et mon fusil pour le Kirin Tor, et notre affaire concernant le Terne Maux en Drustvar ne commence hélas pas encore. Mais ce n’est pas une raison pour ne rien faire, et alors que nous discutions avec nos compagnons réuni à une tablée en ville, il fut décidé de s’occuper d’une des affaires récupéré de la part du crieur publique : Aller discuter avec un Père de famille nommé Magret Lapierre voulant la sécurité de son fils, Baptiste Lapierre, qui semble vouloir rejoindre l’Église de la Lumière auprès de quelques prêcheurs en ville venu avec assistance de l’Alliance.
Après quelques discussions, nous avons traverser une partie de la ville en pleine activité où les pêcheurs amenaient leurs poissons, les marchands criaient pour amener des curieux et quelques visiteurs erraient avant que tout ne cesse depuis le recoin sordide où nous attendait Magret. Le Père était un homme massif, barbu, dans une tenue de simple citoyen installé à côté de l’enseigne de l’auberge « Boire à l’œil », tenue par une vieille femme borgne exécrable. Gimdal s’installa à la taverne pour commander une chope, dont le goût parait-il était particulièrement odieux en payant sa chope d’une pièce d’or. Ce qui était vraiment trop élevé, se permettant sûrement grâce à la vente de l’œil de Kraken. Le Père nous expliqua que son fils visiblement été rentré involontairement d’un problème avec des bandits se faisant passé pour des Prêtres de la Lumière, et voulait le faire sortir de là rapidement.
Nous indiquant l’emplacement de la délégation, il parti finalement, et Roslyn elle guettait les deux étranges personnes avec qui il discutait juste avant, suspicieuse. Gimdal s’était attiré des problèmes après s’être isolé et avoir montré beaucoup d’or, et nous l’avons récupéré en plein lynchage par des « videurs » de l’établissement. Il fut récupéré par intimidation pour ne pas avoir à déclenché une bataille en pleine auberge, risquant de beaucoup nous desservir en cas de rixe, et nous avons pu partir tous ensemble en ayant déjà quelques doutes sur les lieux. Mes camarades se faisant déjà des idées sur la situation, mais maintenant, il fallait aller à la rencontre de Baptiste Lapierre afin de découvrir si il était vraiment dans une position très peu confortable.
Un lieu visiblement isolé et accessible par un pont menant à une petite bâtisse sur l’eau installé sur des ponts, avec quelques intérieurs simples et des nombreux drapeaux de l’Alliance et de l’église de la Lumière. Au loin, on pouvait déjà voir plusieurs des Prêtres aux côtés de la populace curieuse et autres visiteurs de l’Alliance décidé à honorer la lumière ou simplement la comprendre. Baptiste devait se trouver ici, et certains avaient plus envie d’enquêter sur les lieux en mettant le fils en sécurité. Tout le monde fit route vers l’intérieur après une discussion simple avec deux gardes habillés des tenues régulières dans les armées de Hurlevent, qui devinrent suspicieux en apprenant qu’on cherchait Baptiste pour lui parler.
Gimdal resta avec les deux gardes pour parler de son côté et fut confrontés aux premières difficultés. Depuis quelques jours, ils étaient informés que pas mal de problèmes se déroulaient dans les souterrains de l’endroit concernant des trafiques et Gimdal fut mit aux arrêts par un fantassin pendant que l’autre fila chercher son capitaine pour annoncer que le « coup tant attendu » allait avoir lieux. Finalement, il pu convaincre celui qui le tenait au sol qu’il y avait trop d’incohérence dans cette situation, le relâchant en parvenant à nous prévenir du temps qui était compté. Roslyn passa un temps avec Erethir à observer la foule principalement, regardant les environs en observant le jeune paladin se tenant sur les hauteurs qui surveillant que tout se passait bien dans une armure magnifique. Les locaux étaient en pleine prière, la Lumière baignant les environs alors qu’après le petit rite, Erethir pu discuter avec le vieux Prêtre dirigeant l’office en remettant ses lunettes rondes pour en savoir plus sur la situation. Les informations se recoupèrent avec ce que Ben et le Docteur Hudson découvrirent au scriptorium.
Là où ils entendirent parler, auprès de Maud, une jeune Prêtresse qui causa une crise de nerf au pauvre Ben à cause de son excès de joie de vivre. Il y avait visiblement un gros bonhomme qui depuis quelques jours était arrivé en cachant son visage en disant qu’il était difforme et voulait être utile au Clergé malgré son visage hideux, s’occupant des affaires lourdes et des caisses. Eux eurent un livre de compte des marchandises amenés comptant des cierges et autres utilitaires apportés par une barque appartenant à l’établissement du « Boire à l’œil », l’établissement malfamé où Magret nous avait reçu. Cela se recoupait bien avec les découvertes d’Erethir sur la situation et Gimdal arriva en cherchant en vitesse où pouvait se trouver Baptiste. Un peu rapidement, il fila vers le bas-étage où Ben était tombé sur des « dockers » surpris. Et la situation dérapa très rapidement.
Ben avait bien essayer de discuter avec les dockers pour gagné du temps, jouant des fanatiques de la Lumière un peu ivre alors qu’ils installaient des caisses, mais Gimdal dans un coup de rage les attaqua d’un coup en faisant totalement éclaté la situation. La menace pour les prêtres était l’arrivée d’un Capitaine bouffi d’orgueil et de colère qui je cite « à passer la plus part de sa carrière à tué de l’Orc plutôt qu’à aider des gens », arrivant avec pour idée de mettre aux arrêts tout le monde. Erethir discuta rapidement avec Baptiste Lapierre, qui était simplement le jeune Paladin en armure d’honneur servant de protecteur pour les lieux. Les deux foncèrent vers le bas des réserves pour retrouver Gimdal et Ben faisant un vacarme assourdissant alors que des flammes léchaient les lieux par le souffle enflammé du brasseur. Roslyn négociait avec le Capitaine, le retenant suffisamment longtemps pour que Vesanie arrive avec Maud et un grand ouvrage où se trouvait la liste des preuves incriminant les dockers affrontés par nos compagnons. Grâce à ça, les Fantassins purent accourir à nos côtés en dévalant les grands escaliers en arrivant dans une scène burlesque. Ben était à couvert derrière une grande caisse où un filet était installé alors que Gimdal avait été touché par un lance-filet et se débattait par terre en lançant tant de juron que si il s’agissait d’arme contondante, il aurait écrasé tout ses adversaires grâce à ça.
Le premier Fantassin reçu un filet en plein torse, l’envoyant s’écraser dans l’eau en coulant à pique à cause de son armure lourde de plate, Erethir fonçant dans sa direction pour essayer de l’empêcher de se noyer en le surélevant de plus en plus hors de l’eau grâce à la magie arcanique. J’essayais de délivré quelques tirs pour soutenir tout le monde, mais de toute façons avec l’arrivée du jeune Paladin et des fantassins fonçant à l’assaut des brigands ayant installé toutes les réserves de contrebande pour faire accusé les Prêtres d’être des faux-membre de l’Église de la Lumière, nous avions au moins triompher d’avance ici. Roslyn descendit avec Vesanie qu’un peu plus tard, Ben avait contourner sur les flancs en bondissant sur la barque où le massif Prêtre à capuchon qui perdit celui ci, révélant être Magret Lapierre depuis le début, essayant de faire tomber son fils dans un piège pour qu’il rejoigne à la place son cartel plutôt que l’Église.
Gimdal avait raccrocher la corde, Roslyn tirant fort dessus pour la ramener afin de récupéré notre « employeur » qui fit assommé par les efforts de Ben, l’excès de violence de Gimdal, et un trait arcanique d’Erethir. Remis aux mains des forces de l’Alliance, il ne serait peut-être pas pendu, car à la vue de son fils c’était tout de même une peine déjà immense de voir son Père l’avoir trahi. Alors si il faut le voir mourir en plus de ça, c’était bien plus rude encore. Prenant le temps d’aider à éteindre le feu, calmer Gimdal tenu par trois fantassins au sol à cause de son coup de sang, cette petite tâche s’achevait. Cependant, la drogue était visiblement une des denrées vendues par un certain « Tire-Sourire » dont Magret devait être un des laqués, agissant dans le sud de la rade. Ce qui pouvait être une de nos tâches, avant d’atteindre Drustvar, pour nous occuper du Terne maux. »
- Aestria Lunsilf.
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Carnet de voyage d’Aestria Lunsilf
Cinquième entrée – Dans la cave de Madame Irma.« Voilà une semaine que nous nous occupons en Boralus. Hudson se repose depuis le choc sévère vécu sur les mers, et chacun s’affairaient à leurs activités quand ce n’était pas simplement sortir de cage après que Gimdal se soit jeté dans un débit de boisson, le « Boire à l’œil », pour se venger quelque peu de ce qui se déroula chez les membres de l’église de la Lumière. Pour partir correctement vers Drustvar où le Terne Maux nous attends, il restait encore deux affaires et ce qui intéressa mes deux compagnons disponible ce soir là fut d’aller rendre visite à Madame Irma pour s’occuper des problèmes à l’intérieur de sa cave. Si la mission à pu me parvenir, c’est que ce n’était pas nécessairement une tâche anodine, et nous nous y sommes rendu avec Erethir et Roslyn, les autres malheureusement occupés.
Nous sommes alors parti rejoindre la demeure de la dite Dame qui se trouvait dans un recoin isolé des beaux quartiers de la ville. Lentement, les discussions de tout les passants racontant leurs dernières nouvelles se tarit pour laisser à la place venir les sonorités du vent s’engouffrant dans des ruelles plus simple de Boralus. Alors que nous marchions proche de la dite demeure, sur le point d’arriver après une petite marche, Roslyn faillit choir brusquement. Il y avait au sol une sorte de toile blanche bien trop intense pour ce que c’était, et elle disparue dans les airs comme si elle n’avait jamais existé. L’odeur puante, les grattements, auraient pu être des pistes pour en savoir plus. Mais décontenancés par l’état de la ruelle, nous nous sommes hâtés vers la maisonnée. Celle ci était visiblement en deux phases : L’extérieur où de nombreuses plantes laissaient planés une odeur très agréable et une dizaine de bourgeois savouraient des concoctions aux effets différents tout en partageant des pâtisseries apportées par une jeune femme plantureuse.
Et à l’intérieur, il s’agissait d’un lieu pour traité les empoisonnements et les maladies par des remèdes naturelles très efficace amené par une maîtrisé de l’herboristerie vraiment avancée. La jeune fille vint à notre rencontre, mais elle fit tombé son plateau d’argent en entendant que nous étions là pour l’affaire de la cave avant de partir en vitesse vers l’intérieur. Erethir et Roslyn voulurent suivre, mais un des nobles installé vint nous expliquer en vitesse ce qu’il se passait à l’intérieur et pourquoi un tel étonnement : D’autres avaient déjà essayer une telle péripétie et n’en aient jamais revenu, la Garde ayant pour l’instant proscrit le voyage à l’intérieur, cette tâche n’était plus censée être officielle. Rendant confus le fait que j’ai pu récupéré le dit parchemin, et à cet instant là, Dame Irma arrivant, il y avait quelques doutes sur l’idée que le Kirin Tor s’intéressait à cette cave, et pour une raison que nous étions sur le point de découvrir.
Une femme âgée, l’air impérieuse et pourtant ayant au fond de la pupille une envie clair de voir ceux qu’elle observe être simplement bien portant, la noble dame de Kul’tiras avait tout l’aspect d’une femme puissante et protectrice. La conversation débuta par la certaine confusion sur notre présence ici en nous suggérant avant tout de partir pour ne pas partager un sort sinistre, que ce soit nous ou des gardes, aucunes vies à ses yeux ne méritaient essayer de rentrer là dedans. Sous les arguments fournis, le procédé fut simple : Si nous ne sortions plus de là, alors elle serait même en droit de scellé ce lieu, dut-elle le faire s’effondrer entièrement et sa demeure avec. Nous amenant jusqu’à la cave en tirant une de ses clés, sous le regard de la servante inquiète, le tort fut de laissé une personne civile ouvrir les portes d’elle même quand ce fut déverrouillé.
Le passage était comme une gueule béante remplie de toile et autre tissu blanc, et le temps d’y aller, elle fut happée à l’intérieur dans un cri sinistre en disparaissant dans l’obscurité. La jeune fille hurla, de nombreuses personnes venant voir ce qu’il se passait, mais il fallait se hâté maintenant. Roslyn s’engouffra en premier en tirant l’épée, tranchant avec l’aide de l’infusion des arcanes d’Erethir dont le bâton servait avant tout à illuminé les environs pour y voir quelque chose sans pour autant mettre le feu au toile ce qui nous aurait tous transformés en cendre au passage. Des couloirs et des couloirs menant ici et là, nous avons pu suivre la trace du passage de ce qui avait amené Dame Irma à l’intérieur pour essayer de la retrouver grâce à quelques toiles cassés, bien que la vitesse était aussi notre priorité pour ne pas qu’il lui arrive quoi que ce soit. Heureusement néanmoins, Erethir fut attentif et empêcha l’embuscade écœurante : Au dessus de nous, trois énormes araignées se firent tombés du plafond en essayant de nous mordre.
Le bouclier arcanique hissé fut suffisant pour dispersé les bêtes ici et là, agitant leurs pattes hideuses dans tout les sens. La mienne pu être rapidement mise en pièce par deux tirs arcaniques, projetant les flèches de magie à travers sa carapace, pendant que le pouvoir crépitant autours du bâton d’Erethir en foudroya une au milieu de nous. La sphère entropique continua son chemin après avoir dévoré la tête de la créature, bousculant Roslyn brusquement pendant qu’elle luttait bouclier en avant face à son adversaire lui ayant mordu l’épaulière en faisant tombé de son mucus acide sur la chair à nue. Rapidement dégagés de telles bêtes, toujours coincés dans ce couloir minuscule rempli de petites araignées errantes, les sifflements éloignés étaient suffisamment inquiétant pour nous hâté un peu plus afin d’accomplir ce qui était notre objectif principal. Mettre madame Irma en sécurité envers et contre tout. Et nous voilà avançant rapidement sur le chemin que j’ai pu dégagé avec une de mes Tirs de givre, dont le cercle d’amplification de diffusion mériterait une étude plus approfondie dans mon livre. Mais je digresse.
Tout au fond de la cave, relativement en bas de la salle commune où se trouve les patients de Madame Irma, se trouvait une réserve intérieur et proscrite où des nombreuses plantes, alambiques, fioles de tout genre se trouvaient pour des expérimentations qui ne méritaient visiblement pas le regard des autres. Des élixirs de différentes couleurs magnifiques, aux étiquettes n’indiquant vraisemblablement rien de bon quand il y avait des petites têtes de morts sur les flacons. Mais j’admets que mon regard plus que sur les plantes sombres, et les ateliers d’alchimie, fut surtout attirée sur ce qui était de plus inquiétant encore. Un Orc, en tenue des éclaireurs de la Horde, se tenait dans un recoin. Toute sa peau, son armure, était d’un gris terne comme si ses couleurs lui avaient été ôtés ainsi que tout ses sentiments, sa vie tout simplement arrêtée sur place et les petites araignées qui grimpaient sur sa peau ne parvenait pas à la mordre comme si elle était faite de pierre, bien que toujours tendre, « refusait » tout simplement d’accepter une modification extérieur.
Dame Irma était bien vivante, pieds et poings liés par la soie arachnoïde provoquée par l’entité qui avait envahit les lieux et fait venir ses sinistres bêtes hideuses. Il s’adressa à nous avec un commun étrangement claquant comme si ses mots résonnaient dans la cave comme si il s’agissait d’une caverne profonde et rocailleuse. Proche du tunnel qu’il avait du creusé à des lieux d’ici, peut-être pendant des jours d’excavation sans jamais cessé, le Nerubien était une de ses bêtes non-vivante nommée les démons des cryptes. Cette chose avait été envoyé sans qu’on ne sache par qui pour récupéré toutes les informations sur le Terne Maux qui avait contaminé le dit Orc. Et après un très court échange, il envoya une nimbe de toile vers Erethir, intercepté involontairement par la pauvre Roslyn envoyée au sol. Je tirais sur les araignées de la taille d’une tête qui approchaient Dame Irma pour la protégée, les traits arcaniques les perçants les unes après les autres.
Erethir aidant la guerrière à se libéré de la toile, le Nerubien se défendit avec ses griffes et le poisson imbibant celles ci, elle fut finalement achevée par un sort puissant en plein dans son visage quand il essaya de creusé le sol que je venais de gelé pour l’empêché de fuir. A sa mort, la quasi-totalité des petites araignées et des toiles disparurent sous l’effet de la perte de leur maître. Dame Irma saine et sauve fut libéré, et nous expliquant pendant qu’elle s’occupait de nos blessures et du poison qui coulait dans nos veines, que l’Orc était un éclaireur retrouvé dans les montagnes sud de la rade touché par le Terne Maux. Tallas lui ayant demandé de chercher des informations physiques avant de préparer une cellule au Kirin Tor pour des analyses, il y avait potentiellement des réponses là-bas avant d’atteindre Drustvar. Notre avant-dernière tâche s’achevait, il était presque temps de nous mettre en route désormais. »
- Aestria Lunsilf.
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Sixième entrée – Une crise pour un monocle.« C’est l’esprit vagabond que j’ai profité quelques temps du Sanctuaire du Sorcier pour joindre l’ambassadeur Farkoual à la tour des Mages de Hurlevent pour discuter de nombreuses choses. Les jours passaient depuis l’histoire de la cave de Dame Irma, soulevant pas mal de question et lançant nos préparations pour le départ à venir vers Drustvar. Néanmoins, une tâche encore restait à accomplir maintenant qu’il fut comprit que la plus part des tâches provenait en vérité de l’Archimage Tallas : L’histoire du Monocle de Effermestin Locus. Le Gnome nous avait donner rendez vous dans une ruelle sinistre de l’avenue de Vapeureau dans les quartiers pauvres et isolés de Boralus. Là où les demeures même semblaient inquiétante et la brume échappée des tuyauteries créant des véritables nappes où les tissus et les toiles d’araignées bousculées par les vents ressemblaient à des fantômes vagabonds.
Progresser ainsi n’était donc pas des plus heureux, Roslyn mit directement son casque pour évité les soucis et Erethir esquiva la bave de jeunes enfants fuyant en riant après leurs méfaits. Et lors de notre rencontre avec Locus, la situation était déjà quelque peu chaotique. Roslyn était resté en arrière pour essayer sa botte après avoir marcher sur quelque chose de mou et dégoûtant, ce qui lui servit clairement à pouvoir nous rejoindre en vitesse quand la situation dégénéra. Pour une première rencontre, elle fut soudaine, le Gnome hurlant de peur et nous appelant à l’aide bondit littéralement sur Ben Iskander pour crier de lui venir en secours. Deux brutes le suivaient, l’air baveux et ahurit, portant des gourdins et une brique de pierre. Un homme plus fin se glissa sur le côté pour essayer de trouver un moyen d’atteindre le gnome de flanc, alors que deux Hozen nous avaient contourner par les plateformes haute pour se laisser tomber derrière nous. Rapidement, Ben agita sa lame en laissant le gnome derrière lui pour prévenir à la ruée des bagarreurs massif, et l’un fut tué sur le coup en se mettant lui même sur la trajectoire de l’épée qui aurait intimidé quelqu’un de sein d’esprit.
Les deux se jetaient sur leurs cibles de manière incohérente et dangereuse, mais le Gnome fut protégé par le bouclier d’Erethir avant que je ne repousse celui qui essayait de le taillé en pièce avec son épée. Roslyn s’était débarrassée des deux Hozen, malgré quelques coups dans le casque, sans les abattre ceux là. Gelés par un tir de givre, ils étaient immobilisés, mais les deux géants eux furent tués. Pendant que Ben et Roslyn interrogeaient le gnome sur la situation, Erethir pu découvrir aisément que les massifs casseurs de genoux étaient manipulés mentalement par quelque chose de sinistre. Le Festival de la Joie de Vivre avait visiblement de nombreux mystères inquiétants. Et le fait qu’ils aient volés le monocle du gnome car il était censé permettre d’avoir une « vision véritable » ne pouvait vraiment pas rassuré quant au fait que nous allons tomber dans une affaire plus lugubre qu’un simple pillage.
Les réponses ne se trouveraient qu’une fois sur place, les descriptions du Gnome ayant voulu partir avant nous pour en savoir plus et se servir de nous pour intimidé les forains étaient maigre, mais on avait au moins toutes les informations sur un point important : C’est suspect. Continuant notre route quelques instants dans ses ruelles néfaste en laissant les corps aux pilleurs et aux charognes des bas quartiers malheureusement habituée à ça. La route ne fut pas bien longue avant de parvenir jusqu’à l’avant du festival. Deux cogneurs massif se tenaient devant à l’image des personnes possédés plus tôt ayant agressé le gnome avec le même genre d’équipement, mais loin d’avoir la même attitude. Eux n’avaient pas l’air sous l’effet d’un charme en fonction, et nous avons pu passer après que Ben, malgré sa suspicion, ait fait quelques vérifications. Il y avait ici de la musique tonitruante et des manèges improvisés sous des rires et des conversations sous l’appel du Gobelin, qui était d’après les dires un ancien employé de la Foire de Sombrelune nommé Fizzkle.
De nombreuses activités avaient lieu et tous se dispersèrent pour découvrir les différentes informations qu’ils pouvaient glanés ici et là. Erethir fila discuter avec un jeune homme démotivé et ennuyé par son travail qui vendait des articles de toutes natures en restant avachit sur un comptoir, un grand coffre restant derrière lui sous la surveillance d’un homme âgé méfiant. Roslyn quant à elle, s’intéressa au nain épais vendant toutes sortes de viande fumant dont l’odeur était pratiquement ensorcelante – bien qu’à ce moment là, je n’aurais pas pu deviné à quel point cette dernière phrase pouvait être vraie. Et ceux qui en profitaient semblaient le faire avec un peu trop d’appétit. Ben tel l’homme alpha habituel, se dirigeant vers l’Elfe de la nuit qui mettait un peu trop ses courbes en valeur à la tente de voyance en charmant tout ses messieurs – et ses dames souvent, pour essayer de voir son destin même si son regard avait du mal à se poser sur sa sphère d’oracle.
Quelques temps après avoir fini son investigation où la sphère se mit à rayonné d’un blanc nacré comme si des nuages pur et vivant y dansaient, ils partirent main dans la main sous les regards jaloux des autres mâles présents alors qu’ils disparaissaient sous des tentures vers une petite masure. Même si à ce moment là, si ils avaient su, personne des jaloux présent n’aurait voulu se trouver dans la même situation que Ben. Roslyn avait récupéré tout un énorme tas de viande différente mais n’osait pas y manger en voyant avec quel acharnement, quel avidité, les autres ayant consommé les chairs en profitaient. Le plus gênant était la possession soudaine du marchand de tout et rien quand Erethir lui parla du monocle, et face à son état mental, il essaya une dissipation de la magie sur le pauvre bougre. Sans savoir que la situation dégénérerait rapidement suite à ça. Dans un hurlement infâme, le jeune homme leva la tête en expulsant la souffrance immense qu’il ressentit quand le nuage d’obscurité brûlait dans son cerveau même, le laissant choir sur le comptoir en ayant de ses yeux plus que des orbites vide et fumante. La plus part des locaux tournèrent la tête, choqués, et l’Eaugure présente un peu plus loin à un étal exigea à ses gardes d’aller voir ce qu’il se passait, mais ils ne réagirent pas.
L’elfe de la nuit était réapparue, la sphère de vision volant au dessus d’elle, allant rire au nez du Gobelin tout en préparant visiblement une incantation puissante. Erethir fondit vers le vieillard protégeant le coffre aux mystères, celui ci finissant son incantation en laissant apparaître des tentacules d’obscurités ici et là en scellant les sorties du festival. Condamnant les civils innocents qui n’étaient pas possédés : Car les affectés par le pouvoir mental de la sorcière présente s’étaient mit à agresser ceux qu’ils voyaient, et Roslyn essayait de contenir les massifs brigands voulant s’en prendre à Erethir qui lui même luttait en voyant le coffre disparaître lentement dans une faille, brisé en deux, le monocle de Effermestin était visible. Pendant que je tirais quelques munitions Tire-givre pour arrêté le plus possible les tueries dans la foule, Ben venait de réapparaître. Il avait été isolé par la sorcière et mit de côté pour être « utilisé » par celle ci plus tard, avant de s’en dégagé avant de venir en aide à l’Eaugure qui allait être tuée par sa propre garde.
Roslyn ne pouvait pas aider grandement, car les clients de la boutique de viande s’étaient tous jetés sur elle à l’image d’une horde de goule affamée, et elle essaya de se défendre sans les tués le plus possible tout en me couvrant. Me donnant l’opportunité de tirer un sort foudroyant en plein dans la bouche énorme recouvrant tout le visage du Vieillard dont des tentacules sortaient pour tenir Erethir, et l’amener de plus en plus vers un dénouement sanglant. Le Haut-Elfe avait pu récupéré le Monocle, et en faire usage. Ses enchantements éclatèrent dans un effet entropique mal maîtrisé, et l’effet de la Vision véritable affecta les fausses formes des entités cachées. D’un cuisinier nain bourru, apparue une aberration de chair molle riante mêlé à l’énergie du vide parcourant ses graisses immondes. Des chaînes le liaient aux clients affamés, c’était l’élément à détruire pour les libérés. Les deux gardes des Portvaillant étaient des êtres de la même façons, illusions putrides et abominables. L’aberration détenant les derniers innocents fut détruite rapidement quand Erethir fit glissé un sort explosif à même une fente faite par Roslyn dans ses chairs, et les deux gardes furent rapidement écrasés par Ben soutenu par mes tirs de plusieurs traits arcaniques.
La sorcière révéla aussi son vrai visage : Une trollesse, grandement mutée par les pouvoirs de son maître dont le nom résonne depuis quelques années. « Celui qui fut scellé », dont le nom ne peut être aisément lu, était un des serviteurs loyaux en tant que Sans-visage lors des guerres contre les anciens empires des très anciens. La Trollesse était là pour essayer de déchaîné le Terne Maux directement en ville, et nous avions précipité sa tentative pour qu’elle s’y tente avec l’énergie présente et pas avec des mois d’accumulation qui aurait pu être désastreuse. Le Kriss des Abysses de Ben avait prit le fardeau de toute l’incantation, jusqu’à la brisée, le Kriss recevant le Terne Maux en chutant au sol. Vidé de ses couleurs et de toutes présences jadis sacrée pour la Marée.
On ne peut pas dire qu’elle pu opposée une grande résistance à Ben et Erethir qui après avoir essayer de l’assommer, constatèrent rapidement qu’elle était bien trop corrompue pour perdre l’esprit plus que ce n’était déjà le cas. Roslyn gisait plus loin, inconsciente, et à la mort de la Trollesse quand le Kriss de la jeune Augure s’enfonça dans sa gorge, toutes présences profanes disparurent aussi tôt. Il ne resta alors, plus rien que des gens choqués et épuisés par ce qu’ils subirent, et les visions qu’ils durent supportés. Si la Garde ne mit pas si longtemps à venir, avec deux mages de Boralus, nous prenions le temps de reprendre nos forces en guidant Roslyn vers un médecin compétent. Certaines questions restaient sans réponse, mais la conclusion de cette histoire était loin d’être en ville. Elle nous attendrait une fois arrivé en Drustvar, là où ce Mal à trouvé naissance la première fois. »
- Aestria Lunsilf.
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Re: [Aventures] - Carnet de voyage d'Aestria Lunsilf.
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Septième entrée – L’Homme au manteau rouge.« Dire que le départ vers Drustvar devait commencer après quelques jours de calme, où tous étudierait et s’occuperaient à leurs façons en préparant les études, montures, rationnement. Mais quand l’Archimage Tallas invoque d’urgence une raison de nous demander d’enquêter un peu plus en ville, il n’y avait pas autres choses à faire qu’accepter et nous rendre dans des quartiers encore plus éloignés que celui de Vapeureau où il y eu des problèmes. Cette fois, ce quartier n’avait même plus de nom, des amas de masures et de planches de bois formant vaguement des hauteurs permettant autant des déplacements, des stockages ou même des coins de vies supplémentaires. Rien qu’à distance, il semblait déjà inquiétant, et nous nous sommes retrouvés avec Erethir et Ben pour mené une recherche de base compliquée : Comprendre comment de tels problèmes ont pu atteindre la ville de Boralus en elle même sans créer une esclandre dans la population ou une descente de la Garde des Portvaillants, qui gardaient néanmoins un œil sur l’affaire pour qu’il n’y ait pas de débordement.
Passant un grand pont vers l’intérieur du quartier isolé, l’ambiance se dégrada très rapidement. Ce qui était vivant et animé par des bruits de ville devient petit à petit calme et craintif. Comme si n’importe quels locaux s’inquiétaient de la présence des uns et des autres. La curiosité locale ici était que de nombreuses personnes parlaient d’un guérisseur providentiel apparu dans les parages. Nous qui cherchions Lapierre le fils qui enquêtait pour nous sur les affaires de son Père que nous avons mit aux fers pour sa duplicité avec Lung Tire-Sourire afin d’instauré une nouvelle passassions de drogue tout en brisant l’harmonie de l’église de la Lumière, c’était là une piste, mais Ben vit autre chose d’aussi intéressant. Des caisses étaient agglutinés dans un recoin, portant son symbole, et il fit vite déguerpir ses deux gardiens ayant de bon coup dans le nez qui s’éloignèrent vers les hauteurs de bois en ricanant. Vesanie Hudson avait pu nous rejoindre, ayant demandé de l’aide aux enfants de la ville pour nous atteindre.
Ben avait ouvert la caisse en découvrant des sachets d’herbes écrasés où s’en extrayait quelque chose de vraiment étrange, et alors que Erethir discutait avec le barman d’un bar ouvert, elle purifia le sac dans un sifflement affreux comme si une créature avait été révoquée. Le Tire-Sourire de Lung était maudite, ce n’était donc là pas qu’un élément de richesse, mais bien plus dangereux que ça ! Ben était en pleine opposition avec une bande de brigand en tenue de cuir souple l’interdisait de grimper en l’air, et malgré tout, il vint avec nous au centre pour répondre à l’appel d’un homme riant vêtu d’une tenue rouge. Lapierre le jeune se tenait à ses côtés, attrapé par deux brigands aux airs agacés en guise de contrainte pour nous faire venir vite. Et une fois face à lui, les mécanismes repérés par Ben tombèrent, et l’arène fut mise en place sous les applaudissements des locaux.
A première vue, la situation était bien tendue. La conversation ne fut pas des plus longues mais cet homme visiblement responsable des lieux fit par de sa consternation et de son agacement quant à nos dernières activités, ainsi qu’à la purification de sa marchandise. Dans les tribunes, de nombreuses personnes s’installaient sans être bien heureux de la situation. D’après ce que nous pouvions entendre des dialogues différents, les hommes s’occupant de ce quartier étaient sous la coupe normalement de « Le Garçon manqué », une femme de petit clan de porte-lame protégeant et exigeant certains tribus. Les hommes du Tire-Sourire étaient donc venu ici pour prendre la place, ce qui avait fourni une ouverture aux forces infâmes pour atteindre les quartiers miséreux de Boralus.
Pour s’occuper de nous, il fit venir des combattants du groupe contrôlé – Encerclés dans l’arène, nous nous retrouvions tout les cinq dos à dos en cherchant un moyen de survivre. Deux fusiliers, des combattants au sabre, un maître-chien prompt à nous envoyer des corgis de combat – Oui. Je sais. Et un Eaugure quelque peu dévoyé de sa tâche qui préparait déjà une incantation. Malgré les railleries et le danger, Hudson se concentra sur la Pandarène de Tire-Sourire qui traînait un sac d’herbe écrasé et se mit à vouloir en distribuer à tout ceux entourant le spectacle à venir.
L’Horion de Lumière s’écrasa sur son sac, la touchant au passage, libérant plus de douleur qu’il n’aurait du y avoir après l’impact. Comme une fumée blanche s’en extirpant doucement, le sac pu être purifié mais son contenu se rependit en une fumée épaisse, gênant les pauvres atteins – Non mortellement, au moins, le Ki incontrôlé les faisant souffrir énormément à cause des effets de la dite drogue. Protégeant les porteurs de Lumière bénissant les gradins en repoussant le mal présent. Ce qui était efficace, c’est que cette présence écrasait les agents du Tire-Sourire ayant en eux tous une parcelle de corruption néfaste ce qui permettait aux agents du Garçon manqué de parvenir à se libéré quelque peu de leur présence. Ajoutant au fait que nous avions assommés la plus part de leurs compagnons plutôt que d’en venir au massacre, l’absence de meurtre créa une certaine confiance.
Le maître-chien fut assommé par un bon coup de crosse de ma part, et Erethir fit fuir les deux sabreurs après avoir sonné le Hozen. Ben avait pu empêcher les fusiliers de faire du mal à quiconque, s’y opposant fermement, et c’est quand la silhouette de l’Homme en rouge fut découverte comme n’étant qu’un amas de brume sinistre, que tout tourna rapidement à une situation bien plus clair. Vesanie et Lapierre tournèrent le pouvoir de la lumière sur cette brume d’obscurité errante qui se mit à brûlé sous cet effet de purification avant que le contre coup mental ne les envoies tout deux à terre pendant un instant. J’épaulais Ben qui avait récupéré un fusil pour tirer sur un des brigands du Tire-Sourire qui s’était réveillé, les locaux ayant décidé que c’était le monde moment pour récupéré leur chef partirent en vitesse vers là où elle devait être détenue, et c’était le bon moment pour les suivre. Malgré un tir dans le casque l’ayant sonné un instant, Erethir avait eu le temps d’achever toutes la brume par les flammes de sa conjuration avant qu’elle n’atteigne l’Eaugure vomissant un flot d’eau noircie étrange. Et tandis que Ben et Hudson s’en occuperaient certainement efficacement, Erethir et moi avons foncé à la suite des agents du Garçon manqué, peu après les avoir entendu hurler d’horreur et de douleur.
Sur les hauteurs, des habitants fuyaient ou s’occupaient des blessés. Ceux portant l’insigne à la silhouette de femme – ironique en portant le nom « d’hommes du Garçon manqué » - n’étaient visiblement plus des menaces puisqu’ils pouvaient s’occuper des civils et partir à la recherche de leur chef tenue en laisse. Ben avait trouvé un moyen, de ce que j’en sais su plus tard, douloureux pour extirpé cette noirceur interne de l’Eaugure en lui plantant un Kriss bénie par les marées tout en laissant le passage à Hudson afin d’invoqué le pouvoir de la Lumière là où il saurait la purifié. Je suppose ? A ce moment là, j’étais occupée à être en pleine ruée sur les planches de bois avec Erethir pour entrer finalement à travers une porte défoncée où se trouvait quatre cadavres asséchés comme si on avait prit quelque chose d’essentiel en eux. Le sorcier tenait le Garçon manqué, une femme en tenue masculine se débattant un peu attachée à une chaise, une sphère dans l’autre main ressemblant bien trop à la sphère de vision ayant déclenché le Terne Maux à la Foire de Joie de Vivre.
Derrière nous, un Pandaren fit approcher de lui quelques sortes d’esclaves, des citadins dont l’esprit avait du être totalement altéré et déchu par l’influence néfaste des drogues du Tire-Sourire. Ben et Lapierre vint rapidement l’assaillir, malgré les difficultés à s’occuper de ce tas de graisse et de muscle, qui brisa une caisse remplie de plante écrasée sur les deux camarades. Le bouclier de Lumière du jeune Paladin évita de grave conséquence, non sans l’envoyer à terre, laissant le temps à Ben de planter sa grande lame dans le ventre du Pandaren en l’éventrant littéralement. Éparpillant les pauvres âmes brisés qu’il faudrait rapidement récupéré. Si espoir est de pouvoir leur venir en aide au Monastère de Boralus face à l’état pitoyable dans lequel ils ont été laissé après les effets obscures d’une drogue maudite. A l’intérieur, Erethir avait habilement pu se transférer dans une lueur arcanique proche de l’étrange sorcier en tenue d’acolyte afin de lui faire perdre la sphère des mains d’un bon coup de hampe. Si la femme était en sécurité, pas nous, je me retrouvais écrasé par la pression d’une lueur lugubre en voyant l’homme en rouge descendre de l’étage en faisant tournoyer sa canne avec un petit rire, tout en disparaissant.
Parvenant à mettre une balle de foudre dans le torse du sorcier, ce fut suffisant pour paralysé le sorcier un temps correct afin de laisser Erethir en finir dans une déferlante arcanique. Il prit un instant pour ce soucier de la jeune femme en discutant avec, comprenant bien qu’elle et ses hommes avaient définitivement étaient plus ou moins captif du Tire-Sourire pour parvenir à créer un véritable petit « quartier aux sphères » pouvant s’étendre en ville de plus en plus largement. Sortant en vitesse de la demeure, l’Homme en rouge se tenait là, empêchant Ben par un moyen incompréhensible maintenant son bras dans l’espace pour ne pas qu’il puisse faire sonner la cloche des Eaugures afin de faire perdre son voile. Il avait l’air monstrueux, abominable, et pour justification : C’était là un des agents direct du monstre à qui la Sorcière s’était promise pour se transformer ainsi. Les mots ont des pouvoirs, aussi ne répétez jamais ceux ci à haute voix : « Izz Not Ogg ». C’était ce que Vesanie dans un instant de folie balbutia, s’attira l’ire de la créature qui allait disparaître.
Profitant de cet instant, Erethir perturba sa canalisation vers Vesanie pendant que Ben lui lança littéralement son casque. Le vestige de l’ancienne guerre face aux démons, dont les quelques gravures en sancteforge brisa brusquement la cohérence de sa forme, laissant apparaître en partie le sans-visage qui siffla de colère dans nos esprits même, avant de disparaître aussi-tôt dans la faille formée. Ben gisait contre une barrière après un grand coup de « bras » tentaculaire, et Hudson souffrait encore mentalement. Il fallait s’occuper de tout le monde, Lapierre gisait au sol, Erethir s’en remettait bien. Mais peu de temps après la rencontre, une troupe du Kirin Tor sous la coupe de Tallas fit son apparition, frustrée d’avoir raté celui qui se cache sous le visage de l’Homme en rouge. Le quartier pu avec l’effort des forces des Portvaillant ainsi que la bonne foi des locaux, se stabiliser rapidement. Quant à nous, notre voyage se faisait plus urgent encore, car vraisemblablement, il faudrait aussi parvenir à arrêté les problèmes se déroulant au sud de la rade le long du voyage vers Drustvar. »
- Aestria Lunsilf.
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Huitième entrée – Des Tortollans menacés.« Le jour du départ. Je me sentais alors plus hâtive de nous mettre en route car voilà bien un voyage que nous attendions depuis quelques jours. Les occupations en ville permirent de nous préparer en comprenant quels sont les enjeux et les possibilités ainsi que faire naître le début d’un esprit d’équipe. N’est-ce pas la huitième fois que j’écris sur ce journal mes quelques péripéties depuis que nous avons décidé de faire équipe en partant sur les flots pour bravé les vents et les Kvaldir ? Ce voyage dans les mers, j’ai l’impression que c’était il y à des mois alors que ce n’était pas il y à si longtemps que ça maintenant. Après beaucoup de préparations et quelques recherches, notamment pour avoir de quoi réfléchir sur le « Sang du Père » évoqué par les Kvaldir sur les mers, nous nous sommes réunis à la sortie sud de Boralus. L’ambiance était dense mais au moins la journée est vraiment agréable puisque le soleil vagabond n’était pas gêné par les lourds nuages chargés de pluie très commun pour Kul’Tiras, ou quelconques soucis. Les senteurs promenaient une odeur de poisson fort bien cuit, et le vent baladait les vagues conversations des locaux sortant de la citée ou au contraire, y entrant sous la bonne garde des forces des Portvaillant contrôlant leurs affaires.
Portant nos gros sacs de voyage, les chevaux aidant n’étant pas encore là puisque leurs prioritaires nous rejoindront sûrement en court de route. Le début du voyage serait donc avec Erethir, Vesanie Hudson, et Gimdal, discutant un instant tout les quatre pour déterminé un itinéraire nous convenant à tous. Les histoires concernant le Tire-Sourire autant que le Terne Maux méritaient des investigations plus poussés, et nos affaires en ville permirent de déterminé qu’il y avait eu pas mal de chose dans le sud de la rade, comme l’Orc figé dans les montagnes enneigés, ou la contrebande du Pandaren. Une fois notre choix fait, nous sommes sorti pour être rapidement interpellé par un Tortollan. Lui et son fils désiraient descendre au sud, mais ils avaient reçu quelques menaces de la part d’un Pandaren justement, de céder à ses propositions ou bien de finir avec des problèmes d’une nature peu enviable.
Les gardes inspectaient la caravane, mais ils n’avaient pas nos informations, et ne purent déceler de problème ce qui nous conduit à penser qu’elle n’était qu’un tas de bois puant grandement que les Tortollan déplaçaient. Gimdal trop prit par le jeu de vouloir s’amuser avec quelques marins cupides pariant sur notre survie, ne pensa pas spécialement non plus à leur demander ce pourquoi ils étaient si certains que notre route pouvait bien mal finir. C’est plutôt paisiblement que nous nous sommes installés dans la caravane, alors, profitant de ce fait pour ne pas avoir à marcher des heures et des heures durant ce premier jour de route vers les Port-du-Pont qui n’est pas si éloigné que. Sans savoir que les dès étaient déjà joués, alors que nous étions simplement installés sur des caisses ou encore des sacs en passant outre les odeurs, et le regard totalement vide et fixe du petit Tortollan qui ne cessait d’observer Vesanie Hudson depuis qu’elle lui avait offert une Alguette. La garde n’avait pas vraiment d’informations pour nous sur le sud, bien qu’ils suggérèrent de nous méfier de tout ce qui pouvait s’approcher du Tire-Sourire sans avoir beaucoup d’informations à ce sujet. Un soupçons d’inquiétude gagna mes traits à l’idée de progresser dès le départ vers des problèmes potentiels, aussi décidais-je de rester sur mes gardes jusqu’à ce que je sois certaine de ne pas tomber dans les ennuis aussi vite que je parviens à y mettre le nez.
Si le départ ne soufra d’aucune peine, les premières heures non plus. Il fut plaisant de pouvoir quitter la ville sans problèmes après tout ce qui avait pu se passé en quelques semaines de vie là-bas, dans les quartiers les plus humbles. Tout ce temps passé à observer au lointains les portes sud de la citée de Boralus disparaître petit à petit, tout en voyant l’immense donjon surmontant ses collines sud grandir, et lentement reprendre l’aspect d’un sombre guetteur sur une corniche immense. Lentement, les afflux de personne et de patrouille cessèrent à mesure de notre éloignement tout en ne voyant pas grand-chose d’autre que quelques marchands ambitieux ou voyageurs curieux. Durant la route, je m’amusais à écouté Erethir discutant avec le père Tortollan de toutes sortes de chose pour l’aider à améliorer l’odeur de son chariot ou à préparer ses affaires pour ses ambitions marchandes, apprenant qu’il voulait partir sous l’eau dans une auberge aquatique secrète quelque part sur l’île.
Gimdal s’occupait de ses affaires, chopes, armements, pendant que Vesanie semblait en profiter pour ne rien faire. Ou peut-être dormait-elle, je ne sais plus vraiment, aspirée par les histoires innombrables amenés par le vieux Tortollan et concentré sur les livres que j’ai pu acheté avant de partir. C’est sûrement parce que tout le monde était occupés que ce qui devait arrivé, arriva, bien qu’il pouvait être découvert plus tard que la situation dégénéré à cause d’un élément bien précis, à nos yeux pour l’instant parfaitement invisible. Le chariot fut prit d’un brusque soubresaut et le jeune vola plus loin. Tournoyant au sol plusieurs fois, sa carapace fit qu’il ne s’écorcha pas genoux et coudes comme un petit humain aurait pu le faire, mais roula bien plus loin. Cela amusa grandement Gimdal, lui faisant signe de revenir, celui ci exigea que son retour soit récompensé d’une Alguette de Vesanie d’un air boudeur.
Pour ma part, je m’intéressais à ce que faisait Erethir. Il avait bondit de la caravane maintenant à l’arrêt quand Gimdal signala la chute à son père, pour aller inspecter un chariot dévasté sur le bas côté. Des caisses ouvertes laissaient ressurgir quelques éléments restant n’ayant pas été dévorés ou traînés ailleurs. Cela dégageait une odeur nauséabonde, mais ainsi à l’air libre et en voyant les étranges volutes, Erethir comprit que c’était là une façons du Tire-sourire d’apparaître avec des manipulations pour lui ôté ce goût sucré et en faire un élément d’odeur très puissante digne d’être sentie loin de là. Il s’intéressa à la main sous la caravane, y imaginant sûrement un corps abandonné, mais avant de parvenir à inspecter il se mit littéralement à couler dans la boue comme en train de tomber dans une eau pâteuse asphyxiante. Vesanie ne peut pas venir directement à son aide, car Gimdal cria qu’un ennemi attaquait.
Il était parti chercher le petit Tortollan faisant la tête plus loin, se prenant les pieds dans le vide à l’emplacement où nous avons vu la caravane brusquement être basculé ayant entraîné la chute du jeune. C’est en le voyant être emporté par on ne sait quoi, avant d’être récupéré par nos assaillants afin d’être emporté on ne sait où. Sortant de tout les côtés, nous venions d’être brusquement conscient que ce fameux danger, aussi surprenant soit-il, était des Makrura à l’allure curieuse.
Une carapace bleutée comme une eau d’un lac froid, striée de rayure noire, qui jusque là semblait parfaitement naturelle. Ce qui semblait beaucoup moins normal, c’était des distorsions sur leurs peaux comme si des bulbes avaient été ajoutés en reliant la chair interne et les renforts chitineux des bêtes marines. Deux étaient proche de Gimdal, l’un ayant récupéré le petit en partant vers les eaux avec, tandis que l’autre retenait le nain au sol d’une de ses massives pinces. Hudson me demanda en urgence d’arrêter celui emportant l’enfant avant qu’il ne soit trop tard, pendant qu’elle bondissait pour attraper Erethir afin de le sortir de la boue dans laquelle il s’enfonçait petit à petit. Tirant le haut-elfe de là, juste à temps pour voir le flot de Makrura leur fonçant dessus. Ils ne furent pour eux pas une immense menace puisqu’ils ne se mirent pas à les frappés spécifiquement, ils étaient intéressés par deux choses bien différentes : Le Tortollan massif étalé au sol quand il avait voulu un peu trop hâtivement descendre pour rejoindre son fils en péril, et les caisses puantes.
Tirant une couvre-givre dans les pattes de celui s’échappant avec l’enfant, je ne pu pas faire grand-chose d’autre quand une pince m’attrapa la jambe en me faisant choir de mon perchoir. Je remercie encore Hudson de m’avoir protégé d’un bouclier de lumière quand, au sol, le prochain coup aurait été certainement bien plus violent en voyant la pince me tomber dessus. Gimdal s’était débarrassé d’un de ses assaillants en lui crevant un œil, et avait donner la priorité à la récupération du petit en empalant son adversaire dans une faiblesse de sa carapace. Venant me rejoindre en vitesse alors que j’étais en train de tirer dans cesse dans le torse de celui qui se dressait au dessus de moi, la jambe droite bien douloureuse depuis la chute, peut-être était-ce due à une gorgée de bière mal placée ou un instant le déphasant de la réalité mais il prit une décision choquante. Pour se créer une faille, il décida de balancer le petit tortollan sur le Makrura. Quand je cessais de m’interroger sur la manière dont les nains éduquent leurs enfants ou si Gimdal était définitivement fou, puisque l’enfant n’eut la vie sauve que grâce à l’intervention d’Hudson, sa lance traversa tout de même la faille où les tirs se brisèrent avant de passer sa lance en travers la faille pour en écrasé un second. Les derniers fuyaient avec des caisses comme ils pouvaient maintenant.
Celui ayant perdu un œil eut la tête explosée par un trait de feu d’Erethir alors qu’il voulait partir avec le Père Tortollan. Les deux derniers s’échappant avec des caisses ne purent pas les amenés vers l’emplacement où ils progressaient, sans vraiment savoir quel était leur objectif, mais ils réagissaient à une voix chantante au loin dans un échos presque merveilleux et envoûtant sans y laisser quelconques effets magiques. Mais quand une des caisses fut détruite par Erethir grâce à une sphère enflammée, et l’autre purifiée par un horion de lumière générée par Hudson, la voix se fit plus grave et puissante, comme souffrante et haineuse. Un sifflement serpentin s’échappa là où il y avait l’étrange passage sur la route où on se prenait les jambes, et la décision fut rapidement prise : La caravane et les Tortollans étaient prioritaire face à une poursuite de ce qui menaçait les lieux. Purifiant les affaires restantes et progressant quelques heures supplémentaires avant d’installer notre campement. Avant de continuer la route vers le Port-du-Pont, cette menace devrait disparaître, et peut-être, cela nous en indiquerait plus sur les effets du Tire-Sourire qui semblait tant donner envie à cette chose qui nous à envoyé les Makrura ? »
- Aestria Lunsilf.
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Neuvième entrée – L’Ombre d’une chanteuse des mers.« Une nuit de sommeil en pleine nature fut suffisante pour parvenir à reprendre quelques forces, bien que nous n’ayons largement pas été spécialement gêné si ce n’est pour l’état de ma jambe. M’éveillant en regardant le petit Tortollan partir dans tout les sens en jouant avec une balle. C’était bien une des premières fois où je ne me levais pas pour contempler le calme et le silence mais bien les occupations matinales de plusieurs compagnons de route en train de se préparer à manger ou de finir de s’occuper du camp afin de quitter les lieux rapidement. Il nous restait encore à savoir ce qui avait provoqué le chaos chez les Makruras lors de notre passage pour ne pas laisser de problème derrière nous. Roslyn et Ben parvinrent jusqu’à nous, chevauchant leurs fières destriers prompt à nous être fort utile à l’avenir pour le long de la route nous menant vers Drustvar afin de transporter nos affaires notamment.
L’objectif était simple : Retourner à l’emplacement où il y à vaguement eu le départ des Makrura, à quelques heures de marche simple, pendant que les chevaux attendraient avec les Tortollans sur la grand route là où des patrouilles des Portvaillant passaient régulièrement. Quittant le pavé irrégulier menant aux Port-du-pont là où nous marchons paisiblement pendant que j’écris ce journal, rapidement nous fumes dans un petit recoin de forêt isolé où les habitants pouvaient se permettre aisément de s’y perdre pour quelconques activités de repos. Cependant, contrairement à ce qu’on trouve aisément habituellement dans ce genre de lieux, la présence animale manquait cruellement. Pas de trace des espèces communes de la rade dans les environs qui est malgré tout prospère et reconnue au vue des grandes habitudes de chasse des locaux. Le silence n’était que cassé par le bruit de nos équipements battants sur nos tenues et du souffle d’un vent léger sur les broussailles. Hudson et Ben discutaient paisiblement de tout et rien, pendant qu’Erethir inspectaient déjà les lieux. Il y avait des traces de campement, et de bois brisés, comme si une activité avait bel et bien régit les lieux depuis fort peu. Hudson suggéra la présence de chasseur locaux profitant des bêtes – même si celles si étaient parfaitement absente, cela dit, sans que nous déterminions vraiment la durée de la présence des voyageurs locaux.
Continuant sans énormément d’autres recherches, nous perdant quelque peu, il ne semblait rien y avoir à faire et personne n’avait vraiment de suggestion ou de réflexions supplémentaires. Cependant, l’idée des Makrura venant des flots était cohérente, et nous voilà progressant vers la berge en vitesse en espérant que nous y trouverions quelque chose qui puisse être compris et récupéré. L’eau de la mer interne de Boralus était immense, laissant voir au loin de là les montagnes de l’autre bord et les hauteurs portant la citée Tirassienne immense, n’étant que brume à une grande distance. Arrivés sur place, rien ne sautait spécialement aux yeux dans l’immédiat. Jusqu’à ce que fut audible une belle chanson en arrière fond d’un ton agréable, d’une voix que nous avions déjà entendue.
Elle provenant de tout et nulle part, comme si la berge entière était chantante au lointain d’ici à la manière d’un effet sonore persistant si bas qu’elle ne pouvait noyer aucun mot, pas même un murmure, mais qui revenait aisément au moindre instant où on pouvait y faire attention. Les recherches physiques ne donnèrent rien de bien spécifique, si ce n’est pour Roslyn qui découvrit quelques traces de pas plutôt bien dissimulée mais que la chance voir les compétences permirent d’identifier comme étant le pas d’un être humain chaussant une grande botte. Consciente que les Makrura ne mettaient pas de botte, elle pu finalement préparer toute une suite logique la menant vers la forêt. Surtout après avoir redécouvert quelques morceaux de bois, étant bel et bien des caisses, celles ci avaient encore des traces de la drogue du Tire-Sourire : Cette sorte d’herbe pâteuse suintante d’une lueur verdoyante.
Pendant que Roslyn et Vesanie partaient dans la forêt en recherchant toutes traces possibles suivant ce que la Stromgardienne avait déterminé comme étant une piste utilisable, Ben lui qui était resté quelque peu en arrière essayait de déterminé la nature de ce qui se produisait ici. Grattant la terre quelques instants, en inspirant, prenant conscience de son environnement et de ses défauts, il détermina aisément qu’un maux présent avant faire fuir la faune mais n’affectait en rien la flore. Il y avait de la magie dans l’air, comme dirait un Thalassien, et il en informa Erethir qui extirpait des eaux une besace d’une pêcheuse ainsi que son filet de pêche, découvrant quelques soieries, un médaillon d’argent et une note illisible. Mais pas le temps de s’occuper de la note pour parvenir à la lire, bien que quelques sorts très utile venant de Dalaran existent pour ça, Ben demandait à Erethir de se concentré sur la magie local. Ce qu’il fit, découvrant la puissance d’un enchantement proche dans un coquillage présent. Le saisissant pour l’identifier, brusquement, la puissance mémoriel contenu dans ce sort fit tournoyer des lueurs arcaniques autours de nous prenant doucement la forme d’une illusion censée nous montrer des pans de mémoire.
Celle d’une elfe de la nuit, confrontée à Lung Tire-Sourire et à ses séides. De ce qui fut compris dans la mémoire, Lung vola une partie de l’essence de sa proie grâce à une sorte de cristal étrange qu’il remit directement un homme aux dents d’or. Celle ci, l’elfe de la nuit de la vision, était intervenue après avoir recueillit la pêcheuse ayant perdu son sac qui s’est noyée au fond de l’eau, désireuse de réglé cette histoire, avant d’elle même être piégée. Son lien avec les Makrura servit les desseins locaux, permettant de chasser les habitants, voyageurs, patrouilleurs et même les animaux afin d’établir un passage des caisses de drogues et de piégé ceux refusant de leurs obéir pour les détroussés à la sortie de la ville. Comme notre ami Tortollan.
Le coquillage et son enchantement s’épuisèrent finalement à l’instant où Vesanie et Roslyn venaient de revenir. Elles avaient découvrir une cache de contrebande avec un ustensile censé permettre d’alerter ceux sur leur navire – dont l’homme aux dents d’or – que de la marchandise doit être apportée vers Boralus. Mais le plus important était la piste d’un cri cinglant d’une femme, la même que nous avons identifier comme étant le chant de la plage et celle contrôlant les Makrura. La situation était clair, et quoi qui nous attendait dans la grotte, nous nous sommes mis en route pour la confronté en espérant pouvoir purifier cette dernière. Ou en dernière solution, la détruire.
La grotte était à quelques minutes de marche à peine du bord de l’eau, dans la forêt, installé sur une hauteur rocheuse égarée. L’endroit semblait pulluler d’une substance verdâtre jusqu’à ce qu’il fut aisément comprit qu’il s’agissait d’une influence néfaste extrême du Tire-Sourire. Une purification était de mise, les Makrura se levèrent lentement en nous observant comme si ils étaient confus de voir une présence où leur intellect rongé par cette malédiction leur empêchait de déterminé précisément ce qu’ils étaient censés faire de nous. Approchant très légèrement, l’un fut brusquement purifié par Hudson pendant que nous prenions une formation défensive. Ben avait raison, hors de question de rentrer dans un lieu aussi souillé.
Lors de sa purification, le Makrura perdit ses chairs écœurantes s’ajoutant entre sa peau et sa carapace et eut l’air d’un coup bien plus intelligent, conscient de sa situation. Le chant douloureux se fit entendre dans une note parfaite, jusqu’à ce que sorte la représentation de l’elfe de la nuit dont les traits n’étaient plus aussi radieux que jadis. Sortant de l’ombre de la grotte, la sorcière des mers Naga avait les yeux livides, l’impression donnait que cette drogue affectait son esprit bien plus que nécessaire mais la vision qu’elle avait pu laisser dans l’enchantement mémoriel nous avait expliqué qu’un fragment d’elle même appartenait désormais à ce brigand aux dents d’or parti sur les eaux. Le premier temps fut consacré à repoussé les Makrura en essayant de les sonnés voir de les immobilisés, mais ils étaient teigneux, et la sorcière sifflant sans cesse « La pierre » allait se joindre à cet affrontement avec une puissance inquiétante : Elle mit Ben à terre d’un coup de ses doigts finissant en griffes et la chaîne foudroyante s’écrasant sur chacun nous laissa une légère fumée et une déstabilisation générale.
Hudson prit à parti de faire sauté le feu d’artifice pandaren découvert dans la cache, ce qui un instant après, fit entendre un bruit de cloche sur le rivage d’où nous étions parti. Nous repliant en vitesse, traînant Ben et fuyant la Naga enragée, il y avait effectivement le navire de Dent d’or et de ses laquais qui nous attendait. Surpris et nous reconnaissant après les derniers problèmes à Boralus, il usa de la Pierre offert par Lung pour évoqué le fragment d’âme noire. Roslyn essaya de tenir, pendant que je m’occupais de tirer sur ses laquais quelques sorts avant d’être grossièrement interrompue par un coup d’épée faisant sauté mon épaulière droite.
Erethir eu la présence d’esprit d’arrêté la sorcière avec un Mur de flamme, suffisamment longtemps pour qu’Hudson fasse sauté la pierre des mains de Dent d’or en le faisant souffrir d’une façons que j’ai encore du mal à comprendre. Récupérant son fragment d’elle même, purifiée par un puissant enchantement, l’ombre d’elle même disparue rapidement sous un coup d’épée vengeur de Roslyn avant de ne laisser plus qu’un brigand fuyant sur la barque, et Dent d’or toujours souffrant. La douleur était tel, qu’il fini par se tirer à la pistole en pleine tête lui même avant que Roslyn ne pu l’atteindre pour l’assommer. S’en était fait, la Naga réunit les restes de cette « famille improvisée » pour repartir dans les flots, une de ses sorcières ayant cessé – ou peut-être même pas commencer ? De suivre le joug meurtrier de sa Reine. Un calme plat s’installa dès lors, ce recoin libéré de la contrebande de Lung et ses astuces. Reprenant la route, il était temps de retrouver le Sergent Osvald de Bonaloi afin de découvrir toutes informations permettant d’arrêter cet agent indirect du Terne Maux, et de ses sombres créateurs. »
- Aestria Lunsilf.
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Dixième entrée – Entre deux réalités.« Ce n’était pas une mission attendue de la sorte, mais les coups de Tallas sont ainsi, ils viennent toujours de là d’où nous pouvons le moins les prévoir. Pendant la marche dans la rade, l’Archimage nous prévint de son contact avec le Cercle Cénarien qui nous apporterait l’un de ses membres afin de nous utilisés au nom du Kirin Tor pour les aidé à réglé une affaire. De ce que j’ai pu comprendre, le Cercle Cénarien à du mal à communiqué avec les Parlépines habituellement et cette tâche devait essayer d’aider à brisé la glace grâce au Druide Grise-Gueule, un curieux Worgen qui apparut devant moi après avoir voyager dans les cieux sous la forme d’un corbeau majestueux. Une discussion rapide aida à laisser le temps à Endhoril et Roslyn de nous rejoindre sur la grand route afin d’avoir quelques explications.
Dans les faits, les Parlépines ont découvert quelque chose d’irregulier et dangereux dans les environs proches de là où nous étions en voyage, et Tallas décida de nous fournir à Grise-Gueule afin de découvrir ce qu’il se passait là-bas, ce qui aiderait aux négociations entre le Cercle Cénarien et les Parlépines. Visiblement, quelque chose détraquait directement avec la nature là-bas, et il fallait comprendre quoi. Bifurquant un peu de notre destination en traversant des hauteurs enneigés et quelques planches de bois à hauteur d’une bonne marche lointaine, jusqu’à parvenir doucement à notre destination. Il s’agissait d’un pic, avec une vieille tour en ruine accessible grâce à un pont. Du moins, je ne le su que plus tard, car les vagues forme se noyaient dans une brume si clair et si opaque qu’elle donnait l’impression que le ciel ne faisait absolument plus qu’un avec la forme terrestre. Si c’était visuellement beau, il y avait un malaise palpable et une crainte intérieur grimpante.
Traverser cette brume n’était pas aisée, la Lampe de Grise-Gueule bousculée par un vent léger dans un bruit d’acier repoussait celle ci, en dévoilant rapidement un lieu insolite. La végétation était abondante, réelle, et bien trop nombreuse pour un tel lieu. Les corps des membres de la Horde et de l’Alliance ayant été visiblement en opposition pour ce lieu gisaient dans les environs, certains ayant commencés à voir leurs corps transformés par les maléfices en sorte d’amalgame de bois. Pendant que le Druide se concentrait sur les lieux, Erethir avait découvert un survivant, un jeune fantassin des Portvaillant traumatisé par ce qu’il avait vu sans jamais vraiment parvenir à expliqué quelles horreurs déferlèrent sur lui et les siens avant d’abandonner un champ de cadavre sur les lieux. La conclusion fut amer : Quelque chose tirait le Rêve, ou quelque chose proche, vers ce lieu comme pour le scinder avec l’endroit avec toutes les conséquences que ça pouvait mené. Le jeune homme hors de danger, nous accompagnant, Grise-Gueule nous guida vers un grand pont vers là où il avait ressentit ce qui provoquait une telle distorsion dans les réalités. Droit vers les problèmes, en soit.
Quelques corps gisaient devant, ceux affalés sur les flancs me paraissaient curieux à la manière dont ils avaient l’air de s’être accroché avant de choir, des traces de griffes de leurs doigts paniqués visible. Et en essayant de rattraper un corps, tout se déroula très vite. C’était affreux comme vision. Apparaissant en me penchant comme si cela m’avait passé la tête hors d’un voile illusoire les dissimulant, une centaine d’âme hurlante et paniquante formées comme des réprouvés erraient en bas, s’agitant et braillant de la douleur subie et des atrocités vécues en bas. Ils rôdaient, erraient, tournoyaient, et le temps de me rendre compte de ce qu’il se passait j’avais fais quelque pas risquant de me faire tomber à mon tour dans la faille hurlante.
Reculant rapidement, ressentant mon cœur battant rapidement après une telle vision, Roslyn et Erethir s’intriguaient des corps et vinrent à ma réception comme si ils s’étaient demandés si je n’allais pas sauter dans le vide après ça. Mais ce fut Grise-Gueule qui avança au début du pont en soulevant sa lampe comme pour exiger à ce qui se cachait là de sortir et de nous dire ce qu’il se passait ici. La lueur s’étendit, mais ce fut sûrement sa présence qui dévoila la marée infâme que j’avais pu voir de mes yeux en ayant faillit chuté à l’instar des pauvres cadavres n’ayant pas eu autant de contrôle que ma personne. Des Réprouvés pour la plus part, des fameux loyalistes ayant été normalement contrés par les forces de l’Alliance, ne s’étaient finalement que retrouvés engouffrés dans cette énergie malveillante torturant les âmes de ceux subissant cette affliction. Ils essayaient de saisir le Worgen, en vain, agitant leurs bras vers cette lumière en prenant petit à petit de plus en plus de place. Pour Roslyn malheureusement, c’était difficile de concevoir parvenir à faire grand-chose sans usage d’énergie à renvoyer, mais Erethir fit déjà jaillir un bouclier arcanique autours de Grise-Gueule, arrêtant les bras dans quelques décharges de pouvoir pure.
De mon côté, cela épuisa mes réserves d’énergies en me tordant l’estomac par l’envie de regagner tout ce qui fut ôté par la quantité de magie usée, tout ça pour érigé deux grandes barrières formées de diverses runes telluriques reluisante doucement en formant les protections nécessaires pour une traversée rapide. La lumière de la Lampe du Druide jaillit le long des parois comme pour empêcher les bras décharnés de la brisé trop vite, et nous voilà rapidement en route. Roslyn aidait le jeune fantassin à progresser sans se laisser aller par la peur intense que tous pouvaient ressentir dans l’instant, le spectacle était si effroyable que si Erethir ne m’aidait pas moi à avancer, le manque de force m’aurait potentiellement aussi fait choir sur le pont en attendant d’être à mon tour récupérée par les âmes gémissantes.
Une fois de l’autre côté, l’apaisement prit quelques instants malgré une vision affreuse juste devant nous, mais c’était derrière qu’une inquiétude fini par me faire tourner la tête instinctivement pour voir le Worgen à l’autre bout du pont. Les protections de cette ampleur n’étaient pas faite pour tenir indéfiniment, s’effritant et se brisant au fur et à mesure. Et alors que l’obscurité l’aurait submergé, tout en nous faisant disparaître certainement dans cette brume, il fit un pas. Et réapparut à nos côtés. Ayant littéralement passé d’une « porte à l’autre » à travers les deux réalités qui étaient en pleine jonction dans ce lieu, c’était peut-être le plus avantageux pour ceux comprenant l’étendu d’un tel pouvoir d’avoir l’opportunité d’en jouer. Cette infamie devait cessé, et nous fumes accueillit par trois corps malformés.
Elles gisaient comme empalés par des piques, mais il s’agissait là plutôt de sortes de racines tournoyantes ayant percés leurs corps en les maintenant au dessus du sol comme des sinistres épouvantails. Je ne comprends pas spécialement bien les méthodes des sorcières, mais celles ci étaient un de ses trios créant un véritable équilibre d’une triade malsaine. Fort heureusement néanmoins, elles n’étaient déjà plus que des corps dévasté par ce qui avait été ici généré sans toutefois réellement parvenir à comprendre ce qui avait pu se passé. Bien qu’Erethir nous dit que les corps ne devraient pas rester ainsi, ce en quoi il avait parfaitement raison et bien entendu, nous reviendrait à la figure peu de temps après puisque nous avons donner une priorité instinctive à toute autre chose, j’ai suivi Grise-Gueule qui fonçait en direction de quelque chose qui venait visiblement de prendre toute sa concentration. Et sa colère. Courant rapidement à travers la brume jusqu’au cœur de la Tour perdue que nous avions à peine perçue à travers le « ciel tombant » dessus, avait été installé une sorte de bourgeons essayant lentement de donner vie à un arbre.
Des corps gisaient de par et d’autre de nous, portant les habits du Cercle Cénarien, de différentes races ayant rejoint cette faction druidique en se retrouvant tous massacrés au sol sans que je ne pu vraiment déterminé ce qu’il s’était passé. La nature était abondante ici, encore plus, mais une impression malsaine de vilenie envahissait l’espace. Grise-Gueule était clair à ce sujet : Le Bourgeon était le fruit d’un arbre-monde souillé, certainement comme l’évoque Erethir celui de Shala’nir dont il pouvait se trouver des rares graines maudite au possible. Préparant rapidement l’incantation qui dévasterait cette hérésie à ses yeux, voilà notre objectif principal sur le point d’être accomplit et rien ne devait distordre sa concentration. Pas même l’énorme Golem qui lentement sortait de terre dans un bruit de gémissement rauque et puissant. Il s’élevait lentement sur le pont en l’agrippant de ses bras terrifiants, ressemblant à un de ses golems de mousses mais son intérieur semblait fait de pierre, de boue, et de restes de cadavres décharnés. Plusieurs crânes massifs installés au dessus de sa carrure lui servant de têtes innombrables. Il progressa lentement dans notre direction, Erethir faisant déjà jaillir les flammes dans une tentative de l’arrêté en des explosions intenses. J’enchantais à la hâte les armes de Roslyn ,bien que ça ne tiendrait que quelques secondes via les runes telluriques, ce serait suffisant. Et ce, avant de m’acharner sur les corps. Erethir avant raison : Le golem écrasant son poing devant les corps des sorcières afin de les « contrôlés » sans vraiment les réanimés, comme des marionnettes.
Me retrouvant au contact avec une de ses choses essayant de me mordre jusqu’à ce que Roslyn la décapite d’un bon coup d’épée, le Golem en lui même fini par choir sous les impacts massifs reçu après avoir envoyer Roslyn s’écraser plus loin d’un grand balayage d’un de ses bras imposant. S’écroulant devant Grise-Gueule, celui ci avait déjà détruit la graine dont l’influence néfaste et souillée disparaissait maintenant de cette terre. Pour nous en débarrassé définitivement, après avoir perçu l’étrange image magnifique d’un loup blanc féroce prêt à se battre, je congelais le corps avec quelques usages de runes et de sorts afin que l’effet chaud-froid du sort d’Erethir le fasse exploser en milles morceaux. Ce fut la dernière image d’une chose hors de la logique de notre réalité à apparaître, et ce lieu pu redevenir simple, commun. En paix. Tandis que les horreurs finissaient de défilé dans mes yeux une fois l’adrénaline chutant, je ne pouvais que m’interroger sur un point essentiel : Mais qui était le coupable ? Qui avait fait venir cette graine ici, le cercle cénarien ? Quelqu’un d’autre ? Grise-Gueule nous conduirait peut-être un jour trouver la réponse à cette question. Pour l'instant, le Terne-Maux reste aussi essentiel, dommage qu'il n'y ait pas de lien entre ses deux histoires pour trouver toujours plus de moyen d'arrêter ce mal. »
- Aestria Lunsilf.
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Carnet de voyage d’Aestria Lunsilf
Onzième entrée – L'horreur derrière le Tire-Sourire.« Atteindre Lung Tire-Sourire était une priorité, même si ce n’était là qu’un facteur de la naissance du Terne-Maux, cette drogue abjecte qu’il utilisait devait être arrêté avant d’atteindre la source principale. Revenant dans la Rade après notre engagement auprès du Kirin Tor s’officialisant petit à petit, nous avons pu retrouvé aisément Ben qui nous attendait pour partir en direction de l’emplacement où le Sergent Osvald de Bonaloi devait nous attendre en pensant avoir découvert les lieux où la drogue étaient préparée, ce qui convenait aussi au Kirin Tor. Mais une frappe avec trop de personne aurait mit en danger les civils, nous étions censés alors rencontrer nos alliés directement sur place. Après un voyage sur la grand route, Ben salué par une jeune femme visiblement amoureuse et errant au milieu de la monotonie des grands passages commerçant, parvenir jusqu’à la destination ne fut pas fort difficile. Même si des badauds étaient inquiet quant à notre venue ici, comme l’avait entendu Endhoril, c’est que certains se murmuraient déjà ce qu’il pouvait se passer là-bas. Certainement ainsi que le Sergent Osvald avait découvert les lieux il faut croire.
L’emplacement semblait des plus bénins, il y avait une activité tranquille où des employer travaillaient dans les forges pendant que des caisses étaient acheminés vers un large chariot. Le massif entrepôt était clos et gardé, malgré quelques patrouilleurs, aucuns nouvelles du sergent et des siens devant nous attendre ici. Je m’installais au cœur de l’endroit pour avoir une vue d’ensemble, pendant que Ben approchait le Contremaître local afin de le salué. Endhoril avait disparut quant à lui, inspectant les arrières de la grande réserve afin de trouver une piste efficace pour rentrer dans le bâtiment discrètement. D’après les discussions de Ben, il apprit visiblement en jouant le rôle d’un Eaugure corrompu, qu’ils forgeaient en plus de préparer le Tire-Sourire, des instruments de diffusion à grande échelle pour le navire de Lung. Entrant dans la réserve, il assomma le contre-maître et récupéra un trousseau de clé. Sortant de là avant d’être sous l’effet d’une fumée abjecte – Bien que son heaume avec des éléments en Sancteforge et un masque le protégeait très efficacement, il écrasa un des brigands en se rendant compte qu’il avait été découvert. J’étais tenue par un des faux gardes, me tenant les cheveux fermement, tandis que les quelques présents levaient leurs armes à poudre vers Ben. Se tenait là un véritable petit duel de tension alors que les locaux choqués reculaient, mais étaient vite rattrapés par les brigands. Ben fit feu, exécutant celui qui me tenait d’une balle en pleine gorge, et tout dégénéra rapidement.
Endhoril n’avait pas vraiment été inactif en attendant, ayant pu rentrer dans la grande réserve en découvrant le contenu des sacs de jute puant : des corps, en grand nombre, utilisé après une souillure étrange pour en extirpé du Tire-Sourire. Ceux qui travaillaient à l’intérieur étaient visiblement tous des esclaves, des humains Tirassien dont l’aspect était pâle, ne pouvaient parler aisément, un peu à la manière de ceux qui s’occupaient des caisses du Pandaren en Boralus. Si ce n’est l’impression d’être entré dans une cave aux horreurs dont tout semblait fait pour être puant et dérangeant, il y avait une sorte d’artefact rayonnant d’une faible pulsation bleutée. Un étrange totem siégeait au milieu de l’entrepôt, de facture de Pandarie justement mais ayant une sorte de lueur étrange s’en dégageant. Si Endhoril aurait pu faire quelque chose à l’intérieur, il choisit de donner la priorité aux échos de voix qu’il entendait à l’extérieur. Le temps de sortir voir ce qu’il se passait, une silhouette étrange et velue s’échappait par la porte d’entrée avec le dit totem de contrôle.
Fonçant de nouveau vers l’intérieur tant que Ben gagnait du temps avant le tir cité plus haut, ce fut pour lui le bon moment pour couper les liens des prisonniers ahuris qui gémissaient à l’idée de se venger de leur geôliers, mais en l’absence du dit totem ils semblaient parfaitement inactif et inapte à poursuivre le travail comme si leurs corps refusaient d’agir. Esquivant quelques coups hasardeux, il ouvrit la porte principale en laissant se déverser les prisonniers sur des gardes ahuris par la surprise. La mêlée pouvait commencer dans un sacré désordre, et les deux protecteurs de l’entrepôt furent les premiers submergés par des ruées de coup puissant avant qu’ils ne se dispersent en nous faisant gagner énormément de temps sur le gros des foules des brigands du Tire-Sourire.
En ayant abattu leur chef, Ben avait plongé au sol en limitant grandement les dégâts des tirs fusent ici et là. Le chaos s’installait aux détonations, alors que les civils fuyaient ou étaient mit en ordre par les brigands locaux. Endhoril chargea pour désarmé en vitesse les deux faux Gardes des Portvaillant voulant achevé Ben au sol, les assommant quelque peu brusquement plutôt que de les abattre. Ben se débarrassa des derniers brigands, mais la situation n’était pas joyeuse : Encerclés, les civils seraient bien vite prit en charge par les bandits du Tire-Sourire avant de s’attarder sur nous. Cherchant des solutions en vitesse, Osvald de Bonaloi aurait peut-être encore nos renforts si il était toutefois encore en vie, Ben avait tirer une fusée dans les airs éclatant de milles feux pour montrer notre position aux patrouilleurs locaux. Fonçant en perçant un passage que je maintenais au mieux en gelant les jambes des brigands essayant de nous empêcher d’atteindre une trappe découverte grâce à un des tireurs semi-conscient qui fini rapidement par nous donner l’indication de peur de très mal finir, et les visages d’Ovsald et de nos « renforts » furent illuminés et quelques peu éblouit quand la lumière mourante du crépuscule tomba dessus.
Endhoril installant une échelle, Ben repoussait quiconque s’approchait, mais le surnombre aurait pu l’emporter si des cavaliers de la patrouille alertée n’avaient pas charger l’ennemi avec vaillance en reconnaissant le tabard d’un affilié aux Eaugures. Accompagnés des survivants délivrés, les lieux purent rapidement être investit par la véritable Garde des Portvaillants en mettant en arrêt leurs tentatives pour créer du Tire-Sourire. Si l’aspect humain avait été bloqué, la magie néfaste quant à elle continuait d’errer dans les lieux de part cet étrange totem.
Le choix fut aisément fait : Endhoril allait traquer la piste, Ben et moi l’accompagnant en vitesse pour atteindre notre objectif final. C’était son expertise, et la chasse dura une bonne journée où nous avons du campé dans la neige d’une hauteur rocheuse où la piste menait. Iskander était à l’aise, autant que Endhoril dont le métier de Forestier l’avait endurçit pour ce genre de pratique, et après une nuit au feu de camp suivit de nouveau d’une longue marche en journée, les traces remontaient vers une piste. Celles ci se mêlaient maintenant à de nombreuses autres, des bottes et des sacs de jutes traînés dans la direction vague d’où nous venions. Me demandant une inspection magique, je fini par un voir la souillure qui faillit me faire perdre la tête, mais aussi une lumière puissante, agréable, et éloignant les miasmes m’ayant envoyé à terre pendant mon identification.
Nous concertant à l’idée que ce serait plus sûr de trouver un moyen de nous protéger avant d’atteindre la source de la corruption, nous voilà déviant quelque peu de la route pour y retrouver une caravane brisé. Les corps de deux nains jonchaient le sol épris par un désespoir presque inquiétant au vue de leurs faciès, après avoir essayer de défendre la Draeneï à moitiés enfoncée dans la neige dont l’état ne pouvait pas suggéré grand-chose de joyeux. Avant de fouiller la caravane, Ben fut prit quelque peu de stupeur en observant un recoin isolé comme si on avait capté son regard par quelque chose d’aussi passionnant qu’effrayant. J’essayais de le faire sortir de sa torpeur, mais Endhoril vint aussi intervenir en observant vaguement la destination où se portait la vue de Ben pour à son tour être prit par cet état de stupeur. Néanmoins, sa vue éveilla suffisamment Ben pour qu’il tire sa pistole à deux coup dans un claquement puissant d’une détonation, le projectile perçant ce dont n’avions vu la forme mais qui laissa une fumée écœurante et un peu de matière visqueuse noire. Quoi que cela pouvait être, c’était certainement lié aux horreurs amenés ici, et nous nous sommes rapidement concentrés sur ce qu’il s’était passé ici pour trouver un moyen de s’en prémunir la prochaine fois que quelque chose voudrait essayer de s’attaquer directement à notre psyché.
La fouille du campement fut rapide, déterminant la manière dont les nains étaient morts, ainsi que ce qui avait brisé la caravane par un choc magistral. Celle ci appartenant à une représentante des champions d’Azeroth sous les ordres même du Héraut du monde, comme en témoignait les couleurs retrouvés par Endhoril dans les débris fracassés, ce fut Ben qui vint à son assistance. Celle ci ouvrit les yeux brusquement, reprenant sa respiration comme si elle n’avait jamais eue de souffle, attrapant son avant-bras. Malgré la réaction un peu brusque d’Iskander, il fini par recevoir le présent qu’elle lui tendait : Un sac de jute très simple. Sous sa demande, je congelais celle dont le regard s’éteignait lentement pour essayer d’avoir une chance de la sortir de cette stase en vie une fois rapatriés vers Dalaran. De son côté, notre forestier découvrit les effets bénéfiques du feu de camp et des flammes accompagnant les morceaux de bois rallumés par ses soins, permettant d’éloigné la profanation locale. Nous étions équipés de ce feu sacré, ainsi que du contenu du sac préparant Iskander à sa confrontation : Une petit géode d’Azérite, ce minerais sacré issue du sang d’Azeroth. Reprenant la route en laissant là le givre et le malheurs, il fut aisé de remonter ensuite la piste vers la chose qui avait enlevé le totem.
Celle ci se trouvait dans une alcôve perdue dans la chaîne montagneuse enneigée de la rade de Tiragarde, usant de ce totem pour visiblement préparer une retraite de ce lieu avait toutes les affaires apportés. Il s’agissait là d’un Hozen, portant les mêmes couleurs que ceux affrontés en Boralus même quand ils étaient mêlés aux histoires du Terne-Maux. Des prisonniers encore en vie étaient tétanisés dans une cage de bois et d’os, tandis que le Hozen semblait occupé à se servir du totem pour faire naître le Tire-Sourire à l’intérieur du corps d’une personne qui hurlait de douleur quand une influence étrange venant de la grotte proche de lui s’accumulait sur sa personne. Ben fonça dans la direction du porteur du totem.
La lame renforcée par le pouvoir de l’Azérite, bien que ce soit éphémère, laissa tout de même un sillage sanglant sur le corps de la bête tandis qu’Endhoril profitait de cet ouverture pour libéré les prisonniers. Me tenant en coin en m’assurant de pouvoir leurs venir en aide, plusieurs Hozen jaillir d’ici et là, mais ce ne fut rien comparé à la créature s’extirpant de la grotte d’où elle apportait son influence atroce. Des légendes de Pandarie, il n’en restait qu’une fraction éparpillés loin dans des îles perdues. Le Sha incarnait un fragment de la facette du désespoir, véritable visage de ce qui nous fait penser que toute chance s’échappe à son contact, baignant comme le Tire-Sourire dans cette intensité blanche et noire qui l’incarnait. Lung devait être un véritable malade pour avoir amener et contrôlé ce genre de chose, et un terrible combat fut mené.
Ben pu provoqué des dégâts surprenant grâce à la force dégagé par le renfort de son arme, les traits enflammés baignant dans la source purificatrice retrouvée par Endhoril l’aidant encore plus, nous nous sommes débarrassés des Hozen en un tour de main. Privé de sa source de nourriture, à savoir les prisonniers qui partaient en direction de la Draeneï congelée, le Sha se débattit comme il le pouvait tandis que son incarnation s’étiolait à vue d’œil. Un des coups comme ceux ayant écrasé la caravane fut porté, et si Endhoril esquiva en vitesse en fonçant sur le côté malgré la blessure à son torse infligé par la lame d’un Hozen maintenant mort, Ben eu le courage de tirer un projectile imprégné d’Azerite avant d’être balancé à l’entrée de la grotte, laquelle s’effondra en laissant un nuage de fumée verdâtre du Tire-Sourire imprégné les lieux. Extirpant Ben par un transfert en vitesse, celui ci protégé de la fumée grâce à son heaume béni, Endhoril acheva le Sha grâce à un tir bien placé et enflammé, les trous béant dans son incarnation ne lui permettant plus de survivre à autant de choc. Éreintés, épuisés, transportant un Ben blessé, il était temps de revenir en Dalaran avec les rescapés ainsi que la Draeneï en espérant pouvoir la sauvé, mais grâce aux cartes, il était certain que notre prochaine objectif serait le navire de Lung, et le Pandaren lui même. Enfin, rétribution serait apportée après tant de maux causés. »
- Aestria Lunsilf.
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Carnet de voyage d’Aestria Lunsilf
Douzième entrée – Le menteur aux masques de peau.
« Depuis notre mise dans les rangs officiel auprès du Kirin Tor, plus clairement auprès de Korbent Tallas en guise de référent, les dernières semaines furent des plus calmes. La plus part des affaires, dont le Terne Maux, sont en surveillance à défaut d’intervention rapide pour nous préparé à la suite lentement. Néanmoins, en plus de toutes les affaires courantes et travaux sur la magie du moment qui occupe bien nos journées, j’ai du enquêter sur une intrigue qui aurait pu n’être que diplomatique si il n’y avait pas des possibilités d’usage de Dalaran pour le théâtre d’opération clandestine ainsi que d’introduction de quelques drogues depuis les égouts de la ville. Du chardon sanglant plus précisément, car toute cette histoire concernait une tentative de meurtre sur la famille Soleilnoir, dont une partie s’est intégrée au Kirin Tor en rapprochant ses survivants Sin’dorei et Quel’dorei.
Merendir était la cible, un agent d’un Sin’dorei présent en Lune d’argent aux activités suspects, et je profitais de son absence pour passer ses défenses et pénétré dans sa chambre avec toutes les accréditations nécessaires de la citée pourpre afin de mené au nom de Tallas, cette enquête. Son appartement était plutôt petit, des affaires éparpillés ici et là, on y ressentait bien l’impression que nulle ne viendrait souillé son sanctuaire ni avoir jamais l’impression d’être découvert comme étant une gêne possible. Dommage, me disais-je, mais tout devait être identifier strictement par mes soins. En tout, ce qui fut découvert identifia clairement le véritable rôle de Merendir – Une sphère de contact pour recevoir ses ordres imprégnés par une magie démoniaque, des notes éparpillés sur les différents projets le concernant ainsi que le petit phénix en cage isolé dans un recoin. La création magique avait été captive et affaiblie, attendant de pouvoir la brisé pour un rituel impie dont les préparations étaient aussi dans quelques parchemins.
Avant même de finir l’identification, je libérais la création enchantée est partie directement retrouver son maître, Lurhan, tout comme je donnais mes consignes pour faire venir des membres de la Garde pourpre pour scellé le gangrechiste découvert pour le rituel à venir. La dernière horreur se trouvait dans son coffre, où il y avait un visage elfique soigneusement découpé presque avec amour, minutie. Il fut découvert qu’un Incube, très rares survivant de cette caste dominé par leurs femelles au sein des forces démoniaques, avait été utilisé pour jouer le rôle de Merendir pour la réussite de son maître surnommé « Le Fou. » Une fois que tout les éléments furent mit sous scellés, la question était de le retrouver en vitesse afin de capturer cette être maudit dans un premier temps. Même si tous désiraient le voir être détruit avec moult violence pour ses ignominies, nous étions encore en manque de réponse quant à son utilité ainsi que ses intrigues en ville. Son maître, que pouvait-il bien cherché ? Il fallait mettre la main dessus pour en savoir plus.
Et cette expédition se fit quelques jours plus tard. Grâce aux ressources découvertes, j’ai pu à force d’étude retrouver un lieu en Aszuna qui est actuellement une des terres que nous identifions le plus pour l’interêt de la préservation de la contrée autant que des recherches magiques pour le Kirin Tor. La grotte était isolé de tout, non pas dans une sinistre caverne au bord des eaux proche des anciennes zones contaminés, mais caché dans les hauteurs montagneuses proches des lieux de pouvoir notamment investit par le Vol bleu du repos de l’Aile Azur. Tout dans les recherches sur des documents autant que sur les identifications de ses derniers voyages menait ici, et nous avons acquit une sphère apte à capté l’essence de l’âme de l’Incube si il venait à périr plutôt que de la voir disparaître vers le néant distordu. Endhoril devait veiller sur nous depuis les ruines d’à côté pour vérifié que les entités rôdant à travers des cristaux de mana ne soient pas attirés par notre présence en nous prenant à revers tandis que j’irais avec la Gardienne pourpre Kaley, membre des forces armées de Dalaran.
La combattante levait son pavois enchanté vers des menaces invisibles, en attente de tout ce qui pouvait nous tomber dessus dans ce lieu qui pourtant avant d’y voir les horreurs avait hélas un aspect enchanteur. Des cristaux de pouvoir installés sur les recoins de la grotte pulsaient doucement à mesure d’un flux de magie invisible, jusqu’à un bassin au fin fond de la dite grotte. C’était vraisemblablement une eau de ses célèbres puits de mana, dont on peut en trouver de nombreux dans la contrée, mais dont on pouvait y voir vaguement une certaine souillure l’idée à ce qui était visible au centre de la pièce.
Un corps, une silhouette perdue dans l’obscurité penché dessus en faisant usage de divers matériaux de chirurgie avec une minutie presque amoureuse dans ses gestes et dans le maniement des chairs. La distance et l’obscurité ne nous permettant pas d’en voir plus, si il s’agissait de notre cible, le plus important était d’aller inspecter la cage à notre droite où une forme qui elle était debout semblait attendre. Progressant doucement en sa direction, sous le couvert de Kaley, je pu rapidement identifier la personne en remarquant que la cage n’était pas des plus solidement protégée, avant de comprendre la raison abominable à cela. Il n’y avait pas besoin de laisser moult protections pour que ne s’échappe pas un elfe dont les yeux avaient été retiré et la bouche cousue. Il semblait si faible, fragile, maltraité par les horreurs subies en ce lieu ce qui me décontenança plus que de raison.
L’esprit est une chose étrange, et quand il est submergé par des atrocités dont il n’aurait pu imaginer la teneur, aussi habitués pouvons nous être par ce genre de constat, il est rare qu’il puisse nous laisser indifférent les premières secondes où nous réalisons pleinement ce que nous avons en face des yeux. Prise par la colère, après cet instant de peur peu contrôlable, l’entité devait être châtiée et capturée dans la plus grande sévérité. Se riant de nous, ce dernier avait probablement déjà constaté notre venue sans vouloir se détourné de sa morbide affaire jusqu’à ce que nous nous opposions directement à lui. Les épées en main, divers enchantement préparés, il ne put bien longtemps se voler à notre regard : Dès lors qu’il devint invisible, un sort de détection permit rapidement de le retrouver sous l’aspect de dizaines de lueurs éthérés glissant autours de sa forme. Lui qui était si arrogant dans des intonations suintantes d’une envie de provoqué de la douleur, la rage s’empara de lui et la griffe étendue le long de son bras percuta le bouclier de Kaley, et la cage lentement, était en train de nous tomber dessus.
Le démon n’était pas un adversaire des plus simple à vaincre, bien trop rare pour être recensé voir même comprit si ce n’est des théories sur leur esclavagisme et leur massacre par la gente féminine de cette peuplade, celui ci libéré et servant comme un chien devait avoir développé un sadisme poussé à un rare extrême car tout dans ses outillages et ses armes semblaient fait pour infligé une douleur absurde. Si il s’échappait, ou restait à distance, les conséquences ne pouvaient qu’être terrible, et malgré le danger d’une cage me tombant dessus, je pris sur moi de transféré Kaley directement à son contact dont la lame déjà prête pu taillader ses chairs écailleuses. L’affrontement via ce coup inattendu ne dura pas bien longtemps, me relevant lentement de la poussière soulevé par le choc d’un cage effondrée, la dépouille de l’elfe gisant parmi les débris en ne bougeant qu’à peine, et quelques enchantements supplémentaires sur la lame de Kaley lui permit d’en finir avec une frappe puissante au milieu du torse de la bête démoniaque. Sa vie se consumant à mesure que son corps disparaissait en quelques cendres, l’âme repartant vers le monde distordu et néfaste au delà de la réalité, elle fut néanmoins captée par la sphère dont la Tirisgarde nous avait laissé l’accès afin de laisser cloîtré cet esprit vicié.
S’en était fait, mais en dernière offrande pour notre victoire plus que quelques coups puissants ayant maltraité la Gardienne, les esprits de ceux tourmentés se joignirent ensemble dans le bassin de pouvoir dont le pauvre elfe qui fut décharné par l’élan de puissance sans pouvoir finalement le sauver de sa condition atroce. S’éveillant lentement du bassin, le golem d’ossement s’extirpa en même temps que des pierres chutèrent du plafond alors que la grotte commençait à s’effondrer. Affronter une aberration osseuse sous un déluge de roche dans un lieu qui serait bientôt écrasé ? Non merci. Nous avons commencer rapidement à prendre la fuite en recevant quelques pierres douloureuse le long du chemin avant d’être projetés à l’extérieur sous l’effet d’un ultime fracas. Le temps de nous reprendre en nous redressant mollement après tant de problèmes physiques, le Golem incarnés par les âmes tourmentés par les horreurs subies ici, essayait d’ouvrir un passage en retirant brusquement les pierres de ses doigts osseux.
Kaley me donnait encore plus de temps en bataillant entre le bouclier enchanté et sa lame, jusqu’à ce que l’explosion des arcanes inséré à même sa carcasse grâce aux interventions de Kaley, pu finalement exploser en éparpillant ses os un peu partout dans un véritable raz de marée de ses restes éparpillés. L’âme étant dans la sphère acquise, elle devait être mise en sécurité le plus vite possible avant que quoi que ce soit ne puisse se passé, ce qui concernerait les investigations dans cette grotte dévastée serait le rôle d’autres membres du Kirin Tor, de notre côté, c’était fait.
L’interrogatoire par des spécialistes fut vraiment rapide pour pouvoir se débarrassé de ce démon une bonne fois pour toute, révélant que l’usage de cette grotte était pour recueillir des visages différents afin de parvenir à récupéré les composantes nécessaires à un rituel spécifique : Celui pour faire s’échapper l’esprit dévasté de Meldraxx, un nathrezim inférieur défait lors de la Guerre contre la Légion ardente. Il était préférable qu’il ne sorte pas, notre prochaine objectif sur ce sujet serait donc de mettre la main sur « Le Fou » avant qu’il ne trouve un moyen d’atteindre ses objectifs. »
- Aestria Lunsilf.
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Carnet de voyage d’Aestria Lunsilf
Treizième entrée – Dans la caverne aux reflets arcaniques.
Treizième entrée – Dans la caverne aux reflets arcaniques.
« Œuvrer de manière bien plus rapprochée dans le Kirin Tor implique de nombreux changement inattendu. Bien sûr, le Terne Maux devait rapidement nous mené de nouveau vers la Rade, mais avant de s’organiser pour y retourner, Endhoril et moi fîmes la rencontre d’une Gobeline du Cartel de Gentepression nommée Mazzy que mon camarade connaissait déjà qui recherchait dans la citée pourpre une aide des magiciens. L’affaire semblait « relativement » simple : Des mineurs furent coincés par des esprits décharnés par le temps et les énergies arcaniques logés dans les minerais qu’ils venaient récupérés pour le compte de Zap, afin de continuer à mené des créations pour Gentepression. S’assurer que ses dernières soient pour une cause raisonnable fut un de nos premiers objectifs, mais sauver la vie des dits mineurs semblait plus important pour nous que pour nos employeurs à vrai dire. Après quelques discussions à la porte pourpre, et une journée entière de préparation pour créer la balise de stabilisation pour la grotte et une clé de dissipation pour ouvrir un accès là où ils étaient coincés par une barrière de mana, nous avons pu monté notre petite équipe avec Endhoril, Mazzy, et deux jeunes agents du Kirin Tor nommé Stanislas et Meriadoc pour transporter la balise et surveiller nos arrières.
Les mages réagirent à notre venue afin de nous lancer dans notre expédition, préparant le portail avec les analyses déjà prévues afin de nous envoyer rapidement sur place, au vue de l’urgence de la situation ce qui malheureusement, n’allait pas être si utile que je le pensais. Ce qui détonnait lors de l’ouverture de ce portail, fut avant tout le froid glacial porté par ce qui nous attendait à l’extérieur, les experts telluriques avaient pu trouver un recoin malgré la difficulté, proche de Long-guet, là où nous avons pu apparaître au grand désespoir du jeune Stanislas qui ne cessa de nous le faire savoir avant que le sortilège de mutisme de Meriadoc ne le fasse taire. Mazzy fini de préparé notre entrée, et nous voilà découvrant Long-guet, la curieuse ville gobeline où des animaux parfaitement mécanisé errent et l’endroit est bien plus chaud grâce aux immenses projecteurs réchauffant tout l’espace en éloignant les affres glacés du temps extérieur.
Récupérant dans une boite de métal un chocolat chaud promis – curieuse coutume, laissant une nouvelle fois Endhoril faire montre de son charisme puisque même une gobeline semblait le trouver particulièrement à son goût, avant de discuter un instant avec l’investigateur du projet installé devant une machine immense et d’une complexité telle que je n’aurais même pas essayer d’en saisir l’impact et les possibilités. Il voulait visiblement récupéré les sources de pouvoir contenu dans les minerais de la mine afin de stabiliser son téléporteur intra-dimensionnel afin de pouvoir en de meilleur condition parvenir à envoyé des gobelins d’une ville à une autre, plus efficacement encore. Voir même ailleurs, qui sait ? Négociant la surveillance d’un agent du Kirin Tor dans ses projets quand la mine sera sûre, il fini par accepté en nous laissant partir avec notre petite équipe muni de fourrure et de ce chocolat chaud fumant. Ce qui allait bien aider, car en sortant de la ville, c’est le froid intense d’un blizzard qui nous attendait où le vent faisait cinglé le tout comme des lames de rasoirs. Ainsi, notre périple pouvait vraiment commencer.
Au moins la route était-elle relativement praticable malgré l’état déplorable du temps présent. Si elle aurait pu être bien plus courte, ce fut néanmoins à cause du temps l’épreuve d’une heure et quelques dizaines de minutes de marche âpre sous les caprices du vent hurlant avec peu pour nous réchauffer suffisamment pour rendre la route confortable, mais au moins était-elle vivable. Les gobelins au passage souhaitèrent bonne chance à Mazzy en lui demandant d’écraser quelques nez de fantôme braillant en leur honneur, sans avoir conscience du danger qui nous attendait là-bas. Fort est de constaté que nous ne l’étions pas non plus, sinon j’aurais peut-être réfléchit à me trouver une raison d’être parfaitement ailleurs à ce moment là en envoyant des équipes bien plus préparés que la notre. C’est donc dans notre paisible insouciance que nous avons découvert l’énorme entrée de la grotte comme un gouffre béant perdu au milieu du Berceau de l’Hiver. Immense, exerçant une sordide fascination en contemplant ce passage comme la gueule d’un monstre antique. La barrière était bien présence, dans une vague lueur mauve, mais rien parmi les recherches d’Endhoril ne laissa présagé une attaque récente.
Levant la clé préparée pour l’expédition, celle ci relâcha les runes telluriques tournoyantes doucement autours de cette dernière, avant de créer un large cercle étendu le long de la barrière de mana. Reluisant doucement à la clarté de la protection pourpre, les runes ne permirent la dissipation de cette dernière, mais son double aspect permit de résorber le pouvoir vers sa source en ouvrant donc un accès saint vers l’intérieur de la grotte, ce qui inconsciemment rendait notre périple simplement dangereux et mortel au lieu d’impossible et atroce. Laissant Stanislas et Meriadoc avec la clé et la louve d’Endhoril pour surveiller notre sortie et nos arrières, nous avons donc à trois fini par rentrer à l’intérieur de la grotte pour comprendre ce qui pouvait se passé ici. Vide, absolument rien, des tesseracts étrange ondulant et crépitant d’énergie à plusieurs recoins le long du passage vers le cœur de cette immense caverne presque rassurante quand les lueurs bleutés éclairait les environs. Avec l’usage de quelques runes de stabilisations autours de mon bras, la lumière bleutée gagna les lieux en dévoilant les environs proche en essayant de stabilisé les miasmes étranges qui ressemblait à des couches illusoires de réalité défaillante.
Les corps des gobelins nous apparurent en masse autours de nous, ainsi que les spectres des bien-nés l’air aussi décharnés et lugubres qu’on pouvait s’y attendre. C’est là que la compréhension m’apparut, essayant de tissé un lien avec la source mère de tout ce chaos grâce à un des tesseracts, il était clair qu’ils généraient des failles dans la réalité environnante à cause d’une influence néfaste locale. Pour atteindre notre objectif il faudrait atteindre celle où la source se terrait, mais avant cela nous pouvions avancer le long du passage sinueux et enneigé de cette immense cavité dans la montagne sans craindre d’être massacré par les esprits qui visiblement tuaient encore et toujours d’autres malchanceux visible au fils des temps. Rien n’était agréable à voir, des scènes de peur, d’horreurs et de tueries anciennes figés dans la mémoire des lueurs arcaniques chaotique. Le défilé des problèmes évités se poursuivit jusqu’à atteindre la source de tout les maux : Une sphère, un cristal de Zim-malor, libérant son pouvoir immense sur la cohérence de la grotte.
Voir un objet de ce pouvoir était fascinant, enivrant, des cristaux de mana était apparu dans les environs un peu partout sur les parois rocheuses, voilà clairement ce que Zap voulait récupéré pour ses technologies recherchées. Bien que j’essayais de faire usage des longues heures d’études sur le contrôle de soit pour ne pas succomber à une envie de puissance enivrante, car même en touchant un de ses éclats je m’en sentais imprégné en ayant le pouvoir de tout accomplir en ce monde. La plan était simple : Le cristal provoquait une fissure locale sur la cohérence physique à cause du déversement d’énergie instable. Le projet avait l’air simple ainsi dit.
J’isolerais le cristal dans un sceau afin de contenir le surplus en un flux stable l’isolant dans sa propre matière, au fur et à mesure, les couches de réalité finiraient bien par s’estomper. Mazzy continuait à récupéré des éclats arcaniques un peu partout en surveillant mon rituel en cours, envoyant de nombreuses runes telluriques dont la forme du sceau ressemblerait aux tesseracts présents dans la grotte. Endhoril était parti en vitesse essayer d’apporter Stanislas et Meriadoc, ainsi que le stabilisateur du Kirin Tor pour mettre un point final à mon plan. Jusqu’ici, nous avions pu par réflexion, attention et précaution évité la plus part des problématiques ayant causé la mort de tant d’aventuriers, voyageurs et gobelins aux fils des mois voir des années. Mais le cristal n’avait pas du son dernier mot. Endhoril revint, constatant comme nous que les tesseracts bleutés jonchant le passage avaient disparut, et il n’avait pas pu sortir d’ici car en sortant de la grotte, il s’était retrouvé à l’entrée, mais vers l’intérieur. Comme un retour arrière inattendu, le bloquant dans ce lieu maudit dont les âmes anciennes de Zim-malor finissaient par refaire surface. Les esprits anciens nous jugeaient de plus, criant que nous ne devons pas touchés à ce cristal, et qu’ils devaient le défendre. Si la conversation menée par Endhoril pu être utile, je pense que c’est de mal faute si elle à fini par éclaté - Le cristal était en train de me rendre au fur et à mesure folle.
C’était peut-être l’influence du cristal ou de la magie, mais des images de conquêtes et de gloire me vinrent tant à l’esprit qu’ils finirent par avoir raison de ma volonté à conservé une certaine retenue. Ce fut Endhoril qui me jeta à terre avant de le saisir, et les spectres voyant la scène, réagir en se ruant avec Mazzy. La Gobelin tient bien et plus longtemps que de nombreux autres combattant ne l’auraient fait face à une horde entière d’esprit repoussés à grands efforts de sa masse de bataille. Reprenant mes esprits une fois que je fus plaquée au sol, la suite de mes incantations me poussèrent à créer un halo de protection afin de ne plus être atteinte par cet instinct de folie. Endhoril et Mazzy luttèrent dans un combat inégal, repoussant les âmes damnés en voyant à chaque fois une autre revenir prendre la place de la première, et en ajoutant deux autres camarades avec elles. Mais une fois l’orbe scellé, tout disparut d’un coup.
Les différentes réalités se mirent brutalement à s’écraser les une contre les autres, et devant ce que l’esprit n’était pas censé pouvoir subir comme vision, nous sommes tombés inconscients les uns après les autres. S’éveillant plus tard sous les appels de Stanislas et Meriadoc, ils nous retrouvèrent dans un champ de cadavre de nombreuses personnes. Gobelins, aventuriers, tout ceux ayant jadis perdu la vie se retrouvèrent ici comme si ils étaient tombés il n’y à pas cinq minutes. Écœurant et terrifiant spectacle, notre affaire était tout de même close et nous n’avons qu’installer la balise de stabilisation avant de repartir vers Long-guet. Zap nous récompensa largement pour nos efforts, et à juste titre, pendant qu’une partie de la ville envoyait ses récolteurs et mineurs vers l’emplacement libéré pour s’octroyer le plus de richesse, surtout en découvrant que parmi les corps il y avait celui d’un dragon bleu à dépecé pour récupéré ses écailles. Mais le plus important était de scellé une bonne fois pour toute le cristal de Zim-malor enfermé dans un tesseract de pouvoir. Afin que dans le Sanctum des Espoirs, il ne puisse plus jamais être récupéré pour provoquer quelconques catastrophes de ce genre. »
- Aestria Lunsilf.
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