Rumeurs du monde. (Trame Narrative l'Ancien Chapitre)

Au nord de la capitale de l’Alliance, dans les terres gelées de Dun’morogh, un nain raconte à qui veut l’entendre qu’un spectre rôde non loin, proche des cimetières et cavernes. A la nuit tombée, depuis plusieurs jours, des grognements résonnent dans les montagnes, des grognements sombres et graves. Un ours malade ou… autre chose. Sortir des villages à la nuit tombée devient angoissant.

La chasse à l’ours est ouverte !
Entendre quelques grognements lointains dans l’écho de la vallée est une chose presque habituelle, à Dun Morog, mais quand un nain meurt d’une attaque d’ours, c’est autre chose.
Dans la matinée du 8 du dernier mois de l’année, une troupe de chasseurs nains ont trouvé le cadavre d’un archiviste dans les alentours de Courbenclume. Les traces sur la victime étaient, à n’en pas douter, des marques de l’attaque d’un ours. Cependant, les plaies du cadavre suintaient un liquide noirâtre aux teintes d’un bleu sombre et l’expression de son visage était particulière, trop étiré, comme si le bougre avait vue plus que la peur, à un point que son corps a réagit plus qu’il ne le pouvait.
La chasse s’est terminée, dans la soirée, par la traque et la mise à mort de deux ours nécrosés sans yeux et empestant l’horrible odeur de la putréfaction. L’un des chasseurs trouva dans le crâne d’un des ours un étrange petit objet dont la description est difficile pour ses connaissances. Il observa l’objet longuement avant de le ranger.
Plus tard, ce même nain avait disparu totalement avec l’objet. Il a dû fuir pour aller le revendre au marché noir ou a un collectionneur ?

Un rapport bien étrange laisse émaner quelques rumeurs au cœur du Kirin tor, inquiétantes pour certains. Deux ren’doreis ont été retrouvé mort aux ruines telluriques de Zarkhenar la nuit dernière, la cause est encore flou, certains parlent d’une attaque de dragon, d’autre d’une créature magique, particulièrement féroce. En-tout-cas, une chose est claire, leur cadavre n’est pas beau à voir. Il en manque même quelques morceaux, mais le plus troublant est l’absence de traces de lutte autour d’eux, comme s’ils avaient été tués sur le coup, sans rien faire.
La rumeur est vague quant à ce qu’ils faisaient par ici, d’autant qu’il parait que ce n’étaient pas des membres du kirin tor, mais des ren’doreis disparut il y a quelques jours. Que faisaient-ils la et qui les a tuer aussi brusquement ?

HRP : Il est possible à chacun, désireux de s'investir un peu plus dans la trame, à venir ou simplement de mener sa propre enquête de MP le MJ (moi) via Discord : Karkadian (ou Karkadian#3964) ou par courrier en jeu à "Ekan". Je répondrais à chacun qui me MP et ceci a pour but de sortir les joueurs de Hurlevent ou Orgrimmar dans un scénario qui fera voyager les personnages à travers Azeroth, pendant ou en dehors des events.

Un peu partout sur Azeroth traîne tout un tas de choses bonnes ou mauvaises. Des rumeurs plus ou moins intéressante traînent à droite, à gauche, à qui veut bien tendre l’oreille, cependant certaines s’avère plus captivante, intrigante ou mystérieuse que d’autres.
En Kul’tiras et en Zandalar, des prêcheurs appellent à la fin de ce monde tel qu’il est, d’une renaissance à venir, de voix dans l’ombre et de silence dans la lumière. À qui souhaite s’intéresser à ces quelques prêches d’oracle aussi fou qu’ils le paraissent, des tracts traînent par endroit des capitales.

Mystérieux, oppressant et sombre est le Bois de la Pénombre. Au cœur de l’angoisse des ténèbres qui cachent le soleil, on entend une étrange musique résonner telles des percussions du glas qui sonne le retour des défunts au cimetière de la colline aux corbeaux.
La forêt, certes obscure et terrifiante, se met lentement à changer. Autour du cimetière, des arbres perdent leurs feuilles et laissent entrevoir quelques rayons d’une lumière salvatrice qui éblouit à nouveau la végétation depuis des décennies plongées dans une nuit perpétuelle.
Depuis quelques heures, quelques jours, un tintement rapide indique le tempo d’une dance se baladant à travers tous le cimetière, là où la putréfaction croit et où la terre déjà souillée par la mort se stérilise, devient toxique et les tombes se creusent.
Une marche étrange qui en appel à quelques cadavres curieux désirant entrer dans cette danse macabre.
Au centre de ceci, des chasseurs parlent d’une créature suintant la pourriture, à l’odeur d’un charnier et au regard lumineux d’un vert pâle et malade.
Voilà une bien belle étrange créature qui, à la veille du voile d’hiver, disparut et avec elle, l’écho de ses funestes tintements.
Cependant, au cœur du cimetière, le silence n’est qu’un luxe, une illusion qui attrape entre ses griffes les moins attentifs.


« Appelez les veilleurs ! Vite ! »

L’appel est lancé alors que le cimetière pourri par une magie venue d’ailleurs s’éveil à nouveau. Des cadavres lents, des squelettes nécrosés et des têtes vorace marchent, rampent, roulent vers la Colline aux corbeaux pour propager cette maladie abjecte et accroître lentement les forces désœuvrées de cette lente armée rappelant quelques terribles souvenirs aux vétérans de la guerre contre le fléau.

Il fallut neuf heures aux veilleurs de Sombre-comté pour stopper, repousser et endiguer cette invasion rampante que la putréfaction semble accroître en force à chaque seconde. Une enquête plus approfondie au cœur du cimetière est nécessaire. Les veilleurs forment des groupes entre les hommes d’armes et les volontaires.

(HRP : Ceci est la dernière rumeur avant le premier event qui aura lieu en janvier. Celui-ci sera lancé par une nouvelle rumeur prenant place à Sombre-comté avec la date d’ici le tout début d’année. Plus d’informations viendrons à ce moment.
Il est possible à chacun, sous ce post ou en MP par discord ou par MP IG (Ekan) de répondre à cette rumeur en indiquant ce que votre ou vos personnages feront de ceci.)

Les mauvaises nouvelles vont souvent de pair avec les bonnes. Quand un événement bénéfique arrive quelque part, son opposé arrive également autre part. Shandris Pennelune n’a qu’à peine eu le temps d’enfiler ses bottes de dirigeante des Kaldorei qu’elle doit déjà faire face à un premier message alarmant.
Les ruines d’Eldre’thalas, surnommé depuis quelques années Hache-Tripes, se sont vues infiltrées sous la garde des sentinelles. L’intrus s’est introduit dans la cité en ruine et est descendu en laissant derrière lui plusieurs cadavres Kaldorei vers l’ancienne chambre de Tortheldrin, puis vers les ruines de la grande bibliothèque de la cité. Les sentinelles en place ont tenté d’arrêter l’intrus et de bloquer les issus par magie et par le nombre, mais rien ne put l’arrêter.
Le rapport parlerait aussi d’un étrange malaise dans la cité et le son des os qui craquent.

Les râteliers se sont vidé en un éclair, le bruit du métal qui s’entrechoque a chaque pas résonne alors que les gardiennes du Caveau, en Aszuna se préparait au combat.
L’étrange craquement d’os qui avait résonné non loin de l’entré du caveau avait mit la puce à l’oreille de la gardienne Faerande et l’ombre qui entoura l’île du guet s’intensifiait. Les étages se bouclèrent l’un après l’autre et des gardiennes montèrent la garde à chaque entrée d’étage.
Cependant, alors que la garde se stressait, ce n’est pas l’ennemi qu’ils attendaient qui apparut le premier. Des nérubiens sortirent de terre et une vague de chaos secoua l’entré du caveau jusqu'à la chambre de la nuit. Dans une cohue de métal s’entrechoquant, on entendit des ordres beuglés de chaque côté. Les gardiennes furent dépassées rapidement par le nombre jusqu'à ce que des renforts des étages inférieurs ne remontent pas apporter assistance.
Au milieu de tout ça marchait un mort-vivant, appuyé sur son bâton aux gravures multiples. Les nérubiens semblaient concentré son attaque sur lui, mais rien n’y fait, il avançait en laissant des cadavres de tous dans son sillage.
C’est par une intense lumière blanche que fut stoppé l’affrontement. Plusieurs gardiennes mirent en commun leur pouvoir pour arrêter cette incursion. Les nérubiens prirent la fuite rapidement et du mort-vivant ne resta que quelques vagues traces d’un bout de tissu à moitié calciné.

« Une illusion ? Qu’avez-vous à cacher ? »
Ces mots furent les derniers que prononça un garde de Suramar avant que son corps ne touche le sol, inerte.
L’antique ville de Suramar a eu bien du mal à retrouver sa stabilité après les actes de ses dirigeants et de la légion en son sein. Grace a la horde, elle pu retrouver espoir et prospérité, mais son histoire, si jalousement gardé est une convoitise qui en intéresse plus d’un, même au cœur de la cité.
Quand un début de soirée se dévoilant comme un doux moment hivernal pour les sacrenuits se transforma en un chaos fait de flamme et de peur, les ombres se mettent à glisser loin de la lumière.
« De l’eau, vite ! » Beugla un garde de la ville qui s’époumonait à éteindre une bâtisse en flamme de l’un des nombreux quartiers de la ville. La différence avec les autres quartiers se trouve être la Grande Bibliothèque de Suramar.
Le quartier entier se mit à flamber d’un feu semblant inarrêtable et, dans la cohue, la grande majorité ne perçut pas la magie discrète qui s’infiltra dans la bibliothèque jusqu’aux archives d’Azeroth.
Caché loin du tumulte, quelqu’un fouillait allègrement les archives de Suramar dans une optique bien précise, et c’est un Shal’dorei qui le découvrit et le confronta.
L’elfe fut frappé de paralysie totale, à peine eut-il le temps d’interpeller l’intrus. Le mort-vivant qu’il avait face à lui, lui répondit que d’une phrase avant de disparaître.
« Lâche… Vous vous êtes caché, puis allié à vos ennemis… Vous comprendrez bientôt le chapitre de l’histoire auquel vous vous êtes dérobé. »

HRP : Ceci est la dernière rumeur avant le deuxième Event de la trame qui aura lieu en fin de semaine prochaine. Son annonce rp se fera très prochainement.

La péniche de Féplouf et Pozzik est un havre de paix entouré d’eau. Une station pour brigand et gentlemen qui n’ont qu’un amour, le pari sportif. Les joies intrinsèques de voir celui sur qui on mise gagner la course est proportionnelle à la colère qu’on a en perdant toute sa mise en pariant sur le mauvais poulain.
Cependant, certains aiment à savoir pourquoi ils ont perdu, afin de gagner en expérience et en lucidité sur le choix du prochain pari.
Quand Hectaz Grosécrou n’a pas passé la ligne d’arrivée après une longue course faisant le tour de toutes les mille pointes, certains ont commencé à enquêter. Le bateau modifié du gobelin fut retrouvé échoué sur un bout de terre relié à une pente remontant vers les souilles de Tranchebauge.
Les fans un peu trop zélés cherchant leur champion qui sont montés aux souilles ne sont pas tous revenus, parlant de tambours qui frappent et d’une présence menaçante dès les premiers mètres.
Les Hurans se sont éveillés à nouveau, ou alors quelque chose s’y attelle.

Le Tranchebauge, cet incommensurable amas de ronce géante qui forme un foyer protecteur pour les Hurans et angoissant pour les visiteurs. Depuis quelques jours, maintenant, les nains de Bael Modan et du Fort de la désolation ont fait rapport d’un agrandissement lent du domaine du clan Tranchécrin. Les ronces grossissent, se répandre et remodèlent l’environnement comme il fut, il y a tant d’années.
Cette expansion territoriale prend très lentement en ampleur et les nouvelles ronces du Tranchebauge suintent d’un liquide noir visqueux de micro fissure en son sein. Les ronces pourtant si robustes semblent se flétrir à mesure qu'elles grandissent, non pas d’un manque de ressource pour grandir, mais on dirait un genre de magie qui modifie la structure même de cette création antique du dieu mort Agamaggan.
En plus de cette nouvelle inquiétante, le fort de la désolation rapporte à la horde des traces de Hurans vers les ruines du Fort Triomphe dévasté à l’époque de la purge de l’alliance sur Kalimdor par Garrosh. Le Fort-Triomphe semble pris d’une certaine activité qu’un groupe d’éclaireur de la horde a réduite au silence.
« Les hurans s’étendent à nouveau » Rapportera l’un des hommes revenu au fort. « Ils sont armés d’une nouvelle sorte de magie. Elle en a fait rouiller nos haches et putréfié nos chairs. »