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Une haine, L'explication de Lorran

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Message  S. Lorran / G. MacMillan Dim 25 Jan 2009, 14:16

Froid dans une taverne, une femme approche une table ou se tiens un monstre, deux mètres dix... 140kilo de muscles, son œil en fer regarde un dossier rouge, une larme de sang sortant de son œil naturelle, sur ses avant-bras sont tatouer "rôdeur" sur le droit et "Brume" sur le gauche. Il n'y a pas de doute, c'est bien lui, craint, l'homme colérique à la bière, l'homme qui a ouvertement décrit sa haine contre les kaldorei, contre le roi... contre tous. Le peureux, qui dort avec son seul oeil ouvert. Mais a-t-il vraiment un nom... est-ce vraiment celui que l'on pense s'appeler "Lorran" le "Boucher" le "Lorraniste" peu son ceux qui l'on connu comme un homme de famille, le mari de Kramadium... beaucoup dirons que c'était une brute, un meurtrier. Peu sont ceux qui avoue être amis avec lui, par crainte de la réaction des autres. Mais au fond, il était amis avec tous, tout ceux qui boivent un verre avec lui le dirons, c'était un homme du peuple. Alors ainsi commence cette conversation, entre cette jeune femme, a peine majeur regardant cette brute, terrifiée elle ose alors approché. Lorran lisant son dossier , dague dans la main, clope au bec et bière dans l'autre mains

-Mon... Monsieur Lorran? A-t-elle avancé, tremblante.
-Lui même, tu veux quoi ma grande? Lorran rétorqua de manière neutre, sa voix paysanne et forte se perdais dans ses pensées.
-Je... j'ai entendu de vous... pourquoi? Soucieuse, elle pris un pas en arrière.
-Pourquoi quoi? Pourquoi tant de haine? De guerre? De connerie?
-Mais cette haine, elle viens de où?
-Elle viens de eux... oui eux... les kaldorei.. leurs haine contre moi, contre notre peuple, leurs invasion de nos terres... les riches ont rien dit car les elfes travailles biens et rapidement. Mais les pauvres.. les travailleurs... forcé dans le tourbillons de la solitude, la haine, sans travaille, la misère. Je ne suis pas contre les elfes, mais je suis pour mon peuple.
-Tant de misère... n'êtes vous pas riche?
-L'argent? c'est une merde pas permise.
-Cela répond pas ma question, lorran.
-Tu t'prend pour qui p'tite conne? Tu crois me connaitre par ce qui disent les gens?
-Non mais j'ai envie de vos connaitre, p'tit con.

-Tu ose dire que je suis un con? Amusé, Lorran tapa son œil en fer avec sa dague, d'un bruit long et aïgu.
La jeune femme sorti un revolver de sa poche et visa Lorran
-Tire moi dessus, tu sera pas la première, ni la dernière. Toujours amusé, il fixa la femme dans les yeux.
La demoiselle posa alors le revolver sur la table.
-Faites le vous même, alors. Furieuse, la femme regarda lorran prendre le revolver et le lancer contre un mur.
-Vous n'osez donc pas, le boucher? Elle ajouta cela et le sourire de Lorran avait disparu.
-Dit moi ma grande, tu sais quoi de moi? Pendant qu'il parlait, il sorti son oeil en fer de sa place, laissant un trou, et le tendit a la femme. La femme pris la sphère en main et la regarda.
-Pourquoi faites vous tout ça?
-Je me suis arracher moi même mon oeil, car le seul elfe que j'ai respecter je l'avais trahit. Je me suis détesté pour ça, il a essayer de me tuer, mais je suis revenu, et une deuxième, et je suis revenu. La troisème je tomberais dans le sol, portant le manteau de bois.
-Cela me dit pas pourquoi vous les haissez!
La femme posa son cul sur une chaise, fixant Lorran, les bras croisé.
-Tu veux une leçon d'histoire? Tu va t'endormir ma grande.
-Essaye toujours.
-Ma haine viens de leurs conneries. J'ai eu un gosse, plus jeune, juste avant qu'on parte en kalimdor, durant la troisème guerre. Il avait huit ans, et je l'ai pris avec. Ma première femme étant morte de maladie. Un jour de repos, j'ai pris mon fils, Herold, faire la chasse avec oi, lui apprendre la survie, voir la nature. Ce jour la... des elfes, pas au courant de notre arrivée, nous ont pris pour des ennemis, et tuer Herold avec des flèches. J'ai jamais pardonné ses elfes.
-Alors c'est pour ça? Et le boucher, il viens d'où?
-J'ai tuer les deux kaldorei, j'ai baigner dans leurs sang, je l'ai ai mutilé, lentement, a regarder leurs yeux s'éteindre doucement, et je l'ai ai laisser pourrir dans le soleil ardent. Voila d'où il viens le boucher.
-C'est donc ça, qui vous a pousser à haïr les kaldorei autant?
-Ça, et d'autres petites choses.
-Et le Lorranisme?
-Ha ça... c'est une succession de petite choses, qui font mon sang bouillir, et qui m'ont poussé a devenir un gros con, un salop.
-D'accord mais...
-Y'a pas de mais avec moi.
-Alors dites moi pourquoi tant de guerre, vouloir détruire le royaume et tuer le roi!
-Bien simple, l'homme , de sa nature, dois faire la guerre, il détruit pour reconstruire, pour redétruire et reconstruire, c'est aussi con que ça. Et je compte détruire pour mieux reconstruire. Même... je veux pas détruire, je veux construire. Je veux construire un futur plus correcte pour nos gosses, et leurs gosses.
-Vous êtes fou!

Lorran ria un bon coup pris ses affaires, et parti.

Le lendemain, l'on avait annoncé sa mort.
La jeune femme reçu une lettre, apportée par un gringalet paranoïaque.

Elle lisa la lettre à haute voix, en marchant les rues débordante de gens.

Vous savez, le monde n'est pas gouverné par des lois, mais par des hommes. Certains se soumettent aux lois, d'autres pas. Le monde dépend de chaque individu et de ce qu'il en fait. Et il faut aussi une bonne dose de chance pour que personne transforme votre vie en merdier. C'est pas toujours aussi simple qu'on vous apprend à l'école. Mais l'essentielle c'est d'avoir des valeurs fortes et de si tenir. Pour l'amour, pour le crime et pour la guerre, partout et pour tous. J'ai déconné comme les autres. On voulait une vie meilleure mais on a fini plus bas que la plupart des gens. Vous savez, je crois qu'il est important de garder l'équilibre des choses, oui... l'équilibre, c'est le bon mot. Parce que celui qui en veut trop risque en fait de perdre absolument tout, mais celui qui en veut pas assez, risque de ne rien avoir du tout.

Lorran... ses derniers mots.

[la correction viendra plus tard]
S. Lorran / G. MacMillan
S. Lorran / G. MacMillan

Personnages Joués : Joyeux, si y'a d'la bière

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