(poèmes) Les bribes du passé...
Page 1 sur 1
(poèmes) Les bribes du passé...
(HRP ON) Bon voilà quelques temps j'ai commencé un topic poème sur la partie "art"; cependant, la plupart des poèmes sont un regroupement d'histoire et contes représentant les aventures de plusieurs de mes personnages. Aussi aimerai-je faire un post ici où les poèmes auraient leur place.
Chaque poème raconte le passé d'un personnage, où une bribe de celui ci, où encore une événement marquant dans sa vie. Le premier que je vais (re)poster ici en premier est l'histoire d'un marin qui fut un des plus grand corsaire de son temps, avant que l'empire que les mers qu'il dominait l'assimile a leur élément. C'est un poème sommes toutes énormément inspiré des rimes de l'ancien marinier, mais aussi de la légende anglaise populaire de Davy Jones, ainsi que du très célèbre hollandais volant.
Aucune prétention dans ses vers, des schémas de rimes pas très régulier; il n'empêche que ce poème, sans faire ma fierté, bien que rien ne fasse ma fierté, arrive faire naître en moi une pensée nostalgique et un sourire venu d'un monde lointain... (HRP OFF)
Fut un temps, où capitaine, l’on m’appelait
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Au quatre coins du monde j’ai navigué,
Jusqu’aux confins de la terre, l’ancre j’ai jeté.
Pendant des années, mon bateau, mon navire
N’a cessé de traverser, ces océans dont j’ai fais mon empire.
Sous le lourd soleil, et les cruelles tempêtes,
Quand l’aventure nous appelait à partir,
De nombreux autre, mon voilier a pris la tête
Que voulez vous ? Pour cela, nous voulions mourir.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Maintes fois, mon arrogance, ma fierté,
Les mers et les vents en furie, ont défié.
Mais jamais, n’ont ils tous put nous emporter,
Jamais typhons ni orage, mon bateau, n’ont échoué.
La mort même, nous avons défié, hélas
Nul homme, jamais, n’a sut en triompher,
Et c’est ici, ici, où toutes choses trépassent,
Que notre fin a nous, fier corsaires j’ai vu arriver.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers je voguais.
Les dieux, cruels, mon équipage, m’ont arraché
Et de mon fidèle navire, jadis un des meilleurs,
Un lugubre vaisseau, sans vie ni joie, ils ont fais ;
Une épave écumant les océans, aux confins de la peur.
La vie, ne me fut pas ôté, a moi, sinistre infortuné
Mais quel châtiment, que celui d’être condamné,
A voguer sur les mers, seul, aux côtés des damnés,
A hanter les flots amers, seul, pour l’éternité.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Voilà des centaines d’années, que je vogue sur ce monde,
Prisonnier, avec quelques autre infortunés,
Dans ce cauchemar sans la moindre pitié
Entravé sur ce désert, qui n’est qu’écume et onde…
Même le vent frais sur ma peau, je ne sens plus,
Les mets sur ma langue, ne sont que des cendres,
De mes yeux mornes, terre je ne vois plus
Depuis tant d’année, en enfer je ne fais que descendre.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers je voguais.
Peut être n’y a il guère d’espoir de repenti,
Pour mes hommes comme pour moi,
Car je le sais, a la mer je suis lié a vie…
Notre bateau, des mers doit rester roi.
Car nous l’aimons la mer, malgré tout,
Malgré cette vie qui perdure,
Malgré cet enfer sans atout,
Malgré cette malédiction, cette âpre morsure.
Nous ne faisons maintenant qu’un avec la mer,
Cela me rappel autrefois, naguère,
Au temps, où capitaine l’on m’appelait
Au temps, où sur les sept mers je voguais.
Critiquez a votre guise
Chaque poème raconte le passé d'un personnage, où une bribe de celui ci, où encore une événement marquant dans sa vie. Le premier que je vais (re)poster ici en premier est l'histoire d'un marin qui fut un des plus grand corsaire de son temps, avant que l'empire que les mers qu'il dominait l'assimile a leur élément. C'est un poème sommes toutes énormément inspiré des rimes de l'ancien marinier, mais aussi de la légende anglaise populaire de Davy Jones, ainsi que du très célèbre hollandais volant.
Aucune prétention dans ses vers, des schémas de rimes pas très régulier; il n'empêche que ce poème, sans faire ma fierté, bien que rien ne fasse ma fierté, arrive faire naître en moi une pensée nostalgique et un sourire venu d'un monde lointain... (HRP OFF)
Fut un temps, où capitaine, l’on m’appelait
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Au quatre coins du monde j’ai navigué,
Jusqu’aux confins de la terre, l’ancre j’ai jeté.
Pendant des années, mon bateau, mon navire
N’a cessé de traverser, ces océans dont j’ai fais mon empire.
Sous le lourd soleil, et les cruelles tempêtes,
Quand l’aventure nous appelait à partir,
De nombreux autre, mon voilier a pris la tête
Que voulez vous ? Pour cela, nous voulions mourir.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Maintes fois, mon arrogance, ma fierté,
Les mers et les vents en furie, ont défié.
Mais jamais, n’ont ils tous put nous emporter,
Jamais typhons ni orage, mon bateau, n’ont échoué.
La mort même, nous avons défié, hélas
Nul homme, jamais, n’a sut en triompher,
Et c’est ici, ici, où toutes choses trépassent,
Que notre fin a nous, fier corsaires j’ai vu arriver.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers je voguais.
Les dieux, cruels, mon équipage, m’ont arraché
Et de mon fidèle navire, jadis un des meilleurs,
Un lugubre vaisseau, sans vie ni joie, ils ont fais ;
Une épave écumant les océans, aux confins de la peur.
La vie, ne me fut pas ôté, a moi, sinistre infortuné
Mais quel châtiment, que celui d’être condamné,
A voguer sur les mers, seul, aux côtés des damnés,
A hanter les flots amers, seul, pour l’éternité.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers, je voguais.
Voilà des centaines d’années, que je vogue sur ce monde,
Prisonnier, avec quelques autre infortunés,
Dans ce cauchemar sans la moindre pitié
Entravé sur ce désert, qui n’est qu’écume et onde…
Même le vent frais sur ma peau, je ne sens plus,
Les mets sur ma langue, ne sont que des cendres,
De mes yeux mornes, terre je ne vois plus
Depuis tant d’année, en enfer je ne fais que descendre.
Fut un temps, où capitaine l’on m’appelait
Fut un temps, où, sur les sept mers je voguais.
Peut être n’y a il guère d’espoir de repenti,
Pour mes hommes comme pour moi,
Car je le sais, a la mer je suis lié a vie…
Notre bateau, des mers doit rester roi.
Car nous l’aimons la mer, malgré tout,
Malgré cette vie qui perdure,
Malgré cet enfer sans atout,
Malgré cette malédiction, cette âpre morsure.
Nous ne faisons maintenant qu’un avec la mer,
Cela me rappel autrefois, naguère,
Au temps, où capitaine l’on m’appelait
Au temps, où sur les sept mers je voguais.
Critiquez a votre guise
Zal'Nash/Jinzüa
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum